Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 377

  • Au royaume de l’arbitraire, les bornes sont reines !, par Jean Bouër.

    Il faut le voir pour le croire : avec le Covid, l’État peut prendre beaucoup de mesures pour lutter contre une épidémie à l’égard desquelles les actions finissent pas devenir incantatoires.

    Parce qu’il faut rassurer, il ne va cependant pas restaurer la limitation drastique de la liberté d’aller et venir telle qu’elle fut pratiquée lors des premier et deuxième confinements. Mais à tous les étages, il va pratiquer ou tolérer l’arbitraire.

    Lire la suite

  • “Il faut procéder au bouclage des 600 territoires perdus de la République, y compris avec le renfort de l’Armée”

    cropped-fp-266x200-1-230x180.png

    Selon le syndicat France Police, qui adresse, à son tour, une lettre ouverte au président de la République :

    Monsieur Le Président de la République,

    A douze jours d’intervalle, une collègue a été égorgée par un terroriste islamiste à Rambouillet tandis qu’hier, un second fonctionnaire a été abattu par balle à Avignon par un membre d’un gang de narcotrafiquants.

    Le temps des belles cérémonies d’hommage est révolu. Vous devez passer des bougies à l’action politique. Ce n’est pas avec des larmes qu’on mène une guerre.

    Lire la suite

  • Violence: le règne des euphémismes

    332686589.jpg

    Mathieu Bock-Côté

    Le meurtre d’un policier à Avignon par un « dealer » a suscité la plus grande colère. Il fait écho au lynchage d’un policier à Bagnolet par des « jeunes » hurlant « tuez-le, c’est un sale chien de flic ». Les termes  utilisés avaient le mérite de la clarté : la pulsion meurtrière est confessée. La France, loin d’être le pays des « violences policières », est le pays des violences contre les policiers, auxquels on tend des guets-apens, que l’on agresse et, de temps en temps, que l’on assassine au cri d’Allah akbar, comme on l’a vu avec le sort réservé à Stéphanie Monfermé à la fin avril.  De façon générale, c’est un climat d’extrême agressivité qui s’installe. Des bandes conquérantes attaquent autant qu’elles le peuvent tous les symboles de l’État, au point même de tirer au mortier d’artifice sur des pompiers. Il faut transformer l’aveuglement en méthode sociologique pour ne pas le voir, comme on l’a constaté récemment à Tourcoing et Roubaix.

    Lire la suite

  • Barbares !, par Charles-Emma­nuel de Bourbon-Parme.

    La colère d’un prince. Il n’est pas notre pré­ten­dant et d’ailleurs il ne pré­tend pas, mais sa parole est tran­chante et le sang des capé­tiens coule dans ses veines. (NDLR)

    Le bon mot pour qua­li­fier ce qui s’est pas­sé à Lille, c’est la bar­ba­rie. Ces Sau­vages, ces moins que rien, ces arrié­rés men­taux s’en sont pris à deux sym­boles de l’amour de la France envers nos com­pa­triotes. En incen­diant une école mater­nelle ce sont les éco­liers qu’ils bru­ta­lisent.

    Lire la suite

  • Un policier vauclusien : « Assez d’hommages, de bougies, de marches blanches ou de tweets. Maintenant, il faut des actes ».

    A. est policier depuis 20 ans et exerce dans une ville du Vaucluse depuis plusieurs années. Au lendemain de l’assassinat de son collègue Éric Masson, il exprime la peur qu’il ressent au quotidien et sa lassitude.

    Le 5 mai, à Avignon, un nouveau drame est venu frapper notre  . Un drame qui nous fait imaginer la France de demain.

    Aujourd’hui, beaucoup de policiers se sont réveillés avec la boule au ventre en imaginant un nouveau drame du quotidien qui viendrait frapper à nouveau la famille .

    Lire la suite

  • Angoulême : l’agresseur guinéen scolarisé en 3e avait en réalité 25 ans

    alerte-info-845x475.png

    Un clandestin guinéen arrêté par les policiers de la BAC, une nuit de juin 2020, à la suite d’une agression sexuelle dans les rues d’Angoulême sur une jeune fille qui rentrait chez elle, avait affirmé être un mineur isolé, né en 2003. Pour preuve, un an auparavant, il était bien scolarisé en classe de troisième, au collège Marguerite-de-Valois, à Angoulême, relate La Charente libre.

    Lire la suite

  • Justice et police en otages

    6a00d8341c715453ef027880286271200d-320wi.jpg

    Ce 7 mai à 20 h 26, les lecteurs du Monde pouvaient apprendre sur le site internet de leur quotidien favori, garant de la vérité officielle, que le garde des Sceaux s'impliquait dans la compétition électorale régionale et départementale de juin.

    Dans La Voix du Nord, était publié le même jour un entretien encore plus explicite. Il y définissait à grands traits la nature de son engagement "pour la Région", dit-il. Et il n'hésite pas à préciser :"je veux dire que cette terre est une terre d’immigration, j’en suis le fruit."[1]

    Lire la suite

  • « Assassiner un policier ne fait plus peur aux criminels car ils ne craignent ni la justice, ni l’autorité de l’État » : Marine Le Pen (RN)

    « Assassiner un policier ne fait plus peur aux criminels car ils ne craignent ni la justice, ni l’autorité de l’État. Je serai la Présidente qui incarnera la restauration de l’autorité de l’État face à un Président qui n’a eu de cesse de se complaire dans le laxisme », a notamment déclaré la présidente du RN au sujet du policier tué par balles à Avignon. Pour Marine Le Pen, Emmanuel Macron devrait « se sentir coupable de ce qu’il se passe ».

    Voir la fin ici

  • Au lieu de lutter contre l’insécurité, Dupond-Moretti et Darmanin partent en guerre contre Marine Le Pen !

    dupond-moretti-621x475.png

    Il n’est guère besoin de regarder les chaînes d’infos en boucle pour comprendre que l’ est en train de prendre des proportions plus qu’alarmantes. Quelques jours après le meurtre d’une policière à Rambouillet, c’est un autre policier qui est abattu par un dealer en plein cœur d’Avignon, tandis qu’une jeune femme issue de l’ vient d’être brûlée vive à Mérignac par son conjoint violent sortant de prison.

    Lire la suite

  • Gilets jaunes : trois CRS placés en garde à vue pour le matraquage de manifestants dans un Burger King en 2018

    Trois CRS ont été placés mercredi en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur des violences dans un Burger King situé près de l’Arc de Triomphe en décembre 2018, en marge de l’Acte III des Gilets jaunes à Paris, a appris l’AFP d’une source proche de l’enquête. Les trois fonctionnaires sont entendus dans les locaux de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN).

    Lire la suite