Un clandestin guinéen arrêté par les policiers de la BAC, une nuit de juin 2020, à la suite d’une agression sexuelle dans les rues d’Angoulême sur une jeune fille qui rentrait chez elle, avait affirmé être un mineur isolé, né en 2003. Pour preuve, un an auparavant, il était bien scolarisé en classe de troisième, au collège Marguerite-de-Valois, à Angoulême, relate La Charente libre.
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Angoulême : l’agresseur guinéen scolarisé en 3e avait en réalité 25 ans
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Justice et police en otages
Ce 7 mai à 20 h 26, les lecteurs du Monde pouvaient apprendre sur le site internet de leur quotidien favori, garant de la vérité officielle, que le garde des Sceaux s'impliquait dans la compétition électorale régionale et départementale de juin.
Dans La Voix du Nord, était publié le même jour un entretien encore plus explicite. Il y définissait à grands traits la nature de son engagement "pour la Région", dit-il. Et il n'hésite pas à préciser :"je veux dire que cette terre est une terre d’immigration, j’en suis le fruit."[1]
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« Assassiner un policier ne fait plus peur aux criminels car ils ne craignent ni la justice, ni l’autorité de l’État » : Marine Le Pen (RN)
« Assassiner un policier ne fait plus peur aux criminels car ils ne craignent ni la justice, ni l’autorité de l’État. Je serai la Présidente qui incarnera la restauration de l’autorité de l’État face à un Président qui n’a eu de cesse de se complaire dans le laxisme », a notamment déclaré la présidente du RN au sujet du policier tué par balles à Avignon. Pour Marine Le Pen, Emmanuel Macron devrait « se sentir coupable de ce qu’il se passe ».
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Au lieu de lutter contre l’insécurité, Dupond-Moretti et Darmanin partent en guerre contre Marine Le Pen !
Il n’est guère besoin de regarder les chaînes d’infos en boucle pour comprendre que l’insécurité est en train de prendre des proportions plus qu’alarmantes. Quelques jours après le meurtre d’une policière à Rambouillet, c’est un autre policier qui est abattu par un dealer en plein cœur d’Avignon, tandis qu’une jeune femme issue de l’immigration vient d’être brûlée vive à Mérignac par son conjoint violent sortant de prison.
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Gilets jaunes : trois CRS placés en garde à vue pour le matraquage de manifestants dans un Burger King en 2018
Trois CRS ont été placés mercredi en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur des violences dans un Burger King situé près de l’Arc de Triomphe en décembre 2018, en marge de l’Acte III des Gilets jaunes à Paris, a appris l’AFP d’une source proche de l’enquête. Les trois fonctionnaires sont entendus dans les locaux de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN).
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Un nouveau policier tué, l’Etat aux abonnés absents
Le billet de Patrick Parment
C’est peu dire que le vase a débordé depuis longtemps. Un policier, intervenant dans un quarter d’Avignon réputé pour être l’un des lieux du trafic de drogue, a été tué par un individu qui n’a pas hésité à lui tirer dessus avec une arme à feu. L’individu a pris la fuite est recherché comme l’on dit. Si l’on ne peut accuser la police de faire son travail – comme le font les médias bobos comme Libération, Mediapart ou France 2 -, et dans des conditions bien souvent difficiles – par manque de moyens – il n’en va pas de même de ce président de la République et de son gouvernement, totalement dépassés par les événements et dont les préoccupations majeures sont plus électorales que sécuritaires. La police paie la note de l’impuissance de l’Etat et le ministre de l’Injustice signe les factures.
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Mérignac : une mère de famille brûlée vive en pleine rue par son ex-conjoint, Mounir B., qui sortait de prison
Une mère de famille de 31 ans a été sauvagement tuée par son mari à Mérignac (Gironde), le mardi 4 mai, en fin d’après-midi, en pleine rue. Âgé de 44 ans, il a été interpellé et placé en garde à vue.
« Il s’est acharné sur elle »
La victime a été tuée dans des circonstances barbares. Le drame s’est produit vers 18 h 20 dans un quartier résidentiel de Mérignac ,relate Sud-Ouest. Un incendie a tout d’abord été allumé dans la maison où la victime habitait avec son mari et ses trois enfants de 3, 6 et 11 ans.
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Entre tambouilles et violences, l’agonie du vieux monde
Les appareils, politiques ou syndicaux, ne représentent plus qu’eux-mêmes. Ils sont appelés à se heurter à une société civile qui a pris le large en s’émancipant des mots d’ordre décidés par des castes. C’est un ancien monde, déphasé, qui agonise sous nos yeux. Dimanche, en région Paca, des politicards ont perpétué d’antiques tambouilles en vue des élections régionales tandis qu’à Paris la CGT a été agressée par des manifestants du 1er mai.
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#SaccageParis – Violence, drogue, crasse : Bienvenue chez Hidalgo – JT du mercredi 5 avril 2021
Pour commencer cette édition, direction le XIXème arrondissement de Paris et plus exactement le quartier de Stalingrad. Là-bas, les dealers et les toxicomanes font la loi. Face au manque d’action des pouvoirs publics, les habitants ont décidé de riposter. TVLibertés est allée à leur rencontre.
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Sur France Culture, un Black Bloc est « mal à l’aise avec le terme de violences »… Il pensait faire de la pâte à modeler ?
À chaque jour son lot de problèmes insolubles. Dans la série des « que-voulez-vous-faire-ma-brave-dame », après les délinquants et les terroristes, voici les Black Blocs. Insaisissables. Ils se dissimulent si bien, sont si mobiles que l’on ne sait pas les intercepter. On peut verrouiller 60 millions de Français, les aligner pour un masque sous le nez. Mais on ne peut rien contre quelques centaines de Black Blocs. On vous a déjà expliqué, c’est trop compliqué.