En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
La loi Sécurité globale soulève de vives inquiétudes. Elle n’est pourtant que le dernier rejeton d’une lignée de lois liberticides que le régime de Macron produit avec régularité, quand il n’est pas occupé à réprimer violemment la contestation. L’extrême centrisme est un autoritarisme.
Liberté d’informer menacée. Extension du domaine de la surveillance de masse. Mise au pas de la presse. Impunité croissante des forces de l’ordre. Répression policière des opposants : le récent vote du projet de loi Sécurité globale nous a offert un concentré de l’exercice macronien du pouvoir dans le texte comme dans la pratique.
Cette semaine, « Le Samedi Politique » s’intéresse à un sujet particulièrement sensible : les affaires de pédocriminalité qui touchent des personnalités de l’élite parisienne.
Les révélations de Camille Kouchner des viols présumés d’Olivier Duhamel sur son frère jumeau (fils de Bernard Kouchner) remettent sur le devant de la scène des pratiques criminelles de certaines personnalités bien connues du grand public. Olivier Duhamel, grand constitutionnaliste, patron du Siècle, de la fondation Sciences Po, tête pensante de l’école du même nom… dont il a démissionné… Olivier Duhamel a également été conseiller du président du Conseil constitutionnel. L’homme a donc trainé dans les plus hautes sphères d’influence.
Nous savions depuis longtemps déjà que, sous les effets conjugués de l’immigration-invasion, de l’ensauvagement de notre société, de l’islamisme et du laxisme politico-judiciaire, les prisons françaises étaient devenues non seulement de véritables écoles coraniques au sein desquelles les « barbus » font régner la terreur, mais aussi de redoutables coupe-gorge où les gardiens osent à peine faire leurs rondes et craignent chaque jour pour leur vie.
Didier Lemaire est professeur de philosophie à Trappes depuis près de 20 ans. En 2018, il a écrit une lettre avec Jean-Pierre Obin (auteur de l’ouvrage Comment on a laissé l’islamisme pénétrer l’école) au président de la République pour exhorter le gouvernement à agir pour protéger la jeunesse de l’influence des intégristes, et il a publié en novembre 2020 une lettre ouverte après la décapitation de Samuel Paty pour dénoncer le manque de stratégie de l’État face à l’islam politique. Aujourd’hui, après vingt années d’un engagement sans faille, Didier Lemaire jette l’éponge. Contraint de se rendre à son travail avec un dispositif de sécurisation, l’enseignant n’attend rien d’autre que son exfiltration de cet établissement et de cette ville où il n’est plus en sécurité. Il déclare au Point :
En lisant cela, nous serons sûrement un certain nombre à penser à une solution alternative définitive et beaucoup plus économique, concernant cette « chance pour la France » comme disent les politiciens du Système…
Lors d’un entretien avec un think tank américain, le président de la République a osé une analogie entre les deux événements, déplorant un “nouveau mode de vie” basé sur la violence.
Réputé, depuis le début de son quinquennat, pour ses petites phrases qui ont le don d’enflammer le débat, Emmanuel Macron a récidivé. Lors d’un entretien avec le think tank américain Atlantic Council, auquel il s’est longuement confié en anglais, le président de la République a en effet dressé une analogie qui risque de faire parler, rapporte notamment BFMTV, le 4 février.
Cet été, l’ensauvagement a été dans toutes les bouches, pour le dénoncer ou dénoncer le terme.L’actualité estivale méritait une mise en regard avec l’ouvrage du Dr Maurice Berger est réelle, ses causes profondes.
Dans la nuit du 29 au 30 août, deux agressions au couteau à Toulouse. Le 26, c’est au Havre qu’un serveur est blessé à l’arme blanche pour avoir demandé à un client de porter son masque. Le 22, à Pont-de-Roide, dans le Doubs, un père de famille se fait fracasser le crâne à coups de marteau par des « jeunes » (dans la Novlange médiatique, « un jeune » désigne une appellation d'origine plus qu’une tranche d’âge) pour leur avoir demandé d’attendre leur tour à un plongeoir.
Au micro de Boulevard Voltaire, la chroniqueuse rappelle que ce n’est pas en France ou aux États-Unis mais « en Afrique ou dans des pays arabes que les Africains vivent comme des esclaves enfermés comme des chiens dans des cages ». Elle accuse Black Lives Matter de faire son fonds de commerce en jouant la carte de la victimisation, tout en agressant les personnes qui pensent différemment.
Le mouvement Black Lives Matter a été nommé au prix Nobel de la paix. Le discours ambiant dit que c’est une chance pour toutes les personnes noires du monde. Qu’elle est votre position ?
Je ne dirais pas que c’est une grande chance. Selon moi, le mouvement Black Lives Matter est un mouvement terroriste. Il a fait beaucoup de mal à la communauté noire voire la communauté africaine. Selon les médias, les noirs américains ne se considèrent pas africains, mais afros-descendants et ne s’identifient pas à l’Afrique. Bon nombre de personnes se plaignent d’être noirs et Africains aux États-Unis ou en Occident. S’il y avait vraiment un problème d’appartenance ou d’acceptation de la race noire, ils seraient tous rentrés en Afrique. C’est vraiment mon point de vue. En Afrique, ils sont sûrs d’être au milieu de ceux qui ont la même couleur de peau.
Huit personnes ont été déférées hier après le démantèlement du principal réseau qui alimente la Seine-Saint-Denis en produits stupéfiants.
Dans le milieu, pour se faire « respecter », il faut être craint. En démantelant, cette semaine, un réseau de trafic de stupéfiants qui alimente la Seine-saint-Denis et notamment la commune de Saint-Ouen, limitrophe de Paris, l’Ofast, l’office anti-stupéfiants, est tombé sur un véritable arsenal de guerre : kalachnikovs, fusils d’assaut HK et G3 FMP, des M16, avec trépied et équipement de visée laser, un fusil de précision avec lunette sur trépied, des pistolets-mitrailleurs ainsi que leurs chargeurs, dont 16 pour les M16 et plus de 500 munitions et 1 300 cartouches de différents calibres.
Le 13 juin 2020, il était le héros du jour. Sous les acclamations des manifestants contre le racisme et les violences policières, un inconnu parvenait à arracher la banderole que le groupe Génération identitaire était parvenu à déployer sur le toit d’un immeuble de la place de la République. Un petit pas pour l’homme mais… Oh la la ! La journée ferait date.