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insécurité - Page 472

  • Gilets jaunes, pandores et racailles*

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    Par Franck Deletraz

    Casseurs d’extrême gauche laissés libres d’agir, gazage massif des manifestants pacifiques pris au piège de la « nasse », manifestation officiellement déclarée mais annulée à la dernière minute... Le moins que l’on puisse dire est que, dans sa volonté de discréditer ce grand mouvement populaire qui bénéficie encore aujourd’hui de la sympathie de plus de 52 % des Français, le gouvernement aura tout mis en œuvre le week-end dernier pour que les rassemblements de Gilets jaunes, notamment à Paris, tournent à l’émeute.

    Le scandale de la place d’Italie

    Parmi les grandes manifestations prévues samedi dans la capitale, la plus significative de cette volonté du gouvernement aura sans aucun doute été celle de la place d’Italie. En ce lieu où avaient convergé dans le calme plusieurs milliers de GJ, dont beaucoup de provinciaux qui se faisaient un plaisir de revenir défiler à Paris, les fameux black blocs et autres milices d’extrême gauche ont en effet pu très tôt s’en donner à cœur joie, brisant la vitrine d’une banque, incendiant des poubelles et récupérant divers matériaux de chantier « bizarrement » présents sur les lieux, sans susciter de réaction de la part des forces de l’ordre autre que l’envoi de gaz lacrymogène qui a surtout frappé les GJ qui attendaient le départ de la manif. Une agitation qui aura servi de prétexte au préfet de police Lallement pour décider d’annuler in extremis, par le biais d’un simple coup de téléphone, et donc au mépris de la loi, cette manifestation pourtant officiellement déclarée. Injustement privés de manif et coincés par les forces de l’ordre, les vrais GJ n’ont pu qu’assister avec désolation au saccage de la place d’Italie par ces meilleurs alliés de l’Etat que sont aujourd’hui les milices d’extrême gauche. Un saccage qui, contrairement à ce qu’ont prétendu les grands médias et les autorités en parlant d’« ultra-jaunes », porte clairement la signature de l’extrême gauche. Pour preuve, la démolition quasi complète du monument en hommage au maréchal Juin et aux combattants corps expéditionnaire français en Italie, objets pour les gauchistes d’une exécration absolue, là encore sans que les forces de l’ordre n’interviennent !

    Des policiers infiltrés…

    Il faut dire que certains éléments, au sein des forces de l’ordre, étaient absorbés par d’autres tâches assez « étranges ». Comme ces agents habillés en membres des black blocs, surpris samedi par plusieurs caméras alors qu’ils venaient de quitter une barricade et couraient en di- rection d’un cordon de CRS pour s’y mettre à l’abri. Une vidéo devenue virale sur Internet, et sur laquelle on entend distinctement un CRS avertir ses collègues : « C’est la BAC, c’est la BAC »... Bref, dressant samedi soir le bilan de cette journée, Faouzi Lellouche, l’une des figures du mouvement, a dénoncé la stratégie policière « qui a empêché le bon déroulement de la manifestation parisienne ». En effet, a-t-il ajouté, « tout a été fait pour que la manifestation ne puisse pas partir » et « les autorités sont continuellement [...] à dire qu’il n’y avait que des casseurs dans la manifestation ». Comme les grands médias, qui n’ont diffusé samedi que les images de la place d’Italie, alors que les nombreux rassemblements de GJ en province se sont (à quelques exceptions près) déroulés de manière pacifique. Tout comme d’ailleurs le rassemblement organisé dimanche à Paris, place Joachim-du-Bellay, auquel ont participé dans le calme plusieurs centaines de GJ, avant de se rendre aux Galeries Lafayette pour un lâcher de confettis au cri de... « Travaille, consomme et ferme ta gueule»!

    (*) Le titre est de nous

    Source Présent 19/11/2019

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Edition Spéciale : Gilets Jaunes : 1 an et après ? – Journal du lundi 18 novembre 2019

     

    1) Gilets Jaunes : Un anniversaire mouvementé
    2) Gilets Jaunes : Après un an, le bilan
    3) La mobilisation sociale met le cap sur le 5 décembre

    Edition spéciale. Samedi, le mouvement des Gilets Jaunes fêtait son premier anniversaire. Sans surprise, cet acte 53 a été émaillé par de nombreux débordements alors même que les revendications ne sont plus très claires. Retour sur un an de mobilisation, d’avancées et de reculs, à trois semaines de la grève générale du 5 décembre.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/edition-speciale-gilets-jaunes-1-an-et-apres-journal-du-lundi-18-novembre-2019

  • Gilets jaunes : mutilées par des grenades ou des tirs de LBD, ces «gueules cassées» racontent

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    Fiorina, Alexandre et Antonio ont vu leur vie basculer en un instant quand ils ont été amputés ou gravement blessés par des tirs des forces de l’ordre lors des manifestations des Gilets jaunes.
    Un an après le début du mouvement des Gilets jaunes, deux policiers seront bientôt jugés au tribunal correctionnel de Paris pour des violences commises lors des manifestations.
    Il s'agit de deux procès distincts, et le début d'une série qui pourrait être longue.
    Sur 212 enquêtes confiées par le procureur de la République de Paris à l'IGPN, la police des polices, 146 ont été clôturées, a indiqué le parquet de Paris.
    Parmi elles, 18 informations judiciaires sont à l'instruction : deux concernent nos témoins, Alexandre Frey et Fiorina Lignier, qui ont chacun perdu un œil.
    72 procédures, enfin, sont toujours en cours d'analyse au parquet de Paris, qui doit décider des suites à donner.
    C'est le cas d'Antonio Barbetta, blessé au pied par un éclat de grenade qui témoigne aujourd'hui. 54 autres procédures ont été classées sans suite, majoritairement parce que les faits étaient insuffisamment caractérisés, ou faute d'avoir pu identifier l'auteur.
    A l'occasion du premier anniversaire du mouvement des Gilets jaunes, nous avons recueilli les témoignages d'Alexandre Frey, d'Antonio Barbetta et de Fiorina Lignier, tous trois blessés par les forces de l'ordre lors des premières manifestations à Paris.
    «La balle de LBD m'a explosé l'œil, la rétine, le nez…»
    Alexandre, 38 ans
     
    LP/Arnaud Dumontier
    LP/Arnaud Dumontier  
    Alexandre Frey nous a donné rendez-vous dans un bar en face de l'église de Breteuil, au nord de l'Oise.
    Dans cette ville d'à peine 5 000 habitants, il est chez lui.
    Le nom de son arrière-grand-père est gravé sur le monument aux morts.
    Tout autour, des champs de pommes de terre, de betteraves à sucre et quelques usines qui font vivre les gens d'ici, dont Cornilleau, le leader mondial des tables de ping-pong.
    Alexandre, 38 ans, raconte inlassablement cette journée du 8 décembre 2018.
    Comme pour y croire vraiment.
    « C'était l'acte IV, témoigne cet intermittent du spectacle. Les Gilets jaunes, ça parlait de la vie chère, ça me plaisait. Il y avait un côté révolutionnaire ». Et dans cette région, la mayonnaise prend vite. « Ici, il n'y a pas de radar », sourit Alexandre.
    Le blessé parvient à l'hôpital Rothschild vers 18 heures.
    « Je suis opéré dans la foulée, 60 ou 80 points de suture je ne sais plus, six heures de bloc. Le chirurgien ne me laisse aucun espoir : vous avez perdu votre œil… Et puis il faut expliquer aux enfants. J'ai dit à mon aîné de 11 ans que son papa était le pirate des Caraïbes, c'était bouleversant pour ce petit bout de chou qui voyait son père à la télé. »
    Un an après la rééducation, les prothèses qui s'enchaînent, les reconstructions, le réapprentissage de la parole avec une mâchoire qui ne répond plus vraiment, l'addiction à la morphine antidouleur, il a toujours du mal à croire à ce qui lui arrive : « Je suis désemparé, j'aurais pu perdre mon œil au Mali, mais pas à deux pas des Champs-Elysées… J'ai perdu un œil mais aussi l'estime de moi, c'est un peu comme si j'étais né un 8 décembre. Le matin, je me lève et je pense au mec qui m'a tiré dessus. »
    Aimerait-il le rencontrer ?
     « Oui, j'aimerais lui parler, il a quand même foutu ma vie en l'air. Je n'ai pas d'esprit de vengeance mais j'estime qu'il n'a plus rien à faire dans les forces de l'ordre. Il était équipé, armé, formé. Moi, je n'avais rien, je n'ai tapé personne, je n'ai pas cassé de vitrine. Et maintenant, je suis comme un mutilé de guerre ».
    De l'enquête IGPN, il retient qu'une équipe de cinq CRS a été isolée pour son tir de LBD.
    « Il y a forcément le tireur parmi eux » note Alexandre qui attend d'être reconnu comme victime de violence policière, aidé par son avocat, Me Yassine Bouzrou.
    « C'est mon combat maintenant, qu'ils ne tirent plus sur leur peuple, que les LBD soient interdits ».
    «Gilet jaune, ça ne me correspond plus»
    Antonio, 41 ans, blessé au pied par une grenade lacrymogène

    LP/Olivier Arandel

    LP/Olivier Arandel  
     
    Son chat tigré est plus rapide que lui pour arriver au portail.
    Antonio Barbetta, 41 ans, silhouette longiligne, arrive en jean baskets mais sans jamais poser son talon droit au sol.
    « Un morceau de grenade a traversé mon pied, on m'a dit que je boiterai à vie, mais finalement, par rapport à ceux qui ont perdu une main ou un œil, j'ai de la chance », relativise ce Gilet jaune de la première heure, à qui chaque pas rappelle ce 24 novembre 2018, sur les Champs-Elysées.
    Il n'ira pas à Paris ce samedi.
    « Je ne suis plus Gilet jaune, ça ne me correspond plus », lance celui qui était pourtant en première ligne de la marche des blessés à Paris pour l'acte 12.
     « Trop de clans, un climat malsain », résume ce père de deux enfants, qui a conservé des enregistrements d'appels anonymes malveillants.
    VIDÉO. Un an après leurs blessures, des Gilets jaunes racontent
    Il y a un an, ce mouvement était pourtant pour lui une évidence.
    « Ça partait du peuple, c'était spontané, mis à part la casse, que je condamne, c'était beau… Moi, ça fait des décennies que je galère », explique ce quadra.
    « J'ai toujours trimé depuis que j'ai 18 ans, mais le 10 du mois, c'est toujours pareil, on n'y arrive pas, même sans sortir… Marre de survivre au lieu de vivre. Macron a mon âge mais vraiment pas la même vie ! » lâche, dans un éclat de rire, cet homme qui n'a jamais voté.
    Dans l'Oise, sans voiture, pas d'emploi.
    Il achète une voiture de 19 ans, qui affiche 240 000 km.
    Il la paie 2 500 €, à crédit, et rembourse toujours.
    Alors forcément, lorsque le prix du carburant grimpe, le ras-le-bol explose.
    « Le 24 novembre 2018, les CRS bloquaient l'accès à l'Elysée, il y avait des charges de ouf, ça brûlait de partout… Moi, je filmais au téléphone lorsqu'un objet gris a explosé au sol. Avec l'adrénaline, j'ai continué à suivre les autres, jusqu'à ce qu'on me dise Monsieur, vous pissez le sang. Des morceaux de fer transperçaient mon pied… Pour moi, c'est game over ! »
    « A Bichat, on m'a dit que c'était une blessure de guerre », enchaîne-t-il, apprenant que « l'objet gris » serait une « GLI F4 », grenade lacrymogène contenant une vingtaine de grammes de TNT dont il ignorait jusqu'alors l'existence.
    Il a subi deux opérations, on lui a posé une plaque de titane dans le pied.
    Malgré cela, il abrège son arrêt maladie. « Avec 634 € d'indemnités journalières et 600 € de loyer par mois, c'était vite vu.
    Il fallait que je bouffe, que je paye l'électricité, alors j'ai serré les dents », explique Antonio. Aujourd'hui, il est devenu menuisier. « J'installe des escaliers en bois, parfois je porte des blocs de 100 kg sur plusieurs étages. »
    Aller de l'avant, il n'a pas le choix.
    Mais l'amertume est là.
    « En France, manifester est un droit et on peut repartir mutilé, c'est flippant ! » lance cet homme qui attend toujours des nouvelles sur son enquête depuis que l'IGPN l'a entendu, il y a près d'un an.
    Le parquet de Paris indique qu'elle est terminée et doit décider des suites à donner.
    En attendant, aucune indemnisation n'est envisageable.
    Ses avocats, Mes Kempf et Alimi, ont voulu saisir le doyen des juges d'instruction pour ouvrir une information judiciaire.
    « Mais on lui demandait 400 € de consignation », déplore Me Kempf.
    « Ma situation financière est pire aujourd'hui, j'ai quatre loyers de retard », rappelle Antonio. Son rêve? Acheter une maison, « pour laisser quelque chose à mes enfants ».
    «Le 8 décembre, je reviendrai là où j'ai perdu mon œil»
    Fiorina, 21 ans, blessée par un tir de grenade

    LP/Olivier Arandel

    LP/Olivier Arandel  
    Elle est un symbole malgré elle. Fiorina, 21 ans, étudiante en philo à la fac d'Amiens (Somme) qui vient de sortir un livre (« Tir à vue : la répression selon Macron », Ed. Via Romana) a fait le tour des télévisions du monde entier le 8 décembre 2018 quand elle gisait à terre sur les Champs-Elysées le visage en sang, alors qu'à côté le Drugstore Publicis menaçait de flamber.
    « Un tir de grenade m'a touché en plein visage », raconte la jeune femme qui en mai dernier figurait sur une liste identitaire avec Renaud Camus aux européennes.
    « J'ai ressenti comme une décharge dans tout le corps, j'avalais mon sang. J'entendais les gens hurler, c'est la panique, je me vois mourir. »
    Pour elle et son compagnon, c'était leur première manifestation.
    « Je voyais tous ces Gilets jaunes sur les ronds-points, je me disais que c'était le moment de participer. Si on pouvait faire basculer Macron, c'était maintenant. Pas la République, j'y tiens, mais Macron. »
    Arrivée à l'hôpital Cochin, elle demande aux chirurgiens si elle reverra un jour de son œil blessé. « Non, jamais m'ont-ils répondu. On vit ça comme un deuil, la colère se mélange à la tristesse. Quand je voyais mes frères baisser les yeux, ma mère pleurer, c'était affreux. »
    La vie de Fiorina, depuis un an, est confinée dans son petit appartement, en dehors des opérations. « J'en ai eu quatre, restructuration de la face, sept plaques dans le visage, une grille en titane pour tenir l'œil… Je porte des lunettes noires tout le temps, je suis incapable de me laver seule, de faire à manger… »
    Elle a bien essayé de retourner à l'université, « mais c'est impossible, je ne tiens pas physiquement » même si elle rêve de « retrouver une vie normale ».
    Et puis il y a la morphine contre la douleur.
    « Je ne veux pas être dépendante. Quelquefois, j'essaie de m'en passer pendant plusieurs jours, mais c'est dur ».
    Son dossier a été transmis à la justice après l'enquête IGPN et une information judiciaire ouverte.
    Son procès, ou plutôt celui du tireur, elle l'attend avec impatience, même si elle sait que « cela pourra prendre des années ».
    Ce samedi, elle ne sera pas à Paris.
     « Mais le 8 décembre, je reviendrai là où j'ai perdu mon œil. C'est une démarche personnelle. »
    leparisien
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/11/gilets-jaunes-mutilees-par-des-grenades.html

  • Xavier Raufer : « Castaner dit des choses qui sont floues. Je ne le trouve pas rassurant ! » (Vidé

    Xavier Raufer, criminologue, auteur de « Le crime mondialisé » (Editions du Cerf), était l’invité d’Eric Morillot, accompagné de Philippe Pascot et Nicolas Vidal.

    https://www.tvlibertes.com/actus/xavier-raufer-castaner-dit-des-choses-qui-sont-floues-je-ne-le-trouve-pas-rassurant-video

  • Gilets jaunes : de nouveau, le chaos en plein Paris !

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    Reportage exclusif au cœur de l’acte LIII, un an après le début du mouvement, avec des interviews d’Étienne Chouard, de Jérôme Rodrigues et une rencontre avec de vrais gilets jaunes agressés par des antifas.

    https://www.bvoltaire.fr/gilets-jaunes-de-nouveau-le-chaos-en-plein-paris/

  • Incendie volontaire de la mairie de Flers : les caïds de l’immigration protègent leurs trafics

    Incendie volontaire de la mairie de Flers : les caïds de l’immigration protègent leurs trafics

    Flers, une ville à l’image de la France… Flers est une ville de 15 000 habitants dans l’Orne (Normandie). C’est une ville avec un maire PS ou Divers Gauche depuis 30 ans (1989).

    La ville a un fort pourcentage d’habitants issus de l’immigrationConséquence : “La cité normande rassemble la plus grande concentration de kebabs de France.”

    Il y a 20 ans (1999), il y eut une “grève très suivie au collège de Flers (Orne) contre le port du foulard islamique “. Mais, depuis, comme dans les banlieues, la République a reculé.

    En 2009, l’émission “Zone interdite” de M6 proposait un reportage sur “Flers, la blanche”, en raison du trafic de drogue dans les quartiers.

    En 2015, il y eut une nuit d’émeute suite à une arrestation dans un quartier difficile. Des cocktails molotov ont été envoyés sur la maison du maire et le commissariat.

    Depuis, le maire PS/DVG a décidé de mette des caméras de vidéoprotection. Cela ne plait pas aux racailles. En octobre, elles ont mis le feu à une voiture au pied d’un système de vidéoprotection, afin de le détruire pour continuer leur trafic.

    Il y a 6 jours, la mairie de Flers a été ravagée par un incendie. On apprend aujourd’hui que “l’origine serait volontaire”… L’endroit d’où est parti l’incendie ne serait pas compatible avec la version d’un feu accidentel. Selon des sources policières, une relation peut être faite entre cet incendie et le départ de feu enregistré dans le gymnase du Hariel, le matin du mardi 12 novembre, et dont l’origine est probablement volontaire.

    https://www.lesalonbeige.fr/incendie-volontaire-de-la-mairie-de-flers-les-caids-de-limmigration-protegent-leurs-trafics/

  • 13 novembre 2015, Bataclan : des tueurs organisés dans la fosse, désorganisés à l’étage

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    Un article E&R initialement publié le 13 novembre 2017.

    «  J’ai vu son visage, je pourrais le reconnaître. Il ressemblait à n’importe qui. Il ne nous tenait pas en joue. Il tenait sa kalachnikov tranquillement, serein, comme un militaire de Vigipirate. On aurait dit qu’il était là pour nous évacuer. Il n’avait même pas l’air menaçant.  » Son frère a vu un autre tireur, «  un grand blond aux cheveux ras  ». «  Ça avait l’air préparé, froid. Il n’y avait rien d’inorganisé. Ils étaient positionnés correctement pour être efficaces.  »

    Quand la lumière revient, «  assez rapidement  », il n’y a plus un bruit. Et là, «  ils se sont mis à tirer sur les gens un par un. Ils marchaient autour de nous. Nous les entendions recharger leurs armes. Parfois, des gens essayaient de partir en groupe et alors ils tiraient dessus en rafales. D’autres les ont insultés. J’ai entendu des “Connards”, “Bande d’enculés”. Et ils leur tiraient dessus. Ils tiraient de façon méthodique. Ils ont parlé assez fort mais de façon posée. J’ai entendu   : “C’est la faute de François Hollande et de ses frappes en Syrie. Vous avez voté pour lui.”  » Son ami Anthony, 33 ans, aperçoit des gens qui essayent de se lever. «  Ils les abattent.  » Lui ferme les yeux et fait le mort. «  Une femme crie que son copain est mort. Ils l’abattent.  » Le sol est une piscine de sang. Des lambeaux de chair se sont répandus. Un homme à côté de Cécile la soutient comme il peut  : «  Courage. Il faut faire le mort.  » (Le Monde du 16 novembre 2017)

    Sur les centaines de tweets que nous avons ramassés ce soir-là, en voici une douzaine qui rendent compte de la sidération et de la confusion qui se sont emparées des Français :

    Allisson FQSP© ‏
    Les spectateurs du stade de France sifflent sans comprendre le match a repris problème à la sortie un corps déchiqueté a été retrouvé

    Nain Portekoi
    Tu passes une bonne soirée, tu rentres chez toi, tu allumes la radio, tu vis un cauchemar.

    julien Sartre ‏
    Rue de Charonne les policiers crient "rentrez chez vous, à l’abri, ils sont encore dans la rue !!"

    Philippe Corbé
    Au moins 13 morts rue Bichat et une quinzaine de morts près du Bataclan #EditionSpecialeRTL

    Nicolas Demorand
    18 morts selon la @prefpolice plus prise d’otages au Bataclan. Mais PUTAIN DE MERDE !

    canyourepeat !? ‏
    Louis, présent au #Bataclan avec sa mère témoigne sur @franceinfo : "ils ont crié Allah Akbar et ont tiré sur la foule" #paris #fusillade

    EL ЯAFA
    Il y aurait une centaine d’otages au Bataclan #fusillade

    Stalker 
    "Selon un policier, le bilan pourrait atteindre les 100 morts ..... !"

    Mabrouk Sonia ‏
    Le plan Rouge Alpha déclenché, plan multi-attentats lors d’attaques massives. La France entre dans une nouvelle ère

    Pauline Lallement ‏
    Mehdi rescapé : "ils étaient organisés lorsque l’un tirait lautre rechargait." @ParisMatch

    Guillaume Auda
    D’après le préfet de police de Paris , 4 terroristes au #bataclan avaient des ceintures d’explosif qu’ils ont actionné lors de l’assaut

    JSSNews 
    Vidéo : #Netanyahu avait prédit des attaques musulmanes contre la #France… http://goo.gl/fb/KS7jrE #occident

    Haziza Frédéric ‏
    Plus de 100 morts à Paris : qui pourra encore dire que nous sommes pas en guerre contre les #barbares #nazislamistes ?

    Nous étions en poste ce soir-là et avons appris les premiers faits sur Twitter, juste après 21h, avec les « pétards » du Stade de France. Puis, très vite, les tirs, les morts, les infos – invérifiables –, les bilans – fluctuants –, les premiers témoignages bruts de l’intérieur du Bataclan (ensuite ceux qui allumaient leur portable se faisaient abattre), les prises de position politiques, le déchaînement de soutien et de rage, et enfin le bilan officiel, le discours du président de la République, et le début de l’enquête.

    François Hollande à 23h54 (alors que l’assaut au Bataclan n’est pas terminé) : « Nous savons d’où elle vient, qui sont ces criminels, qui sont ces terroristes… Il y a effectivement de quoi avoir peur, il y a l’effroi. »

    Deux ans après, Salah Abdeslam campant sur son mutisme, les familles des 130 victimes, les 495 blessés et les Français n’en savent toujours pas plus sur cette soirée de cauchemar. Certes, il y a eu un rapport officiel de 341 pages, que nous avons lu scrupuleusement, mais que la plupart des Français n’ont pas lu. Ce texte est le résultat de l’enquête de la commission parlementaire menée par deux députés, l’un de gauche (Pietrasanta), l’autre de droite (Fenech), scellant ainsi une sorte d’union sacrée devant le danger « terroriste ». Un terrorisme aveugle, aveuglant, et toujours sans revendications...

    Voir la suite de cet article très complet en cliquant ICI

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Universités : Stéphane Ravier - il a raison ! -dénonce la violence de l'extrême gauche et son impunité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/15/universites-stephane-ravier-denonce-la-violence-de-l-extreme-6190517.html

  • Explosion de la violence en Suède, par Franck Deletraz

    9490-20191115.jpgLe Danemark se protège en rétablissant sa frontière

    Voilà une décision pleine de bon sens dont notre gouvernement, qui admire tant le modèle social nordique, ferait bien aujourd’hui de s’inspirer : excédées par l’accumulation des crimes et autres règlements de comptes entre bandes « suédoises » opérant sur leur sol, les autorités de Copenhague ont en effet décidé de rétablir temporairement mardi le contrôle de leur frontière avec la Suède et d’intensifier le travail de la police danoise le long de celle-ci.

    Prévu dans un premier temps pour une durée de six mois, et visant tout particulièrement le pont de l’Oresund, entre Copenhague et la ville suédoise en perdition de Malmö, ainsi que plusieurs ports danois, ce renforcement des contrôles, a expliqué Lene Frank, de la police danoise, se concentrera « en particulier sur la criminalité transfrontalière impliquant des explosifs, des armes et des drogues ». Il faut dire que, depuis février, les autorités danoises ont enregistré une véritable explosion de violences dans et à proximité de leur capitale (dont pas moins de treize attentats !) qui sont principalement le fait de bandes en provenance de Suède. Ainsi, le 25 juin, une confrontation entre gangs suédois rivaux donnait lieu au meurtre de deux citoyens suédois dans la banlieue de Copenhague. Le 6 août, suite à une explosion visant l’administration fiscale danoise, la police interpellait encore deux criminels suédois qui avaient franchi la frontière pour commettre leur crime. Une situation totalement inadmissible pour le ministre de la Justice, Nick Haekkerup, qui devait avertir le mois dernier : « nous n’accepterons pas cela » !

    D’autant que, côté suédois, la situation est très loin de s’arranger. Samedi encore, un mineur de 15 ans était tué par balle et un autre grièvement blessé à Malmö, lors d’une fusillade survenue après une explosion à la bombe ayant détruit plusieurs véhicules dans un autre quartier de la ville. Dernier règlement de comptes en date d’une troisième ville de Suède dont des quartiers entiers sont tombés sous la coupe des gangs et de l’immigration, comme l’a lui-même reconnu le ministre suédois de la Justice, en déclarant récemment que les immigrés étaient « surreprésentés dans les statistiques de la criminalité ». Une situation tellement catastrophique que le Premier ministre suédois, Stefan Lofven, a avoué de son côté : « nous vivons une situation grave »…

    La fermeté danoise porte ses fruits

    Un fatalisme auquel refuse pour sa part de céder le gouvernement danois. C’est ainsi qu’en annonçant le renforcement des contrôles aux frontières de son pays, Nick Haekkerup a précisé que cette mesure visait à protéger le Danemark non seulement « contre les étrangers qui pourraient avoir l’intention de commettre de graves actes de criminalité organisée ou du terrorisme au Danemark », mais aussi tous ceux « qui ne remplissent pas les critères d’entrée ». C’est que, au pays d’Andersen et de la Petite Sirène, on n’entend pas se laisser envahir sans réagir. Et l’on n’hésite pas à rétablir régulièrement les contrôles aux frontières. Comme en janvier 2016, où le Danemark, au grand désespoir de Merkel, avait rétabli pour une période de dix jours des contrôles à sa frontière avec l’Allemagne afin de faire face au déferlement migratoire de centaines de milliers de clandestins. Surtout, dans ce pays où le gouvernement (quelle que soit sa tendance) ne reste pas sourd aux avertissements du Parti du peuple danois, on n’a pas peur d’adopter des lois restrictives en matière d’immigration. Comme cette règle dite « des 24 ans », votée en 2002, qui n’autorise les Danois à se marier avec des étrangers que si les deux fiancés ont plus de 24 ans et remplissent un ensemble de conditions drastiques. Ou la loi dite de « confiscation », en vertu de laquelle les demandeurs d’asile peuvent se faire saisir leur argent liquide et leurs objets de valeur pour financer le coût de leur séjour pendant l’examen de leurs demandes. Ou, plus récemment encore, l’autorisation donnée en 2018 par le Parlement danois de transformer la petite île de Lindholm en un centre de rétention à ciel ouvert pour les étrangers non expulsables condamnés à une peine de prison. Le résultat ? En 2019, les demandes d’asile au Danemark ont atteint leur plus bas niveau depuis 2008…

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 13 novembre 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Jérôme Rivière : « Ce refus d’une minute de silence pour les victimes du Bataclan par le président du Parlement Européen : insultant, méprisant, une façon d’effacer l’Histoire ! »

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    Jérôme Rivière, député RN au Parlement européen, a pris l’initiative de demander une minute de silence en hommage aux victimes de l’attente du Bataclan. Initiative refusée par le président de l’Assemblée, David Sassoli !

    Réaction de l’intéressé au micro de Boulevard Voltaire. L’occasion de dresser avec lui un bilan de ses premiers mois de mandat.