insécurité - Page 471
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Allemagne : Des femmes dénoncent la violence des immigrés
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Le jour de la fête nationale, ils agressent sauvagement les forces de l’ordre
Accordons-nous quelques lignes de fiction pour commencer notre édito.
Ce 14 juillet, installé chez vous avec vos enfants, vous êtes très heureux de partager ce moment en famille. Vous vous plongez dans ce moment de solennité avec fierté tout en essayant d’expliquer aux plus jeunes la symbolique de ce temps d’union nationale. Sous vos yeux, le drapeau tricolore, ce pavillon qui représente les couleurs de la France dans le monde entier depuis 1830.
Sous vos yeux défilent également nos forces armées, nos forces de sécurité, nos forces de secours, et comme chaque année, vous avez la petite larme à l’œil en entendant chanter « La Marseillaise ». Fiers d’avoir transmis à vos enfants ce moment de patriotisme, vous êtes loin de vous douter qu’en fin de journée, le mythe tissé dans la matinée allait s’effondrer.
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Le drame du Kosovo, exemple à méditer
Nous avons sous nos yeux, en Europe même, l’exemple d’un pays où les musulmans ont pris le pouvoir avec la bénédiction et l’aide de l’OTAN, de l’Union européenne, et de la France. De plus, ces musulmans ne sont pas des immigrés, ce sont des autochtones.
Ce pays est le Kosovo, et les musulmans sont des Albanais, islamisés et soumis aux Ottomans depuis des siècles.
J’ai assumé la direction de la MIP (Mutuelle de l’Industrie du Pétrole) de 1982 à 1994. Notre siège social était installé dans un complexe d’immeubles de bureaux construit entre 1975 et 1980 près de la station RER de Val de Fontenay, à Fontenay–sous-Bois (94).
L’installation électrique ne justifiait pas la présence d’un technicien d’entretien à plein temps. Nous faisions appel à un technicien de la DIAC (filiale crédit de Renault), qui ne venait dans nos locaux que quelques heures pendant le week-end.
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Thomas, Philippe, Mélanie et l’immigration : Brigitte Bardot met les pieds dans le plat !
Brigitte Bardot, questionnée par André Bercoff – j’étais présent dans le studio – s’est déchaînée, au téléphone, sur l’insécurité de la France, les « lâches » qui nous gouvernent et les affaires graves qui, depuis quelques jours, assombrissent et indignent la France (Sud Radio).
Pour ne parler que de Thomas, poignardé par un homme sorti de prison par anticipation à la suite du Covid-19. De la gendarme de 26 ans tuée par un chauffard, sous l’empire de la drogue et de l’alcool, au casier judiciaire bien pourvu dans le domaine de cette délinquance automobile. Du chauffeur d’autobus à Bayonne dans un coma profond parce qu’il avait accompli son travail à l’égard d’une personne sans masque et avec un chien. Agressé violemment par un groupe dont quatre ont été interpellés.
J’entends bien que réunir ainsi trois tragédies, au fil de l’actualité, pourrait donner l’impression d’une focalisation abusive au regard de l’état quotidien de la France.
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Pédocriminalité sur le Darknet : un Français, « l’une des dix cibles prioritaires mondiales », arrêté en Gironde
Un quadragénaire domicilié en Gironde est soupçonné d’avoir géré des sites sur le darknet et permis à « des milliers d’internautes dans le monde d’avoir accès à des photographies ou vidéos à caractère pédopornographique » a annoncé ce lundi 13 juillet le parquet de Bordeaux. L’homme se trouve en détention provisoire.
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Michel Geoffroy : “Nous sommes en pleine 4ème guerre mondiale !”
La sortie de “La superclasse mondiale contre les peuples” avait fait l’effet d’une bombe. Le nouvel ouvrage de Michel Geoffroy intitulé “La nouvelle guerre des mondes” risque aussi de ne pas passer inaperçu.
Pour le haut fonctionnaire et énarque, contributeur régulier à la Fondation Polémia, nous sommes en guerre et ce conflit succède à la guerre froide. Cette quatrième guerre oppose les Etats-Unis aux civilisations émergentes de l’Eurasie qui rejettent un Occident aux valeurs décadentes.
Au centre de la bataille, une Europe subissant sa plus grande régression de l’Histoire. Tout est-il perdu ? Michel Geoffroy propose une révolution politique, culturelle et spirituelle qui ne manquera pas de susciter le débat. En attendant, un entretien indispensable pour comprendre les vrais enjeux du monde.
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C’est un fait : la criminalité en France est presqu'exclusivement étrangère
Source : https://www.nice-provence.info/
Nicole Belloubet a annoncé que près de 8 000 détenus seront libérés avant la fin de leur peine pour désengorger les prisons exposées à l’épidémie de Covid-19. Notons au passage qu’on se préoccupe davantage des délinquants que des vieux dans les Ehpad :
Aussitôt des voix ont prétendu que 130 islamistes avaient été remis dans la nature. Xavier Raufer, docteur en géopolitique et criminologue, qui suit de près ces questions et ne s’est jamais montré complaisant à l’égard de nos gouvernants, a démenti cette affirmation. Selon lui, en dépit de recherches approfondies, aucune trace sérieuse de la libération d’islamistes n’a pu être trouvée. Soyons-en soulagés.
« Welcome refugees » ou « Welcome prisoners » ?
Pour autant, il n’y a pas lieu de se réjouir outre mesure car Xavier Raufer révèle aussi la récente transmission de deux rapports annuels sensibles : le Rapport sur la criminalité organisée en France par le SIRASCO (Service d’Information, de Renseignement et d’Analyse Stratégique sur la Criminalité Organisée) pour la police nationale
Le service de lutte anti-mafia Service de lutte anti-mafia Pour mieux lutter contre les mafias, la direction centrale de la police judiciaire a mis en place un service, commun à la police et à la gendarmerie. Objectifs du SIRASCO : recueillir, centraliser et analyser les informations sur la criminalité organisée en France.
et le rapport sur la criminalité organisée de la gendarmerie nationale (SRC, Service central de Renseignement Criminel).
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«Au Pakistan, les jeunes filles chrétiennes vivent à la merci des extrémistes»
En 2013, la commission «Justice et Paix» du Pakistan publiait un rapport dénonçant l’enlèvement de force de jeunes filles chrétiennes pakistanaises, converties pour être mariées. Une situation qui ne s’est pas améliorée depuis, dans le pays où la charia prévaut sur le droit normatif, s’inquiète Sylvain Dorient.
La suite sur Le Figaro Vox
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Les règles minimums du vivre ensemble sont comprises comme une soumission insupportable
propos recueillis par Alexandre Devecchio
Pédopsychiatre et psychanalyste, Maurice Berger a travaillé sur la violence gratuite (1). Selon lui, les meurtres de Philippe Monguillot et de Mélanie Lemée témoignent d’une profonde crise de l’autorité.
Le Figaro - Philippe Monguillot est mort, tabassé pour avoir demandé à ses passagers de valider un ticket de bus. Ce meurtre fait suite à celui de la gendarme Mélanie Lemée lors d’un contrôle routier. Certains observateurs y voient de simples faits divers, d’autres le symptôme de l’ensauvagement de la société. Qu’en est-il, selon vous ?
Maurice Berger. - Les circonstances de ces deux morts ont un point commun, le refus de se soumettre à la loi, fût-ce en tuant : refus de mettre un masque et de présenter un titre de transport avec le conducteur de bus, refus de se sou- mettre à un contrôle routier avec la gendarme. Ce comportement est trop fréquent pour être considéré comme un fait divers, c’est un mode de relation : pour la quasi-totalité des mineurs délinquants dont je m’occupe en tant que pédopsychiatre, les règles minimums du vivre ensemble, et encore plus les lois, ne sont pas comprises comme une nécessité à respecter pour une vie en commun, mais comme une soumission insupportable.
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Notre ennemi Erdogan
La décision autoritaire d'Erdogan, d'abolir le décret de 1934, par lequel les kémalistes avaient transformé en musée mondialiste, l'ancienne basilique de Sainte-Sophie, profanée depuis le XVe siècle, n'a guère ému, concrètement, nos sociétés de consommation. Juste ce qu’il faut pour se prévaloir d'une bonne conscience factice. Elle ne change pas les projets de vacances du tourisme de masse.
Elle aura interrogé, en revanche, dès le 10 juillet, avant même la réouverture de la prière musulmane prévue pour le 24, les chancelleries et les rédactions des pays civilisés.
Dès le mois de juin, en effet, le patriarche œcuménique Bartholomée, probablement la personne la plus compétente pour parler du sujet, avait averti quant aux réactions à long terme : la transformation de Sainte-Sophie en mosquée pourrait "monter des millions de chrétiens dans le monde contre l’islam[1]".