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insécurité - Page 754

  • Zoom - Exclusif : Dans l’enfer des chrétiens au Pakistan "Mieux vaut être un martyr qu'un réfugié"

  • Valls : « La France insoumise se compromet avec les islamistes » : 17 députés au compteur

    « Ce n’est pas la première fois qu’il y a de la complaisance à gauche à propos du terrorisme. » – Manuel Valls

    Valls surprend. Ou découvre l’eau chaude. C’est un bon comédien ou un naïf patenté, ce qui, en politique, est dangereux.

    Celui qui, Premier ministre, nous annonçait que nous devrions « nous habituer à vivre avec le terrorisme », sans nommer son origine pour ne pas se mettre une bonne partie de ses électeurs musulmans à dos, a déclaré mardi 4 juillet sur RMC : « Les candidats de La France insoumise se compromettent avec les islamistes, ils sont dangereux pour la démocratie. »

    Il faut dire que ce pauvre Manu, devenu persona non grata d’un PS en soins palliatifs et accueilli froidement du côté de LREM, est dans le viseur d’une Farida Amrani qui lui conteste sa victoire à l’élection législative, allant jusqu’à revendiquer la sienne à quelques mètres de lui, à la mairie d’Évry, le soir du second tour. Pas de bol, le Manu est tombé sur une coriace. Née au Maroc et arrivée en France à l’âge de deux ans, cette quadragénaire est le produit phare d’une immigration opportuniste : formatée à l’école de la République, pur produit du service public (fonctionnaire territoriale), elle coche toutes les cases d’une militante gauchiste et bruyamment revendicarde. Elle crée une section syndicale aux couleurs de la CGT dans l’agglomération Cœur de l’Essonne, puis se tourne vers la lutte politique en harponnant violemment l’édile d’Évry, lors d’une réunion publique sur les rythmes scolaires, qui, devant tant d’audace survoltée, lui suggère alors de monter une liste aux élections municipales ; ce qu’elle s’empresse de faire. Évidemment.

    Battue à 139 voix près aux élections législatives, alors que les médias prédisaient déjà la victoire de ce spécimen issu de notre diversité, elle continue le show en contestant les résultats de l’élection et dépose un recours auprès du Conseil constitutionnel pour invalidation, soupçonnant des fraudes et de la tricherie durant le scrutin. Le spectacle de ses militants FI, vociférant lors de la prise de parole de Valls dans l’enceinte de la mairie d’Évry le soir du second tour aux cris de « youyous » endiablés, donne une idée précise du niveau de civilité d’une partie de ses électeurs et militants.

    Le pauvre Valls peinant à se faire entendre comme vainqueur, devant une nuée de micros tendus, a découvert ce soir-là l’ambiance d’un hall d’immeuble au cœur de la cité d’Évry et le vivre ensemble pour de vrai, si cher à son cœur d’homme de gauche. Et cela lui a fait l’effet d’un électrochoc, puisque ce nouveau député LREM, du moins jusqu’à preuve du contraire, a osé dénoncer devant Jean-Jacques Bourdin, ce mardi, les liens entre La France insoumise et les islamistes sans y mettre de conditionnel ou l’adoucir d’éventualités.

    Il enfonce le clou sur son ancien parti, affirmant dans une interview :

    « La gauche est en difficulté sur les questions d’identité. Hollande n’aimait pas les évoquer […] Ce n’est pas la première fois qu’il y a de la complaisance à gauche à propos du terrorisme.

    « Il y a une complaisance, parce qu’il y a une gêne et une culpabilité. Les musulmans sont le prolétariat du XXIesiècle, et en plus il y a une question religieuse. »

    La gauche a donc abandonné l’ouvrier de Zola au profit d’un vote clientéliste arabo-musulman. Et c’est un ancien Premier ministre qui le dit, osant évoquer jusqu’à la question religieuse, qui soude l’identité arabe à l’appartenance musulmane, comme le temporel au spirituel.

    On se doute bien que Valls n’a pas été atteint par la grâce et qu’il faut observer cette prise subite de conscience à travers le prisme d’un opportunisme politique plus que celui de la volonté intuitive de sauver l’identité française. Depuis la guerre d’Algérie, on savait la gauche complaisante avec le terrorisme. Il faut désormais retenir, de la bouche même d’un ancien Premier ministre, que la gauche de Charlie se fourvoie avec l’islam radical par lâcheté.

    Parce qu’elle vomit, par tous les pores de son idéologie, le concept d’une identité française potentiellement fière de l’être, la gauche de Taubira, Najat, Peillon, Cazeneuve et consorts préfère se compromettre avec l’islam et nous démettre.

    La France insoumise serait donc d’abord insoumise à la République française.

    Manuel Valls est un pompier pyromane, mais il a mouillé la chemise en lançant ce pavé dans la mare. Ce qui serait criminel pour l’avenir de la France serait de laisser ses affirmations retomber dans une douillette indifférence coupable.

    http://www.bvoltaire.fr/valls-france-insoumise-se-compromet-islamistes-17-deputes-compteur/

  • Suède : 92 % des viols graves sont le fait d’extra-Européens

    (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie
    En Suède, 92 % de tous les viols « graves », c’est à dire faits avec violence, sont commis par des clandestins et des réfugiés.

    La liste des 10 premiers pays de provenance des responsables des viols a été publiée. Elle ne comporte qu’un seul pays non islamique : le Chili.

    La plupart des violeurs sont issus d’Irak, d’Afghanistan, de Somalie, d’Erythrée, de Syrie, de Gambie, d’Iran, de Palestine, du Chili et du Kosovo. En tenant compte du nombre de personnes des différentes nationalités en Suède, les Afghans sont 79 fois plus susceptibles de commettre un crime sexuel que les personnes nées en tant que citoyens suédois. 

  • Ukraine : la révolution de Maïdan, un coup d’Etat de l’Otan préparé aux Etats-Unis ?

    Cerise-Ukraine-Maïdan-248x350.jpgLes évènements qui se sont déroulés à Kiev, capitale de l’Ukraine, pendant l’hiver 2013-2014 ont eu une portée mondiale. La révolution de Maïdan, présentée tout d’abord comme une insurrection spontanée, s’est avérée finalement n’être qu’une nouvelle opération coloniale de Washington et de l’Otan.Tel est la thèse que Lucien Cerise défend dans Retour sur Maïdan, la guerre hybride de l’Otan, publié au éditions Le Retour aux sources.

    « Il faut faire comprendre, explique l’auteur, qu’avec l’exemple de Maïdan, l’Otan a expérimenté une forme de “guerre hybride“ qui pourrait être appliquée à d’autres pays et notamment à la France si, par exemple, le peuple français votait “mal“ […]. Ré-informer les Français sur l’Ukraine c’est prévenir le même type d’événements en France. »

    Invité de TV Libertés, Lucien Cerise expose comment « les méthodes putschistes anglo-saxonnes se sont affinées, et surtout radicalisées dans leurs objectifs, de la “révolution colorée“, soit le coup d’État ponctuel, à la “guerre hybride“ conçue pour durer et se répandre partout ».

  • CLASH : Alain Bauer atomise un militant antipolice !

    Cette vidéo tourne en boucle sur les réseaux sociaux depuis quelques semaines.

    Elle provient d'un débat lors d'une émission de Natacha Polony sur Paris Première, Polonium.  Débat au cours duquel Alain Bauer atomise, a-t-on écrit, un militant dit libertaire : en réalité, un de ces militants immigrationnistes qui sévissent, sous des dehors généreux, dans la nébuleuse de la gauche radicale. Ce n'est pas que, pour diverses raisons, nous ressentons une sympathie particulière pour la police. La leçon que reçoit ici ce jeune-homme vaut néanmoins la peine d'être vue et écoutée. 

    Rappelons qu'Alain Bauer est professeur de criminologie appliquée au Conservatoire national des arts et métiers et consultant en sécurité. Auteur d'une trentaine d'ouvrages sur la franc-maçonnerie et d'une quarantaine sur la criminalité, il est souvent consulté par les plus hautes autorités politiques. 

    Ajoutons qu'il a été grand maître du Grand Orient de France de 2000 à 2003.

    Le diable porte pierre.  LFAR   •

     http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • L’escroquerie de la déradicalisation des islamistes, nouvel épisode

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    8892-20170630.jpgEmplois fictifs, argent public détourné sur des comptes privés et même financement indirect de l’islamo-terrorisme : depuis leur mise en place au lendemain des attentats de 2015, les associations de « lutte contre la déradicalisation » et leurs responsables, grassement subventionnés par l’Etat, n’en finissent plus de hanter les tribunaux. Ainsi, après Dounia Bouzar, épinglée parce qu’elle travaillait avec l’ex-mentor des Kouachi, et Sonia Imloul, condamnée pour détournement de fonds publics, ce sont trois parents de djhadistes partis pour la Syrie qui ont été mis en examen pour « association de malfaiteurs terroristes, financement du terrorisme et abus de confiance en relation avec une entreprise terroriste ».

    Pas moins de 90 000 euros détournés

    Responsables de « Syrie Prévention Familles », organisme censé prévenir la « radicalisation » des « jeunes », [ces trois parents] sont en effet soupçonnés d’avoir envoyé les quelque 90 000 euros de subventions perçus par leur association à leurs enfants partis mener le djihad en Syrie. Placés en garde à vue en début de semaine dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte fin 2016 faisant suite à un signalement de Tracfin, alerté par ces transferts de fonds via la Turquie ou le Liban, Anne et Raymond Duong auraient notamment effectué des virements pour un total de 13 000 euros, tandis que Valérie de Boisrolin aurait, quant à elle, fait passer 1 200 euros à sa fille et plus de 4 000 euros à la mère d’un djihadiste souhaitant revenir en France.

    « Un fiasco complet »

    Un nouveau scandale qui inquiète certains parents d’enfants partis pour la Syrie, qui s’interrogent aujourd’hui sérieusement sur la manière dont ces associations sont gérées. Avec raison. Car, comme le soulignait déjà, en février dernier, le rapport d’étape de la mission d’information sénatoriale intitulée « Désendoctrinement, désembrigadement et réinsertion des djihadistes en France et en Europe », les politiques mises en place depuis trois ans en la matière s’avèrent être « un fiasco complet », marqué notamment par le « manque d’évaluation des dispositifs », « l’amateurisme » et un « vaste gâchis financier ».

    Mieux : selon un membre du Renseignement, cité récemment par Le Figaro,« dans la panique des attentats de 2015 et 2016, l’Etat et certains exécutifs locaux ont débloqué d’importants crédits pour cette mission mal définie et mal contrôlée. Des associations se sont précipitées pour récupérer cette manne. Et l’argent a servi bien souvent à autre chose, si ce n’est exactement au contraire, de ce pour quoi il avait été distribué ».

    Franck Deletraz

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 27 juin 2017
    sous le titre « L’escroquerie de la “déradicalisation“ »

    https://fr.novopress.info/page/2/

  • Etats-Unis : un partisan de Bernie Sanders tire sur des élus Républicains

    6a00d83451619c69e201b7c902dc31970b-250wi.jpgJames Hodgkinson, 66 ans, partisan de l’ancien candidat démocrate à la présidentielle Bernie Sanders, militant de gauche et farouche opposant à l’actuel président américain Donald Trump, a mené plusieurs semaines d’observations avant de passer à l’acte. Ainsi, il s’est rendu très régulièrement, au cours des deux derniers mois, dans une salle de sport située à proximité directe du terrain de sport visé par la fusillade de mercredi. Equipé à chaque fois d’un ordinateur portable et d’un sac de sport, il ne faisait pourtant jamais de sport. De là, il pouvait observer les membres de l’équipe républicaine de baseball, composée d’élus du Congrès qui s’entraînaient quasi-quotidiennement depuis deux mois pour une rencontre prévue ce jeudi.

    La fusillade a donc eu lieu sur le terrain de sport fréquenté par des élus du Congrès américain. Il y a cinq blessés. Steve Scalise, 51 ans, un chef de file du parti républicain à la Chambre des représentants, fait partie des victimes. Il a été touché à la hanche et emmené à l'hôpital MedStar de Washington. 

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/06/etats-unis-un-partisan-de-bernie-sanders-tire-sur-des-%C3%A9lus-r%C3%A9publicains.html

  • Les terroristes de Marseille visaient bien Marine Le Pen

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    Au plus fort de la campagne présidentielle, la police a annoncé l’arrestation à Marseille de terroristes alors qu’ils étaient sur le point de commettre un attentat. Les journaux ont complaisamment affirmé que M. Fillon était visé (soi-disant que son programme de fermeté faisait peur aux islamistes !). Cette annonce, que le camp républicain a essayé de mettre en avant pour booster leur candidat (c’était de bonne guerre !) n’a pas suffi à renverser une tendance qui était mal partie. Il n’y a pas eu de réflexe de solidarité autour de l’élu LR.

    Or, dès le départ, on évoquait une autre cible potentielle : Mme Le Pen. Selon Libération du 16 juin, c’était bien cette dernière qui était visée. En étudiant les allées et venues des terroristes, les policiers ont dû rapidement déterminer l’objectif des poseurs de bombes. Pourquoi cette information n’arrive-t-elle que maintenant dans la presse alors que tous les jeux électoraux sont faits ? A-t-on caché cette nouvelle au départ car on redoutait, chez les bien-pensants, que Mme Le Pen en profite ? Sans doute ! On a eu peur qu’elle ne grignote 1 ou 2 pourcents. 

    Tout est bon pour contrer la finaliste du second tour. Si elle affirme qu’il fait beau, on prétendra aussitôt le contraire. Pour faire taire un contradicteur, on lui assène que ses arguments sont les mêmes que ceux du Front national. Ce réflexe conditionné et stupide des médias bien-pensants a conduit le FN aussi haut. Si Marine Le Pen ne s’était pas accrochée à l’euro, si elle n’avait pas montré d’indéniables lacunes lors du débat d’entre-deux-tours, ce serait peut-être elle, actuellement, à l’Élysée, qui sait… La politique française est si bouleversée…

    Que se serait-il passé, sur le plan électoral, si les terroristes n’avaient pas été arrêtés à temps ? Rien n’est plus difficile que de mesurer l’impact d’un attentat. Les bombes déposées par les islamistes irakiens en Espagne pendant les législatives ont permis, en 2004, au PSOE de gagner les élections, mais, sans doute, la maladresse du Premier ministre conservateur qui s’est obstiné au-delà du raisonnable à attribuer l’action aux séparatistes basques et le fait que les socialistes prônaient le retrait de Mésopotamie ont détourné nos voisins du gouvernement sortant.

    De même, l’assassinat d’une députée britannique pro-européenne n’a pas empêché le Brexit de triompher dans les urnes, malgré ce que certains médias (indécents !) espéraient. Et l’attaque au couteau sur les Champs-Élysées n’a pas modifié le score des candidats.

    Néanmoins, si des islamistes avaient blessé (ou tué) un responsable politique ou si des citoyens étaient morts en faisant leur devoir civique, il est probable que les partis les plus à droite de l’échiquier en auraient bénéficié et la présidentielle aurait été bouleversée car la symbolique aurait été bien plus forte.

    Mais ne refaisons pas l’Histoire. Dieu merci, la police a réussi à neutraliser à temps ces terroristes !

    http://www.bvoltaire.fr/terroristes-de-marseille-visaient-bien-marine-pen/

  • Qui a donné aux USA le droit d’établir des bases militaires en Syrie?

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    Juste au moment où vous pensiez que notre politique en Syrie ne pouvait pas être pire, la semaine dernière, elle l’a été. L’armée américaine a attaqué à deux reprises les forces gouvernementales syriennes à partir d’une base militaire que les Etats-Unis occupent illégalement en Syrie. Selon le Pentagone, les attaques contre les forces soutenues par le gouvernement syrien étaient « défensives » parce que les combattants syriens se rapprochaient d’une zone auto-déclarée par les États – Unis « zone de de-conflit » en Syrie. Les forces syriennes poursuivaient Daech dans la région, mais les Etats-Unis les ont quand même attaquées.

    Les États-Unis sont encore en train d’entraîner un autre groupe rebelle qui combat à partir de cette base, située près de la frontière de l’Irak à al-Tanf, et ils prétendent que les forces gouvernementales syriennes constituent une menace pour la présence militaire américaine à cet endroit. Mais le Pentagone a oublié une chose: en premier lieu, il ne dispose d’aucune autorité pour être en Syrie ! Ni le Congrès américain, ni le Conseil de sécurité de l’ONU, n’a autorisé une présence militaire américaine en Syrie.

    Qui a donné à l’administration Trump le droit d’établir des bases militaires sur un territoire étranger sans l’autorisation de ce gouvernement ? Pourquoi sommes-nous en train de violer la souveraineté de la Syrie et attaquer son armée puisqu’ils se battent contre Daech ? Pourquoi Washington prétend-il que sa mission première en Syrie est de vaincre Daech alors qu’il mène des opérations militaires qui profitent à Daech?

    Le Pentagone a publié une déclaration disant que sa présence en Syrie est nécessaire parce que le gouvernement syrien n’est pas assez fort pour vaincre lui-même Daech. Mais les « zones de désescalade » convenues par les Syriens, les Russes, les Iraniens et les Turcs ont conduit à une réduction des combats et une fin possible à la guerre de six ans. Même si c’est vrai que l’armée syrienne est affaiblie, sa faiblesse est due à six ans de combats contre des « rebelles » parrainés par les États-Unis qui se battent pour renverser le gouvernement !

    De quoi s’agit-il vraiment ? Pourquoi les États-Unis occupent cette base militaire en Syrie? C’est en partie pour empêcher les Syriens et les Irakiens de travailler ensemble pour combattre l’Etat Islamique, mais je pense qu’il s’agit surtout de l’Iran. Si les Syriens et les Irakiens se rejoignent pour combattre Daech avec l’aide de l’Iran et les milices alliées chiites, les Etats-Unis croient que cela renforcera la main de l’Iran dans la région. Le Président Trump vient de rentrer de son voyage en Arabie Saoudite où il a juré qu’il ne permettrait pas que cela se produise.

    Mais cette politique est-elle vraiment dans notre intérêt, ou sommes-nous simplement en train d’exécuter l’appel d’offres de nos « alliés » du Moyen-Orient qui semblent impatients qu’on livre une guerre à l’Iran? L’Arabie Saoudite exporte sa forme radicale de l’islam dans le monde entier, y compris récemment dans les pays musulmans modérés asiatiques comme l’Indonésie. Ce que l’Iran ne fait pas. Cela ne veut pas dire que l’Iran est parfait,; mais quel sens y a-t-il à sauter dans le conflit entre sunnites et chiites quelque soit le côté où l’on se situe ? Les Syriens, ainsi que leurs alliés russes et iraniens, sont en train de vaincre Daech et al-Qaïda. Comme l’a dit le candidat Trump, quel mal y a-t-il à cela ?

    On nous a dit que si l’on permettait au gouvernement syrien de libérer Alep d’al-Qaïda, al-Assad tuerait les milliers de personnes qui y étaient piégées. Mais c’est le contraire qui s’est passé : la vie revient à la normale à Alep. La minorité chrétienne qui s’y trouve a célébré Pâques pour la première fois depuis plusieurs années. Ils sont en train de reconstruire Alep. Ne pouvons-nous pas simplement enfin laisser les Syriens en paix ?

    Quand vous en arrivez au point où vos actions aident en fait l’Etat Islamique, intentionnellement ou non, peut-être est-il temps d’arrêter. Il est plus que temps pour les Etats-Unis de renoncer à leur politique dangereuse et contre-productive en Syrie et de juste rapatrier nos troupes.

     Source

    http://www.voxnr.com/10427/qui-a-donne-aux-usa-le-droit-detablir-des-bases-militaires-en-syrie