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insécurité - Page 801

  • La première guerre du Golfe continue à tuer

    L’internationale du terrorisme  djihadiste entend faire savoir que les opérations militaires menées pour l’éliminer, ou à tout le moins limiter sa capacité de nuisance, n’entravent pas sa capacité à frapper.  Après les attentats sanglants  qui ont  endeuillé les villes irakiennes de  Bagdad, Moukdadiya  et  Bakouba  le 11 janvier,  les  touristes allemands  assassinés  à  Istanbul  le 12 janvier   et les kamikazes qui  ont semé la mort en  visant la chaîne  américaine  Starbucks à   Djakarta (14 janvier),  un nouvel établissement accueillant des occidentaux a été visé en Afrique. Vendredi  l’attaque duSplendid Hôtel et de deux restaurants à Ouagadougou (Bénin), revendiquée par  Aqmi, a causé la mort de 29 personnes, dont deux Français.

    En Syrie, les communautés chrétiennes restent particulièrement exposées  aux exactions commises par les miliciens de l’Etat islamique (EI). Il y a quelques jours un communiqué de  laCoordination Chrétiens d’Orient en Danger (CHREDO), évoquait  les attentats meurtriers de la fête de Noël qui ont coûté  la vie à 15 jeunes, la communauté chrétienne de la région d’Aljazira au nord-est de la Syrie », «les massacres contre les chrétiens assyriens de Kameshli ». Mais aussi «l’attaque contre un poste assyrien de contrôle et de protection de cette ville» menée cette fois par  des membres des «Unités de protection du peuple kurde, le Yekîneyên Parastina Gel (YPG). Il s’agit de la  branche armée d’un mouvement d’extrême gauche, le Parti de l’union démocratique kurde syrien (PYD). En lutte contre l’EI, les combattants de l’YPG ont été aussi accusés d’exactions par Human Rights Watch dans les territoires qu’ils contrôlent.

    Pour autant, la menace principale reste de loin  les milices islamistes. L’ Assyrian International News Services, se félicitait la semaine dernière de la libération d’un  nouveau groupe de 16 otages assyriens  relâché par l’EI. Ce groupe faisait partie des quelque 253 Assyriens enlevés par l’État Islamique lors de l’invasion des 35 villages chrétiens de la vallée de la rivière Khabour, en février de l’année dernière (…).  Il est vraisemblable que des rançons ont été payées pour obtenir la libération de ce dernier groupe de 16 otages qui compte 8 enfants.»

    Le projecteur médiatique est surtout braqué ces derniers jours sur le sort des  200 000 Syriens assiégée depuis des mois par l’EI dans la ville de Deir ez-Zor, place stratégique  d’une province  riche en  pétrole dans l’est du pays.  L’aviation russe a acheminé 22 tonnes de nourritures à la population affamée,   l’aéroport, ainsi que quelques quartiers urbains, étant encore contrôlés par les forces armées du gouvernement légal syrien.

    Selon différentes sources, des dizaines, voire des centaines de civils et de militaires, ont été exécutés ces derniers jours  par les miliciens de l’EI  à Al-Bgheliyeh, une banlieue de Deir ez Ezzor, dans la foulée de l’offensive menée par les Fous d’Allah qui ont pris le contrôle d’une grande partie de la ville.

    Il s’agit aussi  de ne pas oublier que les minorités religieuses chrétiennes et les musulmans chiites ne sont  pas les seules  victimes de la rage épuratrice de l’EI.  Les miliciens de l’EI  viennent d’enlever 400 civils sunnites dans cette même ville.  Ce qui laisse craindre le pire de la part d’une organisation terroriste connue pour ses massacres de masse,  si les rançons ne peuvent être acquittées par les familles pour  récupérer maris, épouses, frères,  sœurs et  enfants…

    Le Front National  n’est pas, n’est plus le seul à dénoncer  la folie meurtrière des djihadistes, de leurs mécènes des pétromonarchies, le  jeu ambigu auquel se sont livrés  les Etats-Unis et certains de leurs alliées atlantistes. Mais il s’agit aussi de rappeler que l’opposition nationale avait vu juste avant les autres en anticipant, alors sous un tombereau d’injures,  les conséquences de la catastrophique guerre d’agression menée contre le régime laïque irakien il y a vingt-cinq ans -suivi d’un embargo qui cause la mort d’un million de civils irakiens-  et de la chute de Saddam Hussein en 2003.

    Le chaos qui s’est abattue sur le Proche-Orient, et nous le voyons  dans l’actualité récente, un terrorisme sous drapeau islamiste  qui s’étend désormais aux autres nations musulmanes et dans les pays occidentaux multiculturels, prend principalement  sa source à cette période.

    Dans le journal communiste italien, Il manifesto,  Manlio Dinucci, dont on est libre de ne pas partager toutes les analyses,  s’arrêtait sur ces années  1991-2016. Il   notait cette fin de semaine que la première guerre du Golfe  marque  la date de naissance de «la stratégie qui conduit les guerres successives sous commandement étasunien, présentées comme des opérations humanitaires de maintien de la paix.  Yougoslavie 1999, Afghanistan 2001, Irak 2003, Libye2011, Syrie depuis 2013, accompagnées dans le même cadre stratégique par les guerres d’Israëlcontre le Liban et Gaza, de la Turquie contre les Kurdes du PKK, de l’Arabie saoudite contre leYémen, de la formation de l’EI  et autres groupes terroristes fonctionnels de la stratégie USA/OTAN, de l’utilisation de forces néo-nazies pour le coup d’état en Ukraine servant à la nouvelle guerre froide contre la Russie.»

    Et M. Dinucci de  relever le caractère «prophétique», mais «au sens tragique» (du terme),  de la phrase prononcée par  le  président Bush en août 1991 : «La crise du Golfe passera à l’histoire comme le creuset du nouvel ordre mondial.»

    Une actualité  brûlante  qui sera certainement  évoquée par Bruno Gollnisch jeudi prochain,  lors de la conférence  qu’il tiendra à Reims (tout un symbole),    à l’invitation d’E&R-Champagne Ardennesur le thème «Occident, Orient- Craintes et  espoirs.»

    http://gollnisch.com/2016/01/18/la-premiere-guerre-du-golfe-continue-a-tuer/

  • Police politique : acte de naissance

    Source : Boulevard Voltaire

    Il y a des élus suffisamment tordus pour avoir pensé qu’une mesure de pure police politique pouvait passer dans notre « patrie des droits de l’homme ».

    « Les députés dont les noms suivent, ainsi que les membres du groupe socialiste, républicain et citoyen, sont heureux de vous faire part de la naissance officielle de la police politique en France. »
    Jusqu’à présent, je pensais que les dispositifs sécuritaires pris, en urgence, par le gouvernement ne visaient que les gens douteux, ceux qui savent qu’ils ont quelque chose à se reprocher, terroristes ou pas, ceux qui tripotent un peu trop la loi à leur profit, bref, les « méchants », comme on dit dans les westerns. Je nous voyais, nous les gens normaux et limpides, hors-jeu de cet état d’urgence.
    Eh bien, j’avais tort. Je suis dans le collimateur ! En plein dedans !

    Dans le cadre du fumeux projet de loi pour une « République numérique », les socialistes viennent de glisser l’amendement n° CL387. Il y est question des « hoax » – vous savez, ces messages que vous recevez par dizaines et qui présentent une information qu’en toute bonne foi on peut croire vraie alors qu’elle ne l’est pas. Selon les socialistes, « ces canulars informatiques revêtent un caractère de particulière gravité lorsqu’ils visent à diffuser, à grande échelle, une information erronée sur le contenu d’une politique publique ».
    Sanction pour le petit rigolo qui aura fait partager la nouvelle à son carnet d’adresses : 135.000 euros d’amende.
    Et voilà ! Le tour est joué. On est tous fliqués. Dès lors, toute critique d’une politique gouvernementale, diffusée par Internet à ses copains, est punissable. Et, dans le doute, on préférera s’abstenir de faire suivre une information plutôt que de risquer la colossale amende. C’est cela, la police politique.

    Questions ? Qu’est-ce qu’une « information erronée » ? Doit-elle être complètement erronée ? Un peu, beaucoup, sur les bords ? Qu’est-ce que le « contenu d’une politique publique » ? Le gouvernement s’occupe-t-il d’autre chose que de mettre en œuvre une politique publique ?
    Donc, il est désormais interdit de « parler politique » sur Internet. Qu’est-ce qu’une diffusion « à grande échelle » ? À partir de combien de destinataires sort-on la grande échelle ? Dix ? Vingt-huit ? Cent trente ? Qui va juger de tous ces critères ? Le gouvernement ? Exemple concret : « Je promets d’inverser la courbe du chômage. » Est-ce une information erronée sur le contenu d’une politique publique, diffusée à grande échelle, et donc passible d’amende lourde ?
    Alors, avant de faire suivre une info, branchez-vous sur « Hoaxbuster », « Hoaxkiller » ou « Hoax-ce-que-vous-voulez », tournez sept fois votre doigt sur la touche « Envoyer » avant d’appuyer. Ce geste, jusqu’alors anodin, peut vous coûter extrêmement cher.

    Sur le site de l’Assemblée nationale, face à cet amendement discuté il y a deux jours, figure la mention « Retiré ». Peut-être ? Impossible de savoir.
    Il n’empêche qu’il y a des élus suffisamment tordus pour avoir pensé qu’une mesure de pure police politique pouvait passer dans notre beau pays « patrie des droits de l’homme ».
    Cela fait froid dans le dos.

    Yannik Chauvin

    http://fr.novopress.info/

  • Xavier Raufer : « Ces gens-là nous ont désarmé moralement »

    Xavier Raufer, docteur en géographie est enseignant et conseiller de plusieurs hommes politiques. Il est unanimement reconnu comme l’un des meilleurs experts du terrorisme international.

    Monde et Vie : Le Président de la République nous a décrétés en guerre avec l'État islamique. Mais que sait-on de l'État islamique ?

    Xavier Raufer : Il y a un principe qui n'est pas nouveau, qui est connu depuis l'origine de la civilisation européenne, depuis la Grèce antique, c'est : Connais ton ennemi. C'est un principe fondamental que ce soit dans la pensée stratégique chinoise (Sun Tse) ou dans la plus ancienne pensée grecque de la guerre. J'observe que depuis l'émergence en 2013 de l'État islamique, on nous bassine sur ce que cette entité fait mais on ne nous dit pas ce qu'elle est. Alors que c'est le point fondamental pour avancer vers la compréhension des deux grands problèmes actuels: le terrorisme au Moyen-Orient et la question des migrants. Beaucoup fuient ou disent fuir l'État islamique. Bien sûr il y a beaucoup de réfugiés économiques qui veulent selon les mots de la bienséance « avoir une vie meilleure » mais ils disent fuir les coupeurs de têtes et c'est l'État islamique qui coupe les têtes. Il y a à la fois un problème sécuritaire et un problème d'invasion.

    Il faut mesurer la singularité de l'Etat islamique, rien à voir avec d'autres entités de guérilla, d'autres groupes armés. En deux minutes je peux vous expliquer ce qu'est le Hezbollah. Je ne le peux pas avec l'État islamique. Et je ne suis pas le seul. Le Président de la République comme Barack Obama ne le savent pas. Or, le meilleur moyen de perdre une guerre est de ne pas connaître son ennemi.

    Je vous donne un exemple : il existe une étude sur les 50 plus hauts membres de l'État islamique. Il n'y pas d'islamistes parmi eux. Il y a des clowns, des leurres comme al-Baghdadi.

    Les autres sont des anciens officiers de l'armée de Saddam Hussein. Quand on étudie le résultat des écoutes sur la transmission des ordres, sur les lignes de commandements, Al-Baghdadi ne joue aucun rôle. La totalité du commandement est dans les mains des anciens officiers de Saddam. Ils ont eu une vie avant l'État islamique. Ils n'étaient pas spécialement religieux (cela aurait été mal vu), ils buvaient de l'alcool, leurs femmes n'étaient pas voilées. On nous dit : ce sont les méchants, mais leur réalité est beaucoup plus trouble que cela.

    Pourquoi ont-ils attaqué la France et pas un autre pays membre de la coalition ?

    Les gens qui sont dans l'illicite comme les criminels ou les terroristes agissent selon un principe immuable qui est l'effet de déplacement. Quand c'est trop dur à un endroit on va ailleurs. Dans cette optique la France a dû leur apparaître comme un ventre mou que l'on pouvait frapper.

    Maintenant que l'enquête commence à avancer, pouvons-nous retracer la somme d'erreurs d'analyse qui ont facilité l'action des terroristes ?

    Le 18 novembre devant les maires de France, le Président de la République a fait ce qu'il fallait faire : il a nommé l'ennemi. Quand le médecin pose un diagnostic, il nomme la maladie ; quand on découvre une comète, on lui donne un nom. Le fait de nommer fait exister. C'est le premier cours de science politique, la première heure de la première année : est souverain celui qui désigne l'ennemi. Le problème c'est que c'était le 7 janvier qu'il fallait le dire et pas le 15 novembre. Mais il y a eu un tel déferlement de « pas d'amalgame », une telle débauche de « vivre ensemble ». La bienséance a mis en place un dispositif d'aveuglement collectif. Ils nous ont désarmés moralement.

    Le Premier ministre nous dit qu'il va falloir s'habituer à la menace islamiste. Quels chantiers de réflexion sont encore devant nous ?

    Je ne veux pas entendre parler du fait que cela va durer, qu'il faut s'habituer. Rappelez-vous des groupes d'Abou Nidal, cette branche dissidente du mouvement palestinien, disparue après la guerre froide intitulée « Fatah conseil révolutionnaire ». Ils avaient commis des attentats contre nous, préparés depuis un camp retranché, dans le désert de Libye. Le Service action est descendu dans leur désert, 50 des leurs ont été exterminés et ils ne sont pas revenus chez nous. Il faut savoir porter la guerre sur le terrain de l'ennemi.

    Actuellement les bombardements sont de la communication, ils n'ont pas d'intérêt. Prenez un exemple. Il y a un mois, l'État islamique a eu un problème de trésorerie le poussant à réduire la solde de ses mercenaires de 300 à 100 dollars. Parmi eux il y a eu immédiatement 200 à 300 désertions vers Jabat-al Nosra qui reçoit encore l'argent de l'Arabie Saoudite. Ils sont comme les grandes compagnies de mercenaires du Moyen Âge et de la Renaissance. J'aimerai bien savoir qui nous bombardons car d'une semaine à l'autre les mêmes hommes, avec les mêmes barbes et les mêmes kalachnikovs sont chez les "méchants" et ensuite, selon les critères de M. Fabius, chez les "gentils".

    Il faut anticiper les menaces au lieu de courir derrière. C'est bien de trouver des appartements conspiratifs ou des fourgonnettes pleine de kalachnikovs mais c'est mieux de le faire avant qu'il y ait 130 morts. Dotons-nous des instruments pour arriver à ce résultat. On rougit d'avoir à formuler ce type d'évidence mais ceux qui nous gouvernent sont tellement K.O. qu'il faut bien les leur rappeler.

    Propos recueillis par André Ringwald monde&vie  23 novembre 2015

  • Vidéo : des journalistes de France 3 découvrent les « zones de non-droit » en Belgique

    « Arrête de filmer, rentre à la maison ! » Des journalistes de France 3 et de la chaîne belge RTL Info ont été agressés, vendredi 15 janvier dans la matinée, alors qu’ils réalisaient un reportage à Molenbeek, près de Bruxelles (Belgique). Les reporters se trouvaient devant le domicile de Chakib Akrouh, le jihadiste qui s’est fait exploser pendant l’assaut à Saint-Denis quelques jours après les attentats du 13 novembre et que le parquet de Paris a identifié, jeudi.

    « On avait décidé de se rendre au domicile familial, dans une petite cité à l’intérieur de Molenbeek. On a fait une rapide enquête de voisinage, mais personne ne souhaitait parler », raconte Pascal Verdeau, journaliste à France 3.
    En remontant vers la voiture, lui et son caméraman, Tahar Nasri, croisent une équipe de RTL info qu’ils mettent en garde en raison de la tension ambiante. « On était en train de monter dans le véhicule quand le confrère de RTL a sonné à la porte de la famille », raconte le journaliste.

    Le caméraman de France 3 pris à la gorge

    « A ce moment-là, trois hommes sont descendus, dont le frère de Chakib Akrouh. J’ai entendu des cris alors je suis sorti de la voiture et mon caméraman a pris sa caméra », raconte Pascal Verdeau. La suite est filmée par les caméramans de France 3 et de RTL, selon deux angles différents.

    Dans la vidéo mise en ligne par RTL, on entend le frère de Chakib Akrouh agresser verbalement les reporters, en leur demandant de partir : « Mon frère, il est mort. Casse-toi ! J’ai pas d’informations. » Les journalistes tentent de le calmer. Sur les images de France 3, on voit un homme, sans doute un proche de Akrouh, frapper un journaliste de RTL, puis s’en prendre physiquement à celui de France 3.

    Ça a été très violent et très soudain. On ne l’a même pas vu arriver. Le type, visiblement rompu aux arts martiaux, a fait tomber mon caméraman et l’a attrapé par le cou alors qu’il était au sol. J’ai réussi à parer un coup de poing dit Pascal Verdeau

    Un troisième proche a tenté de calmer les deux autres, sans succès. « Mon sentiment est qu’on était dans une zone de non-droit », analyse Pascal Verdeau. Son JRI a porté plainte après cette agression. De son côté, la rédaction de RTL fait part « de sa profonde indignation » dans un communiqué, rapporte Le Soir.

    Source : Francetvinfo

    http://www.contre-info.com/video-des-journalistes-de-france-3-decouvrent-les-zones-de-non-droit-en-belgique#more-40632

  • Vigipirate : un leurre de communication, un instrument de conditionnement des populations

    Jean-Yves Le Gallou, président de Polemia.com.
    «Vigipirate, c’est d’abord un leurre.» 

    ♦ Vigipirate est un plan gouvernemental ambitieux. Son objectif affiché est d’« assurer en permanence une protection adaptée des citoyens, du territoire et des intérêts de la France contre la menace terroriste ».

    Après dix ans de Vigipirate « rouge » et un an de Vigipirate « alerte attentat », plutôt raté !
    Vigipirate, c’est d’abord un leurre.

    Un leurre de communication : le gouvernement fait croire qu’il agit alors qu’il aggrave les problèmes par sa politique d’immigration de masse en provenance des pays musulmans. Il ne sert à rien de renforcer les politiques sécuritaires sans changer de politique migratoire ! Et de diplomatie !

    Vigipirate n’est pas seulement inutile, il est aussi coûteux : 10.000 militaires se promènent dans les rues et les dépenses de sécurité des entreprises et des établissements publics explosent. Sans aucun bénéfice pour la sécurité.

    Bien au contraire. De deux choses l’une : ou les contrôles sont faits à la va-vite et créent l’illusion d’une fausse sécurité ; ou ils sont un peu plus tatillons et créent des files d’attente à l’extérieur des bâtiments. Des files d’attente qui pourraient faciliter le « travail » de terroristes pouvant alors mitrailler des lieux touristiques de l’extérieur ou tout simplement lancer un véhicule sur les visiteurs. Tout le monde le sait. Un rapport ministériel a souligné ce danger il y a plus de dix ans. Si un attentat de ce type est commis, le responsable portera un nom : Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur.

    Pourquoi donc s’obstine-t-on à maintenir ces pratiques aberrantes sauf cas exceptionnels ?

    Pour conditionner les populations. Des populations qui sont invitées à se soumettre à des fouilles inutiles et humiliantes : « Levez les mains », « Les bras en l’air », vous disent certains agents, ignorant les usages avant de vous laisser entrer dans un musée ou une grande surface commerciale.

    Allons plus loin ! Les établissements publics et privés ont recruté au débotté des « agents de sécurité »  dont on aimerait être sûr qu’ils ont tous été préalablement formés et qu’ils ont obtenu les agréments nécessaires des autorités de police. D’autant – il suffit d’ouvrir les yeux – pour constater que les recrutements privilégient manifestement des populations en provenance de l’immigration ; y compris issues des bandes de banlieue dont les membres trouvent des débouchés dans les… entreprises de sécurité. On a ainsi découvert que des dizaines de militants islamistes opéraient à Roissy.

    A moins que le contrôle de Français de souche par des immigrés, pour beaucoup musulmans, ne soit qu’une étape de plus vers la soumission prophétisée par Houellebecq. Doit-on l’accepter sans broncher ?

    Jean-Yves Le Gallou, 14/01/2015

    Source : Boulevard Voltaire

    http://www.polemia.com/vigipirate-un-leurre-de-communication-un-instrument-de-conditionnement-des-populations/

  • Ajaccio, Cologne, Marseille… dirigeants irresponsables !

    Nos responsables sont bien… irresponsables ! Ils ont une grande facilité à ne plus assumer les conséquences de leurs choix. Le réel leur fait peur et seule l’émotion les fait réagir. Leur mauvaise conscience leur dicte une politique conduite uniquement par l’esprit de repentance et le culte de la culpabilité collective.

    Outre-Rhin, la situation semble de plus en plus tendue. Les Allemands, abasourdis comme un grand nombre d’autres Européens, commencent tout juste à comprendre que le monde des Bisounours, vendu en boucle par leurs médias et leurs politiques, n’existe pas. Le multiculturalisme, tant vanté par la chancelière Merkel, paraît beaucoup moins idyllique depuis quelques jours. Les nombreuses agressions sexuelles, ayant eu lieu à Cologne, Hambourg, Stuttgart, mais aussi dans d’autres villes allemandes et d’autres pays européens (Autriche, Suède, Finlande…), sont là pour nous ramener à une réalité plus dure et violente.
    Étant liées pour une grande partie d’entre-elles, malgré ce qu’en disent nos moralisateurs et nos déconstructeurs, à l’arrivée de soi-disant pauvres migrants, réfugiés politiques et demandeurs d’asile, ces agressions sexuelles devraient normalement nous permettre de sortir de notre dormition tellement le nombre dépasse l’entendement.
    Nos responsables sont dans l’incapacité de se remettre en cause. Ils ne vivent que d’idées et de ce fait ne peuvent voir le monde tel qu’il est. Ils sont prêts à brader la sécurité de leurs propres peuples juste pour ne pas avoir à prendre et assumer des décisions difficiles, mais pourtant nécessaires. Enfermés dans une logique mondialiste et antiraciste, ils sont impuissants et aveugles. Face à des évènements compliqués, tragiques, ils refusent de se comporter en chefs d’État responsables et préfèrent jouer les abbé Pierre ou les mère Theresa.
    Ceci, comme le dit Michel Onfray, leur permet de se mettre « en scène, dans un rôle vertueux, héroïque ». Accablés par leur mauvaise conscience, ils ne savent plus ce que veut dire diriger et, au lieu d’agir, ils ne font que réagir. Sous le poids de plus en pesant de l’influence médiatique acquise dans sa grande majorité à la propagande du bien vivre ensemble, ils ne se comportent plus qu’en nouveaux bigots de la religion des droits de l’hommisme.

    La repentance, l’excuse, la justification de l’inacceptable et la culpabilisation de leurs populations sont devenues les pièces maîtresses de leur communication. La colère légitime des Allemands et celle de la population d’Ajaccio, suite aux scandales des agressions de la nuit de la Saint-Sylvestre et lors de l’attaque de pompiers et de policiers dans la nuit du 24 décembre, les ont bousculés dans leurs retranchements. Certains, pour ne pas avoir à se renier, n’ont pas hésité à se dire plus choqués par les réactions citoyennes que par les agressions elles-mêmes !

    En 2015, plus de 1600 pompiers se sont fait agresser dans l’exercice de leur activité ! Pourquoi ont-ils attendu Ajaccio pour exprimer leur indignation et leur détermination ? Pourquoi ont-ils fait le choix du communautarisme en abandonnant aux racailles des quartiers entiers ? Et surtout pourquoi contribuent-ils encore, par une politique bien réfléchie, à aggraver la situation en laissant entrer dans l’Union européenne, en une année, plus d’un million de clandestins dont la culture de naissance diffère totalement de celle de notre continent ?

    Ce choix est un crime contre nos sociétés occidentales et un jour il faudra que ces personnes assument pleinement leurs décisions d’aujourd’hui. Ce n’est pas tout d’assister à des commémorations avec les mains chargées de fleurs et de bougies, il faut aussi savoir être responsable ! Lorsque l’on prend des décisions, comme ce fut le cas pour la Libye, la Syrie, l’accueil des clandestins, et que l’on se trompe aussi lourdement, il faut avoir un minimum de décence en évitant de continuer à jouer les vierges effarouchées.
    Nos bonimenteurs ne sont plus crédibles et ils méritent à présent de rendre des comptes tellement les conséquences de leurs choix se révèlent être catastrophiques. Il suffit de regarder ce début d’année (des militaires obligés d’ouvrir le feu à Valence pour stopper une attaque d’un islamiste, un commissariat attaqué en Ile-de-France par un djihadiste et un juif agressé à Marseille à coups de machette par un fou d’Allah) pour se convaincre que le besoin de changement est plus qu’urgent !

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/197005/ajaccio-cologne-marseille-dirigeants-irresponsables/#more-197005

  • Après l’agression d’un jeune juif à Marseille, la réaction du Parti de la France :

    2425156361-1.jpgCommuniqué d’Olivier Bianciotto,  

    Délégué du Parti de la France pour les Bouches-du-Rhône

    Suite à l’agression d’un juif par un Kurde à Marseille, le Parti de la France tient à rappeler que tous les jours des Marseillais sans kippa sont victimes d’agressions verbales et physiques dans l’indifférence générale.

    Poignardés pour une cigarette refusée, un mauvais regard ou pour ne simplement pas être du bon « quartier ». Sans parler des femmes insultées ou agressées pour ne pas avoir répondu à un élégant « wesh cousine t’es bonne »…

    Le Parti de la France considère que l’indignation ne doit pas être sélective face à la délinquance et la criminalité qui gangrènent la Cité phocéenne.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

     
  • Agressions sexuelles en Allemagne : des militants identitaires distribuent des bombes anti-agressions

    Après la vague d’Agressions sexuelles de masse par des clandestins, des militants identitaires distribuent des sprays anti-agression aux femme de Halle, en Allemagne. “Voilà la véritable « distance » à avoir », dit l’affiche, en référence aux propos du maire de Cologne, Henriette Reker, invitant les femmes à garder leurs distances avec les clandestins.

    À Halle, une ville proche de Liepzig, la distribution de bombes de gaz poivré s’est tenue près de la gare hier à midi, à la Riebeckplatz, où passent au moins 52 trains toutes les heures aux heures de pointe.
    Selon la page Facebook du groupe sur cette action, il s’agit d’une réponse à la vague sans précédent d’agressions sexuelles sur les femmes par des « demandeurs d’asile » lors du Nouvel An.

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    Un cadeau pour votre sécurité, dit l’affiche

    « Ce qui est arrivé à Cologne se passera partout et encore, et nous voulons faire en sorte que les femmes puissent continuer à se sentir en sécurité dans notre ville. Nous avons reçu de nombreux commentaires chaleureux, des sourires et des encouragements pour cette action. Merci pour ça ! » peut-on lire sur leur post sur Facebook.

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    Des tracts accompagnaient la distribution de sprays au poivre par des militants dentaires allemands

    Des tracts accompagnaient cette distribution :
    Cher lecteur, vous avez sûrement entendu parler des événements choquants récents survenus à Cologne lors du réveillon du Nouvel An, où se sont produites des violences sexuelles massives : des femmes ont été encerclées, abusées, déshonorées et dépouillées.
    « Ce qu’ont vécu les femmes était des viols, » a déclaré un policier en service lors de cette nuit. Depuis le nombre de victimes a dépassé les 500 plaintes auprès de la police. Il y a eu au moins deux cas de viols. La police semble incapable d’empêcher ces agressions brutales.
    Cologne n’est malheureusement pas un cas isolé. Dans le même temps, des incidents similaires ont eu lieu à Hambourg, Francfort, Stuttgart et dans beaucoup d’autres villes.
    Les auteurs de ces actes odieux étaient des hordes de « demandeurs d’asile ». Plus de 1 000 hommes maghrébins et arabes ce sont retrouvés pour accomplir ces lâches violences.
    La grande majorité des suspects identifiés était des « réfugiés ». La maire de Cologne Henriette Reker a donc convoqué une réunion d’urgence. Mais le résultat fut choquant : au lieu d’enfin montrer de la fermeté contre les criminels étrangers, Reker a appelé les femmes allemandes à modifier leurs comportements pour ne pas choquer ces immigrés à la culture différente de la nôtre !
    Lors de prochains événements majeurs, a-t-elle déclaré, elles doivent garder une bonne distance face à des d’inconnus.
    Il s’agit d’une politique qui se moque des victimes : au lieu de défendre notre sécurité, notre dignité, notre mode de vie et notre culture, elle nous demande de nous soumettre aux étrangers — dans notre propre pays. Notre peuple mérite la sécurité. Mais cette politique trahit le peuple.
    Cologne est un symbole.
    Il illustre tristement l’échec de l’État à protéger ses frontières. Au cours de la dernière année, plus d’un million d’immigrants illégaux sont entrés dans notre pays, et l’État ne peut plus maintenant — ou ne veut pas — protéger ses femmes et ses filles.
    Par conséquent c’est à nous de nous défendre. Il est temps de se battre. Pour nous, nos familles et notre pays. Le mouvement identitaire a donc décidé de distribuer des bombes d’autodéfense gratuitement aux femmes. Avec cette bombe vous maintiendrez à distance les agresseurs comme le veut Madame Merkel et vous cesserez d’être une victime !
    Notre appel est le suivant : ne cédez pas ! Défendez-vous vous-même — parce que c’est notre terre ! Prenez soin de vous et voyagez en toute sécurité à travers la ville.
    Nous demandons :
    – La fermeture immédiate de la frontière et le rejet de tous les immigrants illégaux !
    – La déportation de tous les criminels étrangers après qu’ils aient purgé leur peine !
    – La remigration d’immigrants illégaux dans leurs pays d’origine !

    http://fr.novopress.info/196971/agressions-sexuelles-en-allemagne-des-militants-identitaires-distribuent-des-bombes-anti-agressions/#more-196971