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insécurité - Page 798

  • Les médias suédois commencent aussi à dire la vérité sur les crimes des immigrés illégaux :

    La police suédoise avertit que la gare Centrale de Stockholm était devenue dangereuse depuis son occupation par des dizaines d’enfants — SDF marocains.

    Des gangs d’adolescents immigrés répandent la terreur dans le centre de la capitale suédoise, volent, molestent les filles et s’en prennent aux agents de sécurité, toujours selon la police de Stockholm. Ces immigrants illégaux, dont certains n’ont que neuf ans, errent dans le centre de Stockholm nuit et jour et refusent l’aide fournie par les autorités suédoises.
    La Suède a connu une augmentation dramatique d’arrivée de mineurs marocains seuls qui demandent l’asile dont beaucoup fuguent des logements sociaux pour vivre dans les rues de la capitale. La police de Stockholm estime qu’au moins 200 enfants SDF marocains gravitent dans les environs de la gare principale : « Ces jeunes sont un énorme problème pour nous. Ils volent des trucs partout et se moquent des gardes de sécurité », a déclaré un policier au quotidien SVT.

    Ils agressent sexuellement les filles en les touchant entre leurs jambes et les giflent si elles protestent. Tous les policiers le savent. Je ne laisserais jamais mes enfants aller à la gare Centrale. Aucun policier ne le ferait.

    Ces gangs sont constitués d’orphelins qui ont grandi dans les rues de Casablanca et Tanger au Maroc, où les autorités estiment qu’il y a environ 800 000 enfants sans-abri. Ils ont tous demandé l’asile en Suède comme mineurs non accompagnés, mais leurs jeunesses troublées les rendent méfiants vis-à-vis des adultes et ils sont difficilement contrôlables.
    Le gouvernement suédois a annoncé hier la tenue de réunions avec les autorités marocaines pour reconnaître que les gangs d’enfants SDF sont un « problème commun ». Le ministre de l’Intérieur Anders Ygeman a déclaré hier que la Suède travaille pour renvoyer ces enfants dans leur pays d’origine.
    « Nous sommes d’accord pour admettre qu’il s’agit d’un problème commun à résoudre, et que nous avons tous besoin de trouver des moyens d’identifier ces jeunes et d’organiser leur rapatriement dans de bonnes conditions », a déclaré M. Ygeman suite à une réunion avec les représentants du Maroc.

    Au même moment, une jeune fille bénévole a été mortellement poignardée par un immigré de quinze ans dans un centre d’accueil. Alexandra Mezher, une jeune chrétienne d’origine libanaise de 22 ans, a été attaquée par un adolescent à son lieu de travail, un centre de logement pour enfants réfugiés non accompagnés dans Mölndal, près de Göteborg et est décédée plus tard à l’hôpital.
    Les premières constatations signalent qu’Alexandra travaillait seule cette nuit quand elle a été attaquée alors que d’après le règlement interne le personnel doit intervenir par paires. Mlle Mezher, diplômée en psychologie du Blekinge Institute of Technology à Karlskrona, aurait été avait l’intention de retourner à l’Université pour faire une maîtrise en sciences sociales.

    Sur le compte Facebook de Miss Mezher, un message sur sa foi : « les super héros portent une cape, mais le mien porte une croix ».

    La cousine de Mlle Mezher a déclaré aux médias suédois : « c’est horrible, elle était une personne qui voulait faire le bien, qui voulait être bonne. Et puis elle est tuée alors qu’elle faisait son travail. Nous avons beaucoup pleuré. C’était une personne agréable, chaleureuse et heureuse. »
    Elle a ajouté :

    C’est faute des politiciens suédois si elle est morte.

    Les policiers ont découvert un couteau sur les lieux et un adolescent a depuis été arrêté sous l’inculpation de meurtre. La police suédoise a aussi salué aujourd’hui l’intervention des autres enfants vivant dans le refuge, après qu’ils aient maîtrisé le tueur.
    « Deux garçons l’ont retenu. C’est une très courageuse intervention. Il aurait pu blesser quelqu’un d’autre, ils l’en ont empêché », a déclaré le porte-parole de la police Peter Adlersson à l’Expressen.
    L’incident vient s’ajouter à de nombreuses tensions liées à l’immigration en Suède, avec un certain nombre de jeunes filles révélant qu’elles ont été agressées sexuellement par de jeunes demandeurs d’asile à une piscine à Stockholm. Ce centre d’asile pour jeunes immigrés avait déjà provoqué des troubles à Molndal, sur la côte ouest de la Suède.

    Des groupes surveillance de quartier se sont formés pour empêcher les adolescentes d’être harcelées sexuellement sur leur chemin depuis les trains de banlieue de Göteborg. Des parents ont également refusé d’avoir leurs enfants dans les mêmes classes que les immigrants et la police a exigé davantage de ressources pour faire face à la montée des violences apparemment liées à la crise de migrants.
    Le porte-parole de la police Thomas Fuxborg a déclaré que l’agresseur était un jeune homme qui vivait au centre et a confirmé son arrestation sous l’inculpation de meurtre. Il n’a pas donné de détails sur la nationalité du suspect et a ajouté que le motif n’était pas encore clair. Mölndal est dans le voisinage de Göteborg et avec 63 000 habitants a accueilli plus de 4 000 enfants réfugiés non accompagnés en 2015.

    En 2014, le conseil municipal a reçu 276 millions de SEK (30 Millions d’Euros) d’argent public pour offrir des logements à ces mineurs non accompagnés. L’accroissement brutal du nombre de ces immigrés mineurs a conduit à une escalade des tensions dans la région, certains résidents affirmant que les jeunes femmes ne se sentent plus en sûreté en prenant le train le soir.

    Selon l’Agence suédoise des Migrations, le nombre de menaces et d’incidents violents dans des centres de réfugiés a plus que doublé entre 2014 et 2015. En 2014, il y a eu 148 incidents et en 2015 ce nombre a grimpé à 322. Pendant ce temps, les incendies criminels ciblant les abris ont également augmenté, au moins une vingtaine de centres furent réduits en cendres ou endommagés l’an dernier.
    M. Fuxborg a déclaré : « ces problèmes deviennent de plus en plus fréquents. Nous avons affaire à des incidents comme ceux-ci depuis l’arrivée de tant de réfugiés de l’étranger. Nous sommes obligés de faire face à de nombreuses perturbations dans les centres d’asile et cela bloque d’importantes ressources policières. Ce n’était pas le cas il y a six mois et cela veut dire que nous ne serons pas en mesure de répondre aussi efficacement dans d’autres domaines. »

    Les contrôles aux frontières depuis le 4 janvier sont aussi renforcés après les attaques terroristes en novembre à Paris. L’ancienne représentante syndicale de la police Lena Nitz a déclaré à TT :

    il est évident que la situation des migrants est une rude épreuve. Il est aussi devenu clair que la situation est complètement insoutenable.

    Ces demandes d’effectifs supplémentaires se voient aussi dans toute l’Europe dont certains pays expriment leurs doutes quant à leur capacité à intégrer dans la société ces nouveaux immigrés. Comme le reste de l’Europe, la Suède se débat dans la plus grande crise de migration du continent depuis la Seconde Guerre mondiale. Ce pays de 9,8 millions d’habitants a reçu plus de 160 000 demandeurs d’asile en 2015.

    La presse commence aussi à signaler qu’un certain nombre de jeunes filles ont apparemment été agressées sexuellement par de jeunes hommes demandeurs d’asile dans une piscine publique au centre de Stockholm.
    Là encore, les auteurs présumés de ces faits sont tous des « mineurs non accompagnés » — arrivés en Suède sans un parent ou un tuteur.
    Quatre cas impliquent des filles de moins de 18 ans et toutes les agressions ont eu lieu dans les piscines ou dans les vestiaires, à Eriksdalsbadet dans Stockholm, ces trois dernières semaines.

    Sources : Mail on line/Expressen

    http://fr.novopress.info/197485/les-medias-suedois-commencent-dire-verite-les-crimes-immigres-illegaux/#more-197485

  • État d’urgence, c’est le bon mot…et le bon remède ?

    Spécialiste es extrême droite, Valérie Igounet a pondu un article, mis en ligne hier sur son blogue  «derrière le front », hébergé sur le site de France TV info, qui ne s’embarrasse pas de subtilités. Intitulé «Gollnisch-Soral même combat?», sa lecture révèle une  analyse pauvrette, biaisée, partiale et réchauffée de cette  historienne-militante. Pour résumer son propos,  elle explique  l’invitation faite à Bruno par une antenne d’E&R à Reims à tenir une  conférence le 21 janvier, comme la conséquence d’un même tropisme négationniste et/ou antisémite. Ben voyons, mais c’est bien sûr!  Faute d’arguments sérieux et  crédibles, on entend interdire tout débat, on  lâche les mots qui tuent, on atteint directement le point Godwin  à l’appui d’une thèse inique qui vise à semer la zizanie entre frontistes: le FN abriterait encore en son sein des «vipères lubriques » dont Marine devrait urgemment se débarrasser pour prouver sa sincérité républicaine. La ficelle est un peu grosse Mme Igounet !  

    Tout aussi absurde, odieux et déplacé, l’antenne CGT  de Bourgogne et Franche-Comté est montée au créneau pour s’indigner de la nomination de  Conseillers régionaux  FN au sein des Conseils d’administration de 28 lycées. Dans un communiqué,  le syndicat cornaqué par les  communistes a affirmé  «que le FN n’est pas un parti comme les autres (heureusement !, NDLR) et qu’il constitue une grave menace pour la démocratie et le monde du travail ». « (Les idées du FN) n’ont rien à faire dans des établissements de l’Education nationale où les personnels s’efforcent de faire vivre les valeurs d’égalité, de solidarité et de fraternité et le vivre-ensemble » (sic). C’est d’ailleurs au nom du vivre-ensemble que la CGT défend, comme le Medef ,  la régularisation des  clandestins, et la poursuite de l’immigration, armée de réserve  du capital…

    On rappellera aussi  que cette fraternelle  vigilance cégétiste ne s’est jamais manifestée pour dénoncer publiquement la pénétration dans les entreprises, notamment celles du service public, de revendications  communautaristes, ethnico-religieuses, principalement islamistes…au nom du vivre-ensemble là aussi ?

    Avec un parti communiste relégué aux oubliettes par les électeurs, des employés Français qui sont les moins syndiqués du monde occidental  et une CGT qui garde sa capacité de nuisance mais au nombre d’adhérents historiquement bas,  le communiqué de la centrale s’apparente à un petit coup de com qui ne coûte pas cher.  Poudre aux yeux, encore et  toujours, que  Florian Philippot a perçu dans la volonté de prolonger l’état d’urgence –« jusqu’à ce qu’on puisse se débarrasser  de l’Etat islamique »  a confié Manuel Valls à la BBC !- au moins pendant trois mois comme l’envisageFrançois Hollande. « L’état d’urgence, c’est une mesure ponctuelle par définition. Sinon c’est de la com», a estimé le vice-président du Front National sur Radio Classique.

    François Hollande «fait de la com, il ne fait plus que de la com. Aucune mesure de fond n’est prise: ni rétablissement des frontières nationales, ni fermeture des mosquées radicales, ni renvoi des imams étrangers radicaux, ni lutte contre le communautarisme qui est le terreau de tout cela» a-t-il ajouté.

    Il est vrai que la France a surtout  besoin dans sa lutte contre la menace  islamo-fondamentaliste d’un gouvernement prenant des mesures politiques fortes, concrètes, et  doté d’outils efficaces, avec les  moyens financiers afférents, dans sa lutte contre les menées subversives et terroristes.

    Or, selon de nombreux spécialistes, la création de la DCRI (direction centrale du renseignement intérieur) entérinée par  Sarkozy sous son quinquennat en 2008,  et à laquelle s’est substituée  en 2014  la direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI), aurait profondément  entravé la collecte (vitale) d’informations.  Pour parler clairement,  la disparition-fusion  de la direction de la Surveillance du territoire (DST) et de la direction centrale des Renseignements généraux (RG), dans le but avoué d’une meilleure synergie, d’éviter «la guerre des services»,  n’aurait pas été bénéfique pour la sécurité de nos compatriotes.

    D’une polémique l’autre, François Margolin et Lemine Ould Salem se sont émus, rapporteL’express,  du souhait d’un «fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, siégeant à la commission de classification du centre national du cinéma (CNC) », d’entraver la diffusion de leur  documentaire, Salafistes. «Entre images inédites et interviews de prédicateurs extrémistes, ce film démonte les rouages de la machine de mort djihadiste.»

    Ce fonctionnaire  «y a vu une apologie du terrorisme. Il a réclamé l’interdiction totale du documentaire -impossible car illégale-, éventuellement une interdiction aux spectateurs de moins de 18 ans.»  « Nous nous attendions à tout sauf à cela», « que l’on nous accuse de faire le jeu du terrorisme me paraît invraisemblable…» affirmait  M. Margolin . Fleur Pellerin a finalement  annoncé en début d’après-midi  que  Salafistes  serait bien interdit  aux mineurs.

    «Cette controverse est bien dans l’air du temps: confuse » jugeait encore cet article. « Le 9 janvier  Manuel Valls, affirme : Il ne peut y avoir aucune explication qui vaille. Car expliquer (le terrorisme), c’est déjà vouloir un peu excuser. Plus récemment, les autorités ont envisagé d’interdire toute conférence ou débat consacré à l’islamisme radical, au salafisme et au djihadisme. Comme si le fait d’évoquer ces sujets contribuait à les renforcer… Comme si le silence et l’ignorance pouvaient faire office de rempart, de protection. » En effet !

    Dans Le Monde, le réalisateur de Shoah, Claude Lanzmann,  qui « prépare un film sur la Corée du Nord co-produit entre autres par François Margolin», a fait part de son indignation devant cette censure. Avant même que le ministre de la Culture prenne sa décision, il espérait que Mme Pellerin  «tranche pour la liberté»… et  effectuait un parallèle (bien hasardeux) avec « la dernière interdiction d’un film (datant)  de 1962, pendant la guerre d’Algérie, quand la police parisienne jetait dans la Seine les manifestants du FLN ».

    «De fait, notait encore l’Express,  la polémique pollue la sortie de Salafistes: si la menace de censure lui offre un écho international, plusieurs salles ont choisi de renoncer à le projeter. De fait, le documentaire ne va être diffusé, pour le moment, que dans cinq salles: deux à Paris, une en banlieue et deux en province. »

    Il est aussi assez simple de comprendre que c’est bien l’incapacité  de l’Etat  de  protéger d’éventuelles menaces toutes  les salles de cinéma de France, de Navarre (et de banlieues)  qui auraient été susceptibles  de diffuser ce documentaire, qui a incité à cette mesure de censure.  Et ce, au-delà même du degré de violences des images  ou des propos  qu’il contient… et du maintien ou non  de l’état d’urgence dans une France  désarmée par ceux qui avaient en charge de veiller à sa sécurité. Cela aussi devrait faire réfléchir les Français.  

    http://gollnisch.com/2016/01/27/etat-durgence-cest-le-bon-motet-le-bon-remede/

  • En pleine guerre contre le terrorisme, la France s'offre le luxe d'une guerre des polices

    6a00e008d99039883401bb08b1e68a970d-200wi.pngLu dans Minute :

    "[...] Les policiers ont obtenu du ministère de la Justice d’être les seuls à mener les enquêtes dès lors qu’il y a suspicion de terrorisme. La circulaire de Chris- tiane Taubira du 18 décembre 2015 «relative à la lutte contre le terrorisme » est claire: «Lorsque la nature terroriste des faits, bien que probable, mérite d’être confirmée, il appartient alors au parquet territorialement compétent d’initier une enquête sous une qualification de droit commun et de saisir la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) de la poursuite des investigations. » De fait, les unités de gendarmerie, brigades de recherche et Blat, Bureau de la lutte anti-terroriste, sont exclues de ces enquêtes, sans aucun doute les plus intéressantes et les plus avantageuses pour l’image du moment. Les gendarmes n’ont pas digéré la chose et ils le font savoir.

    Autre objectif pour le général Favier, directeur général de la Gendarmerie nationale (et ancien patron du GIGN) : en finir avec la compétence territoriale de la gendarmerie nationale, qui cantonne la gendarmerie dans les petites villes et les campagnes. C’est cet objectif qui explique l’installation d’antennes régionales du GIGN dans des villes où sont déjà présentes des antennes Raid ou des BRI (Brigades de recherche et d’intervention). C’est ce qui explique également pourquoi le patron de la gendarmerie a râlé quand il a su que le Raid allait s’installer à Toulouse, ville où le GIGN est déjà présent.

    Comme toujours dans ce genre de bagarre, on ressort les sujets qui fâchent. Et notamment le plus récent d’entre eux, l’assaut donné par le Raid le 18 novembre à Saint-Denis contre l’appartement où s’étaient réfugiés Abdelhamid Abaaoud et ses complices. A cette occasion, 5000 cartouches avaient été tirées. Dans la presse, Jean-Michel Fauvergue, le patron du Raid, avait expliqué cela par les « tirs nourris » et les « rafales » de kalachnikov des terroristes. Malheureusement, une fois l’assaut terminé, les enquêteurs n’ont trouvé sur place qu’un pistolet automatique...

    C’est ce à quoi vient de faire allusion Henri Martinez, le président de l’UNPRG, avec une ironie mordante. « Il est vrai que des prétendus experts, des mal pensants assurément, se sont émus du bilan des munitions tirées par le Raid lors de l’assaut à Saint Denis: de l’ordre de 5 000 cartouches pour réduire trois terroristes et blesser deux étrangers en situation irrégulière » [...]"

    Michel Janva

  • Bayern über alles ?

    Comment tenter de stopper le flux migratoire qui l’année 2015, a vu plus de 1 000 000 migrants pénétrer en Allemagne ? Le land de Bavière a des idées…

    La Bavière a haussé le ton ces dernières semaines. Face à l'incurie de l'Allemagne, incapable de gérer, selon elle, la crise migratoire, son ministre des Affaires intérieures, Joachim Herrmann, a déclaré que, si ce triste état de choses persistait, elle pourrait bien décider de reprendre à son compte le contrôle de ses frontières. En s'exprimant à la veille des fêtes de fin d'année, le ministre bavarois a sans doute tenu à marquer le coup. Et peut-être à rappeler à Berlin que son nom officiel est toujours « l’État libre de Bavière ».

    Quoi qu'il en soit, ses propos, donnés au Welt am Sonntag, l'édition dominicale de Die Welt, sont nets. Pour lui, les contrôles réalisés aux frontières par l'Allemagne sont inadéquats et représentent « un risque immense pour la sécurité » en Bavière. Cela tient notamment au fait que la police fédérale allemande n'est pas en mesure de remplir efficacement cette mission en raison d'un manque d'effectifs.

    La Bavière a proposé ses services aux forces de police allemandes, qui les a refusés .« Il s'agit d'une décision purement politique prise à Berlin », tempête Joachim Herrmann. « Le fait qu 'aucun contrôle approprié ne puisse être réalisé cinq semaines après les attentats de Paris, malgré le danger flagrant, est une preuve d'incompétence. »

    Le mot est lâché ! Et le ministre y ajoute un calcul rapide, et définitif. « Quelque 4 000 demandeurs d'asile traversent encore quotidiennement la frontière en Bavière. (...) Nous pourrons encore accueillir 350 000 réfugiés en 2016, mais pas une nouvelle fois plus d'un million »,déclare-t-il.

    Des frontières sur la route des Balkans

    Berlin aurait tort de voir dans ces propos un simple coup de sang. Plusieurs faits sont, en réalité, à prendre en considération. Tout d'abord, le fait que le ministre Joachim Herrmann est membre de la CSU, c'est-à-dire de l'Union chrétienne-sociale en Bavière, qui correspond à peu près à ce qu'est la CDU dans le reste de l'Allemagne, mais en en étant indépendant et, de ce fait sans doute, beaucoup plus conservateur.

    Autre point important, celui des frontières de la Bavière. Sise au sud-est de l'Allemagne, elle possède ainsi des frontières avec la Suisse, la République tchèque et l'Autriche, ce qui la place directement sous le flux migratoire arrivant de bien des pays par la route des Balkans. On ne saurait préjuger cependant que la Bavière, si elle mettait sa menace à exécution, et prenait effectivement la décision de contrôler elle-même

    ses frontières, ne déciderait pas de les contrôler toutes, c'est-à-dire d'interdire le passage à ceux des migrants arrivant d'autres länder allemands...

    Oh ! bien sûr, dans l’esprit de Joachim Herrmann, les critiques politiques ne sont pas limitées à Berlin. Elles se veulent la dénonciation d'une politique qui émane de Bruxelles, et qui, des institutions européennes, s'étend à tous les pays qui en dépendent.

    Mais la volonté bavaroise de protéger soi-même ses frontières va à l’encontre de ce qu'est l'Allemagne : une république fédérale, régie par la loi fondamentale adoptée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en 1949, par laquelle les länder ont remis certains pouvoirs, notamment en ce qui concerne la défense des frontières, à l'Allemagne ainsi constituée.

    Une volonté temporaire ?

    En dénonçant sinon l'union fédérale, du moins sa fragilité, et surtout en récupérant sur ce point frontalier sa souveraineté, la Bavière remet (ou remettrait) en cause l'existence même de l'Allemagne telle que nous la connaissons aujourd'hui.

    La question qui se pose dès lors serait de savoir si la volonté exprimée par Joachim Herrmann, et défendue, on peut le supposer, par un certain nombre de responsables politiques bavarois, n'aurait qu'une expression temporaire, auquel cas il s'agirait d'une simple suspension de la Loi fondamentale pour un temps donné.

    Ou si les Bavarois ne prendraient pas goût à la réalité, peut-être moins improbable en notre époque de mutations politiques qu'il n'y paraît, d'un réel « État libre de Bavière ».

    Olivier Figueras monde&vie 13 janvier 2016

  • Un otage de l’Hyper Cacher a essayé d’escroquer des éditeurs parisiens

    « J’ai vraiment été très con et je me suis fait chopé (sic), j’ai vraiment honte… » C’est ainsi, selon Le Point, qu’a réagi Patrick T, ami de « Jo » -ce dernier étant ex-otage de l’hyper Cacher de Vincennes-, après l’échec de sa tentative d’escroquerie d’éditeurs.

    Tout a commencé quelques semaines après les attentats de janvier 2015. Patrick T., qui se fait passer pour un communicant, démarche les éditeurs avec son ami Jo qui aimerait faire publier son témoignage de la journée du 9 janvier. L’accueil est chaleureux et les directeurs de collection sont touchés par le récit de l’ex-otage. Les propositions d’à-valoir affluent : 20 000 euros ici, 30 000 là, 15 000 encore, mais avec un pourcentage plus important sur les ventes. L’intermédiaire, quinquagénaire verbeux, qui pose en lunettes de soleil sur son CV en ligne, insiste pour faire monter les enchères…

    Du reste, on notera que les transactions entre BFM et le fonds social juif unifié font accélérer les choses. Il est vrai que ce fonds social a facilement obtenu 60.000 € de la chaîne car, paraît il, celle ci aurait mis en danger les otages… Cependant, officiellement, ce n’est pas l’argent qui motive nos 2 acolytes, et voici ce qu’ils diront, (C’est Jo, l’ex-otage qui parle, bien que le message aurait été écrit par Patrick) : « Je n’en fais pas une question d’argent. J’ai l’intention de redistribuer tous mes droits d’auteur financiers à l’association des victimes de l’Hyper Cacher et à ma synagogue… Pour moi, la meilleure offre financière sera celle qui fera le plus pour la synagogue et l’association des victimes. » Dans le même temps, notre homme, pour faire monter les offres, va jusqu’à falsifier la proposition financière de l’une des maisons avant de la faire suivre à une concurrente, et deux éditeurs ont mordu à l’hameçon.

    Hélas, tout a capoté : Ces deux maisons d’édition appartiennent au même groupe, qui a pu se rendre compte de la supercherie. « Quand on a découvert le pot aux roses, explique un directeur de collection, Patrick T. nous a confié qu’il voulait faire signer un maximum de contrats à son auteur, il voulait d’ailleurs qu’on paie les deux tiers à la signature. Leur plan était d’empocher les virements et de fuir en Israël parce que, disait-il, il n’y a pas d’accord d’extradition. »

    In fine, le témoignage de Jo sera quand même publié par un petit éditeur. Chutzpah oblige, il ne faut pas croire que notre aigrefin démasqué joue profile bas : Ainsi, nous dit le Point, lors de sa promotion, Jo n’a pas hésité à fustiger les gens malhonnêtes qui tentent de profiter du tragique attentat de l’Hyper Cacher…

    http://www.contre-info.com/

  • "Flash Mob" en Hongrie au profit des Chrétiens d'Orient

    Cela s'est passé le 13 décembre dernier à Budapest sur un marché de Noël.

    Philippe Carhon

  • Nous n’irons plus au Bataclan par André WAROCH

    « Ce n’est pas un complot, c’est pire, c’est une logique. »

    Guillaume Faye 

    Le 1er janvier dernier, revenant du réveillon du jour de l’An que j’avais passé chez des amis, un peu fatigué, je me suis arrêté dans cette ville que je ne connaissais pas. 

    C’était une petite ville de province, naguère oubliée de Dieu et des hommes, une sous-préfecture paressant sur les bords de Loire, comme une loutre repue et bedonnante, cernée de vieux remparts qui jetaient encore sur le fleuve l’ombre des siècles passés. 

    Je garai la voiture, et allai faire quelques pas dans le centre. 

    Il y a encore trente ans, on aurait pu jurer que rien ne viendrait jamais troubler la quiétude de ces lieux. Que les mêmes nuages continueraient à passer au-dessus des mêmes fronts, que le même soleil éclairerait les mêmes enfants s’adonnant aux mêmes jeux. Que les mêmes coutumes, les mêmes gestes quotidiens se perpétueraient imperturbablement, comme ils s’étaient perpétués depuis peut-être un millénaire.

    Puis, un jour, la banlieue était arrivée, venue du Nord, et s’était jetée sur sa proie. 

    Je le compris en allant prendre un café au bistrot en face de l’église. J’écoutais discuter les habitués. La ville, ce matin-là, se réveillait les mains tremblantes, la bouche pâteuse et les yeux embués, ne pouvant croire à ce qu’elle voyait. La nuit du 31 avait été terrible : onze voitures avaient été incendiées en plein centre-ville, des vitres avaient été brisées un peu partout, des cailloux jetés sur les forces de l’ordre. Les restaurants avaient du fermer, les clients évacués en catastrophe. 

    En sortant du café, je pris la direction de l’église, et, effectivement, je remarquai des policiers et des pompiers allant et venant, puis je tombai, sur le parking de la place du marché, devant cette carcasse de voiture, totalement calcinée, et fumant encore. 

    J’écoutais les conversations, à peu près les mêmes qu’au bistrot, des badauds qui se massaient. Comme souvent, le plus important n’était pas ce que les hommes disaient. C’était ce qu’ils ne disaient pas.

    Je lisais dans leurs yeux et dans leur âme comme dans un livre ouvert. Ils savaient que ce qui venait de se passer n’était pas un accident. Que cela se passerait de nouveau. Ça ou quelque chose d’encore pire. Et que cela se répéterait. Et que cela ne s’arrêterait plus. La seule solution pour eux, désormais, était de fuir tant qu’il en était encore temps. Fuir vers un territoire non encore contaminé. Fuir, pour beaucoup, pour la deuxième ou la troisième fois. 

    Il pouvait m’arriver d’éprouver de la haine, une haine inextinguible devant les responsables de ce désastre qu’était devenu mon pays; de la peur, à la pensée que mes enfants ne pourraient pas toujours compter sur la protection de leurs parents, qu’ils étaient en danger, condamnés à vivre dans ce pays maudit dont même les crétins commençaient à comprendre, mais trop tard, que c’est la mort qui l’attendait. Mais ce jour-là, quand je repris la route ce jour-là, je me rendis compte que rien d’autre ne m’habitait qu’une immense tristesse. 

    Dans des territoires de plus en plus étendus, c’est un couvre-feu en bonne et due forme qui est dorénavant instauré par la racaille allogène à travers tout le pays. L’immigration est comme une maladie, comme un cancer que les autorités locales ont traité comme une grippe. Maintenant que le mal a progressé à un point tel qu’on ne peut plus le cacher à la population, il est médiatiquement décrété que le temps est désormais venu de vivre avec, comme un fait accompli et irrémédiable, et cesser de regretter l’ancien monde. 

    Le terrorisme islamiste n’a pas fait son apparition en France avec les attentats du Bataclan et de Charlie-Hebdo, ni même lors des attentats des années quatre-vingt-dix menés par le FIS et le GIA algériens. Le terrorisme islamiste, dans le vrai sens du terme, est né dans les années soixante-dix, avec la mise en place d’une immigration de masse en provenance du Maghreb. Il est né avec la première voiture brûlée. Car la véritable définition du terrorisme n’a rien à voir avec la façon dont il se manifeste, bien qu’à ce mot on associe toujours l’utilisation de bombes explosant dans la foule, ou plus récemment de rafales d’arme automatique tirées à l’aveugle dans des salles de concert. 

    La véritable définition du terrorisme, telle que donnée par le Larousse, est celle-ci : « Ensemble d’actes de violence commis par une organisation pour créer un climat d’insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine à l’égard d’une communauté, d’un pays, d’un système. » 

    Quand quatre musulmans enlèvent une fille identifiée comme française, l’emmènent dans un parc ou ils la bâillonnent et l’attachent, la violent par tous les orifices pour finir par lui uriner dans la bouche et la frapper à coups de bâton, comme cela est arrivé en mars 2014 aux abords de la gare d’Évry, cette ville dans laquelle Manuel Valls avait exprimé le souhait de réinjecter quelques « Blancos » (juste pour le plaisir de voir violer leurs enfants dans les jardins publics ?), cela n’a absolument rien à voir avec ce mot tarte-à-la-crème : délinquance, dont l’utilisation systématique n’a d’autre fonction que celle, encore et toujours, de cacher la vraie nature des choses aux habitants de ce pays livré

    Cette agression, qui était « raciste » au dire même de leurs auteurs, n’est rien d’autre, quand on la dépouille des trois décennies de mensonge qui s’interposent entre elle et nous, qu’une attaque terroriste, sans bombes et sans fusil, commis par des gens qui, depuis déjà très longtemps, nous ont déclaré la guerre. 

    C’est ce terrorisme du quotidien que les Français qui habitaient autrefois ces villes ont fui. Plutôt que de voter pour le seul parti qui admettait cette réalité et se proposait de la combattre, ils ont pris la décision, fait unique dans l’histoire, de s’auto-expulser

    C’est à ce peuple châtré, aveugle, fanatique lui aussi, de ce fanatisme morbide des chrétiens de l’Antiquité qui préféraient mourir dans l’arène plutôt que de porter les armes, sacrifiant leur vie au nom de la non-violence, que les djihadistes, qui, eux, sacrifient leur vie au nom de la violence, ont affaire. Quand ces « valeurs chrétiennes devenues folles » (elles le sont bien, folles, mais elles ne le sont pas devenues, l’étant dès le départ) rencontrent les « valeurs » islamistes, elles aussi d’ailleurs devenues folles d’après nos médias, se déroule alors une sorte d’immonde et gigantesque orgie sado-masochiste qui pourrait être intitulée, si on en faisait un film, Décapite-moi, j’ai envie de pardonner. Les quelques Européens restés normaux, c’est-à-dire fidèles aux valeurs antiques selon lesquelles le seul destin de l’ennemi est d’être repoussé, soumis ou exterminé, assistent médusés à la destruction de leur pays, et au triomphe inéluctable de la barbarie sur la décadence. 

    Il fut un temps ou les Européens, tordant le cou à la non-violence inhérente au christianisme, jusqu’à quasiment l’asphyxier (processus analysé par l’historien Jean Flori), élaborèrent, face aux Turcs Seldjoukides , un contre-djihad : le Pape, prenant résolument la relève de l’Empereur romain, appelait le monde latin à délivrer le tombeau du Christ profané par l’infidèle musulman, et à secourir les Byzantins, refaisant ainsi, contre l’ennemi musulman, l’unité des anciens empires d’Orient et d’Occident. La récompense des cieux et l’absolution étaient promises aux chevaliers qui prendraient les armes. Trois ans plus tard, Jérusalem était prise, les Barbares passés au fil de l’épée, Byzance sauvée pour quatre siècles. 

    Aujourd’hui, les Croisades sont considérées, à travers toute l’Europe, comme la dernière des abominations. Comme l’avait vu Dominique Venner, le christianisme, en disparaissant comme religion constituée, redevient ce qu’il est, un venin qui s’infiltre au plus profond de l’âme des peuples pour leur ôter jusqu’au souvenir des notions les plus évidentes de survie collective et d’auto-défense. Le judaïsme, en s’attachant aux rites comme ciment de la communauté, laissait de côté la morale, de manière plus ou moins hypocrite. Jésus, lui, en rejetant les rites, instaura « la circoncision des cœurs », c’est-à-dire la mutilation de l’âme. 

    Le christianisme, qui a par là même disparu en tant que religion au sens strict, a vaincu dans les esprits en tant que morale, et d’abord chez les élites européennes. Personne, en effet, n’a obligé celles-ci à accepter les migrants. Les pétro-monarchies du Golfe, pourtant arabes et musulmanes, n’en ont pas accueilli un seul. Ils ne se sont pas imposés, ils ne sont pas venus avec des avions et des tanks. Ils ont été invités. 

    Car à cette lecture crypto-religieuse des événements, il faut en ajouter une autre qui la complète, celle d’une lutte des classes à l’intérieur même du monde blanc. 

    Si on se penche sur la situation de la France, pays qui peut se prévaloir d’avoir été le premier à organiser sa propre invasion dès les années soixante-dix, et maintenant que l’on dispose de tout le recul nécessaire, une analyse doit maintenant s’imposer clairement : l’immigration extra-européenne, dès l’origine, est l’arme principale des élites pour se débarrasser du prolétariat et de la classe moyenne autochtone.

    Osons synthétiser crûment la vérité : l’immigration, musulmane ou non, est, en elle-même, un attentat, un gigantesque attentat qui dure depuis quarante années, et qui a été déclenché depuis le sommet de l’État, avec la complicité, jamais prise en défaut  depuis, de tout l’appareil médiatique, de toutes les grandes entreprises, de l’Église, des syndicats. 

    Se focaliser sur les exactions des arabo-musulmans ne doit jamais faire oublier qu’ils sont les hommes de main de ceux qui les ont envoyés. Ils  représentent, de très loin, le groupe immigré le plus haineux envers la population de souche, et sont, pour cela, ceux que les médias défendent le plus farouchement (ainsi les Chinois, qui ne se rendent jamais coupables d’un seul acte de violence, sont à peu près ignorés).

    Au fur et à mesure que les exactions susdites se sont étendues, le système pénal s’est effondré, les lois ont cessé d’être appliquées, les peines de prison, même pour de très graves délits, n’ont plus été exécutées. Carte blanche était donnée aux envahisseurs, jusqu’à la situation actuelle, où le ministère de la justice a été confiée à une descendante d’esclave dont tout le combat politique consiste à se venger de ceux qu’elle considère, selon une vision totalement raciale et génétique, comme les coupables éternels de la traite transatlantique (qui n’est, au regard de l’histoire de notre pays, qu’une anecdote).

    Le véritables ennemis des élites politico-économico-médiatiques, ce ne sont pas les islamistes, mais le peuple, le vrai, le de souche (et cela inclut tous ceux qui s’identifient à lui, sans en être techniquement parlant), celui qui ne veut pas que son pays disparaisse. Face à lui, toute la fange des idéologues de la haine, des dégénérés mondialistes, des « trans-genre », des immigrationnistes forcenés, de tous ceux, en définitive, qui haïssent de toutes leurs tripes la France et les Français, ce qu’ils appellent « l’antiracisme ».

    Si beaucoup d’entre nous se sont réjouis, ou en tout cas n’ont pas versé la « larmichette » réglementaire suite aux attentats de Charlie-Hebdo ou du Bataclan, c’est parce qu’ils avaient conscience, plus ou moins confusément, que ces événements ne les concernaient pas. Qu’il s’agissait là de chamailleries entre les islamistes et ceux qui les ont fait rentrer pour nous éjecter, donc entre nos deux ennemis mortels. Nous, nous n’allons pas au Bataclan. Nous ne manifestons pas pour le mariage gay. Nous ne militons pas pour l’ouverture des frontières, pour la dissolution de la France et de l’Europe dans le grand marché mondialisé et dans l’immigration. Nous ne prônons pas non plus la guerre contre les pays arabo-musulmans qui ne nous ont pas attaqués. Peu nous chaut qu’ils deviennent ou non fondamentalistes, qu’ils décident d’appliquer lacharia ou de se convertir au bouddhisme. Tout ceci ne nous regarde pas. Nous, nous voulons défendre notre pays et notre continent.

    Voilà le vrai, le seul padamalgam qui vaille. Celui qui dit la vérité de la guerre civile entre Français de souche, celle que les élites nous ont déclaré mais qu’elles ont préféré ne pas livrer elles-mêmes, en dressant contre leur propre peuple les pires ennemis de l’Europe.

    André Waroch

    http://www.europemaxima.com/?p=4705

  • Après le chômage, la délinquance et la démographie, voici les mauvais chiffres de l’immigration

    À la surprise de tous les observateurs, la France expulse de moins en moins de clandestins !
    Janvier est le mois des bilans de l’année écoulée et, après les mauvais chiffres du chômage, de la délinquance et de la démographie, ceux de l’immigration viennent de tomber. Mauvais, eux aussi. Certes, il n’y a rien d’étonnant, vu la crise migratoire que l’Union européenne, Mme Merkel et M. Hollande ont, par leur imprévoyance et leur inconséquence, amplifiée, créant les situations de chaos multiformes dont les symboles, désormais historiques, ont pour nom Calais et Cologne.
    On aurait pu espérer que notre gouvernement, contraint d’ouvrir les yeux sur l’ampleur du désastre et d’abandonner la politique des « frontières ouvertes », ait enfin pris le taureau par les cornes. Le grand aggiornamento idéologique des socialistes au pouvoir, qui piochent désormais sans retenue dans le langage et les préconisations de la droite ou du Front national, pouvait le laisser croire. Et M. Cazeneuve, nous dit la presse, comptait hier, lors d’une réunion à Amsterdam avec ses homologues, « taper du poing sur la table » pour exiger que l’Union en finisse avec l’Europe passoire de Schengen.

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  • Calais au bord de la guerre civile, les gauchistes attisent les tensions

    Les manifs pro — « migrants » ont dégénéré à Calais, au port, d’une part et dans le centre-ville d’autre part. À chaque fois, les gauchistes étaient là pour souffler sur les flammes.

    Calais est au bord de l’explosion. Les habitants sont de plus en plus excédés des dégradations et exactions permanentes des clandestins, lesquels sont de leur côté de plus en plus agressifs, y compris à l’encontre des forces de l’ordre.
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    Comme si cela ne suffisait pas, les gauchistes pro-migrants jettent de l’huile sur le feu. C’est à l’occasion d’une manif organisé par l’un de ces groupes, « no borders », rassemblant des activistes français et européens, qu’une cinquantaine de clandestins ont pris d’assaut un ferry. Tout laisse à penser que ce sont les gauchistes eux-mêmes qui ont initié le mouvement.
    150 personnes avaient pénétré de force dans l’enceinte du port, parmi lesquels une cinquantaine a pris à l’abordage le « Spirit of Britain ». Sur les 35 personnes interpellées pour embarquement frauduleux sur un navire, 26 étaient des clandestins, 9 des militants du collectif « No Borders » ; 15 d’entre eux ont été placés en garde à vue.

    Ailleurs à Calais, c’est une famille excédée qui s’est opposée aux manifestants gauchistes et clandestins. L’un d’eux à même brièvement sorti un fusil pour intimider la foule, avant de se raviser.

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    La dégradation de la statue de Ch. De Gaulle revendiquée par les “No Borders”

     

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    Un militant NPA lors de la manif pro-clandestins.

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    Karima Delli, député EELV du Nord-Ouest, lors de la manif pro-clandestins.

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    Lors de la manif pro-clandestins flottaient de nombreux drapeaux NPA, ainsi que d’autres groupes d’extrême-gauche, comme la Coordination des Groupes Anarchistes.

    Enfin, dans le centre-ville, une statue du Général de Gaulle a été vandalisée, d’un tag « nik la France », un geste revendiqué par les « antifas » de « No Border » qui devaient ainsi espérer attiser encore les tensions entre clandestins et calaisiens.

    Même le très clandestinophile maire de Calais, Nathalie Bouchard a qualifié l’autorisation de cette manifestation « d’irresponsable ». Cet événement a poussé le président du port de Calais Jean-Marc Puissesseau à demander « une réunion de crise extrêmement rapidement (…) avec les responsables locaux, régionaux, parlementaires et du gouvernement » estimant « que ça ne pouvait plus durer », appel repris par l’opposition.

    Au delà de la question du traitement des clandestins et de la « jungle » de Calais, il faudra aussi aborder la question des agitateurs professionnels de « No Border », ce collectif rassemblant notamment des antifas français ou anglais, des militants écologistes (EELV…), du NPA, d’anarchistes et d’autres groupuscules gauchistes. Par leur attitude et leur action, ils mettent réellement en danger l’ordre public dans une région qu’une étincelle suffirait à embraser. Les calaisiens ont réagit aujourd’hui par une manifestation pacifique. qu’en sera-t-il le jour où l’un d’eux se fera tuer par un migrant?

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    Dimanche, les calaisiens ont manifesté dans le calme pour le retour à l’ordre et en soutien au port attaqué et aux commerçants sinistrés par les clandestins de la jungle.

    Mais, tenants de l’idéologie immigrationniste officielle, ils bénéficient d’une certaine indulgence, plus en tout cas que les opposants à la COP21… Le gouvernement est-il vraiment conscient que son attitude à leur égard peut aboutir à des drames ?
    L’irresponsabilité dont font preuve les autorités – en plus de celle des « activistes », bien sûr — tient-elle de la bêtise crasse, du simple aveuglement idéologique ou d’un machiavélisme à la petite semaine, nos politiciens escomptant un rassemblement spontané des Français autour de leurs autorités en cas d’aggravation de la situation ?

    Charles Dewotine

    http://fr.novopress.info/197363/calais-au-bord-guerre-civile-les-gauchistes-attisent-les-tensions/#more-197363

     

  • D’Athènes à Calais c’est bien ce Système qu’il faut changer !

    Il y a un an tout juste, Alexis Tsipras,  héros de la gauche  anticapitaliste et/ou eurosceptique, arrivait au pouvoir à Athènes. Alors qu’un  sondage publié vendredi  indique que 85% des Grecs sont mécontents de l’action de leur  gouvernement,  la correspondante du quotidien  Libération, Maria Malagardis, constate «qu’il semble loin le temps ou (M. Tsipras) promettait de  renouer avec l’espoir!». Désormais «les agriculteurs qui ont sorti leurs tracteurs dans la rue et agressent les députés ou les permanences de Syriza ne sont pas les seuls à manifester leur colère. Avocats, médecins, artistes, commerçants, retraités et même handicapés sont tous descendus dans la rue depuis une semaine.» La parole est donnée à l’analyste politique Georges Seferzis : «Tsipras a échoué à mettre un terme à l’austérité, mais se présente toujours en Grèce comme le défenseur des plus faibles. Le problème, c’est que son dernier projet de loi écrase d’impôts et de hausses de cotisations sociales les petits entrepreneurs et les agriculteurs, qui forment le cœur de l’économie grecque. La réalité de la Grèce ce ne sont pas seulement les indigents, c’est surtout cette petite classe moyenne qui a l’impression de trinquer une fois de plus. »

    «Tsipras lui-même a-t-il changé ? Ou bien n’est-il que le général vaincu d’un pays à la souveraineté limitée ?». Ce qui est certain  c’est que lui même et son parti Syriza  étaient  portés par les espoirs d’un peuple grec très durement tabassé, paupérisé,  par les diktats financiers de latroïka BCE-FMI-Commission européenne. Hellènes qui payent aussi actuellement  au prix fort, souligne Bruno Gollnisch, car «l’Europe» n’est pas seule responsable de tous les  maux,  les conséquences  de décennies  de mauvaises  habitudes, de  gabegie, de tricherie, de corruption, de gestion fantasque des comptes publics qui caractérisèrent la société grecque, notamment lors des années de règne du  Pasok (parti socialiste)

    Le  référendum du 5 juillet de l’année dernière a vu  les électeurs  soutenir  M. Tsipras (qui avait mis son mandat en jeu)  en votant Non  (à 61 %)  à la proposition de réformes formulée par les créanciers du pays. Le  parti au pouvoir a aussi remporté les élections  législatives de septembre,  marquées cependant par une très sensible montée de l’abstention.

    Bref,  malgré  sa  capitulation  finale  devant les préteurs, la  trahison  des électeurs (8 jours après le référendum…), ses reniements, ses démissions,  son refus de se libérer de l’euro qui asphyxie inexorablement son pays,  M. Tsipras  gardait vaille que vaille la confiance du peuple grec…faute de mieux ?

    Sur le site du magazine Causeur, analysant les législatives de septembre, l’économiste Jacques Sapir notait néanmoins «qu’il n’y a pas d’avenir pour la Grèce tant qu’elle reste dans la zone Euro et tant qu’elle ne fait pas défaut sur une part importante de sa dette. Ceci commence à se dire tant aux FMI que dans les couloirs de l’Union européenne. Le dossier grec est donc toujours sur la table. Même si, aujourd’hui, d’autres problèmes sont en train de focaliser l’attention, comme la crise des réfugiés.»

    M. Sapir ne croyait pas si bien dire et la crise des migrants est plus actuelle que jamais, et s’expose de manière particulièrement emblématique à Calais. Cette fin de semaine, le maire (LR)  Natacha Bouchart manifestait avec des commerçants de la ville pour exiger un «  moratoire sur les taxes des commerçants du Calaisis » en raison d’ « une forte baisse de l’activité.» Celle-ci est due, comme chacun le sait, à l’explosion du nombre des clandestins traînant dans les rues  et créant un climat de peur, de violences et de tensions dans la commune. Samedi  toujours, desCollectifs de soutien aux migrants ont  organisé une autre manifestation qui a réuni  environ 2000 personnes, en présence  du  député écolo-gauchiste Karima Delli (EELV) et de Philippe Poutou, un des figures du   groupuscule trotskyste NPA.

    Occasion offerte  à l’extrême gauche (antifa et autres casseurs appartenant à la mouvance internationaliste  No Borders)  de se livrer à des déprédations.  26 immigrés clandestins et 9  militants  No Borders   ont été interpellés après s’être introduit à l’intérieur d’un ferry britannique  dans le port de Calais.  Située en centre-ville, la statue  du Général De Gaulle et d’Yvonne de Gaulle du a été ornée d’un tag «Nik la France» pendant la manifestation d’extrême gauche. Une dégradation qui a  suscité  les réactions forcément indignées du   président du Conseil régional  Xavier Bertrand et de Mme Bouchart… bien forcés cette fois  de sortir de leur silence.

    Le Figaro le rappelle  à ses  lecteurs, « le mouvement des No Borders est apparu en Allemagne dans les années 90. Depuis 2009, il apporte un soutien inconditionnel aux migrants de la Jungle qui souhaitent rejoindre la Grande-Bretagne. Les activistes aident ainsi les migrants de Calais à s’installer, à entreprendre des démarches administratives et ouvrent parfois des squats pour les accueillir. D’après le ministère de l’Intérieur, qui surveille de près le mouvement, ces anarchistes sont d’origine française, allemande et hollandaise. La presse outre-Manche évoque également la présence de nombreux militants britanniques dans leurs rangs.»

    Les propos du porte-parole du ministère de l’Intérieur, Pierre Henry Brandet, sont rappelés pour l’occasion : «ll y a des militants No Borders qui ont été identifiés (…) qui profitent du désarroi, de la détresse de ces migrants, qui instrumentalisent cette détresse, et les poussent à faire n’importe quoi»,  «il y a derrière la détresse de ces migrants un certain nombre de personnes irresponsables qui instrumentalisent cette misère à d’autres fins qu’à des fins humanitaires.»

    La violence  des No Borders, petits pions qui instrumentalisent de pauvres immigrés mais qui sont tout autant instrumentalisés, répond en quelque sorte symétriquement à celle d’un capitalisme financier, apatride,  mondialisé. Lui aussi est sans foi ni loi,  lui aussi prône la disparition  des  souverainetés nationales, des frontières,  la libre circulation sans frein des personnes, des biens  et des capitaux. D’Athènes à Calais c’est bien ce Système là dont il convient de changer !  

    http://gollnisch.com/2016/01/25/dathenes-a-calais-cest-bien-ce-systeme-quil-faut-changer/