Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 798

  • Erdogan et son régime auraient été sauvés par l’aviation US

    La tentative de renversement du régime d’Erdogan à Ankara, aurait été menée, non par des islamistes plus radicaux encore que le Frère musulman qu’est Erdogan, -comme l’affaire est présentée en France-, mais par des soldats nationalistes-kémalistes, c’est-à-dire anti-islamistes. Ceux-ci ont annoncé vendredi la prise de pouvoir par l’armée. Leur but aurait été de dénoncer la dérive dictatoriale du frère musulman Erdogan et son alliance implicite avec les terroristes islamistes dont il recyclait le pétrole volé en Irak et en Syrie:

    « De nombreux Turcs sont sortis dans les rues pour manifester leur satisfaction de se débarrasser de leur tyran, alors que les affrontements faisaient rage entre les militaires nationalistes-kémalistes et les loyalistes aux Frères musulmans.

    Après 18 heures d’affrontement et d’incertitude, le basculement s’est produit avec l’intervention de l’aviation de l’OTAN qui a bombardé les positions des rebelles nationalistes. Au moins 100 personnes, dont 17 policiers à Ankara, ont été tuées durant ces affrontements. Des tirs depuis des hélicoptères ont été rapportés, et des bombes ont touché le Parlement.

    Des tirs et des explosions ont été également entendus dans la capitale Ankara durant toute la nuit du vendredi à samedi, alors que les grandes artères d’Istanbul et les ponts enjambant le Bosphore ont été bloqués par les militaires nationalistes.

    Un total de 1563 militaires ont été arrêtés en lien avec cette tentative de renversement du régime islamiste. En outre, cinq généraux et 29 colonels ont été démis de leurs fonctions. (…)

    Rassuré par ses amis Américains, Recep Tayyip Erdogan, qui était en vacance, a atterri à Istanbul juste avant l’aube et a déclaré que le gouvernement restait maître de la situation. 

    Le boucher d’Istanbul se savait menacé d’où sa récente tentative de rapprochement avec Poutine, son opération de charme à l’égard d’Israël et sa tentative de réconciliation avec l’Égypte à laquelle le président Abdelfattah Al-Sissi a répondu par une fin de non recevoir. Le renversement du régime islamiste que les Américains ont installé en Turquie il y a près de quinze ans a certes échoué. Mais le Frère musulman Erdogan est incontestablement fragilisé. » (Source)

    Une version diamétralement différente de celle présentée par Erdogan, –l’ami d’Angela Merkel–  et reprise en boucle par les gros médias français.

    http://www.medias-presse.info/erdogan-et-son-regime-auraient-ete-sauves-par-laviation-us/58098

  • Nice : la voix du bon sens

    Quand LCI interroge le "mauvais" témoin sur le drame de Nice, à une heure de grande écoute :

     

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Dijon : l’imam était proxénète !

    Source : Boulevard Voltaire

    Le barbu qui louait celui de ses petites protégées officiait dans la capitale de la moutarde.

    Il s’agit là d’une vieille blague anticléricale, certes pas très finaude, mais qui peut faire marrer tout le monde, même les copains curés : « La première phrase qu’un flic dit à un pédophile consiste à l’obliger à descendre sa soutane sur ses chaussettes ! » Mondialisation et flux migratoires obligent, l’humour se fait plus fluctuant : les délices de la chair tarifée étant depuis longtemps sans frontières.

    D’où cet imam de Dijon qui vient de se faire poisser dans une vilaine affaire de proxénétisme, à en croire Europe 1. Ce clerc, dont l’identité n’a pas été dévoilée, et dont on ne sait s’il était de tendance libérale ou progressiste, était donc plus porté sur le pain de fesses que les cinq piliers de la foi, même en période de ramadan.

    Certes, être gardien de chèvres pour prostiputes relève du plus vieux métier du monde, et l’islam, même respectueux des cultures et religions ayant précédé son avènement, ne saurait non plus autoriser ces sortes de dérives plus ou moins déviantes. Bon, si l’on résume, le barbu qui louait celui de ses petites protégées officiait dans la capitale de la moutarde ; mais de là à faire commerce de tartes aux poils plus épicées, il y a un pas que même un pied pieux ne saurait franchir de la babouche – ou de la Nike, les chiens d’infidèles, eux aussi, sachant se trouver dans le sens du vent américain dominant.

    Pourtant, les amateurs de la petite entreprise ne pourront que louer l’évident sens du commerce de ce Julot casse-croûte – ou Mouloud kebab –, sachant que le hareng mahométan possédait quelques appartements tournant à plein régime dans la ville d’Amora. Pour tout arranger – la famille, un peu comme la religion, qu’on y croie ou non, demeure une notion forçant immanquablement le respect -, le chéri de ces dames travaillait aussi avec sa fifille, elle-même connue pour monnayer son entrecuisse au premier amant venu disposant d’un brin de liquidités, bancaires comme physiologiques. Bref, une donzelle dont la vertu se réduisait un peu au string minimum.

    Soucieux de son confort, il va de soi que notre maquereau ne roulait pas en Twingo, mais en Porsche Cayenne, lequel véhicule a évidemment été saisi par les autorités judiciaires. Mieux : l’olibrius était aussi aumônier carcéral. C’est-à-dire homme chargé de convaincre ses ouailles de revenir dans le droit chemin ; un peu comme si les époux Balkany ouvraient une école de maintien.

    À cette heure, on n’en sait guère plus, si ce n’est que 80 % de ses donzelles étaient étrangères, principalement issues d’Europe de l’Est et d’Amérique du Sud. Il n’y a donc pas eu de discrimination au faciès. L’honneur républicain est sauf et notre homme, remis en liberté, est aujourd’hui sous contrôle judiciaire. Une heure libre et l’autre pas. C’est le Coran alternatif.

    Nicolas Gauthier

    http://fr.novopress.info/202524/dijon-limam-etait-proxenete/#more-202524

  • L’état d’urgence ? Une très coûteuse fumisterie à la Hollande

    Ce n’est pas le populisme qui menace la France. C’est François Hollande, en refusant de désigner l’islamisme comme notre ennemi absolu.

    Ne sachant pas comment lutter contre les terroristes islamistes, notre bien-aimé Président François Hollande, dit Flanby-le-Mou, avait pris le taureau par les cornes au lendemain des mortelles fusillades du 13 novembre. Il avait déclaré l’état d’urgence, soutenu par l’ensemble de la classe politique qui ne pouvait qu’approuver une telle mesure sauf à passer pour traître à la nation.

    Et le matin du 14 juillet, tout guilleret, il annonçait que l’état d’urgence, cela suffisait. À partir du 26 juillet, la France pouvait retrouver son état normal. Pour un Président normal, c’était une réaction normale, attendue, vu qu’au bout de neuf mois et des millions d’euros plus tard, notre Président s’est aperçu que, l’urgence n’ayant donné que de piètres résultats et épuisé la troupe, il était urgent d’annoncer sa fin. Ce qu’il fit sans que les deux journalistes, faire-valoir de la communication élyséenne, s’en étonnent.

    Lire la suite

  • État d’urgence ? Non ! État inefficace !

    Dr Bernard Plouvier

    Cela fait un peu plus de huit mois que la France Holando-Vallso-Cazeneuvienne vit sous le régime de « l’état d’urgence » !

    En novembre 2015, ce fut, comme toujours avec les mous qui font semblant de gouverner, une pseudo-décision, prise à la va-vite sous le coup de la panique. Nos soi-disant dirigeants ont eu peur de devoir rendre des comptes au Peuple Souverain pour leurs fort nombreuses sottises, qui sont autant de manifestations de faiblesse face à des envahisseurs, dont ils n’ont semble-t-il pas remarqué qu’ils sont aussi des fanatiques religieux.

    Gras Président, excité Premier ministre et très sectaire titulaire de l’Intérieur ont toléré la poursuite d’une immigration musulmane massive, dans un pays comptant déjà 5 millions de chômeurs, toutes catégories confondues, et 13 ou 14 millions d’immigrés africains – noirs et maghrébins - et proche-orientaux, en comptant les rejetons, nés sur le sol français et considérés comme des Français… alors qu’eux-mêmes proclament urbi et orbi qu’ils se sentent algériens, marocains, maliens, etc. quand bien même ils n’ont jamais mis les pieds sur le sol de leurs ancêtres.

    Nos « chefs » ont toléré la création d’un réseau de petites souverainetés musulmanes au sein de l’État français. Ils ont mis en scène un ridicule engagement de notre Armée en Syrie, contre l’État légal de ce pays, pour le seul profit d’une opposition musulmane soutenue par le crypto-islamiste Obama. Les opérations n’ont, d’ailleurs, démontré que notre impréparation à la guerre, en plus d’être coûteuses et totalement dépourvues d’intérêt pour la Nation française, soit Le critère interdisant l’engagement de l’Armée.

    Nos non-gouvernants font preuve d’une tolérance étonnante pour la délinquance et même la criminalité des fruits pourris de cette immigration exotique, musulmane à 90%, que la « Justice » poursuit rarement et condamne, de temps en temps, à des peines symboliques… c’est l’héritage de la Taubira, qui en maintes occasions a clamé sa haine des Blancs et fut néanmoins ministresse française !

    En dépit de toutes les complaisances de « nos chefs » pour le « monde arabo-musulman », de leurs compromissions avec les cheikhs islamo-pétroliers (qui furent longtemps de généreux sponsors) et le sultan turc, et malgré le « dispositif d’urgence », plus de 80 morts à Nice, dans la nuit du 14 juillet 2016, démontrent la nullité (on ne peut même plus parler d’amateurisme) des individus qui paradent dans les couloirs et bureaux des ministères et des palais gouvernementaux.

    Les attentats ont débuté (Joué-les-Tours) dès la fin de l’An 2014. L’année suivante, ils ont fait près de 200 morts en comptabilisant les attaques collectives et les assassinats individuels de Français de souche européenne par d’immondes sectateurs d’allah. En ce 14 juillet, anniversaire de la Fête de la Fédération de 1790, une crapule perverse a donné libre expression à sa joie raciste de tuer du Blanc, à prouver au monde que la joie de nuire des musulmans était toujours grandiose.

    Étant donné qu’il n’existe aucun moyen de différentier le musulman non-fanatique du djihadiste, une évidence s’impose : séparons-nous radicalement des musulmans. L’Europe est le continent de la race blanche. La France est un État où existe une absolue séparation des Églises et de l’État. Tirons la conclusion de ces deux faits.

    Tant que l’islam s’avèrera conquérant et terroriste, cette religion de haine et de guerre devra être interdite sur le sol français. L’intolérance doit être totale envers les fanatiques, notamment les femmes voilées, qui extériorisent davantage leur hystérie que leur foi en se nippant comme elles ne le font pas à Alger ou à Tunis.

    La répression doit être extrêmement rude à l’encontre des crapules et des canailles dans nos deux milliers de cités de non-droit. La peine de mort doit être restaurée pour mettre hors d’état de nuire tous ceux et toutes celles qui sont complices d’attentats. Tout musulman condamné pour délits répétés ou pour crime doit être renvoyé dans son gourbi d’origine.

    Enfin, dans notre pays durement touché par le chômage, il est évident qu’aucun immigré ne doit être titulaire d’un emploi tant que le dernier Français de souche européenne n’en aura pas. Il est non moins évident qu’un immigré sans emploi est un parasite et doit être réexpédié d’où il vient.

    La notion de droit d’asile doit être révisée. Trop de sang de Français a coulé ces dernières années pour que l’on soit stupidement charitable. Tout excité faisant de la politique en son pays sait à quoi il doit s’attendre s’il joue à l’opposant en pays de dictature : les Français n’ont pas à supporter les conséquences de ces choix exotiques.

    Notre solidarité doit être continentale et raciale : elle ne doit s’exercer qu’envers des individus de la race européenne et dans le but de former une authentique Europe unie des Nations de souche européenne.

    Les musulmans doivent retourner dans le Dâr al-Islam. Nous devons bien comprendre que pour ces fous furieux de mentalité médiévale, notre France (et d’une manière générale notre Europe) fait partie du Dâr al-Harb : le Domaine de la Guerre religieuse. Si les Français sont trop sots pour comprendre ces notions, pourtant simples, alors ils sont mûrs pour l’esclavage ou la conversion à la foi la plus obscurantiste et barbare que l’on puisse trouver sur le marché spirituel.

    2709419064.jpg

     
  • Le terrorisme a pris racine dans une immigration imposée de force

    Si c’est bien la droite qui a fait entrer en France les immigrés, c’est la gauche qui a instillé la haine entre les deux communautés

    Le terrorisme ne se confond pas avec l’islam ni avec l’immigration, mais il n’en est pas moins vrai que tous les terroristes se revendiquent de l’islam et tous sont issus, directement ou par leurs parents, de l’immigration. Qu’on le veuille ou non, l’immigration maghrébine a donc bien été le terreau sur lequel a poussé cette mauvaise graine.

    L’immigration maghrébine a débuté dans les années soixante, à l’époque où la France connaissait le plein-emploi. Notez bien que faire venir de la main-d’œuvre étrangère n’était pas une fatalité, loin de là, car selon la théorie classique, en situation de plein-emploi, les salaires doivent augmenter et, en retour, la production monter en gamme. C’est ainsi que s’explique le miracle japonais. Encore faut-il des patrons avec une mentalité d’entrepreneur et non de rentier. Or, le patronat français, sous l’impulsion des puissantes branches du bâtiment et de la construction automobile, a préféré forcer la main des hommes politiques pour faire venir du bled une main-d’œuvre qui présentait à la fois l’avantage d’être docile et dépolitisée. Pour certains économistes, cette stratégie à courte vue est à la base du lent déclin de compétitivité de toute l’industrie française. À l’époque, la question de demander leur avis (sur l’immigration) aux Français ne se posait même pas. Ils y étaient si résolument hostiles que, pour isoler ces nouveaux venus de la population française, on avait créé les fameux foyers SONACOTRAL (avec un L, pour Algériens).

    Lire la suite

  • Attentat de Nice : déclaration de Marine Le Pen (16 juillet 2016)

  • Nice, 14 juillet 2016. L’attentat parfait ?

    A l’heure où ces lignes sont écrites, le bilan n’est que provisoire. A 03H00 du matin, le 15 juillet, nous en sommes à environ 77 tués (NDLR: 84 personnes à 'heure de la publication).

    Cette attaque sauvage et, il faut le dire, efficace, soulève plusieurs interrogations (terroristes impliqués, préparation logistique de l’attentat etc). L’enquête apportera son lot de réponses.

    Néanmoins des constations à chaud peuvent être faites. Des constations lourdes de sens et qui révèlent à la fois l’intelligence tactique (ce qui se passe dans le cadre de l’action, sur le terrain) et stratégique (ce qui se passe à un niveau plus global) des combattants du jihad.

    Le choix de la date

    Il s’agit de la constatation la plus évidente. C’est au soir de la fête nationale que l’attentat s’est déroulé. Ce choix est loin d’être anodin et révèle beaucoup sur l’intelligence stratégique de nos ennemis.

    C’est d’autres endroits, présentant de fortes similitudes avec le lieu visé (foule compact, cadre festif), qui auraient pu être visés lors de l’Euro de football. Or rien de majeur ne s’est déroulé à l’encontre des fans zones ou des stades. La très forte présence policière a pu dissuader. Les jihadistes ont préféré patienter et atteindre une « cible molle », et surtout bien plus forte sur le plan symbolique.

    Revenons sur le 14 juillet proprement dit.

    Beaucoup, dans les mouvances patriotiques, regardent cette date avec méfiance. Elle porte en effet une charge forte, liée à la Révolution, à la fin de la France Eternelle ou encore au terrible défilé d’allégeance face aux autorités coupables sur les Champs Elysées.

    Néanmoins ce point de vue ne concerne qu’une infime partie de la population française. Pour la majorité des citoyens de ce pays, il s’agit d’une journée estivale de fraternité, de pétarades, de bals populaires, de fierté devant les superbes uniformes des soldats et des pompiers etc. C’est la fête des forces armées et du drapeau. C’est la fête de l’Arc de Triomphe et du Soldat Inconnu. C’est la fête du soulèvement populaire et de la Marseillaise. C’est la fête de la France.

    L’immense majorité des Français se sent concernée, de près ou de loin par le 14 juillet. Nos ennemis le savent parfaitement. C’est là qu’il fallait frapper (ou dans une église, voir article précédent).

    Les raisons qui expliquent le choix d’une cible « identitaire » s’expliquent parfaitement. Le Califat, et plus largement une bonne part des salafistes, souhaitent ardemment un conflit ouvert sur le territoire européen. Ils veulent ce conflit non seulement pour vaincre et soumettre l’Europe, mais aussi et surtout pour fédérer l’ensemble du monde islamique autour de leur doctrine, qui n’est pas la encore majoritaire au sein du sunnisme.

    Leur désir profond est de voir des attentats sanglants être perpétrés contre des mosquées ou des femmes voilées par des « bons Gaulois », ce afin de radicaliser les populations musulmanes vivant en Europe et ainsi devenir le courant majoritaire dans le monde islamique (ce qu’ils sont en passe de réussir).

    La vague d’attentats que nous vivons n’est pas directement un acte de conquête (la conquête se fait par les maternités) mais plutôt une tentative de provocation.

     Le choix du lieu

    Nice, Promenade des Anglais, le 14 juillet après le feu d’artifice. Vous avez la certitude de trouver des dizaines de milliers de personnes assemblées en foule compacte.

    Une cible évidente pour un 14 juillet aurait pu être un des nombreux défilés militaires se déroulant partout dans le pays. Particulièrement celui de Paris.

    Néanmoins l’objectif étant de faire un maximum de victimes parmi les populations civiles, le choix de frapper des militaires n’allait pas de soi. La mort d’un militaire, même spectaculaire et devant les caméras, est dans une certaine mesure naturelle.

    Le choix du lieu découle de cette réflexion, tuer aveuglément des hommes, des femmes et des enfants afin de provoquer la rage féroce du peuple français. Nice, lieu où l’enracinement est marqué n’est pas non plus un choix anodin.

    Le mode opératoire

    La méthode était connue : prendre un véhicule et tracer à travers foule. Employer le véhicule comme un bélier. Le cas s’est présenté à plusieurs reprises ces deux dernières années.

    Le choix judicieux de la cible et du véhicule (un poids lourd) vient décupler l’effet. Même si des tirs sont partis du camion, l’essentiel des victimes a été tuée par l’engin motorisé.

    Le choix de l’arme a valeur de message. Message pour nous, les populations autochtones. Et message pour les jihadistes, isolés ou non, et en passe de sauter le pas.

    Avec un simple véhicule, seul et sans armes à feu (armes qui peuvent être complexes à acquérir quoiqu’on en dise), vous pouvez tuer 80 personnes sans grandes difficultés.

    Le choix d’un banal véhicule est une invitation pour d’autres projets plus ambitieux.

    Jacques Thomas pour le C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

  • Réaction de Marine Le Pen à l’attentat de Nice

    Communiqué de Marine Le Pen

    J’adresse mes condoléances aux familles et proches des victimes de l’attentat qui a frappé Nice. Mon soutien va aussi à toutes celles et ceux, notamment aux enfants, qui, blessés ou épargnés, ont vécu l’horreur et seront durablement marqués.

    Le 14 juillet, jour de la célébration de notre patrie, de sa liberté, jour de fête pour les Français s’est transformé hier en un jour d’épouvante, d’immense affliction.

    Nous ne devons voir se succéder les attentats terroristes et compter les morts sans désormais agir.

    La guerre contre le fléau du fondamentalisme islamiste n’a pas commencé, il est urgent maintenant de la déclarer. Nous l’engagerons vraiment en mettant en place une série de mesures que j’ai déjà détaillées et sur lesquelles j’aurai l’occasion de revenir, qui visent à s’attaquer à la source du phénomène.

    A la sidération et la compassion doivent désormais s’ajouter l’action, les nécessaires mesures de prévention et de répression, et la détermination la plus totale à éradiquer le fléau du fondamentalisme islamiste. C’est ce jour la volonté profonde du peuple meurtri de France, je mettrai toute mon énergie à ce qu’elle soit entendue et les combats enfin menés.

    http://fninfos.fr/?p=38271

  • Marie-Christine Arnautu : « Christian Estrosi, comme le gouvernement, doit rendre des comptes »

    Marie-Christine Arnautu, députée européenne, présidente du groupe Front national au conseil municipal de Nice, répond aux questions de Boulevard Voltaire, après l’attentat islamiste de Nice.

    http://www.bvoltaire.fr/mariechristinearnautu/christian-estrosi-comme-le-gouvernement-doit-rendre-des-comptes,271859