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insécurité - Page 799

  • Jawad Bendaoud, le « naïf » logeur des terroristes : un caïd qui avait tué à coups de hachoir un adolescent de 16 ans en 2008

    Le jour de l’assaut donné par la police à Saint Denis, BFM TV interrogeait la personne chez qui étaient logés des terroristes ayant participé aux attentats du 13 novembre.

    Avec un aplomb coutumier chez ce type d’individu, l’homme joue les naïfs comme on peut le voir dans cette video :

    On apprend par la suite dans le Figaro que ce Jawad Bendaoud est décrit «dans son quartier, surtout comme «un chef de rue»  » et surtout qu’il a été « condamné en 2008 à huit ans de prison pour avoir tué à coups de hachoir un adolescent de 16 ans pour une obscure histoire de portable, déjà dans la rue du Corbillon, décidément mal famée ». Et que « à part ses années de prison pour coups mortels entre 2008 et 2013, il cumule 13 condamnations depuis 2010: stupéfiants, détention d’armes aggravée en réunion, faux et usage de faux, conduite en état d’ivresse et sous l’emprise de stupéfiants, violences conjugales, violences aggravées en réunion. »

    Vous ne rêvez pas : il tue un adolescent de 16 ans à coups de hachoir, et il ne prend que 8 ans sans bien sûr être expulsé (avec déchéance de la nationalité le cas échéant), et il n’en fait que 5…

    http://www.contre-info.com/jawad-bendaoud-le-naif-logeur-des-terroristes-un-caid-qui-avait-tue-a-coups-de-hachoir-un-adolescent-de-16-ans

  • L'état d'urgence, cette "divine surprise" de la République...

    Notre société de communication a tendance à ne pas toujours savoir hiérarchiser les informations, au risque de « distraire » des véritables sujets et débats importants : ainsi, la vague récente d’attentats, désormais bien instrumentalisée par le gouvernement et par le président lui-même à leur profit politique et électoral, a failli nous faire oublier que, durant l’état d’urgence, les problèmes persistent et, même, peuvent trouver dans l’actualité des raisons de prospérer, tandis que les grands dossiers, eux, subsistent malgré l’indifférence à leur égard en ces heures particulières…

    Ainsi, du chômage : même s’il reste, a priori, le premier souci de nos concitoyens, il semble désormais passer au second plan des préoccupations de nos gouvernants et des partis, comme s’il s’inscrivait un peu plus dans une « normalité » qui rassurerait presque en ces heures agitées. Vous croyez que j’exagère ? Alors, lisez la presse écrite, réécoutez les bulletins d’informations de ces dernières semaines, et vous pourrez aisément constater par vous-mêmes cette étrangeté ! Pourtant, la lutte contre le chômage est sans doute un des moyens de donner une moindre prise aux discours des islamistes qui se nourrissent aussi, mais pas seulement, du ressentiment social des déclassés et des populations délaissées. Un emploi ne préserve pas de la tentation totalitaire, mais il peut l’éloigner, par la simple satisfaction de l’utilité sociale personnelle.

    Autre victime collatérale des attentats et de l’état d’urgence, la question régionale qui, pourtant, aurait dû être au centre des débats électoraux de l’automne, autour des élections qui se dérouleront dans quelques semaines en France. La réforme bâclée de la carte des régions et de leurs attributions, ces dernières années, aurait mérité une vaste contestation et l’ouverture d’un « front » des régionalistes (au sens large du terme, et non seulement des partisans du régionalisme) sur les questions linguistiques, celles des pouvoirs régionaux et de leurs compétences, celles aussi des responsabilités de l’Etat et de son idéologie dominante dans la mauvaise gestion de l’aménagement du territoire et des terroirs. Mais rien de tout cela ne sera évoqué et seul le score du Front National semble intéresser et « inquiéter » avec gourmandise les médias, quand la revendication du rattachement de Nantes à la Bretagne, par exemple, n’arrive plus à traverser le rideau de brouillard des journaux locaux et nationaux…

    Est-il nécessaire d’ajouter à cette liste la question environnementale et climatique qui, en prévision de la COP 21, devait être l’occasion de forums, de marches et de manifestations, parfois contestataires, et dont les nombreux débats se résument aujourd’hui à l’évocation de grands principes sans beaucoup de risques d’application concrète ? L’interdiction de toute activité de rue et, donc, de toute manifestation sur la voie publique jusqu’au 30 novembre (avant une nouvelle prolongation ?), évite au gouvernement de la République la crainte d’une remise en cause de son hypocrisie sur ce sujet pourtant majeur pour les décennies et les générations qui viennent.

    Je ne dirai pas que les attentats ont servi la République dans ses organes institutionnels et je ne méconnais pas la réelle émotion du Chef de l’Etat devant la tragédie du vendredi noir, ni ne la remets en cause. Néanmoins, je ne suis pas loin de penser que l’état d’urgence proclamé au soir du drame est désormais vu par certains, y compris au gouvernement, comme « une divine surprise » qui permet de limiter, sinon l’esprit critique, du moins l’affirmation trop visible ou bruyante de celui-ci…

    Que l’on ne se méprenne pas : je suis partisan de ne rien céder au terrorisme du moment, et je comprends bien la prudence nécessaire de l’Etat et, au-delà, de la nation toute entière face aux risques de nouvelles poussées de violence djihadiste. Mais je ne pense pas que l’état d’urgence soit la seule réponse et la mieux adaptée à la situation actuelle : c’est chaque jour que notre société doit répondre aux défis lancés par la terreur totalitaire, non par le coup de menton, mais par la valorisation de ce qu’est, historiquement et sentimentalement, la France et de ce qui fait son unité profonde, à travers ses racines diverses et ses fleurs originales. Au-delà, il faudra bien, aussi, poser la question de la meilleure réponse institutionnelle politique à cette diplomatie de la terreur de l’Etat Islamique et de ses épigones, et mesurer combien un Etat digne de ce nom, symbole de l’âme de la France et de l’unité de ses communautés comme de ses citoyens, pourrait être le meilleur moyen d’affronter les tempêtes, contemporaines comme futures, qui s’abattent ou qui s’annoncent sur notre terre, sur ce « royaume de France » qu’évoquait Charles Péguy à la veille de 1914, et qui attend, encore et toujours, son Prince français…

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • État d’urgence : le gouvernement pourra fermer des sites internet

    Source : OJIM

    Avec la prolongation de l’état d’urgence pour trois mois, le gouvernement va être en mesure de bloquer les sites internet faisant l’apologie du terrorisme.

    Votée à l’Assemblée nationale, la prolongation de l’état d’urgence a été amendée, sur l’impulsion des députés centristes et radicaux, afin de permettre le blocage des sites djihadistes. « Le ministre de l’Intérieur peut prendre toute mesure pour assurer l’interruption de tout service de communication au public en ligne provoquant à la commission d’actes de terrorisme ou en faisant l’apologie », est-il ainsi inscrit dans le texte. Quand on pense qu’il n’y a pas si longtemps, le même ministre estimait que ce n’était pas un délit d’appeler au djihad…

    Cet amendement vient ainsi compléter le projet de loi visant à supprimer les mesures de contrôle de la presse lors de ces trois mois. Depuis février 2015, 87 sites ont déjà été fermés en vertu de la loi anti-terroriste de 2014. Désormais, les procédés seront plus efficaces et il ne sera pas nécessaire de contacter, au préalable, le l’hébergeur du site visé.

    Comme toujours, certains craignent des dérives sécuritaires qui conduiraient le ministère à agir selon des méthodes tout à fait subjectives et arbitraires à l’égard de certains sites. L’avenir nous dira si cette disposition a été utilisée à bon escient.

    http://fr.novopress.info/

  • Bruxelles ville morte par crainte des attentats

    La crainte d’attentats sur le modèle de ceux de Paris a placé Bruxelles en état de siège : armée et police déployées dans les rues, commerces et transports fermés.

    Face à une menace « imminente », le gouvernement belge a relevé dans la nuit de vendredi à samedi son niveau d’alerte terroriste à 4 pour la région bruxelloise, l’aéroport de Bruxelles et la commune flamande de Vilvorde, d’où sont issus plusieurs jeunes qui se sont radicalisés. Un homme a en effet été arrêté et inculpé de participation à des attentats terroristes. Suite à cette arrestation, les enquêteurs sont à la recherche d’au moins deux hommes dont l’un transporterait une bombe, du type de celles actionnées par les kamikazes lors des attaques menées à Paris le 13 novembre.

    Dès samedi, Bruxelles était « en alerte maximum », autrement dit en état de siège avec l’armée et la police massivement déployées, par crainte d’une réplique des attentats de Paris, dont un suspect-clé est toujours traqué.
    Mesure la plus spectaculaire : la fermeture de toutes les stations de métro, au moins jusqu’à dimanche après-midi, avant une nouvelle réévaluation de la situation par les autorités. Les centres commerciaux, les complexes cinémas, la plupart des musées sont également restés porte close samedi. Les marchés, les compétitions sportives ont aussi été annulées, donnant à Bruxelles des allures de ville morte. Un concert de Johnny Hallyday a également été annulé samedi soir dans la capitale, où un important dispositif policier et militaire était déployé.
    Et samedi soir, sur recommandation du bourgmestre (maire) de Bruxelles, la plupart des cafés et restaurants du centre-ville ont fermé leurs portes.

    http://fr.novopress.info/

  • La France responsable?

    Emmanuel Macron intervenait samedi  en  conclusion de l’université du groupe Les Gracques  ( gauche réformiste et européiste), «une association lancée par des personnalités engagées à gauche, anciens membres de cabinets des différents gouvernements de gauche ou acteurs de la société civile…». Selon le ministre de l’Economie,  la France aurait   une «part de responsabilité» dans le développement chez nous du fondamentalisme islamique.  Responsabilité qui serait alors partagée par les gouvernements  belges, Belgique elle aussi menacée par les fous d’Allah.  Ces dernières heures, dans le cadre de la traque de  Salah Abdeslam, suspecté d’être la cheville ouvrière des  attentats de Paris, les policiers ont procédé à des dizaines de perquisitions et d’arrestations dans des communes de  l’agglomération bruxelloise (Molenbeek, Anderlecht, Jette, Schaerbeek, Woluwé-Saint-Lambert, Forest) et à  Charleroi. «Nous avons progressivement abîmé cet élitisme ouvert républicain qui permettait à chacune et chacun de progresser. Nous avons arrêté la mobilité » sociale, a déploré samedi M. Macron. «Nous sommes une société où nous avons construit la capacité à fermer la porte (…). Quelqu’un sous prétexte qu’il a une barbe ou un nom à consonance qu’on pourrait croire musulmane, a quatre fois moins de chances d’avoir un entretien d’embauche qu’un autre (…). Je ne suis pas en train de dire que tous ces éléments sont la cause première du djihadisme. C’est la folie des hommes, et l’esprit totalitaire et manipulateur de quelques-uns. Mais il y a un terreau, ce terreau est notre responsabilité.»

    D’une folie l’autre, il s’agit aussi (surtout) de comprendre, et M. Macron se garde bien de l’évoquer, que l’idéologie  de l’ouverture et du métissage sans freins,  sans frontiériste,  ultra libre échangiste dans tous les domaines, est la première responsable de la  création de ce «terreau». Cette désintégration, cette désassimilation était à prévoir au regard d’une immigration de peuplement, majoritairement musulmane, qui a fragilisé notre tissu social, tiers-mondisé la société française toute entière, et  qui  nourrit mécaniquement  le  repli communautariste, y compris dans ses modes les plus extrémistes.

    Quant à  «l’ esprit totalitaire et manipulateur»,  il est  aussi à l’œuvre  au sein des partis dits de gouvernement qui n’ont jamais voulu consulter les Français sur leur acceptation ou  non de cette vague migratoire décidée par  des cénacles bien peu démocratiques.

    Vague migratoire qui continue à déferler sur l’Europe avec l’afflux de «migrants» que nous connaissons  et qui ne manque pas d’inquiéter les populations des pays de l’UE.  Media Presse Infos rappelait ces derniers jours l’enquête publiée en novembre 2014 par  l’Arab Opinion Index Team de l’Arab Center for Research and Policy Studies, basé à Doha (Qatar),   constatant que «13% des réfugiés  syriens  (vrais ou faux syriens ?) interrogés dans les camps de réfugiés au Liban, en Jordanie et en Turquie considèrent l’Etat Islamique comme positif ou positif dans une certaine mesure.»

    Une certaine mesure  dépassée par  Michel Onfray si l’on en croit  certains. Accusé il y a peu  decryptolepénisme, il serait coupable aujourd’hui de faire le jeu de l’Etat islamique (EI), en légitimant  son discours et ses agissements. Il est notamment reproché au philosophe athée et normand  des propos datant d’un entretien télévisé du mois de septembre et   repris dans la  dernière vidéo de l’EI,  dans lequel il  dénonce les interventions militaires  de notre pays. « Nous devrions, nous la France, cesser de bombarder les populations musulmanes sur la totalité de la planète» disait-il notamment, phrase  répétée en boucle par  cette vidéo de l’Etat islamique.

    Après la mise en ligne de celle-ci, Michel Onfray était invité d‘iTélé. «On est toujours instrumentalisé par quelqu’un», «aujourd’hui certains  veulent me fusiller comme Robert Brasillach» (horresco referens)   a-t-il affirmé, tout en maintenant  ses propos. Les attentats sont  une réponse à la  politique  menée par  la France au Proche et au Moyen-Orient   depuis la première guerre du Golfe a-t-il assuré, et  «bombarder l’EI ne permettra pas de calmer les jeunes soldats de l’EI qui sont dans nos banlieues ». M. Onfray a donc réitéré la  pensée qui est la sienne et qu’il avait synthétisé sur twitter  au lendemain des attentats: «Droite et gauche qui ont internationalement semé la guerre contre l’islam politique récoltent nationalement la guerre de l’islam politique.»

    Michel Onfray peut tout à fait légitimement  rappeler les conséquences dramatiques et bien réelles de la destruction du régime laïque irakien ou libyen. Le FN là aussi ne s’était pas trompé constate Bruno Gollnisch.  Michel Houllebecq  le  dit  pareillement  dans   une tribune parue cette semaine  dans le Corriere della Sera,    dans laquelle il fustige  plus largement la volonté de faire  disparaitre «les frontières»; «les coupes budgétaires dans les forces de police»;  l’accueil des  migrants» imposé par la «gauche morale»;  le mépris des vœux de nos compatriotes;  « les gouvernements (qui) ont lamentablement échoué, systématiquement, lourdement dans leur mission fondamentale, c’est-à-dire protéger le peuple français confié à leur responsabilité ».

    Reste qu’il est loin d’être certain que  même dégagé de tout suivisme atlantiste, campant sur une ligne  politique  d’indépendance  nationale, mais ne renonçant pas à tenir son rang et à défendre ses intérêts à l’extérieur de nos frontières, notre pays   n’aurait pas  été   une cible pour l’EI.   Une nébuleuse étrange, dont les motivations, les commanditaires, les buts sont un vaste sujet d’interrogations pour de nombreux spécialistes.  Alors certes M. Onfray peut souligner qu’«on est toujours instrumentalisé par quelqu’un», mais  l’EI  non plus n’échappe pas à cette règle.

    http://gollnisch.com/2015/11/23/la-france-responsable/

  • Michel Onfray réagit à l’utilisation de son image par l’Etat Islamique – « Aujourd’hui, certains veulent me fusiller comme Robert Brasillach »

    Considéré il y a quelques jours encore par les médias mainstream comme un islamophobe servant les intérêts de Marine Le Pen, Michel Onfray est désormais suspecté par les mêmes d’être islamophile parce qu’il critique l’utilité des bombardements effectués par la France en Syrie, propos récupérés par les djihadistes de l’Etat Islamique.

    http://www.medias-presse.info/michel-onfray-reagit-a-lutilisation-de-son-image-par-letat-islamique-aujourdhui-certains-veulent-me-fusiller-comme-robert-brasillach/44126

  • Pétition pour demander une commission d'enquête sur le financement de Daesh

    Le député Jean-Frédéric Poisson, président du PCD et vice-Président de la commission des lois a déposéune proposition de résolution demandant la création d’une commission d’enquête parlementaire sur le financement de Daech. Cette proposition de résolution a été soutenue par 146 parlementaires et est inscrite à l’ordre du jour des débats à l’Assemblée le jeudi 3 décembre. Elle sera soumise au vote des députés afin de déterminer si la commission d’enquête doit être créée.

    A ce jour, aucun député socialiste ne l’a soutenue, et Elisabeth Guigou, Présidente de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale chargée de se prononcer sur l’opportunité de créer une telle commission d’enquête, a déjà fait savoir qu’elle s’y opposerait.

    Vous pouvez signez la pétition pour soutenir la création de cette commission d'enquête parlementaire.

    "A l’heure où nous demandons à tous les pays de s’opposer résolument et sans ambiguïté à Daech, à l’heure où le G20 déclare vouloir renforcer la lutte contre le financement de cette organisation terroriste, il est indispensable de s’assurer que dans les pays d’Europe, et particulièrement en France, aucun soutien d’aucune sorte ne soit apporté à l’Etat islamique !Depuis plusieurs mois, Daech, organisation terroriste islamiste, sème la terreur au Proche et Moyen-Orient. Notre pays a à son tour été très durement touché par cette organisation terroriste avec les attaques du vendredi 13 novembre qui ont fait 129 morts et 352 blessés, dont des dizaines en état d’urgence absolue. Aujourd’hui, il est indispensable que les parlementaires veillent à ce qu’aucun euro français ne contribue directement comme indirectement au financement de Daech. Refusez que cette organisation terroriste puisse bénéficier d’une quelconque aide de la France ou d’un autre pays européen !"

    "Le 23 mai 2015, alerté par le témoignage de l’ambassadrice de l’Union européenne en Irak qui affirme que des pays européens financent indirectement l’organisation terroriste en achetant son pétrole, Jean Frédéric Poisson député des Yvelines, Président du Parti Chrétien-Démocrate, a déposé à l’Assemblée nationale une proposition de résolution portant création d’une commission d’enquête de trente membres sur la participation de fonds français au financement de Daech."

    Pour signer, cliquer ici.

    Michel Janva

  • [Ile de France] L’Action Française dénonce le financement de l’islamisme par nos impôts [Vidéo]

    Dimanche matin, 50 étudiants de l’Action Française ont fermé symboliquement un centre des impôts afin de dénoncer le financement indirect de Daesh et de l’islamisme par les puissances occidentales. Puisque nos impôts financent le terrorisme, fermons les centres des Finances Publiques !

     

  • «La sécurité, première des libertés» : quand Valls reprend un slogan électoral de Jean-Marie Le Pen

    Défendant, devant l'Assemblée nationale, la prolongation de l’état d’urgence à trois mois après les attentats de Paris, le Premier ministre, Manuel Valls, a lâché une formule choc qui est pourtant loin d'être nouvelle. 
    «La sécurité est la première des libertés», martèle le Premier ministre, le 19 novembre, devant les députés, à l'Assemblée nationale. Vous avez déjà entendu cette petite phrase quelque part auparavant ? Rassurez-vous, c'est normal ! Jean-Marie Le Pen, à l'époque où il était encore président du Front national (FN), l'avait utilisée sur une affiche électorale en 1992. Il était alors candidat dans la région PACA et posait tout sourire avec, dans les bras, celle qui allait devenir députée : Marion Maréchal-Le Pen. 
    Et l'homme politique n'est pas le seul à avoir utilisé cette formule au cours des dernières décennies. En 1980, Alain Peyrefitte, ancien ministre de la Justice de Valery Giscard d'Estaing, avait utilisé ce slogan devant l'Assemblée nationale durant un débat sur la loi «sécurité et liberté», qui visait notamment à élargir les droits des gendarmes en matière de contrôles d'identité. Parmi d'autres utilisateurs plus tardifs de cette formule toujours choc, on peut également citer Lionel Jospin, Nicolas Sarkozy... Et désormais, Manuel Valls. 
    Dans son récent discours devant l'Assemblée nationale, ce dernier a mis l'accent sur la sécurité, après les attentats terroristes qui ont fait 130 morts à Paris le 13 novembre. Estimant que cette dernière est plus importante que certaines libertés, qui «pourront être limitées», il a obtenu le vote, à la quasi-unanimité (six voix contre) de la prolongation de l'état d'urgence en France pour une durée de trois mois, contre 12 jours jusqu'à présent. Le Premier ministre a insisté sur le fait qu'il était «impératif» d’inscrire celui-ci «dans la Constitution».
    Membre du parti socialiste, Manuel Valls ne se présente pas particulièrement comme un afficionados de la formation politique aujourd'hui dirigée par Marine Le Pen. En octobre, il avait appelé à faire barrage contre le FN lors des élections régionales, estimant que «tout devra être fait pour l'empêcher» de gagner la moindre région. 

  • Le jihadiste Ahmad Almohammad a été aidé par des « bénévoles » français pro-migrants

    Le kamikaze a été accueilli à terre en Grèce et a reçu de l’aide et des vêtements par des Français de Médecins Sans Frontières.

    L’article complet du journal « The Sun » : Un des kamikazes a été aidé sur l’île grecque et habillé par des bénévoles français avant de faire son chemin à travers l’Europe.

    Via FDS

    http://www.contre-info.com/