insécurité - Page 805
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Maître Dangléhant - La chasse à l'avocat par une justice corrompue - Meta TV 2/3
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Maître Dangléhant - La chasse à l'avocat par une justice corrompue - Meta TV 1/3
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Une barbarie peut en cacher une autre par Jure Georges VUJIC
Jure Georges Vujic est un écrivain franco-croate, avocat et géopoliticien, diplômé de la Haute-École de guerre des forces armées croates. Directeur de l’Institut de géopolitique et de recherches stratégiques de Zagreb, il contribue aux revues de l’Académie de géopolitique de Paris, à Krisis et à Polémia. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages dans le domaine de la géopolitique et de la politologie.
Les derniers attentats parisiens constituent une étape supérieure dans la surenchère de la terreur et révèlent l’impact psychologique de cette nouvelle stratégie de la tension employée par l’État islamique en France et en Europe.
En effet, alors que les attentats contre Charlie Hebdo étaient ciblés contre la rédaction du journal, les attentats de ce week-end touchent au cœur de la population, avec plusieurs frappes simultanées et essentiellement dirigées contre la population civile. La spirale attentat – répression et les bombardements aériens en Syrie n’empêcheront pas, hélas, la prolifération du terrorisme islamiste en Europe qui manipule et infiltre les vagues migratoires, alors que les technocrates bruxellois s’offusquent à la vue du moindre barbelé aux frontières européennes. On s’achemine tout droit vers le scénario d’une transposition pure et simple sur le sol européen d’une guerre civilisationnelle et ethno-confessionnelle longtemps programmée dans les laboratoires de l’oligarchie mondialiste.
En écoutant les réactions des officiels de l’Establishment qui fustigent la « barbarie » de l’État islamique, comment ne pas constater l’impuissance politique et morale de l’Occident à se confronter aux véritables causes de cette « barbarie » au lieu de persister dans l’erreur et d’assainir les symptômes ? En effet, persister dans l’alignement sur une politique belliciste atlantiste néo-coloniale au Moyen-Orient en s’appuyant sur l’Arabie Saoudite wahhabite, principale exportatrice du fondamentalisme islamiste, est bel et bien une posture schizophrène et suicidaire. En effet, une barbarie peut en cacher une autre, et la « barbarie » bestiale et meurtrière de l’État islamique sert trop souvent de repoussoir compassionnel à une autre « barbarie civilisationnelle », celle d’un Occident matérialiste et mondialisé, qui souffre d’une perte de sens identitaire, historique et ontologique.
Cette barbarie intérieure, intime, indolore et sournoise qui, derrière le drapeau de la civilisation matérielle, marchande et libérale et les tintamarres républicains et les mélopées pleurnichardes de La Marseillaise, semble encore une fois prêcher par déraison. C’est pourquoi il faudra traquer et châtier sans scrupules les auteurs de ces abominables massacres. Mais il faudra aussi garder à l’esprit la responsabilité des chiens de garde et des porte-paroles de cette barbarie civilisationnelle et mondialiste qui depuis des décennies plonge les peuples européens dans l’irénisme pacifiste et humanitariste, ceux qui depuis apprennent à nos jeunes générations à baisser sa garde, à avoir honte de soi, de sa propre culture, de sa nation, ceux qu’on assomme depuis la décolonisation à coups de marteau culpabilisateur. Il faut se souvenir de cette phrase de Lacordaire : « Les peuples s’éteignent et disparaissent dans l’agonie insensible d’un repos confortable. D’autres disparaissent dans l’ivresse des fêtes en chantant des hymnes à la victoire et l’éternité. » C’est pourquoi l’hyperfestif et la liberté illimitée de jouir comme mode de vie occidental est soluble dans l’humanitarisme compassionnel qui n’a jamais rien résolu.
Rendons-nous une fois à l’évidence, au nom de la civilisation occidentale, rationaliste et marchande, au nom de la sacro-sainte démocratie de marché, une nouvelle barbarie indolore et insidieuse s’est installée chez nous, dans nos têtes, notre habitus mental. C’est pourquoi il ne suffit pas de s’en référer pathétiquement à la défense de « notre façon de vivre » comme si notre culture européenne millénaire était réductible aux images d’Épinal, d’un parisianisme bobo de pacotille, à l’hystérie ostensible de la consommation, la permissivité et l’hédonisme généralisés, le cynisme moqueur qui se rit de tout, tout ce qui fait les matrices sociétales et idéologiques de l’occidentisme post-moderne. Le politologue américain Benjamin Barber décrit ce « village mondial » anglo-saxon et occidental comme une civilisation McWorld, une sorte d’Oumma anglo-saxonne en tant que contre-monde en opposition au « califat de l’Âge d’Or », une sorte d’Oumma originelle et fantasmagorique. J’écoutais le témoignage d’un passant à proximité des lieux d’attentats dire que « c’est la faute au communautarisme » et que « la France était avant tout une nation à laquelle il faudrait croire et adhérer ». Oui, mais avant d’adhérer à la nation, il faudrait préalablement qu’il existe un sentiment partagé d’appartenance à une communauté nationale, une volonté de vivre ensemble un certain « projet commun » dans les sens renanien du terme. Or, c’est cela qui fait défaut : le marché, la consommation, la laïcité, l’égalitarisme républicain, le multiculturalisme ne constituent plus les vecteurs de référence des deuxièmes, voire des troisièmes générations d’immigrés le plus souvent plongées dans le désarroi social dans les banlieues et cités-dortoirs des grandes villes françaises. Le mode intégrationniste français ou communautariste anglais ont failli partout en Europe et il va falloir reconstruire sur de nouvelles bases culturelles et sociales le lien d’appartenance nationale.
La civilisation occidentale n’est pas synonyme de la culture européenne. L’Occident matérialiste et marchand ayant proclamé le nouveau règne de l’Individu-roi, du fondamentalisme séculier, a chassé et banni le culturel européen, l’organique, l’enraciné et le différencié, le point de référence et de liaison social, politique et identitaire. De l’autre côté en évacuant le fondement culturel la référence historique et le principe territorial, un autre islam hybride a-culturel a-historique et globalisé s’est autogénéré tel un rejeton du globalisme, dans la fantasmagorie d’un retour á l’âge d’or du Califat. Entre ces deux hydres globalistes, il sera extrêmement difficile de réinstaller en Europe des valeurs stabilisatrices fondées sur le civisme, la loyauté, le respect de la souveraineté mais il faut pourtant s’y attacher. Les institutions qui permettent de vivre dans la paix, la liberté et la sécurité exigent la loyauté (pas nécessairement aveugle), et la loyauté exige en retour un sens de l’identité. D’autre part, comment ne pas s’interroger sur les appels pathétiques à la guerre totale contre le terrorisme de l’État islamique, comme si l’on faisait la guerre aux menaces terroristes asymétriques et à un ennemi invisible et intérieur, de front avec des moyens de guerre conventionnels. Le démantèlement des réseaux islamistes, des centres logistiques et des réseaux financiers supposera l’engagement de forces et d’actions spéciales en profondeur dont l’envergure et la nature dépassent les législations européennes pointilleuses quant à la défense des droits de l’homme et des immigrés sans oublier les relais médiatiques « antiracistes ».
La « culture globale » dominante est une mono-culture capitaliste marchande qui broie les identités et les cultures enracinées, y compris musulmanes. Le fondamentalisme islamiste sectaire et violent se présente alors en tant que réponse-réaction à cette culture dominante unique. La mondialisation facilite la diffusion de modes de représentation adaptés à la logique du marché et non à la dynamique des peuples. De la transmission générationnelle nous sommes passés à une transaction commerciale de la culture, du moins dans la culture dominatrice, la culture dite « occidentale ». Cette incidence est à l’origine de la crise de sens que nous connaissons et subissons. C’est pourquoi il est vain et illusoire d’en appeler au rassemblement fraternel sous l’égide de la liberté, l’égalité et la fraternité, car l’espace public n’est plus le fruit d’une transmission et d’une représentation générationnelles communes mais est déterminé par la capacité discriminatoire d’un compte en banque et de l’appartenance à une des tribus privilégiées de l’Establishmentdominant. D’autre part, parallèlement à cette perte de repères d’identité et d’anomie sociale, le continent européen est voué au constat d’une population autochtone en cours de remplacement accéléré. Et c’est la raison pour laquelle le combat contre l’hydre islamiste et l’occidentisme marchand supposera indéniablement une réappropriation de la souveraineté sur le sol et les frontières européennes.
Jure Georges Vujic
• D’abord mis en ligne sur Polémia, le 23 novembre 2015.
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L’école d’imams de l’UOIF a pris en charge le terroriste Ziyad Abdelali
Dans la foulée des révélations sur l'impunité de l'imam Ziyad Abdelali de la mosquée Al Ghazzali de Troyes, terroriste reconnu et en lien avec le terroriste Mostefaï tué au Bataclan, l'Observatoire de l'islamisation nous apprend que cet homme a des liens avec l’Institut européen des sciences humaines (IESH) de Château-Chinon, qui n’est autre que la plus grande école d’imâms de France, dirigée par l’UOIF, qui possède également une antenne à Saint-Denis, immatriculée à l’Académie de Créteil.
(Remise des diplômes à l’école d’imâms des Frères Musulmans de l’IESH, étrangement tolérée par l’Intérieur.)
Joachim Véliocas ajoute :
"L’UOIF construit les plus grandes mosquées de France avec l’aide des maires de Nantes, Bordeaux, Lille, Mulhouse, Beauvais, Poitiers. Lire notre enquête Ces maires qui courtisent l’islamisme (éditions Tatamis, 2015) pour avoir une vue d’ensemble."
Plus on gratte le vernis de l'islam "officiel" en France, plus on se rend compte de ses ramifications occultes avec le terrorisme islamique, avec la complicité de nos politiques et des musulmans prétendument modérés.
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Ignoble : un appel à violer les électrices du FN paraît sur un site d’un média proche du pouvoir
L’affaire qui suit est incroyable mais vraie. Le site « Le Plus » du magazine l’Obs a publié ce 8 décembre un texte ignoble, véritable appel au viol des électrices du Front National.
C’est grâce à la réaction scandalisée sur Twitter de Caroline de Hass, féministe et militante de gauche, que la rédaction a retiré ce texte, « non vérifié« . L’explication est légère car il ne s’agit pas d’un simple courrier de lecteur mis en ligne de façon automatique mais d’une tribune libre d’un certain Thierry Lecoquierre, médecin généraliste du Havre.
Nous reproduisons la capture d’écran du texte infâme pour que nos lecteurs mesurent bien jusqu’où la haine anti-FN peut mener. En l’occurrence à un démentiel appel au viol :
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Bruno Tertrais : « Le réchauffement climatique facteur de guerre ? Ce n’est pas sérieux ! »
A l’occasion de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP21), Bruno Tertrais, maître de recherche à la Fondation pour la recherche stratégique, répond à la question : le changement climatique va-t-il provoquer de nouvelles guerres ? Bruno Tertrais est notamment l’auteur de L’apocalypse n’est pas pour demain. Pour en finir avec le catastrophisme (Éditions Denoël, Paris, 2011). On pourra lire, en complèment, les actes du colloque organisé par le ministère de la Défense le 14 octobre dernier sur « Climat et Défense ».Faut-il s’inquiéter des conséquences sécuritaires du changement climatique ? En 2007, le Prix Nobel de la paix avait été attribué à deux symboles du combat contre le réchauffement planétaire : le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et l’ancien vice-président américain Al Gore, accréditant ainsi l’idée selon laquelle la lutte contre le réchauffement pouvait être une œuvre de paix.
Les autorités politiques françaises se sont elles aussi avancées sur ce terrain. Pour le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, « le dérèglement climatique favorisera de plus en plus les conflits violents dans les pays en développement. La détérioration du climat aggrave les crises humanitaires majeures, intensifie la violence et favorise la propagation des conflits dans certaines régions ». Il ajoute : « C’est, en définitive, la question de la paix ou de la guerre pour les générations à venir. »
On a même vu une ancienne ministre de l’Environnement, préoccupée par le manque d’intérêt, depuis le 13 janvier, pour la COP 21, suggérer que cette dernière contribuera à la décrue du terrorisme ! Vous avez bien lu : l’idée est que la réduction de notre dépendance au pétrole assécherait les ressources du djihadisme combattant…
Ces thèses ne sont pas sérieuses.
Partons du postulat – discutable – que le changement climatique conduise à des tensions sur la disponibilité des ressources. Cela voudra-t-il dire davantage de guerres ? Il n’y a pas de lien fort entre rareté des ressources et conflictualité. Et lorsque ce lien existe, c’est davantage dans les périodes froides que dans les périodes chaudes ; et il est en diminution depuis les débuts de la Révolution industrielle. Effet de la modernisation des sociétés et de la mondialisation du commerce, qui les rend moins dépendantes de l’agriculture locale…
Ainsi, la sécheresse ne fut pas une cause essentielle du conflit du Darfour (Soudan) : la chronologie ne colle pas. Les conclusions du GIEC sont sans appel : le Darfour n’était pas une « guerre climatique ». Les conflits sahéliens montrent que les facteurs politiques et humains sont la clé lorsque l’on recherche les causes des guerres. L’équation « changement climatique => diminution des ressources => violence à grande échelle » est fausse.
Quid d’éventuelles « guerres pour l’eau » ? La diminution des glaciers himalayens va-t-elle conduire à une pénurie en Asie du sud ? Non, car les moussons et la fonte saisonnière des neiges sont la source principale de l’eau dans la région. Le partage des eaux fluviales est une source de contentieux au Moyen-Orient, dans la Corne de l’Afrique et en Asie du Sud. Mais il n’y a jamais eu de conflit majeur dans lequel l’eau était l’enjeu central. Le GIEC conclut : « La nature même des ressources, telles que les ressources hydriques transfrontalières, et l’existence d’institutions permettant la résolution des conflits, ont permis aux rivalités d’être résolues d’une manière qui évite le conflit violent. »
Autre thèse, plus élaborée : raréfaction des ressources, mais aussi migrations et catastrophes naturelles, conduiraient à une déstabilisation sociétale, un ralentissement du développement et à un affaiblissement de l’Etat, accroissant les risques de guerre civile. S’il existait un lien entre guerre et réchauffement, le nombre de conflits devrait être en augmentation. Or il a sérieusement diminué depuis vingt-cinq ans. Le Prix Nobel de la paix 2007, attribué au GIEC et à Al Gore, aurait donc été usurpé…
On a tenté d’attribuer les printemps arabes au réchauffement climatique. En 2010, sécheresses et incendies avaient augmenté le prix des céréales. D’où les premières manifestations. Mais le rôle des événements climatiques a été surévalué car d’autres facteurs entraient en ligne de compte : cultures destinées aux biocarburants, spéculation…
En Syrie, des sécheresses avaient favorisé les migrations et suscité le mécontentement. Mais impossible d’en conclure que la guerre devait découler de ces sécheresses, ou que sans cela, il n’y aurait pas eu de guerre. Des pays voisins ont souffert de la même manière de la sécheresse sans que cela ait eu les mêmes conséquences. La responsabilité du pouvoir syrien fut manifeste : incurie dans la gestion de la crise agricole, répression brutale des premières manifestations.
Une étude de 2013 parue dans la revue Science a semé le doute : elle concluait à une corrélation entre augmentation de la température ou des précipitations et risque d’affrontements. Mais sa méthodologie était discutable : données à la fiabilité douteuse, absence de distinction entre violence individuelle et collective, confusion entre variations météorologiques et évolutions climatiques, traitement de toutes les études comme indépendantes, non-prise en compte de celles qui n’allaient pas dans son sens…
Les déplacements liés à des causes climatiques sont progressifs et dépendants des opportunités qui se présentent ailleurs… Citons le GIEC : « Les facteurs environnementaux sont des déclencheurs et non des causes de la décision de migrer ».
L’émigration peut être une stratégie d’adaptation réduisant les risques dans les localisations vulnérables. Certaines évolutions locales du climat peuvent être associées à une augmentation de la productivité, et réduire les flux migratoires… Les flux de populations liées au changement de l’environnement ou du climat resteront exceptionnels et gérables. Le même raisonnement vaut pour les populations affectées par la montée du niveau de la mer. Pour l’instant, les communautés vivant sur les îles à faible élévation n’ont pas choisi de migrer ou le font pour des raisons économiques. Et certains pays (Bangladesh…) gagneront autant en surface par sédimentation qu’ils n’en perdront du fait de l’érosion. Enfin et surtout, il n’existe aucun lien robuste, dans la littérature scientifique, entre migration et conflit !
Et les catastrophes ? Le GIEC reste très prudent sur l’évolution des phénomènes extrêmes : il n’a qu’une « confiance modérée » dans la conclusion selon laquelle les vagues de chaleur sont plus fréquentes ou plus longues ; une « confiance faible » dans celle selon laquelle les sécheresses sont plus intenses ou plus longues, et dans la conclusion selon laquelle les ouragans sont plus intenses… Lorsque les désastres surviennent, ils conduisent souvent à réduire le risque de conflit : détente entre la Grèce et Turquie suite aux tremblements de terre de 1999, stabilisation du conflit d’Aceh suite au tsunami de 2004… Comme le souligne le GIEC, « les catastrophes peuvent offrir d’importantes opportunités pour construire la paix et améliorer la gouvernance institutionnelle dans les zones de conflit ».
Il n’est pas sérieux d’imaginer que la Russie et les pays occidentaux pourraient se faire la guerre pour le contrôle des routes circumpolaires ou celui des ressources inexploitées de l’Arctique. À échéance prévisible, ces routes ne seront ouvertes que quelques mois par an. Quant aux ressources, elles se trouvent pour la plupart à l’intérieur des zones nationales. Certes, la présence russe dans la région se renforce. Mais Moscou y agit de manière plutôt responsable.
Enfin, la chaîne de causalité qui va du réchauffement climatique à l’accroissement du risque terroriste – via l’affaiblissement de l’Etat – est tellement fragile qu’elle n’a aucun sens. Et penser qu’une éventuelle baisse des revenus pétroliers qui résulterait de la transition énergétique conduirait mécaniquement à limiter le terrorisme relève de l’incompétence géopolitique.
Les guerres naissent des choix et des erreurs des hommes : la nature de l’Etat est bien plus importante que l’état de la Nature. C’est aussi l’avis du GIEC : « Il est impossible d’établir avec confiance un lien de causalité entre changements climatiques à venir et conflictualité armée : il n’y a ni théorie ni preuve convaincante sur l’existence d’une telle causalité. »
La version plus subtile de cette thèse, selon laquelle le changement climatique pourrait être un facteur supplémentaire, un « accélérateur » ou un « multiplicateur », ne repose sur aucune démonstration convaincante et n’a donc aucune valeur prédictive. Les « guerres du climat » relèvent d’une vision apocalyptique du futur de la planète. Le changement climatique est porteur d’incertitudes pour l’avenir. Ce n’est pas une raison pour le dramatiser inutilement.
Source : Secret Défense
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Debout avec honneur, dans l’injustice.
En mai 2012, témoin d’une rixe, je suis intervenu pour protéger une jeune femme de 19 ans sévèrement touchée au visage. Mon intervention, que j’assume, fut légitime et proportionnée. Au-delà de toute surprise, cette intervention me vaut aujourd’hui une condamnation à de la prison avec sursis, rien que ça ! J’ai naturellement formé un pourvoi en cassation.Ce jugement rendu est à l’image de la Justice Taubira : partisan, immoral et écœurant.Alors que la Justice est toujours plus laxiste avec la racaille qui pourrit la vie des français, elle décide par idéologie de condamner un citoyen, sans histoire ni passif, qui a défendu une jeune femme lâchement et lourdement frappée au visage.Je rappelle que la victime de l’agression a témoigné en ma faveur à l’audience.Je rappelle que la loi m’obligeait à intervenir pour protéger la victime : « non assistance à personne en danger », article 223-6 du Code pénal, plus sévèrement réprimée que les faits pour lesquels j’étais poursuivi.Je rappelle enfin que ma qualité de victime d’agression a été établie. Ainsi, grands seigneurs, les juges m’ont accordé 500€ pour le préjudice moral…Mais voilà, au regard du jugement, j’aurai dû laisser faire, passer mon chemin.Le système judiciaire est devenu fou. D’ailleurs, lucides, 77% des français considèrent que la justice fonctionne mal en France.Les faits leur donnent raison :D’un côté, on critique les français qui avaient fermé les yeux devant l’agression de la jeune femme dans les transports Lillois, de l’autre on condamne ceux qui interviennent. Je pense à l’affaire connue d’Arnaud Gonnet, qui a tout mon soutien, condamné à de la prison avec sursis pour avoir stoppé l’agression sexuelle d’une de ses collègues.D’un côté, on relaxe un « humoriste » qui insulte une élue de la République de « conne », de l’autre on condamne Henri Guaino pour avoir critiqué des juges.D’un côté, on laisse libres des milliers de multirécidivistes de faits de violences ou de trafics de stupéfiants, de l’autre on condamne à de la prison ferme Nicolas Bernad-Buss, militant de « La Manif Pour Tous », pour avoir refusé des prélèvements d’empreintes digitales et photographiques en protestation de son arrestation arbitraire.D’un côté, la justice est incapable de protéger les petits commerçants des braqueurs multirécidivistes, de l’autre elle condamne régulièrement les commerçants obligés de se défendre par eux-mêmes.Nous pourrions poursuivre indéfiniment cette liste.Me concernant, d’un côté on me condamne, de l’autre on ne prend pas la peine de poursuivre l’agresseur de la jeune femme.Vous lisez bien, la plainte de la jeune femme victime de l’agression n’a jamais été instruite devant les tribunaux !Au passage, l’un des protagonistes est militant actif du Front de Gauche et de la CGT, leur avocate n’était autre qu’une porte-parole du FDG et avocate de Jean-Luc Mélenchon. D’ailleurs, sans aucun lien avec l’affaire, cette dernière a rappelé aux juges, dans ses conclusions, mon combat politique contre le tout Halal et mon soutien assumé à Éric Zemmour en 2010.Quand on pense au « murs des cons », au Syndicat de la Magistrature et au fait que la balance de la justice penche incontestablement à gauche, chacun est libre d’en tirer les conclusions qu’il voudra.Fut un temps, personne n’aurait voulu me condamner pour avoir neutralisé un homme frappant une femme. Mais ce temps est révolu. Aujourd’hui, le citoyen français intègre est coupable. Coupable de quoi ? On ne sait pas. Le délinquant est victime. Victime de quoi ? On ne sait pas, mais cela permet de justifier l’injustifiable.Certains parlent du suicide français. Il s’agit en réalité d’un meurtre. Meurtre aussi lent qu’inexorable. Ce meurtre menant la France au déclin est opéré par complicité de pans entiers de la société. De ce meurtre français, certains juges en sont les principaux bourreaux. Ils sont coupables et bientôt, espérons-le, l’Histoire les jugera sévèrement à leur tour.Face à cette forfaiture, je suis fier de mon acte. Je suis fier d’avoir défendu cette jeune Bryarde. J’ai la conscience tranquille. Si c’était à refaire, malgré les conséquences que je subis ce jour, je le referais. Mon éducation, ma droiture et mon honneur font qu’il m’est impossible de détourner le regard d’une agression au seul prétexte que la justice gauchisante pourrait me condamner pour cela. Oui, si c’était à refaire, je le referais.Pour le jeune homme que je suis, cette condamnation par la justice Taubira est une distinction d’honneur.De manière moins égocentrée, elle est un énième révélateur de la décadence de notre temps où les valeurs morales de l’honnête homme sont renversées, niées et détruites par le système soixante-huitard, par l’anti-France.Quant à vous, que feriez-vous face à une agression ? Interrogez votre cœur, posez-vous la question en vérité.Heureusement, il est encore des français pour se lever face aux violences, notamment dans une frange de la jeunesse de France, je la crois de plus en plus conséquente, qui ne courbe plus l’échine. Ni devant la violence inouïe de la société, ni devant ces juges de la honte.Je tiens à remercier ici ma famille, mes proches, mes amis et tous ceux qui m’ont soutenu. Je remercie également la victime qui a témoigné en ma faveur et sur qui je sais pouvoir compter. Je remercie enfin les milliers de Bryards qui ont choisi de me soutenir, qui savent ma probité et approuvent mon interventionEn partie grâces à eux, je reste debout dans l’injustice.« Les peuples ne peuvent se passer d’honneur. Nous paierons cher d’avoir cru en nous plutôt qu’en lui. » Georges Bernanos. -
L’enquête sur les attentats du 13 novembre progresse
Samedi, un délinquant de 25 ans, Mohamed S., a été mis en examen puis écroué pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle. Il est soupçonné d’avoir aidé à offrir un refuge à Abdelhamid Abaaoud, le chef opérationnel présumé des attentats. Il s’agit de la deuxième mise en examen dans l’enquête sur les attentats de Paris et de Saint-Denis, après celle de Jawad Bendaoud fin novembre. L’homme mis en examen samedi aurait servi d’intermédiaire entre Jawad Bendaoud et Hasna Ait Boulacen, qui recherchait une planque pour Abdelhamid Abaaoud. Par ailleurs, Salah Abdeslam, un des auteurs présumés des attentats, est toujours insaisissable.
En Belgique, huit hommes sont inculpés et emprisonnés à ce jour. Ils semblent intéresser plus directement l’enquête sur la cellule qui a fomenté et mené les attentats, que Mohamed S. et Jawad Bendaoud. Vendredi, le parquet fédéral belge a annoncé que les enquêteurs recherchaient deux hommes contrôlés le 9 septembre en Autriche avec Salah Abdeslam. Non identifiés, ils avaient produit deux fausses cartes d’identité belges au nom de Samir Bouzid et Soufiane Kayal. Deux autres suspects ont été inculpés en Belgique « dans le cadre des attentats de Paris », a déclaré un porte-parole du parquet fédéral, Eric Van Der Sypt. Selon la télévision publique flamande VRT, l’un d’eux est une connaissance d’un des kamikazes des attentats, Bilal Hadfi, qui s’est fait exploser au Stade de France.
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Attentats de Paris : Les mensonges de la classe dirigeante
Tribune Libre de Paysan Savoyard
Les partis de gouvernement et leurs relais intellectuels et médiatiques déploient depuis une semaine tous les artifices de la propagande. Avec un objectif majeur : empêcher que soit mis en évidence le lien de cause à effet entre les attentats et l’immigration. Les Français vont-ils une fois de plus majoritairement tomber dans le panneau ? Pour contribuer à l’éviter, dressons la liste de ces mensonges d’État.
« Les services de sécurité sont efficaces »
C’est faux, évidemment. Comme tous les autres attentats précédents, ceux qui viennent de se produire sont au contraire la preuve de l’inefficacité et du laxisme. Inefficacité des services de renseignement d’abord. Au moins deux des sept terroristes étaient fichés comme islamistes radicaux. Merah et Kouachi étaient eux aussi repérés comme radicaux. La surveillance dont tous ces individus faisaient l’objet, paraît-il, ne les a nullement empêchés d’agir (voir ces tribunes).
Laxisme de la justice ensuite. L’un des terroristes repéré comme djihadiste était également un délinquant de droit commun. Condamné à 8 reprises, il n’avait pourtant jamais été incarcéré. Merah et Kouachi étaient eux aussi des délinquants de droit commun. Et comme tous les délinquants, après avoir le cas échéant effectué un bref séjour en prison, ils s’étaient retrouvés libres comme l’air.
Laxisme des pouvoirs publics de façon générale. On vient ainsi d’apprendre que le gouvernement, pourtant confronté depuis le début du mandat de M. Hollande à une succession d’attentats et d’assassinats terroristes, a choisi de procéder depuis 2012 à une diminution des effectifs de police.
« Les attentats ne sont pas liés à l’accueil des réfugiés arrivés ces derniers mois en Europe »
C’est faux. Il semble établi qu’au moins un des terroristes s’est fait passer pour un réfugié. Deux autres terroristes pourraient avoir suivi la même voie. Différentes sources indiquent que de nombreux djihadistes auraient été infiltrés à la faveur de cette arrivée en masse de réfugiés. Après avoir dénoncé la présence de djihadistes parmi les « réfugiés » comme un fantasme, certains des membres de la classe dirigeante sont aujourd’hui contraints par les événements d’admettrel’évidence. M. Valls lui-même a dû reconnaitre que certains des auteurs des attentats « avaient profité de la crise des migrants (…) pour se glisser » parmi les « réfugiés ».
Profitons-en pour rappeler les principaux chiffres concernant les énormes flux migratoires qui sont en train de submerger la France et l’Europe. Selon l’UE, 800.000 « réfugiés » sont arrivés en Europe en traversant la Méditerranée depuis le début 2015. Ces chiffres ne comprennent pas les « réfugiés » arrivés par la terre, en Allemagne en particulier, après avoir traversé les pays balkaniques. L’UE prévoit l’arrivée en Europe de 3 millions de réfugiés d’ici 2017. Concernant la France, le gouvernement a indiqué que 30.000 « réfugiés » seraient accueillis d’ici la fin 2016.
Ces nouveaux flux viennent s’ajouter à l’immigration « habituelle » qui se produit depuis 40 ans. Rappelons là encore les chiffres concernant la France. Il y a chaque année, en France métropolitaine, 200.000 installations légales d’immigrés provenant de pays non européens (le chiffre pour 2014 est de 209.782) ). S’ajoutent à cela au moins 50.000 clandestins (ce sont les demandeurs d’asile déboutés, qui ne sont pas expulsés). Il faut tenir compte également des naissances issues de l’immigration : au moins 290.000 naissances par an en France métropolitaine sont issues de parents d’origine africaine ou arabe (37,2 % des 781.167 naissances en France métropolitaine ont fait l’objet du dépistage de la drépanocytose en 2014 ).
En tout, en déduisant les départs et les décès, ce sont au moins 400.000 immigrés non européens supplémentaires qui naissent ou s’installent chaque année sur le territoire. Les arrivées de « réfugiés » en cours viennent s’ajouter à ce flot.
« Ces attentats sont une atteinte à la République et à ses valeurs »
C’est faux. Les terroristes ne visent ni la république, ni ses valeurs : ce sont là des concepts qui les indifférent. Ils n’attaquent ni les Lumières, ni Voltaire, ni Rousseau, dont ils se contrefichent. Ils cibleraient la France de la même manière si, comme presque tous les pays d’Europe, il s’agissait d’une monarchie constitutionnelle et non d’une république. Ils visent la France, comme ils visent toute l’Europe, en tant que pays chrétien, occidental et peuplé de Blancs.
« La France est frappée parce qu’elle est en guerre contre Daech »
C’est faux. La France est une cible depuis plus de vingt ans. Une vague d’attentats commis par des immigrés musulmans a eu lieu en 1995, bien avant que ne s’engage le conflit syrien. De même la France n’était pas engagée en Syrie en 2012 lors des assassinats commis par Merah. Les assassinats terroristes de janvier 2015 n’étaient pas non plus liés à la situation au Moyen-Orient mais avaient pour motif revendiqué « les blasphèmes contre le Prophète« .
L’intervention de la France en Syrie est certes le motif ou le prétexte de la vague d’attentats d’il y a quelques jours. Mais la France est visée depuis des décennies pour plusieurs raisons entremêlées. Elle est visée en tant qu’allié des États-Unis et d’Israël.
Elle l’est en tant que pays chrétien et occidental. Au sein du camp occidental elle constitue une cible privilégiée parce qu’elle présente quatre caractéristiques. C’est un pays important, connu et touristique, ce qui donne aux attentats un retentissement particulier. C’est un pays où vit une importante communauté juive. C’est troisièmement un pays faible et défaitiste, gouverné par des politiciens souvent issus du gauchisme, adeptes de l’auto-flagellation et de la culpabilité, idéologues du « vivre ensemble » et de la société multiculturelle.
C’est un pays, enfin, où vit une très importante population issue de l’immigration, le plus souvent musulmane (l’ancien ministre Azouz Begag a ainsi affirmé il y a quelques semaines qu’il y avait en France 15 millions de personnes de culture musulmane) : cette population immigrée considérable constitue un vivier privilégié pour le terrorisme.
« Il faut lutter contre l’islamisme radical. Mais on doit rejeter les amalgames : la plupart des musulmans sont paisibles et désireux de s’intégrer »
C’est faux. Penser régler le problème du terrorisme en voulant rechercher et éliminer les radicaux est une illusion. Il n’existe pas, en effet, de solution de continuité entre les islamistes radicaux et les « musulmans modérés, désireux de s’intégrer et soucieux de respecter les valeurs de la république ». En dépit de leurs différences mutuelles et de la diversité de leurs origines, les musulmans composent une même communauté partageant l’essentiel.
La plupart des musulmans ne sont pas terroristes, certes. On constate toutefois que les attentats qui viennent de se produire donnent lieu à de nombreuses manifestations de soutien de la part d’immigrés. (voir notamment ici; ici; ici et là. Cela avait déjà été le cas à la suite des attentats de janvier.
En outre, tous les immigrés musulmans, radicaux comme modérés, partagent un certain nombre de fondamentaux. Ils habitent les mêmes quartiers, appartiennent aux mêmes familles, fréquentent les mêmes mosquées. Ils partagent la même religion, violente et anti chrétienne. Ils ont les mêmes opinions anti occidentales. Tous se pensent victimes du racisme des occidentaux. Au sein des communautés immigrées, les terroristes sont comme des poissons dans l’eau.
Il convient également ne pas oublier que, si les terroristes ne sont qu’une petite minorité, de très nombreuses personnes issues de l’immigration sont des délinquants. Rappelons les chiffres : 3,5 millions de crimes et délits officiellement recensés sont commis chaque année en France, la plupart du temps par des personnes issues de l’immigration. Les délits et plus généralement les actes émeutiers, les incivilités, les provocations et les intimidations commis par les immigrés constituent un « terrorisme du quotidien« , qui pèse sur la vie des Français de souche encore plus lourdement que les attentats.
Il existe sans doute des immigrés, musulmans ou non, qui ne sont ni islamistes ni délinquants, qui sont de braves gens et qui aiment sincèrement la France : mais ils n’auront pas voix au chapitre et seront contraints de suivre le mouvement impulsé par les radicaux et les violents.
« L’Islam est compatible avec la République »
C’est faux là encore. Précisons. L’’islam est peut-être compatible avec la république : mais il est incompatible avec la survie et la pérennité de la France et des Français.
La présence de musulmans en France et en Europe ne constituerait pas une difficulté s’ils s’y trouvaient en petit nombre. Ce n’est pas le cas : ils représentent au moins un quart de la population présente sur le territoire. La proportion est encore beaucoup plus forte si l’on ne prend en compte que les classes d’âge les plus jeunes. De même les immigrés, pour la plupart musulmans, sont majoritaires dans de nombreux quartiers. Dans ces conditions, l’islam et de façon générale l’immigration condamnent les peuples européens à devenir bientôt minoritaires dans leurs propres pays. De même l’immigration, en raison de son ampleur, provoquera si rien ne change la fin inéluctable de la civilisation européenne.
Notons en outre que la progression de l’islam ne pose pas qu’un problème quantitatif. L’islam est une religion de conquête. C’est une religion qui ignore la séparation du religieux et de la sphère civile et politique. L’islamisation et la conquête de l’Europe par les immigrés constituent une revanche du monde arabo-musulman contre l’occident, qu’il faut punir de ses méfaits et de sa domination passée.
Pour toutes ces raisons l’islam et l’immigration ne sont pas compatibles avec notre survie : ces phénomènes nous font au contraire courir un danger mortel.
« Pour mener la guerre contre le terrorisme, la France va prendre des mesures radicales »
C’est faux là encore. Les mesures évoquées ou décidées par le gouvernement et par ses opposants de droite sont des mesurettes qui resteront, à supposer qu’elles soient appliquées, sans effet significatif et durable. Pour être efficace, une politique de salut national devrait comprendre notamment les mesures suivantes :
- Changer la loi pour arrêter l’immigration légale.
- Cesser des délivrer des visas dans les pays d’immigration.
- Rétablir définitivement les contrôles aux frontières nationales.
- Rechercher les clandestins et les placer en rétention avant expulsion.
- Renvoyer les immigrés clandestins et les délinquants.
- Réserver les allocations, les prestations sociales et l’accès aux services publics aux Français de souche européenne.
- Supprimer l’accès à la nationalité par le droit du sol
Toutes ces mesures sont obligatoires et se tiennent l’une l’autre. Sans elles, la fin de la France et des Français est inéluctable.« Les Français doivent malheureusement apprendre à vivre avec le terrorisme »
C’est faux, une fois de plus. Et c’est là une affirmation scandaleuse. Comme nous venons de le dire, il est tout à fait possible de prendre des mesures efficaces pour rétablir la sécurité et permettre aux Français de redevenir rapidement largement majoritaires et maîtres chez eux. L’unique condition de mise en œuvre d’une politique efficace est la volonté de la mener.
Les Français doivent maintenant choisir. Veulent-ils voir s’appliquer une politique d’arrêt de l’immigration, de reconduite et d’incitation au départ des immigrés ? Ou préfèrent-ils vivre avec les attentats ? Préfèrent-ils vivre également avec la surpopulation dans les villes, la délinquance, la désorganisation des services publics et la ruine des systèmes sociaux, qui sont d’autres conséquences inévitables de l’immigration ? Préfèrent-ils devoir baisser les yeux et s’effacer devant les nouveaux maîtres ? A eux de choisir.
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On reprendra pour conclure, en le paraphrasant, l’aphorisme souvent cité de Bossuet : quand on ne veut rien changer aux causes, il est risible de venir pleurer sur les conséquences. La cause du terrorisme c’est l’immigration : sans immigration pas de terrorisme. Si l’on veut arrêter les attentats, il faut se débarrasser de l’immigration.
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Zoom : Gérard Pince : La guerre des ethnies aura bien lieu. (07-12-2015)