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insécurité - Page 887

  • Les islamistes tuent 2000 personnes et rasent 16 villages

    Cela se passe au Nigéria :

    "Le groupe islamiste Boko Haram a mené mercredi un nouveau raid meurtrier dans le nord-est du Nigeria, détruisant 16 localités des rives du Lac Tchad, a-t-on appris jeudi, jour où le président nigérian Goodluck Jonathan tenait son premier meeting électoral. 

    La ville stratégique de Baga, dont les islamistes avaient déjà pris le contrôle le weekend dernier, fait partie des localités rasées mercredi.

    Selon AP, Boko Haram pourrait avoir tué plus de 2.000 personnes. Amnesty International a évoqué vendredi le "pire massacre" jamais perpétré par le groupe extrémiste.

    20.000 déplacés 

    Un dirigeant local affirme que les victimes sont principalement des femmes, des enfants et des personnes âgées qui n’ont pas réussi à s’enfuir quand les islamistes ont attaqué Baga avec des armes automatiques et des grenades propulsées par fusées".

    Le Salon Beige

  • « Charlie Hebdo, libéral-libertaire, était devenu l’un des organes de l’idéologie dominante »

    Entretien avec Alain de Benoist

    Au-delà de l’indignation légitime quant au massacre perpétré dans les locaux de Charlie Hebdo, quelles leçons tirer de cet événement ? Faut-il y voir, comme certains médias, la preuve qu’une « guerre totale » est déclarée entre islam et chrétienté, Orient et Occident ?

    La manière abominable dont ont été massacrés les collaborateurs de Charlie Hebdo soulève le cœur, bien entendu. Et ce qu’il y a de plus difficile quand l’émotion submerge tout, c’est de raison garder. C’est pourtant ce qui est le plus nécessaire. S’imposer la distance intérieure qui permet d’analyser l’événement et d’en tirer des leçons. En face de quoi nous trouvons-nous ? En face d’une forme nouvelle de terrorisme, inaugurée en France avec les affaires Khaled Kelkal et Mohammed Merah. Elle se distingue des vagues de terrorisme précédentes (type 11 septembre ou attentat de Madrid), qui étaient conçues et mises en œuvre à partir de l’étranger par de grands réseaux internationaux organisés.

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  • Jean-Marie Le Pen : « Je suis Charlie Martel »

    Jean-Marie Le Pen est un homme cultivé. Son tweet envoyé durant les prises d’otages d’hier, « Restez calme et votez Le Pen. »,  faisait référence à une affiche « Keep Calm and Carry On » éditée par le gouvernement britannique à la veille de la seconde guerre mondiale.

    Un tweet qui en a indisposé certains.  Le HuffPost a voulu interroger Jean-Marie Le Pen. Il a répondu avec l’humour qu’on lui connaît:

    « Union nationale de mes fesses, nous sommes mis à l’écart. »

    « Qu’est-ce que c’est que cette histoire de récupération politique? On ne peut pas appeler à voter quand on veut? Est-ce que je dois m’habiller en noir? Je déplore la disparition de douze Français. Mais je ne suis pas Charlie du tout, je suis Charlie Martel si vous voyez ce que je veux dire! »

    http://www.medias-presse.info/jean-marie-le-pen-je-suis-charlie-martel/22574

  • En finir avec l’islam modéré – par Marc NOÉ

    Les Forces de Police et de Gendarmerie ont abattu les djihadistes. Tant mieux et bravo ! Trois de moins ! Après tout, deux de ces ennemis voulaient tuer un journal et ils sont morts dans une imprimerie. Le troisième voulait tuer des Juifs et il est mort dans un magasin casher !... En plus des armes de guerre, avaient-ils aussi le sens de l’humour ?...¢

    Toutefois, lorsqu’on songe que, pour une population donnée, l’Histoire montre qu’il faut envisager de 2 à 5% de guerriers, ce sont donc l’existence de 10 à 25 000 djihadistes et soutiens potentiels qu’il faut supposer sur notre Sol. Pour s’en convaincre, il suffit de considérer la réaction de beaucoup d’élèves musulmans dans les établissements scolaires, à la suite de l’attentat contre « Charlie Hebdo » (propos d’un professeur du 95 interrogé par J.J. Bourdin sur RMC).

    Au cours de l’interview, après que Bourdin eut vainement essayé de minimiser les propos des élèves, l'enseignant lui répond sans ambages : « Ils ont du mal à ne pas le justifier (l’attentat). Je dois admettre que, dans nos établissements, la laïcité, elle n'existe plus. Nous avons une jeunesse en perdition. On a une jeunesse qui parfois ressent une certaine haine envers la France. Ils n'admettent pas, ne se reconnaissent pas dans ses valeurs, notamment la liberté d'expression. Malheureusement dans certaines de mes classes ce n'est pas minoritaire », tout en ajoutant clairement que « les élèves en question sont d’origine extra-européenne ».

    Bourdin aura beau tortiller des fesses sur sa chaise, le professeur sait de quoi il parle.

    Mais naturellement, les pleutres des médias et de la politique continuent de nous servir leur soupe en rabâchant que l’islamisation n’est pas liée à l’immigration… Que les djihadistes n’ont rien à voir avec l’islam et que, de toute façon, ils sont minoritaires… Que la majorité des musulmans sont des modérés. Invités sur les plateaux TV par des rédactions serviles, de « savants » imams « modérés » viennent même nous expliquer que le djihad « n’est pas l’islam » car celui-ci est une « religion d’amour »… bla-bla-bla… des sornettes qui ne convainquent plus personne !

    Alors, de qui se moque-t-on !

    Il faut donc en finir avec cette fadaise de l’islam modéré. Dans l’islam, comme dans toutes les communautés, il y a des guerriers et des gens qui ne le sont pas. Et les guerriers sont toujours les moins nombreux. N’importe quelle tribu d’Afrique le sait parfaitement bien.

    Les djihadistes sont les guerriers de l’islam qui, dans la terminologie musulmane, est une véritable nation appelée l’oumma. On est dedans ou en dehors. Si on est en dehors, on est un mécréant, tout juste bon à payer l’impôt religieux ou à crever sous la lame. Venir affirmer que l’islamisation n’a aucun rapport avec l’immigration musulmane est donc d’une bêtise et d’une lâcheté sans nom. L’islam n’est pas né par génération spontanée en Europe.

    Quant à l’islam modéré, là aussi il y aurait de quoi rire si les évènements répétés que nous connaissons tous ne venaient infirmer cette ânerie.

    Là encore, l’Histoire le montre de manière évidente : bon gré mal gré, les musulmans dits « modérés » ont toujours basculé du côté de leurs guerriers.

    À cet égard, le président du gouvernement provisoire kabyle, actuellement en exil à Paris, Ferhat Mehenni, résume parfaitement la situation :

    « L’islam c’est l’islamisme au repos et l’islamisme, c’est l’islam en mouvement. C’est une seule et même affaire. »  Et lui aussi sait très bien de quoi il parle.

    D’ailleurs :

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui réclament des menus halal dans les cantines scolaires, dans nombre d’entreprises, dans les prisons ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui demandent le retrait des arbres et des crèches de Noël, au mépris de toutes nos Traditions ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui ont refusé à maintes reprises d’aller se battre contre leurs « frères » alors qu’ils ont signé des contrats d’engagement dans l’Armée Française ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui réclament des rations halal dans les Corps de Troupes ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui exigent des heures de fréquentations particulières et séparées pour les hommes et les femmes dans les piscines ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui agressent les personnels hospitaliers en exigeant que les femmes ne soient soignées que par des femmes ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » qui veulent faire autoriser le port du voile en France ?...

    Chaque lecteur pourrait ainsi poursuivre cette liste à ma place car je ne fais que citer des faits connus de tout un chacun.

    Au fait, avez-vous déjà entendu un imam protester contre ces revendications par respect de la laïcité ? Bien sûr que non. « Y faut pas prendre les enfants de mahomet pour des connards sauvages ! »

    Et puis, une idée toute bête… Faites donc enterrer les corps des djihadistes dans des peaux de cochons. C’est ce que faisait l’armée britannique dans certaines régions de son empire pour frapper l’esprit des rebelles. Vous verrez bien alors la réaction des « modérés » et si le djihad n’a rien à voir avec l’islam ! Il y a plein d’idées comme ça… Cherchez bien !

    Alors oui, il faut en finir avec ce mythe de l’islam modéré et ouvrir les yeux car les attentats et leur cortège de morts vont continuer tant que le mal ne sera pas éradiqué à sa source.

    La solution ?... Tout le monde ou presque la connait : c’est la remigration, le retour au pays… le RAP puisque beaucoup semblent aimer ça ! Alors qu’ils ne s’en privent pas… on veut bien même leur flécher le parcours… mais je doute que cela se fasse dans la joie et la bonne humeur ! Il vaut mieux le savoir à l’avance.

    Mais imaginez un peu les conséquences : au moins 1 million de logements libérés pour loger NOS plus démunis… des tas de chômeurs en moins… des milliards d’économies pour la Sécurité Sociale…  les prisons vidées de près de 80% de leurs prisonniers… les crimes et délits revenus à une fréquence plus « normale »… le calme et la sérénité restaurés dans maints établissements scolaires… plus de mosquées à financer par les collectivités locales… les existantes pouvant être récupérées et, la mode étant au recyclage, transformée en superette… la sécurité rétablie dans nos rues, même tard le soir… Plus de voitures brulées au Nouvel An… Comme avant, quoi ! Ce que ne connaissent malheureusement pas les jeunes de moins de 30 ans. Alors, faites-vous plaisir : continuez d’imaginer et faites-en profiter votre entourage !... Cela s’appelle de la liberté d’esprit.¢

    « Imagine all the people,

    Living life in peace… »

    John Lennon

    http://www.francepresseinfos.com/

  • France 2 publie de nouvelles images de l’assaut contre le magasin Hyper Cacher

    Attention, ces images peuvent choquer la sensibilité des plus jeunes et des personnes non-averties.

    http://www.contre-info.com/

  • Coulibaly et les bons calculs de la Justice : 2013+5 = 2014

    Coulibaly fut condamné à 5 ans de prison en décembre 2013 :

    "Amedy Coulibaly avait été condamné pour le projet d'évasion d'un autre djihadiste présumé, Smaïn Ait Ali Belkacem, en 2010, dossier dans lequel Chérif Kouachi avait lui-même été mis en examen avant de bénéficier d'un non-lieu. Smaïn Ait Ali Belkacem avait été condamné en novembre 2002 à une peine de prison à perpétuité pour sa participation à l'attentat de la station RER Musée d'Orsay, en octobre 1995.

    Le procureur de la République de Paris avait requis trois ans d'emprisonnement à l'encontre d'Amedy Coulibaly en novembre 2013 «pour avoir préparé un projet d'évasion et un attentat de grande ampleur», selon des témoins de l'époque. En décembre 2013, celui qui est surnommé par ses complices «Doly de Grigny» ou «le petit noir de Grigny» a été condamné à cinq ans ferme.

    Le Salon Beige http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Charlie Hebdo et Montrouge : mort des trois terroristes islamistes

    Au bout d ela traque, la mort. C’est ainsi que les deux frères Kouachi et Amédy Coulibaly ont achevé leur course terroriste. Ces trois islamistes ont été tués lors de l’intervention respective du GIGN et du RAID en fin d’après-midi pour mettre fin aux prise d’otages à Dammartin-en-Goële et dans l’hypermarché casher porte de Vincennes, à Paris. Les trois islamistes ont été tués en attaquant les forces de l’ordre. Ils sont morts en martyrs comme ils l’avaient annoncé.

    Si à Dammartin-en-Goële le GIGN a pu éviter l’exécution de l’otage, à Paris on déplore la mort de 4 otages.

    Alors que les terroristes ont revendiqué ouvertement leur appartenance à l’islam, François Hollande et manuel Valls ont comme par hasard affirmé que l’islam n’était pas en cause dans ces actes terroristes…


    Assaut final du GIGN à Dammartin : les frères… par leparisien

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  • Début de panique chez les “élites” ?

    Dans le contexte de menace terroriste majeure à laquelle la France est confrontée depuis mercredi, la gestion de la protection des personnalités est devenue extrêmement délicate. Au cabinet du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, on se refuse à livrer des noms. «C’est une question de sécurité et nous n’exposerons pas la vie des personnes», déclare au Figaro un conseiller du ministre.

    Le sujet est d’autant plus sensible que

    «des dizaines de demandes ont afflué à Beauvau en 24 heures, de la part de personnalités se sentant en danger»,

    confie un haut fonctionnaire de police. Au point que le ministère a dû organiser une réunion pour faire un «tri», selon des critères draconiens.

    Les bénéficiaires d’une équipe de gardes du corps préfèrent ne pas trop ébruiter la chose.

    Et ceux qui se sont vu refuser cette «faveur» peuvent nourrir une certaine frustration.

    À Paris, la Préfecture de police a accordé des agents en tenue pour protéger des bâtiments de presse notamment.

    Mais la protection individuelle dépend de la Direction générale de la police nationale (DGPN). Les anges gardiens qu’elle dépêche sont alors prélevés au sein de l’ex-Service de protection des hautes personnalités (SPHP), rebaptisé récemment Service de la protection (SDP).

    Composée de 770 agents surentraînés, dont une quarantaine de femmes, cette unité d’élite protège déjà à l’année des dizaines de personnalités, au premier rang desquelles figurent le chef de l’État et les membres du gouvernement.

    L’Unité de coordination de la lutte antiterroriste (Uclat), rattachée au DGPN, jauge le risque réel.

    «Tout est apprécié au cas par cas, et un diagnostic est rendu, enrichi d’une échelle de risques graduée de 4 (normal) à 1 (très élevé)», dit l’un de ses membres.

    «Ce n’est jamais la personnalité menacée qui définit la dimension de son dispositif de protection», précise-t-il.

    Aveuglés par la haine, extrémistes et fondamentalistes peuvent se focaliser sur une cible, en lui envoyant des colis suspects, des balles dans des enveloppes ou en multipliant les appels anonymes. Certains sont prêts à passer à l’acte coûte que coûte.

    Dans son rapport publié en 2010 sur la protection des hautes personnalités, la Cour des comptes préconisait la réduction des dépenses des «bodyguards» de la République.

    Selon les calculs de la juridiction financière administrative française,

    le budget moyen d’un policier affecté pour ce type de contrat s’élèverait à 71.879 euros par an.

    Une somme à apprécier au regard de ce que vaut une vie.

    http://fortune.fdesouche.com/370917-debut-de-panique-chez-les-elites

  • L’unité nationale n’est pas possible !

    Hélas la réalité finit toujours par nous rattraper et elle fait mal.

    Après le drame de Charlie Hebdo, la prise de conscience amère, et les réactions, l’espace d’un instant, on a cru pouvoir retrouver une unité nationale que l’on croyait perdue. La France est attaquée et les Français se retrouvent pour faire front commun contre la barbarie.

    Très vite sont organisés, partout en France, des rassemblements en soutien aux victimes et surtout à leurs familles. Des foules disparates, de toutes obédiences politiques et religieuses. J’ai espéré y voir la réponse appropriée au Suicide français. Non, M. Zemmour, le peuple français ne meurt pas, il se révolte !

    Lire aussi : Non, je ne suis pas Charlie !

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  • Médias : droit d'informer et devoir de se taire

    Vincent Trémolet de Villers plaide pour le droit d'informer et le devoir de se taire, et explique dans le Figarovox comment l'information en temps réel peut nuire à une enquête, notamment du type de celle concernant les tueurs de Charlie hebdo :

    [...] "Le massacre de Charlie Hebdo depuis mercredi 11 h 30 est devenu une gigantesque édition spéciale. Cet effet médiatique, les terroristes et les criminels sont les premiers à l'avoir intégré. [...] Les barbares 2.0 sont les héros d'une série qu'ils ont eux-mêmes écrite. Ainsi nous vîmes mercredi matin, dans une vidéo insoutenable, l'un des terroristes achever un policier à terre comme dans un geste «appris» à la télévision. [...]

    L'art de l'enquête comme celui de la guerre exige, en effet, de connaître, sans qu'il le sache, les intentions et la stratégie de l'adversaire. Avant l'information continue et les réseaux sociaux, les journalistes suivaient minute par minute le travail de la police, mais les éléments qui filtraient étaient le plus souvent «sous contrôle». C'était il y a un siècle. Aujourd'hui, le criminel traqué ajoute au GPS de sa voiture la géolocalisation permanente de ses poursuivants à laquelle il a accès en temps réel.[...]

    C'est qu'au cœur de cette course-poursuite les journalistes sont lancés, eux aussi, dans une épreuve de rapidité et d'endurance.Cette frénésie contrarie le plus souvent le travail de la police.[...]

    Hugues Moutouh, l'ancien conseiller spécial de Claude Guéant et auteur de 168 heures chrono, la traque de Mohamed Merah, le confirme. «Lors d'une enquête judiciaire sensible, affirme-t-il, le plus souvent les médias sont un boulet.» Lui reviennent les erreurs des chaînes d'informations continues qui semaient la confusion au plus haut niveau de l'État. Ainsi, le directeur de cabinet de François Fillon ne savait plus que croire entre les rumeurs de fuite, de mort ou de reddition. Le télescopage entre l'enquête policière et l'enquête journalistique qui a fait perdre quelques précieuses heures aux services d'enquête. La crainte enfin d'une fuite médiatique au moment de la tentative d'interpellation. [...]

    Instaurer des règles? Une seule est fiable: la responsabilité personnelle. Ce que Pierre Péan, l'un des plus chevronnés de la prestigieuse confrérie des enquêteurs, exprime en ces termes: «Ma règle essentielle n'est pas propre au journalisme: je tiens à me regarder dans la glace le matin sans dégoût. J'estime que j'ai le droit, voire le devoir, de ne pas tout dire ce que je sais. Le journalisme, ça n'est pas seulement trouver, mais c'est choisir.»"

    Marie Bethanie