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insécurité - Page 885

  • Encore un déséquilibré musulman…

    Un jeune homme de 23 ans tente d’étrangler un policier au cri d’« Allahu Akbar », forcément c’est un malade mental. Beaucoup de déséquilibrés font parler d’eux en France ces dernières semaines.

    Lu sur Estrepublicain.fr : Jusque-là, il s’était montré calme et conciliant. Jusque-là, il n’y avait pas de problème avec ce jeune homme de 23 ans, placé en garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police de Metz depuis hier matin, pour une simple histoire de vol à la tire commis dans le quartier de la gare.

    Le policier chargé des geôles n’avait aucune raison de se méfier particulièrement. Lorsque le gardé à vue lui a demandé à se désaltérer, en début d’après-midi, l’agent a ouvert la porte pour lui donner un verre d’eau. « Et il lui a sauté dessus », explique le commissaire Dominique Rodriguez, directeur départemental adjoint de la Sécurité publique de Moselle. En criant « Allahu Akbar » d’après une note transmise, hier soir, à la direction centrale de la police nationale.

    Des antécédents psychiatriques

    Le fonctionnaire a été surpris, l’homme a profité de la situation pour prendre le dessus. « L’agent s’est retrouvé sur le dos. Et l’individu s’est mis à l’étrangler à mains nues », décrit le commissaire. Dans la salle des geôles, un système de sécurité permet de sonner l’alerte en cas de problème. Mais le policier n’est pas parvenu à appuyer sur le bouton d’alarme. « Il y a aussi des images de vidéosurveillance transmises à deux endroits différents. C’est comme ça qu’un collègue a envoyé une équipe pour secourir la victime. » Il a fallu cinq hommes de la Section d’intervention pour maîtriser le forcené d’origine turque.

    Le policier agressé s’en sort avec des marques au cou. Et cinq jours d’ITT. « D’après le médecin, qui l’a vu, il s’en est fallu de quelques secondes », assure Michaël Philippart (SGP Police FO). Le parquet poursuit l’agresseur pour violences aggravées. En creusant son passé, les policiers ont découvert des antécédents psychiatriques. « Il a fait plusieurs séjours à Jury. Et visiblement, cela faisait une quinzaine de jours qu’il ne prenait plus de cachets », indique le commissaire. L’hôpital spécialisé de Jury, c’est là que le jeune homme a été placé dans la foulée. N’est-ce qu’un illuminé ? L’enquête judiciaire devra le dire, même si elle s’est arrêtée pour le moment en raison de la santé psychologique de l’auteur des faits.

    Des fonctionnaires se demandaient, hier, s’il était admissible qu’un seul agent se trouve à ce moment-là dans les geôles. « Il n’y avait que deux gardés à vue. Qui n’étaient pas virulents. Un policier suffisait », estime Dominique Rodriguez.

    http://www.contre-info.com/encore-un-desequilibre-musulman#more-36137

  • Plusieurs blessés dans une rixe entre 200 migrants à Calais

    Des affrontements entre près de 200 migrants ont éclaté dans la nuit de vendredi 2 à samedi 3 janvier à Calais, faisant sept blessés légers. Les bagarres ont eu lieu durant une partie de la nuit dans la zone des dunes, et un calme relatif est revenu vers 3 heures du matin après l’intervention de CRS. Les sept blessés ont été évacués par des pompiers.

     

    Un rixe entre des migrants à Calais en août 2014. | AFP/FRANCOIS LO PRESTI

    Selon Christian Salomé, de l’association l’Auberge des migrants, qui distribue des repas, les tensions et des bagarres ont débuté mercredi 31 décembre entre des migrants africains et afghans. « Les gars sont sous tension car il n’y a eu aucun camion allant en Angleterre cette nuit-là », en raison de la Saint-Sylvestre.

    Le mercredi est traditionnellement un jour attendu par les migrants car les camions partis le lundi d’Europe de l’Est traversent la Manche le mercredi, leur offrant des possibilités de passage clandestin.

    HANGAR FERMÉ

    A la fin des repas vendredi, une première bagarre a éclaté, avant que les représailles ne se poursuivent durant la nuit. « Certains se sont alcoolisés, notamment les Africains, ce qui a pu générer des tensions avec les Afghans, qui ne boivent pas », a indiqué Christian Salomé. « Avec le temps pluvieux que l’on a aujourd’hui, les esprits devraient se calmer. »

    La suite sur Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Plusieurs-blesses-dans-une-rixe

  • Les Baumettes : "cela n'est plus une prison, c'est un centre de vacances"

    Les prisons version Taubira seront peut-être rachetées par les chinois, comme le Club Med :

    Ils ont tous des téléphones portables, le sport, l'école, des activités, la télévision avec en prime Canal+), alors que la majorité des gens à l'extérieur n'ont pas les moyens de se payer l'abonnement : cela n'est plus une prison, c'est un centre de vacances». Catherine Forzi, de Force Ouvrière, ne mâche pas ses mots. Dans le journal La Provence, elle exprime son indignation face à la découverte d’une page Facebook, supprimée depuis par la direction de la prison, où les détenus posent, tout sourire, avec, entre autre, des téléviseurs, de la drogue, des téléphones portables ou des très grosses sommes d’argent… «Très franchement, seule une infime partie a l'air de souffrir d'être en prison» déclare à nouveau la syndicaliste dans le journal local."

    Michel Janva

  • Le gouvernement recrée les Renseignements généraux

    Au-delà des divers prétextes sécuritaires et motivations politiciennes, il est sûr que le gouvernement socialiste craint les mouvements d’opinion contestataires comme ceux qui se sont multipliés depuis l’accession de F. Hollande à l’Elysée, et que, plus généralement, la République poursuit la mise en place d’un flicage généralisé de la population.

    PS : on peut encore se procurer ici les mémoires de l’ancien patron des RG Yves Bertrand mort en 2013.

    Vu sur BFM :

    « Supprimés en 2008, les célèbres « RG » chargés de renseigner le gouvernement sur l’état de l’opinion et les mouvements sociaux, viennent d’être discrètement recrées sous le nom de Service central de renseignement territorial. Ce dernier doit aussi lutter contre l’économie souterraine.

    Les « grandes oreilles » sont de retour. Les grandes oreilles, c’était le nom donné aux Renseignements généraux, les fameux « RG », ce service de police crée en 1908 et chargé de renseigner le gouvernement sur l’état de l’opinion et « surveiller » hommes politiques, journalistes, responsables économiques et sociaux.

    En 2008, à l’occasion d’une réforme du ministère de l’Intérieur, les RG ont officiellement été supprimés et leurs effectifs dispersés dans d’autres structures. Priorité a alors été donnée à la lutte contre le terrorisme et les activités liées à l’islamisme radical.

    Hausse des effectifs en 2015

    Pourtant, au détour du tout récent rapport de la Délégation parlementaire au renseignement, co-présidée par l’ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin, on apprend qu’un Service central de renseignement territorial (SCRT) vient de voir le jour.

     

    Implanté dans chaque département (voir schéma ci-dessous), il est composé de 1.900 fonctionnaires de police (contre 3.900 pour les ex-RG) et de quelques dizaines de gendarmes. Mais les effectifs devraient augmenter en 2015. A ceux-ci s’ajoutent 700 policiers de la préfecture de police de Paris également chargés du renseignement.

    Le nouveau SCRT s’est aussi vu attribuer 108 autorisations d’écoutes téléphoniques par an. En revanche, il ne disposera pas d’une véritable base documentaire avant 2017, estime le rapport parlementaire.

    Cyber renseignement

    Si le nom change, les missions restent voisines de celles des anciens RG. Une circulaire gouvernementale citée dans le rapport parlementaire précise que « les renseignements recherchés concernent tous les domaines de la vie institutionnelle, économique et sociale susceptibles d’entraîner des mouvements revendicatifs ou protestataires ». Le nouveau service dispose ainsi d’une importante division dénommée « information économique et sociale » spécialisée dans la recherche de ce type d’informations. Exactement comme les anciens RG.

    L’exécutif veut également être mieux renseigné sur les activités en province des militants écologiques violents qui contestent des projets d’aménagements comme le futur aéroport de Notre-Dame des Landes ou le barrage de Sivens.

    Mais les agents du SCRT devront aussi  » par leur implication dans la détection des phénomènes violents et la veille des quartiers sensibles » participer « à la lutte contre la délinquance liée principalement à l’économie souterraine », ajoute la circulaire.

    Elle précise aussi que « ce champ de compétence induit des modes de fonctionnement qui feront appel à des méthodes de recherche opérationnelle ainsi qu’au développement du cyber-renseignement ». En clair, le suivi des informations postées sur internet.

    Sonder les chefs d’entreprise

    Les esprits chagrins feront remarquer que la renaissance de ces Renseignements généraux sans le nom intervient alors que se profilent les élections présidentielles et législatives de 2017. Une période où l’exécutif est très demandeur d’informations sur l’état de l’opinion !

    Mais l’exécutif a aussi constaté depuis 2008 et la suppression des anciens RG que les informations sur la situation économique et sociale dans les départements avaient été négligées par le ministère de l’Intérieur. Les policiers du SCRT devront donc renouer des contacts avec les chefs d’entreprises pour évaluer par exemple les risques de grève.

    RAPPEL sur les services de renseignement français :

    > La Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Créée en 2008 et réformée en 2013, elle a succédé à la Direction de la surveillance du territoire (DST). Elle est principalement chargée de lutter contre les activités terroristes sur le sol français.

    > Le Service central de renseignement territorial (SCRT). Héritier des RG et implanté dans chaque département, il est chargé d’informer l’exécutif sur l’état de l’opinion et la situation économique et sociale.

    > La Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Dépendant de la Défense, elle collecte les renseignements à l’étranger. Elle dispose également d’un « service action » composé de militaires et chargé des opérations dites « spéciales ».

    > La Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED). Les Douanes disposent d’un service peu connu chargé de collecter les informations sur les grands trafics internationaux, armes, stupéfiants, tabacs…

    > Tracfin. Dépendant de Bercy, ce service est chargé de récolter les informations sur les circuits financiers clandestins, le blanchiment d’argent, et le financement du terrorisme. »

    http://www.contre-info.com/le-gouvernement-recree-les-renseignements-generaux#more-36101

  • Les « chances pour la France » se sont encore bien amusées le 31 décembre

    Le ministère de l’Intérieur est fier de vous annoncer les chiffres de la nuit dernière :

    940 voitures ont été incendiées sur le territoire français contre 1067 l’an dernier, ce qui représente une baisse de 12 %.

    Par ailleurs, 308 interpellations ont eu lieu contre 322 l’an dernier pour 251 gardes à vue contre 221 l’an passé.

    « Il n’y a pas eu d’incident majeur (sic), note Pierre-Henry Brandet, le porte-parole du ministère de l’Intérieur, interrogé sur BFMTV. Il y a des foyers éparpillés. Les incendies ont notamment eu lieu dans l’Est, le Bas-Rhin. En région parisienne, la Seine-Saint-Denis a été particulièrement touchée ».

    La baisse de 12% est probablement le résultat de la politique intransigeante et efficace que mène l’État contre les colons extra-européens.

    http://www.contre-info.com/

  • Emeutes urbaines : silence médiatique

    VPuisqu'on ne peut pas compter sur le ministère de l'intérieur, il faut se reporter sur la réinfosphère, en l'occurrence chez FDesouche, pour avoir quelques informations compilées sur les évènements de la nuit dernière. Avant midi, les informations remontaient plus de 200 véhicules incendiés, un mort à Paris, quelques policiers blessés. Il y a bien eu des interpellations tout au long de la nuit mais il apparaît difficile d'en faire un bilan.

    Nous avons connu la presse plus prolixe lors de certaines manifestations.

    Michel Janva

  • Roman Polanski, ce violeur pédophile qui a toujours échappé à la justice

     

    Le tribunal de Los Angeles vient de refuser de mettre un terme aux poursuites contre le cinéaste Roman Polanski, né Raymond Thierry Liebling (et dont le père, juif polonais, avait fait changer le nom).

    C’est en mars 1977 que Roman Polanski avait violé une gamine de 13 ans. Samantha Geimer s’était retrouvée dans la maison de l’acteur Jack Nicholson, sur Mulholland Drive à Los Angeles, pour une séance de photos avec le réalisateur Roman Polanski. Le cinéaste lui avait fait boire du champagne, accompagné d’un sédatif, puis avait abusé d’elle.

    Samanta, 13 ans, violée par Roman Polanski après une séance de photos

    Samanta, 13 ans, violée par Roman Polanski après une séance de photos

    La jeune victime, en rentrant chez elle, écrira dans son journal intime : « Roman Polanski m’a prise en photo aujourd’hui. Il m’a violée, merde ! »

    L’enquête révélera les détails les plus sordides de ce viol, jusqu’au fait que le cinéaste avait sodomisé la gamine dans le jacuzzi de cette villa où il l’avait invité.

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  • Paras lynchés : le silence de Taubira

    Lu dans Valeurs Actuelles :

    "A Tarbes, ville de garnison du 35ème régiment d'artillerie parachutiste, le déni d’intérêt concernant l’un de leurs camarades mort en Guyane dans d’atroces conditions fait mal. L’affaire remonte à octobre mais la colère est toujours là. Père de deux enfants, Teva Paeahi, avait 35 ans. Cet artilleur para originaire de Tahiti servait à Kourou dans le cadre de la protection du centre spatial. Le 24 octobre, en permission avec un groupe de copains, il participe à une rixe dans une boite de nuit.

    Les bérets rouges ont le dessus sur les civils guyanais mais ils poursuivent leurs assaillants dans la rue. Tout le monde a trop bu.Un 4 x 4 conduit par une femme surgit. Son passager lui crie :« Shoote-les ! » La voiture fonce et fauche deux paras. La conductrice s’arrête, « paniquée » selon son avocate. Encouragé par des badauds, son passager reprend le volant, fait demi-tour et roule sur Teva Paehi. Délibérément, racontent les témoins.Involontairement, assure son avocat. Le bassin et le thorax écrasés, Teva Paehi décèdera quatre jours plus tard. Un autre para est blessé. Placés en détention provisoire, l’homme et la femme ont été mis en examen pour « tentative de meurtre ».

    L’alcool, la haine et la violence extrême – jusqu’à la mort ! – sont au cœur de cette affaire. S’agit-il d’un accident ou d’une discrimination meurtrière, allant jusqu’au lynchage, à l’égard de compatriotes portant l’uniforme français ? Un crime raciste ? Le régiment refuse tout commentaire. La famille para serre les dents, choquée de l’apparente indifférence des parlementaires et des médias, au regard du battage médiatique et politique qui suivit la mort accidentelle de l’éco-guerrier Rémi Fraisse, le 26 octobre à Sivens.

    La discrétion du gouvernement français, surtout de la ministre de la Justice Christiane Taubira, proche du combat indépendantiste guyanais, peut étonner. Ils sont d’habitude si prompts à dénoncer la violence et le racisme, partout où il se trouve. Et même là où il n’est pas. En novembre, après la mort d’un noir tué par la police à Ferguson, Taubira avait posté un tweet insultant la police américaine : « S’agit-il de les tuer avant qu’ils ne grandissent ? » On attend encore son tweet pour saluer la mémoire du brigadier-chef Teva Paehi."

    Michel Janva

  • Méridien Zéro : « Approches d'une géopolitique des mafias » | Émission du 19 décembre 2014 | Avec Maurice Gendre.

    Vendredi 19 décembre 2014, Méridien Zéro vous propose une très longue émission en deux parties.

    - La première portera sur les mafias et organisation criminelles à l'ombre de la mondialisation, avec Maurice Gendre, monsieur K. et monsieur PGL. Sans prétention exhaustive ou même "savante", l'émission permettra d'envisager certains aspects d'un phénomène qui, mieux que d'autres, manifeste bien le caractère néfaste du libéralisme et de la globalisation. 
    - En deuxième partie, vous pourrez écouter deux entretiens enregistrés lors de la Table ronde de Terre & Peuple, le 7 décembre dernier, avec Gabriele Adinolfi et Georges Feltin-Tracol. 
    Nos deux invités évoqueront leur actualité éditoriale ainsi qu'un projet de structure transeuropéenne, les Lansquenets d'Europe.

    A la technique, Jean-Louis Roumégace.
    Une émission exceptionnelle à écouter ici.

  • « Haute menace terroriste » en France, selon le site gouvernemental du Royaume-Uni

    Le site gouvernemental du Royaume-uni prévient ses ressortissants en voyage en France :

    « Après l’incident à Nantes dans la soirée du lundi 22 décembre qui a abouti à un certain nombre de blessés, nous travaillons avec les autorités françaises pour établir des détails complémentaires. (…)

    Il y a une haute menace  terroriste. Les attaques pourraient être aveugles. En raison des menaces en cours en France par des groupes Islamistes et l’intervention militaire française récente contre l’Etat Islamique, le gouvernement français a conseillé au public d’être très vigilant et a renforcé ses mesures de sécurité  intérieures et étrangères. Des incidents précédents, attribués aux extrémistes islamistes,  ont inclus des tirs contre 3 soldats et 4 civils à Toulouse et une attaque au couteau sur un soldat près de Paris. Voir la section sur le Terrorisme. (…) Nous vous conseillons d’être vigilants en ce moment »

    Voilà qui tranche avec les propos apaisants de Cazeneuve destinés à faire croire aux Français que des fous ont par un curieux hasard décidé chacun de leur côté de commettre des actes violents en se référant systématiquement à l’islam.

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