Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 910

  • "Parce que nous sommes chrétiens, ils veulent nous tuer"

    Dans l'avion qui les conduit jeudi en France, 2 réfugiés chrétiens d'Irak racontentla peur, la terreur, les menaces :

    "Bien avant leur arrivée, j'avais reçu trois menaces directes, sur mon téléphone portable". "Il y a huit ans, j'avais déjà dû quitter Mossoul, où nous les chrétiens n'étions plus en sécurité, pour me réfugier à Qaraqosh". "Quand ils sont arrivés aux portes de la ville, nous sommes partis pour Erbil, où nous avons été accueillis par le gouvernement kurde, qu'il en soit remercié". "Les djihadistes violent les femmes, les filles, kidnappent les gens, c'est très dur. On a des amis, des musulmans, qui sont très gentils, mais eux, on ne sait pas pourquoi ils font ça. Parce qu'on est chrétiens, c'est tout. Il y a beaucoup de chrétiens qui veulent venir en France ou en Europe, parce que c'est impossible de vivre avec les gens qui nous haïssent. Nous sommes humiliés, persécutés, on ne peut plus vivre comme ça". "On va recommencer à zéro, c'est dur, mais ce sera mieux pour nous que de vivre toujours sous la menace, dans l'insécurité, toujours, à Qaraqosh, à Mossoul, en Irak."

    "Déjà en 2005, à l'université de Mossoul, ils m'avaient menacée et obligée à porter le voile, parce que c'était le ramadan. Je l'ai porté pendant deux semaines, si je ne l'avais pas fait, ils m'auraient tuée." "Ils sont effrayants, ils veulent nous forcer à nous convertir, nous transformer en musulmans". "Parce que nous sommes chrétiens, ils veulent nous tuer. Si nous étions restés, nous avions le choix entre nous convertir ou leur payer un impôt, tous les mois. Nous avons tout quitté en quelques heures, c'était horrible. La France est notre dernière chance, nous n'avons plus rien, plus de maison, plus de travail, nous avons tout perdu. J'étais professeur, d'anglais, désormais je ne suis plus rien." 

    Michel Janva

  • Marchandisation des enfants : les pédophiles se frottent les mains

    Abandonner un enfant que vous avez adopté, mais dont vous ne voulez plus, et le revendre à de nouveaux parents,  c’est déjà une réalité sordide aux États-Unis

    Internet regorge de forums spécialisés en commerce d’enfants. Un marché à deux vitesses. Une adoption internationale se négocie 20.000 dollars en moyenne. Un enfant que les parents adoptifs mettent à la revente se négocie au rabais environ 3.500 dollars, plus frais d’agence, déductible d’impôts si vous êtes citoyen américain.  Aux Etats-Unis, on appelle cela le « rehoming« . Des centaines d’agences privées en ont fait leur activité très lucrative. On y vend des enfants, mais en seconde main, comme une simple voiture d’occasion.

    Les parents adoptifs qui veulent se débarrasser d’un enfant postent une annonce en ligne avec une description de l’enfant (âge, physique, caractère, …). Une simple procuration chez le notaire suffit à transférer l’enfant d’un couple de parents à un autre.

    child-exchange-logo-mpi

    Yahoo et Facebook n’ont aucun problème de conscience à se faire les complices de ce marché en hébergeant les annonces de ces parents indignes.

    Ce marché existe déjà depuis cinq ans. On estime qu’un enfant y est vendu chaque semaine. Certains enfants sont revendus plusieurs fois. Généralement, les parents adoptifs revendeurs se mettent aussitôt en quête d’un autre enfant comme s’il s’agissait d’un simple jouet qui n’a qu’un temps.

    http://medias-presse.info/marchandisation-des-enfants-les-pedophiles-se-frottent-les-mains/14315

  • Hollande avoue qu’il a fait livrer des armes aux djihadistes en Syrie

    François Hollande au « Monde » aujourd’hui : « La communauté internationale porte une responsabilité très grave dans ce qui se passe en Syrie […] Si, il y a un an, il y avait eu une réaction des grandes puissances à la hauteur de l’utilisation [par Bachar Al-Assad] des armes chimiques, nous n’aurions pas été face à ce choix terrible entre un dictateur et un groupe terroriste, alors que les rebelles méritent tout notre soutien. »

    Et quelle était cette « rébellion démocratique » ? Sinon les djihadistes de l’Etat Islamique ?

    « La communauté internationale porte une responsabilité très grave dans ce qui se passe en Syrie », dites-vous, responsabilité d’autant plus grande, Monsieur le Président, qu’il a été prouvé depuis que l’utilisation des armes chimiques incombait non à l’armée de Bachar Al Assad mais à la « rébellion syrienne démocratique »…

    Les renseignements français doivent être en-dessous de tout pour que vous n’en ayez pas été informé…

    http://medias-presse.info/hollande-avoue-quil-a-fait-livrer-des-armes-aux-djihadistes-en-syrie/14324

  • Le viol, moins grave qu'une insulte

    Il viole sa fille mineure pendant 3 ans : la justice le condamne à 6 mois ferme, moins qu’Anne-Sophie Leclere après sa blague sur Taubira.

    Michel Janva

  • Afghanistan : l'héritage laissé par l’Amérique

    Par La Voix de la Russie | A l'automne l'opération de l'OTAN en Afghanistan aura 13 ans. Les experts qui dressent le bilan de la campagne reconnaissent son fiasco. Au fond, les talibans se sont renforcés au lieu d'être battus.

    Au lieu de la paix et du développement promis à l'Afghanistan, la présence des troupes de l'OTAN a créé des problèmes supplémentaires. La Force internationale d'assistance et de sécurité (FIAS) quitte le pays laissant derrière elle une économie ruinée par la guerre. Selon les experts, le taux de chômage s'élève à 80 %. Les simples Afghans se voient obligés de travailler dans les plantations d'opium ou de se joindre aux talibans pour trouver les moyens de subsistance arme à la main a déclaré l'ex-candidat à la présidence en Afghanistan Baz Mohammad Kufi :

    « Cette année 280 000 hectares en Afghanistan ont été plantés en pavot à opium. Si le peuple a la possibilité de gagner son pain par un travail honnête, je vous assure qu'aucun Afghan n'optera pour le narco-terrorisme et ne ralliera les talibans ».

    Les problèmes de l'Afghanistan sont ressentis dans les Etats voisins. Le problème majeur est la drogue. Sa production a triplé pendant la présence de l'OTAN sur le territoire afghan. L'Afghanistan est devenu, de fait, le numéro un mondial dans la production des opiacés livrés en Russie et en Europe via les pays d'Asie centrale. Le Tadjikistan est le pays qui a endossé le fardeau de premier obstacle dans la voie du trafic de drogue, estime le directeur de l'Agence de contrôle du trafic de drogue près le président du Tadjikistan Roustam Nazarov :

    Lire la suite

  • Islamisme et technologie : entre Moyen-Âge et réseaux sociaux

    En 2014, toutes ces images de crucifixion, d'enfants piétinés, de femmes souillées, de têtes coupées, qui pullulent sur la Toile paraissent à peine croyables.   

    L’État islamique (EI) a revendiqué la décapitation du journaliste américain James Foley. Diane, sa mère, a réagi avec un courage qui force le respect : « Nous n’avons jamais été aussi fiers de notre fils Jim. »

    Assassinats rituels, égorgements à l’ancienne, le djihad islamique est une sorte de nazisme pré-industriel. Un IIIe Reich englué dans un Moyen-Âge sans fin.

    Et pourtant, le progrès technique, l’islamisme s’en sert d’une manière radicalement innovante : pour se vanter de sa cruauté sanglante, sur YouTube et autres réseaux sociaux, comme aucun des pires tyrans sanguinaires n’osait plus le faire depuis… le Moyen-Âge, justement.

    Par chance pour l’humanité, les drones, l’arme nucléaire, l’organisation militaire sont encore, eux, à peu près du bon côté. Car oui, voyez-vous, tant qu’à choisir, je préfère que ce soit l’Occident qui régente le monde. C’est mieux pour les terriens, les femmes, les minorités, la liberté en général. Malgré tous les défauts épouvantables du capitalisme, l’arrogance et l’ignorance des Américains, l’ineptie de l’Europe actuelle. Il ne faut pas se tromper de camp. Au cours de l’histoire récente de la France, les délires idéologiques ont coûté cher. Qu’on se remémore les cohortes de pacifistes internationalistes qui ont embrassé la collaboration en 1940 ! En ce moment, les forces obscurantistes défilent – aussi – sous le drapeau vert d’une religion ayant dégénéré ces dernières décennies en fascisme mondial.

    Lire la suite

  • Le témoignage de foi de James Foley, décapité par les jihadistes en Syrie

    Le journaliste américain, que les jihadistes en Syrie affirment avoir décapité, avait subi un premier enlèvement en Libye en 2011. Il avait ensuite rédigé une lettre, dans laquelle il témoignait de sa foi :

    « J’ai commencé à prier le rosaire. C’est ce que ma mère et ma grand-mère auraient prié. J’ai dit 10 ’Je vous salue Marie’entre chaque ’Notre Père’. Cela a pris du temps, presque une heure, pour compter 100 ’Je vous salue Marie’ sur mes doigts. Cela m’a aidé à maintenir mon esprit en éveil. »

    Dans une lettre poignante, écrite en 2011, James Foley, le journaliste américain assassiné mardi 19 août par les djihadistes de l’État islamique (EI), racontait la place qu’occupait la foi dans sa vie. Cette missive, publiée par l’université jésuite américaine Marquette en 2011 – où il avait effectué une partie de ses études —, faisait référence à la première prise d’otage dont le journaliste avait fait l’objet, durant six semaines en 2011, alors qu’il couvrait la révolution libyenne.

    Il y relate le premier coup de téléphone qu’il avait eu le droit de passer à l’un de ses proches, lors de cette première captivité. À l’époque, il avait appelé sa mère, Diane Foley. « Je priais pour qu’elle sache que j’allais bien. Je priais pour que je parvienne à communiquer avec elle à travers une quelconque force de l’univers », écrivait-il. « J’ai prié pour que tu saches que j’allais bien, avait dit le journaliste à sa mère, au téléphone. N’as-tu pas ressenti mes prières ? »

    « Oh, Jimmy, tant de gens prient pour toi », lui avait-elle répondu. La mère du jeune homme lui avait notamment appris l’existence de nombreuses chaînes de prières à son intention, à travers les États-Unis. « Ne les ressens-tu pas ? », avait interrogé sa mère. « Si maman, je les sens ». Dans sa lettre, le journaliste apparaît marqué par « la foi absolue (de sa mère) dans la force de la prière ».

    « Plus que tout, la prière a été ce qui aura permis ma liberté, d’abord ma liberté intérieure, et plus tard, le miracle de ma libération au cœur d’une guerre dans lequel un régime n’avait aucune vraie raison de nous libérer. »"

    Louise Tudy

  • Quand les médias disaient que James Foley étaient au main de l’Etat syrien

    Le journaliste photo James Foley, de nationalité américaine, avait disparu en Syrie il y a deux ans.

    Les jihadistes de l’Etat islamique viennent de l’égorger, en représailles aux bombardements américains.

    L’occasion de ressortir ce que disaient les médias français (AFP et Libérationsur la capture d’écran ci-dessous) à propos de celui qu’ils présentaient comme otage de… Bachar El Hassad !libe

    http://www.contre-info.com/

  • Après Marseille, Toulouse… Homicides partout, justice nulle part ?

    Ce n’est que l’escalade de la violence devant le laxisme de la justice.   

    Marseille est citée en exemple par l’Algérie pour les meurtres qui s’y succèdent depuis plusieurs mois. Avec un peu de patience, la police algérienne pourrait également prendre pour exemple la ville de Toulouse qui, depuis plusieurs semaines, tente de rivaliser avec la cité phocéenne.

    Le processus est absolument identique, comme l’origine du problème : le trafic de drogue et les rivalités entre gangs appartenant à des quartiers différents dans le but d’augmenter leur territoire de commercialisation.

    Cela a débuté en décembre 2013 quand le gang du quartier de La Reynerie, dans Le Mirail, a empiété sur le quartier des Izards, jusque-là plaque tournante du trafic de stupéfiants. Pour information, ce quartier classé ZSP (Zone de sécurité prioritaire) était également celui où résidait Mohamed Merah.

    Le 4 décembre, deux hommes en scooter lâchent des rafales de kalachnikov sur les devantures de deux commerces. Le client d’un salon de coiffure est blessé.

    Le 5 décembre, c’est une tentative d’homicide contre l’employé d’une pizzeria.

    Lire la suite