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insécurité - Page 908

  • Irak: des chrétiennes vendues comme des esclaves au souk de Mossoul

    D'après Tunisia Daily, des chrétiennes auraient été vendues comme esclaves à Mossoul :

    "Une députée irakienne, Vianne Dakhil, a évoqué mardi, le sort de la communauté yazidite et des autres minorités en Irak. En sanglots elle relate le triste sort des femmes vendues en esclaves dans les régions occupées par l’Etat islamique." (Malheureusement les propos de la députée ne sont pas traduits. [NDMB] )

    Femmes-chretiennes-irakiennes

    « Elles sont conduites comme un troupeau de bétail au souk de Mossoul et vendues à la criée comme esclaves » dit-elle !

    « Le Croissant rouge irakien appelle la communauté internationale à intervenir pour sauver les femmes chrétiennes, vendues dans les souks du Mossoul par l’Etat islamique« , information relayée par le site Kapitalis (un site tunisien d'informations).

    Selon Kapitalis :

    «Les djihadistes de l’Etat islamique imposent désormais leurs lois d’un autre âge dans les zones qu’ils occupent au centre et au nord de l’Irak, et notamment à Mossoul. Toutes les communautés sont malmenées et humiliées, et particulièrement les chrétiens.

    Ces derniers, qui vivent dans cette région depuis 2000 ans, sont aujourd’hui dépouillés de leurs biens et chassés de chez eux. Ceux d’entre eux qui résistent sont carrément exécutés. »

    Selon la député :

    "30 000 familles prises en otage dans les collines de Sinjar, sans eau ni nourriture en train de mourir. Déjà 70 enfants sont morts de soif ainsi 50 vieillards."

    Marie Bethanie

  • Profanation et sacrilège dans la basilique de Thonon-les-Bains

    Mardi matin, vers 7h45, un homme d’origine tunisienne muni d’une barre de fer a détruit les autels, le mobilier, les objets de cultes du XVIIème siècle et des vitraux de la basilique Saint François de Sales et de l’église Saint Hippolyte à Thonon-les-Bains en Haute-Savoie.

    Plusieurs heures après les faits, Jacky, le sacristain de la basilique, n’en revient toujours pas : « comment, en moins de quinze minutes, un homme peut-il faire autant de dégâts ? C’est un massacre ». Alerté par les bruits, Jacky a eu le temps de mettre un homme qui priait en sécurité dans la sacristie avant d’appeler la police.

    Immédiatement interpellé par les policiers dans le presbytère, l’individu a été placé en garde à vue. « C’est un acte isolé, il souffre d’un déséquilibre mental » explique le commissaire de Thonon. « Il parlait de l’enfer et du paradis » se souvient Jacky. Le dimanche 10 août, l’évêque viendra participer à la messe de réparation puisque le curé a affirmé : « il y a eu profanation mais aussi sacrilège, les saintes espèces ayant été piétinées ».

    Mardi soir, il a été interné dans un hôpital psychiatrique.Pour l’heure, ses gestes n’ont pas encore reçu d’explication même s’ils ont tous les aspects d’une crise de « démence », peut-être mystique… Selon le curé Le Tué, il s’agirait d’un « jeune musulman ».

    Le maire a indiqué que la ville, propriétaire des murs de la basilique et de l’église, allait porter plainte. Il a par ailleurs rappelé que l’église Saint-Hyppolite était classée monument historique depuis 1909 et que des spécialistes d’art sacré allaient donc venir pour savoir comment restaurer les objets détruits.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Le jihad gagne le Liban

    Un article alarmant qui fait écho à ce précédent post. Depuis samedi, l'armée libanaise affronte plusieurs milliers de jihadistes (certains se cachant dans les camps de réfugiés syriens) à Ersal, près de la frontière syrienne :

    "Encore faut-il que la troupe puisse sortir victorieuse de cette bataille dont le sort est absolument déterminant pour l'avenir du pays. Si l'on en croit un haut responsable de l'armée, la situation était « très critique » et la bataille « extrêmement dure » durant les dernières 48 heures où les soldats devaient affronter « quelque 7 000 islamistes » bien entraînés, armés jusqu'aux dents et prêts à tout. La trêve « humanitaire » décrétée en soirée était toutefois porteuse d'espoir. Il reste à voir si les milices islamistes vont obtempérer et répondre favorablement aux conditions posées par l'armée.

    La bataille a été d'autant plus difficile que les jihadistes – un cocktail Molotov de takfiris de tout genre et de tout calibre – ont tenté par tous les moyens de prendre le contrôle de Ersal pour pouvoir accéder aux localités chiites environnantes, l'objectif ultime étant la bataille sunnito-chiite et la reddition de comptes par le sang, exigée du Hezbollah."

    Louise Tudy

  • "Israël" se prépare à la débâcle: retrait total de Gaza

    L'armée d’occupation israélienne s’est complètement retirée de la bande Gaza dès l'entrée en vigueur du cessez-le-feu mardi à 08H00 locales (05H00 GMT), a annoncé un porte-parole de l'armée d’occupation à des journalistes.
    Selon ce porte-parole, Peter Lerner, "aux termes des directives du gouvernement l'armée israélienne sera redéployée en dehors de la bande de Gaza sur des positions défensives dès l'entrée en vigueur du cessez-le-feu".
    Peu avant d'accepter la trêve de 72 heures, « Israël » a annoncé qu'il ne comptait pas encore se retirer.
    "Nous ne partons pas, nous restons dans la bande de Gaza, il y a encore beaucoup d'autres missions à terminer", a indiqué à la télévision Moti Almoz, le porte-parole de l'armée d’occupation, après avoir prétendu que "tous les tunnels repérés avaient été détruits".
    Un régiment de la brigade Golani arrêté, "Israël" craint une guerre d’usure
    Entre-temps, la hiérarchie au sein de l'armée israélienne vient de donner l'ordre d'arrestation de tous les membres d'un régiment de la brigade élite, Golani, pour avoir refusé de poursuivre la guerre, c’est ce qu’a rapporté le site israélien 0404.
    Rappelons que la brigade Golani a subi de très lourdes pertes dès le premier jour de l'offensive terrestre israélienne contre Gaza. Cette brigade élite a été décapitée et a aussi perdu son commandant adjoint tout comme 13 de ses soldats. Au total, 64 soldats israéliens et 3 colons ont été tués depuis le 8 juillet.
    Selon les informations qui parviennent de l'intérieur des territoires occupés, de nombreux militaires, soldats et officiers israéliens ont désormais peur d’entrer dans une guerre d’usure avec les combattants palestiniens !
    La plupart des forces israéliennes affirment pour leur part que le statu quo à Gaza est susceptible de plonger « Israël » dans une situation économique et sociale très critique. 
    Entrée en vigueur d'un cessez-le-feu de 72 heures
    Bien qu’au début de la guerre, « Israël » avait officiellement déclaré qu’il n’y a pas question de négocier avec le Hamas ou de discuter d’un cessez-le-feu. Or, la situation a changé après un mois au début de la guerre, de grands efforts sont actuellement déployés pour parvenir à un accord de cessez-le-feu sauvant la face d' « Israël ». Faute de quoi, il y aura une guerre d’usure.
    Dans ce contexte, l’Egypte a annoncé qu’« Israël » et le Hamas ont accepté lundi soir une proposition égyptienne d'une trêve de 72 heures.
    Le cessez-le-feu est entré officiellement en vigueur mardi à 08H00 locales (05H00 GMT) dans la bande de Gaza.
    Lundi, un responsable égyptien a annoncé que "les contacts de l'Egypte avec les différentes parties ont permis d'obtenir une trêve de 72 heures à Gaza et que le reste des délégations se rendent au Caire pour de plus amples négociations".
    "Israël respectera le cessez-le-feu à partir de demain à 08h00 (05h00 GMT)", a ensuite déclaré à l'AFP un responsable israélien, qui a confirmé qu'une délégation de son pays se rendrait bien dans la capitale égyptienne.
    Alors que le Yediot Aharanot a déclaré qu’une délégation des renseignements israéliens se trouve au Caire depuis plusieurs jours. Les Israéliens prétendaient qu’ils avaient refusé d'aller au Caire.
    Côté palestinien, "le Hamas a informé il y a quelques minutes Le Caire de son approbation de la trêve de 72 heures pour demain", a pour sa part affirmé un porte-parole du Hamas, Sami Abou Zouhri.
    Un autre mouvement de la résistance palestinienne, le Jihad islamique, qui doit également prendre part aux pourparlers au Caire a, quant à lui, fait savoir dans un communiqué que "le cessez-le-feu interviendra dans les prochaines heures".
    Echec des objectifs de la guerre sur Gaza
    Pour les experts israéliens, "Israël" a subi une nouvelle défaite. L'armée israélienne n'a pas réussi à stopper les tirs de roquettes contre les colonies.
    Or, quelques minutes avant l'entrée en vigueur du cessez-le feu, les médias israéliens ont fait état de plus de 26 roquettes tirées de l'enclave palestinienne vers dizaine de colonies israéliennes en riposte aux crimes israéliens ayant fait plus de 1850 martyrs, en majorité de civils dont plus de 400 enfants.
    L'aviation israélienne menait pour sa part une série de raids contre plusieurs localités de la bande de Gaza, a indiqué une porte-parole de l'armée d’occupation.
    Rappelons que l’arrêt des tirs de roquettes palestiniennes sur les colonies, et la destruction de tous les tunnels, étaient à la tête des objectifs de l'agression israélienne contre Gaza lancée le 8 juillet.
    Embarras international
    La guerre israélienne contre Gaza et les images des centaines d’enfants tués par l’aviation israélienne avaient ces derniers jours embarrassé les dirigeants occidentaux.
    "Israël peut faire davantage pour empêcher des victimes civiles", a ainsi martelé Jennifer Psaki, la porte-parole du département d'Etat américain. "Mais cela ne change pas le fait qu'Israël reste un partenaire important en termes stratégique et de sécurité. Il a le droit de se défendre", a-t-elle ajouté.
    Le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius a reconnu le droit "total" d'Israël à se défendre. "Mais ce droit ne justifie pas qu'on tue des enfants et qu'on massacre des civils", a-t-il dit.

    "Combien de morts faudra-t-il encore pour que s'arrête ce qu'il faut bien appeler le carnage de Gaza ?", a-t-il encore demandé. Le président français François Hollande a parlé, quant à lui, de "massacres".
    Devant l'ampleur des souffrances endurées par les 1,8 million de Gazaouis prisonniers de la guerre sur un tout petit territoire, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a joint sa voix à toutes celles ayant réclamé un cessez-le-feu.
    De son côté, l'Assemblée générale de l'ONU tiendra mercredi une "réunion informelle" de ses 193 membres, convoquée à la demande du groupe des pays arabes à l'ONU, pour examiner la situation dans la bande de Gaza, a indiqué lundi une porte-parole.

    source :

    http://www.almanar.com.lb/french/adetails.phpeid=185194&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=20&s1=1

    http://www.voxnr.com/cc/d_antisionisme/EupZkylyFZEfjvqAYz.shtml

  • “Al-Qaïda en France”, le livre choc de Samuel Laurent

    Haletant, le nouveau livre de Samuel Laurent, “Al-Qaïda en France”, se lit comme un roman d’espionnage. Consultant international et homme de terrain, l’auteur s’était tout d’abord lancé dans une enquête sur les djihadistes français partis en Syrie. Mais il va rapidement découvrir l’existence d’un réseau bien plus large qu’il ne l’aurait imaginé, et qui va l’emmener jusqu’en Somalie pour finir dans les cités françaises où règnent en maître les salafistes.

    Profitant de ses contacts au Sahel et en Lybie, il va réussir à s’introduire dans la brigade de Mohammed Fizourou ou auprès de l’émir de Jabhat al-Nosra, au bout de plusieurs mois de négociations. C’est là qu’il va comprendre ce qui se trame…

    Constatant la disparition de certains français du camp où il réside du jour au lendemain, il en vient à découvrir que certains djihadistes français, ceux qui forment l’élite d’Al-Qaïda, après avoir passé un processus de sélection rigoureux sont envoyés en Somalie.

    Ni une ni deux, l’auteur s’envole pour la suite de son enquête à Mogadiscio puis dans les repaires de shebabs. Il découvre alors le point clé de ces réseaux: ceux ayant été identifiés comme les meilleurs français djihadistes sont exfiltrés dans ces camps islamistes afin de préparer leur retour en France où ils seront des agents dormants d’Al-Qaïda, prêt à frapper lorsque l’ordre leur sera transmis. Après des semaines de jeu de piste, il finira par rencontrer en France “l’émir” d’Al-Qaïda en charge de ce groupe terroriste.

    Décrivant dans le détail le fonctionnement de cette structure, ces méthodes, à grand renfort d’interviews exclusives et de témoignages passionnants, l’auteur fait des révélations fracassantes sur ces réseaux de l’ombre présents à l’heure actuelle en France. Glaçant.

    http://fr.novopress.info/173369/al-qaida-en-france-le-livre-choc-de-samuel-laurent/

  • Irak : le risque d'extinction des chrétiens n'a jamais été aussi fort

    Professeur honoraire de l’université catholique de Lyon et spécialiste des Droits de l’homme, des minorités ethniques, linguistiques et culturelles, des peuples autochtones et des chrétiens d’Orient, Joseph Yacoub déclare à Lyon capitale :

    "Il y a ce paradoxe dans l'attitude de la France qui, d'un côté, porte secours à ces chrétiens d'Irak et, de l'autre, participe à dépeupler le pays de cette même population. Cette communauté va de dispersion en dispersion. Certes, ces populations vont s'acculturer à la culture de leur pays d'accueil (États-Unis, Canada, Australie, Europe, Moyen-Orient), mais il y aura également un phénomène de déculturation. Quel sera alors l'avenir de la langue araméenne, celle que parlait Jésus, et transmise de génération en génération depuis deux mille ans ? Il s'agit d'un patrimoine culturel et cultuel universel. C'est dans cette région du monde qu'est né le christianisme, les musulmans ne sont arrivés qu'au Ve siècle [un peu plas tard même... NDMJ]. Ce mélange de cultures, de religions et de civilisations a donc toujours existé.

    En 2005, vous avez publié un livre intitulé Menaces sur les chrétiens d’Irak. Dix ans après, quel regard portez-vous sur leur situation ?

    Mon livre est sorti un mois avant l'intervention américaine en Irak. À l'époque, j'avais mis en garde sur une intervention militaire : le risque de chiitisation du pays serait alors très fort et le danger pour les chrétiens immense. Je ne m'étais malheureusement pas trompé. Dès 2004, les attentats et les attaques contre les églises et le clergé ont commencé, suivies par la guerre civile. Quand on fait le bilan, c'est désastreux. Il y avait alors 1,2 million de chrétiens, soit 6 % de la population. Aujourd'hui, ils ne sont plus qu'entre 300 000 et 400 000. Entre 65 et 75 % de la population chrétienne est partie !

    Existe-t-il un risque de disparition des chrétiens d’Irak ?

    Ce n'est pas un risque, c'est LE risque. Ce qui se passe sous nos yeux, c'est l'agonie d'une présence humaine et civilisationnelle très forte. Le risque d'extinction n'a jamais été aussi fort qu'aujourd'hui. Imaginez, les chrétiens vivent là depuis deux mille ans et il est possible que d'ici peu de temps il n'y en ait plus un seul ! Ceux-là mêmes qui ont contribué, depuis que le pays est devenu musulman, au dialogue et à la renaissance arabe irakienne et à sa modernité sont chassés par des ultra-radicaux qui ne veulent pas entendre parler de diversité. [...]

    Comment expliquer que cette “extinction humaine et civilisationnelle”, pour reprendre vos termes, se fait dans une indifférence générale ?

    Il y a effectivement une extrême timidité dans le discours politiques de la France, et des Occidentaux plus généralement. Cela s'explique par différentes raisons, plus ou moins complexes. Il y a d'abord ce terme de “chrétien” qui dérange un peu dans un pays habitué à raisonner en termes de “citoyenneté” et de “laïcité”. Il y a aussi le fait que cette communauté chrétienne vit un peu en marge sur le plan politique. Pour les Occidentaux, il est donc difficile d'aller plus loin que l'attitude paternaliste et humanitaire."

    Michel Janva

  • Abdel Bari Atwan, célèbre éditorialiste de la presse arabe: "Certains dirigeants arabes sont pires que Netanyahou" (vidéo)

  • La peine capitale : un non-sens dans un monde sécularisé

    Gérard Guyon, professeur émérite de l'Université de Bordeaux (droit, sciences politiques), historien des institutions et des idées politiques, ayant travailléprincipalement sur le rôle du christianisme dans les fondations de l'Europe, a publié un ouvrage politiquement très incorrect dont l'intitulé donne le ton :Plaidoyer pour une peine capitale. Le crime d'homicide est inscrit dans le coeur des hommes avant d'être le produit de la société, et la peine capitale a pour but de mettre en évidence le caractère exceptionnel du droit de punir. Elle révèle, en outre, la plénitude sacrée du pouvoir des juges et leur écrasante responsabilité dans la protection de la vie. Un discours inaudible aujourd'hui. Extrait :

    C"[C]ela signifie-t-il que la peine capitale serait dépourvue de sens hors de tout univers religieux ? La réponse ne peut qu'être positive. On le constate, la désacralisation de la mort est presque achevée. Ses conséquences sont observables dans la disparition de la peine capitale. La justice a perdu depuis déjà longtemps ses symboles religieux. Ses nouveaux bâtiments le montrent d'un seul coup d'oeil. Et une distorsion qui n'est pas simplement d'ordre technique est de plus en plus visible entre ce qui reste de majesté dans l'apparat des juges et leur appareillage juridique ; dans l'atmosphère qui règne dans les tribunaux, l'attitude des justiciables, le mensonge permanent, le parjure, l'impossible réception, au mieux la difficulté ou même le refus d'acquiescer aux verdicts ; dans la recherche de voies d'appel et de recours sans fin qui signent, mieux que tout le reste, l'incapacité de juger et d'imposer une peine. Le sacerdoce ne préside plus les audiences tout comme il tend à déserter le choeur des autels. Dans l'un comme dans l'autre, le sacrifice n'est plus de mise. On l'a volontairement fait disparaître. Comment pourrait-on continuer à croire que les fautes des hommes puissent être encore punies par des peines, alors qu'il n'y a plus de coupable ni de victime, plus de sacrifice et plus de sacrificateur ? Donc plus de peine, plus de mort. Plus de prix de la vie."

    Michel Janva

  • La Ligue de Défense Juive bientôt dissoute par le ministère de l’Intérieur ?

    Le ministère de l’Intérieur étudie la possibilité de dissoudre la Ligue de défense juive (LDJ), milice communautaire, a annoncé Libération qui cite « une source policière haut placée » et révèle que « la DLPAJ (Direction des libertés publiques et des affaires juridiques du ministère de l’Intérieur) travaille à temps plein pour étudier la possibilité d’une interdiction de la LDJ« .

    « Nous procédons à l’analyse juridique la plus fine possible dans le respect du droit« , a-t-il été confirmé à l’AFP. La dissolution pourrait être prononcée malgré que la LDJ n’est pas une association légalement constituée, mais un groupement de fait.

    Même le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait jugé cette organisation « dans l’excès« , « dans des actes qui peuvent être répréhensibles et qui doivent être condamnés« .

    La LDJ s’inspire de la Jewish Defense League, qualifiée de « groupe terroriste » par le FBI en 2001 et arbore l’emblème (un poing brandi dans une étoile de David noire sur fond jaune) d’un parti nationaliste religieux interdit en Israël, le Kach. Certains de ses membres, comme ceux du Betar, autre milice communaitaire présente en France, sont formés au krav maga, un sport de combat d’origine israélienne.

    http://medias-presse.info/la-ligue-de-defense-juive-bientot-dissoute-par-le-ministere-de-linterieur/13715

  • Il a tout fait pour se retenir…

     Mais le responsable des réfugiés palestiniens pour l’ONU n’a pas pu.

    (Suite au nouveau bombardement d’une école dans la bande de Gaza)

    http://www.contre-info.com/