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insécurité - Page 912

  • La délicate question des réseaux pédocriminels (1/6)

    Partie 1 : 3 enfants disparaissent tous les jours en France, soit environ 1000 par an

    Le 31 mai 2011, alors que vient tout juste d’éclater l’affaire DSK, Luc Ferry, ancien ministre de l’Education nationale, lâche une bombe sur le plateau du Grand Journal : un ministre français aurait été pris au Maroc dans une partouze impliquant des enfants (1).

    Qu’est-il advenu de cette affaire, trois ans après ? Eh bien, autant le dire tout net, rien du tout. Comme pour beaucoup et même trop d’affaires de ce type en fait.

    Les réseaux pédocriminels ? Des réseaux organisés et structurés, dont l’activité consiste à vendre des enfants, pour certains kidnappés, pour d’autres amenés par leurs propres parents (aussi choquant que cela puisse sembler) à des « clients » à des fins de viols, de tortures et de meurtres, certains de ces actes étant photographiés ou filmés, également pour que cela soit ensuite revendu, sachant que plus l’acte montré est extrême, plus le prix et cher. Qualifiés de « fantasme » ou de « délire complotiste » par certains magistrats, politiques ou policiers appartenant à la Brigade de protection des mineurs, ces réseaux n’en sont pas moins une réalité, exactement comme il en existe pour le trafic de drogue, la prostitution « classique » ou les voitures volées. Le prédateur pédophile, nécessairement solitaire et marginal, est la seule émanation raisonnablement autorisée par « ceux qui savent ».

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  • Aux larmes citoyens !

     La façon grotesque dont les médias de propagande nous présentent la réalité ferait sourire si elle ne travestissait pas bien souvent des faits tragiques.


    Ainsi, par exemple, le drame de Dolomieu où des malfrats ont tué de sang-froid lors d’un hold-up un témoin qui tentait de s’interposer, Hugo Villerez.

    Il est vraiment intéressant de lire la façon dont on nous présente cette lugubre affaire. (*)

    Un crime odieux de plus ? Mais pas du tout, si vous lisez l’article signé Angélique Négroni dans le site duFigaro, figaro.fr, du 3 août 2014 !

    Chère Angélique

    Car Angélique, elle, ne voit pas les choses comme cela. Non : elle a surtout remarqué que le coupable présumé était «en pleurs» samedi, lors de ses aveux après sa garde à vue. Le pauvre, vous comprenez, il a «paniqué».

    En effet, elle nous explique que la victime n’a pas obéi à «l’ordre de s’arrêter» (sic) lancé par l’auteur du coup de feu mortel, ce qui a «contraint» ce dernier à «descendre l’escalier du bureau de tabac à reculons». «Le braqueur a alors pris peur et tiré une fois», conclut Angélique. Bref, c’est presque un drame de l’autodéfense !

    Car si on comprend bien notre journaliste, si le témoin avait gentiment respecté «l’ordre» donné par le braqueur il ne serait pas mort. C’est donc un peu de sa faute, n’est-ce pas ?

    Pauvre braqueur

    Le braqueur a, lui, droit à bien plus d’égards journalistiques.

    Pauvre petit braqueur, si émotif sous sa cagoule qu’il tire si on le contraint de descendre un escalier à reculons ! D’ailleurs, le procureur de la République, interviewé dans l’article, nous dit aussi que le tireur «exprime des regrets et a pleuré». C’est dire si le pauvre était choqué ! Un conseil : la prochaine fois que vous voyez un procureur, pleurez à chaudes larmes, cela vous aidera sûrement.

    Angélique nous dit aussi qu’il s’agit en outre d’un «braqueur repenti» car il a indiqué aux enquêteurs où il avait jeté son arme. Ah le brave garçon !

    Des jeunes sans histoire

    Mais, au fait, qui sont donc ces braqueurs sanglants ?

    On découvre quand même que ces jeunes si émotifs ont eu des démêlés avec la justice : deux condamnations pour l’auteur du coup de feu mortel, douze condamnations pour son complice. On ne nous dit rien du troisième complice, celui qui aurait fourni l’arme.

    Mais pour le procureur de la République tout cela ne prouve rien : non, ce ne sont que «de jeunes délinquants qui ont agi avec une absence totale de préparation». Les braqueurs étaient cagoulés et armés mais ils n’étaient pas «préparés» : tout est dans la nuance judiciaire !

    Ils se sont seulement essayés au vol à main armée (on écrit «vama», cela fait plus cool), renchérit Angélique. C’était donc de la formation professionnelle, en quelque sorte ! Ce n’est donc pas vraiment de leur faute si ce «vama» a «tourné au braquage mortel».

    Un dernier détail

    Ah ! Pour conclure, petit détail : Angélique nous dit que l’auteur du coup de feu est «le fils d’artisans d’origine étrangère et dont les parents, des gens sans histoire, ont divorcé». Vous suivez Angélique ? Encore un drame social : le pauvre petit, sans doute déjà victime du racisme ambiant et qui a dû supporter la séparation de ses parents. Décidément, pauvre braqueur !

    Pleurez, braves gens, le Figaro vous y invite. Mais pas sur la victime, cela ferait trop peuple.

     Michel Geoffroy, 4/08/2014

    (*) Note :

    Dolomieu : les aveux d’un jeune braqueur «paniqué»4/08/2014

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/08/03/01016-20140803ARTFIG00158-dolomieu-les-aveux-d-un-jeune-braqueur-panique.php

    http://www.polemia.com/aux-larmes-citoyens/

  • Vian Dakhil , la députée irakienne qui avait fait la une en défendant son peuple, survit au "crash" de son hélico (Add.)

    A suivre...

    Pour mémoire, le fameux playdoyer qui finit dans les larmes.

    En VO iciiciici : la députée figurerait au nombre des 20 blessés, tandis que le pilote aurait été tué. Parmi les autres blessés : Alissa J. Rubin, 56 ans, chef de bureau du New-York Times de Paris.

    Le Salon Beige

  • Vers un génocide antichrétien en Irak ?

    Environ 100 000 chrétiens d’Irak fuient les djihadistes de l’EIIL. Hier, le patriarche chaldéen Mgr Louis Sako, a expliqué l’état de la situation : « Il y a 100 000 déplacés chrétiens qui ont fui avec rien d’autre que leurs vêtements sur eux, certains à pieds, pour se rendre dans la région du Kurdistan« . Dans les villes conquises par les islamistes, les croix des églises sont détruites.  »C’est un désastre humanitaire. Les églises (des villes prises) sont occupées, leurs croix ont été enlevées« , a-t-il ajouté. 1 500 manuscrits chrétiens ont déjà été brûlés.

    « Je sais maintenant que les villes de Qaraqosh, Tal Kayf, Bartella et Karamlesh ont été vidées de leurs habitants et sont maintenant sous le contrôle des insurgés« , a déclaré à l’AFP Mgr Joseph Thomas, archevêque chaldéen de Kirkouk et Souleimaniyeh.

    « Le gouvernement comme les autorités kurdes sont incapables de défendre notre peuple. Il faut qu’ils travaillent ensemble, avec un soutien international et un équipement militaire moderne« , a-t-il ajouté.

    « J’espère qu’il n’est pas trop tard pour éviter un génocide« , a ajouté le patriarche.

    http://medias-presse.info/vers-un-genocide-antichretien-en-irak/14009

  • Irak: des chrétiennes vendues comme des esclaves au souk de Mossoul

    D'après Tunisia Daily, des chrétiennes auraient été vendues comme esclaves à Mossoul :

    "Une députée irakienne, Vianne Dakhil, a évoqué mardi, le sort de la communauté yazidite et des autres minorités en Irak. En sanglots elle relate le triste sort des femmes vendues en esclaves dans les régions occupées par l’Etat islamique." (Malheureusement les propos de la députée ne sont pas traduits. [NDMB] )

    Femmes-chretiennes-irakiennes

    « Elles sont conduites comme un troupeau de bétail au souk de Mossoul et vendues à la criée comme esclaves » dit-elle !

    « Le Croissant rouge irakien appelle la communauté internationale à intervenir pour sauver les femmes chrétiennes, vendues dans les souks du Mossoul par l’Etat islamique« , information relayée par le site Kapitalis (un site tunisien d'informations).

    Selon Kapitalis :

    «Les djihadistes de l’Etat islamique imposent désormais leurs lois d’un autre âge dans les zones qu’ils occupent au centre et au nord de l’Irak, et notamment à Mossoul. Toutes les communautés sont malmenées et humiliées, et particulièrement les chrétiens.

    Ces derniers, qui vivent dans cette région depuis 2000 ans, sont aujourd’hui dépouillés de leurs biens et chassés de chez eux. Ceux d’entre eux qui résistent sont carrément exécutés. »

    Selon la député :

    "30 000 familles prises en otage dans les collines de Sinjar, sans eau ni nourriture en train de mourir. Déjà 70 enfants sont morts de soif ainsi 50 vieillards."

    Marie Bethanie

  • Profanation et sacrilège dans la basilique de Thonon-les-Bains

    Mardi matin, vers 7h45, un homme d’origine tunisienne muni d’une barre de fer a détruit les autels, le mobilier, les objets de cultes du XVIIème siècle et des vitraux de la basilique Saint François de Sales et de l’église Saint Hippolyte à Thonon-les-Bains en Haute-Savoie.

    Plusieurs heures après les faits, Jacky, le sacristain de la basilique, n’en revient toujours pas : « comment, en moins de quinze minutes, un homme peut-il faire autant de dégâts ? C’est un massacre ». Alerté par les bruits, Jacky a eu le temps de mettre un homme qui priait en sécurité dans la sacristie avant d’appeler la police.

    Immédiatement interpellé par les policiers dans le presbytère, l’individu a été placé en garde à vue. « C’est un acte isolé, il souffre d’un déséquilibre mental » explique le commissaire de Thonon. « Il parlait de l’enfer et du paradis » se souvient Jacky. Le dimanche 10 août, l’évêque viendra participer à la messe de réparation puisque le curé a affirmé : « il y a eu profanation mais aussi sacrilège, les saintes espèces ayant été piétinées ».

    Mardi soir, il a été interné dans un hôpital psychiatrique.Pour l’heure, ses gestes n’ont pas encore reçu d’explication même s’ils ont tous les aspects d’une crise de « démence », peut-être mystique… Selon le curé Le Tué, il s’agirait d’un « jeune musulman ».

    Le maire a indiqué que la ville, propriétaire des murs de la basilique et de l’église, allait porter plainte. Il a par ailleurs rappelé que l’église Saint-Hyppolite était classée monument historique depuis 1909 et que des spécialistes d’art sacré allaient donc venir pour savoir comment restaurer les objets détruits.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Le jihad gagne le Liban

    Un article alarmant qui fait écho à ce précédent post. Depuis samedi, l'armée libanaise affronte plusieurs milliers de jihadistes (certains se cachant dans les camps de réfugiés syriens) à Ersal, près de la frontière syrienne :

    "Encore faut-il que la troupe puisse sortir victorieuse de cette bataille dont le sort est absolument déterminant pour l'avenir du pays. Si l'on en croit un haut responsable de l'armée, la situation était « très critique » et la bataille « extrêmement dure » durant les dernières 48 heures où les soldats devaient affronter « quelque 7 000 islamistes » bien entraînés, armés jusqu'aux dents et prêts à tout. La trêve « humanitaire » décrétée en soirée était toutefois porteuse d'espoir. Il reste à voir si les milices islamistes vont obtempérer et répondre favorablement aux conditions posées par l'armée.

    La bataille a été d'autant plus difficile que les jihadistes – un cocktail Molotov de takfiris de tout genre et de tout calibre – ont tenté par tous les moyens de prendre le contrôle de Ersal pour pouvoir accéder aux localités chiites environnantes, l'objectif ultime étant la bataille sunnito-chiite et la reddition de comptes par le sang, exigée du Hezbollah."

    Louise Tudy

  • "Israël" se prépare à la débâcle: retrait total de Gaza

    L'armée d’occupation israélienne s’est complètement retirée de la bande Gaza dès l'entrée en vigueur du cessez-le-feu mardi à 08H00 locales (05H00 GMT), a annoncé un porte-parole de l'armée d’occupation à des journalistes.
    Selon ce porte-parole, Peter Lerner, "aux termes des directives du gouvernement l'armée israélienne sera redéployée en dehors de la bande de Gaza sur des positions défensives dès l'entrée en vigueur du cessez-le-feu".
    Peu avant d'accepter la trêve de 72 heures, « Israël » a annoncé qu'il ne comptait pas encore se retirer.
    "Nous ne partons pas, nous restons dans la bande de Gaza, il y a encore beaucoup d'autres missions à terminer", a indiqué à la télévision Moti Almoz, le porte-parole de l'armée d’occupation, après avoir prétendu que "tous les tunnels repérés avaient été détruits".
    Un régiment de la brigade Golani arrêté, "Israël" craint une guerre d’usure
    Entre-temps, la hiérarchie au sein de l'armée israélienne vient de donner l'ordre d'arrestation de tous les membres d'un régiment de la brigade élite, Golani, pour avoir refusé de poursuivre la guerre, c’est ce qu’a rapporté le site israélien 0404.
    Rappelons que la brigade Golani a subi de très lourdes pertes dès le premier jour de l'offensive terrestre israélienne contre Gaza. Cette brigade élite a été décapitée et a aussi perdu son commandant adjoint tout comme 13 de ses soldats. Au total, 64 soldats israéliens et 3 colons ont été tués depuis le 8 juillet.
    Selon les informations qui parviennent de l'intérieur des territoires occupés, de nombreux militaires, soldats et officiers israéliens ont désormais peur d’entrer dans une guerre d’usure avec les combattants palestiniens !
    La plupart des forces israéliennes affirment pour leur part que le statu quo à Gaza est susceptible de plonger « Israël » dans une situation économique et sociale très critique. 
    Entrée en vigueur d'un cessez-le-feu de 72 heures
    Bien qu’au début de la guerre, « Israël » avait officiellement déclaré qu’il n’y a pas question de négocier avec le Hamas ou de discuter d’un cessez-le-feu. Or, la situation a changé après un mois au début de la guerre, de grands efforts sont actuellement déployés pour parvenir à un accord de cessez-le-feu sauvant la face d' « Israël ». Faute de quoi, il y aura une guerre d’usure.
    Dans ce contexte, l’Egypte a annoncé qu’« Israël » et le Hamas ont accepté lundi soir une proposition égyptienne d'une trêve de 72 heures.
    Le cessez-le-feu est entré officiellement en vigueur mardi à 08H00 locales (05H00 GMT) dans la bande de Gaza.
    Lundi, un responsable égyptien a annoncé que "les contacts de l'Egypte avec les différentes parties ont permis d'obtenir une trêve de 72 heures à Gaza et que le reste des délégations se rendent au Caire pour de plus amples négociations".
    "Israël respectera le cessez-le-feu à partir de demain à 08h00 (05h00 GMT)", a ensuite déclaré à l'AFP un responsable israélien, qui a confirmé qu'une délégation de son pays se rendrait bien dans la capitale égyptienne.
    Alors que le Yediot Aharanot a déclaré qu’une délégation des renseignements israéliens se trouve au Caire depuis plusieurs jours. Les Israéliens prétendaient qu’ils avaient refusé d'aller au Caire.
    Côté palestinien, "le Hamas a informé il y a quelques minutes Le Caire de son approbation de la trêve de 72 heures pour demain", a pour sa part affirmé un porte-parole du Hamas, Sami Abou Zouhri.
    Un autre mouvement de la résistance palestinienne, le Jihad islamique, qui doit également prendre part aux pourparlers au Caire a, quant à lui, fait savoir dans un communiqué que "le cessez-le-feu interviendra dans les prochaines heures".
    Echec des objectifs de la guerre sur Gaza
    Pour les experts israéliens, "Israël" a subi une nouvelle défaite. L'armée israélienne n'a pas réussi à stopper les tirs de roquettes contre les colonies.
    Or, quelques minutes avant l'entrée en vigueur du cessez-le feu, les médias israéliens ont fait état de plus de 26 roquettes tirées de l'enclave palestinienne vers dizaine de colonies israéliennes en riposte aux crimes israéliens ayant fait plus de 1850 martyrs, en majorité de civils dont plus de 400 enfants.
    L'aviation israélienne menait pour sa part une série de raids contre plusieurs localités de la bande de Gaza, a indiqué une porte-parole de l'armée d’occupation.
    Rappelons que l’arrêt des tirs de roquettes palestiniennes sur les colonies, et la destruction de tous les tunnels, étaient à la tête des objectifs de l'agression israélienne contre Gaza lancée le 8 juillet.
    Embarras international
    La guerre israélienne contre Gaza et les images des centaines d’enfants tués par l’aviation israélienne avaient ces derniers jours embarrassé les dirigeants occidentaux.
    "Israël peut faire davantage pour empêcher des victimes civiles", a ainsi martelé Jennifer Psaki, la porte-parole du département d'Etat américain. "Mais cela ne change pas le fait qu'Israël reste un partenaire important en termes stratégique et de sécurité. Il a le droit de se défendre", a-t-elle ajouté.
    Le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius a reconnu le droit "total" d'Israël à se défendre. "Mais ce droit ne justifie pas qu'on tue des enfants et qu'on massacre des civils", a-t-il dit.

    "Combien de morts faudra-t-il encore pour que s'arrête ce qu'il faut bien appeler le carnage de Gaza ?", a-t-il encore demandé. Le président français François Hollande a parlé, quant à lui, de "massacres".
    Devant l'ampleur des souffrances endurées par les 1,8 million de Gazaouis prisonniers de la guerre sur un tout petit territoire, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a joint sa voix à toutes celles ayant réclamé un cessez-le-feu.
    De son côté, l'Assemblée générale de l'ONU tiendra mercredi une "réunion informelle" de ses 193 membres, convoquée à la demande du groupe des pays arabes à l'ONU, pour examiner la situation dans la bande de Gaza, a indiqué lundi une porte-parole.

    source :

    http://www.almanar.com.lb/french/adetails.phpeid=185194&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=20&s1=1

    http://www.voxnr.com/cc/d_antisionisme/EupZkylyFZEfjvqAYz.shtml

  • “Al-Qaïda en France”, le livre choc de Samuel Laurent

    Haletant, le nouveau livre de Samuel Laurent, “Al-Qaïda en France”, se lit comme un roman d’espionnage. Consultant international et homme de terrain, l’auteur s’était tout d’abord lancé dans une enquête sur les djihadistes français partis en Syrie. Mais il va rapidement découvrir l’existence d’un réseau bien plus large qu’il ne l’aurait imaginé, et qui va l’emmener jusqu’en Somalie pour finir dans les cités françaises où règnent en maître les salafistes.

    Profitant de ses contacts au Sahel et en Lybie, il va réussir à s’introduire dans la brigade de Mohammed Fizourou ou auprès de l’émir de Jabhat al-Nosra, au bout de plusieurs mois de négociations. C’est là qu’il va comprendre ce qui se trame…

    Constatant la disparition de certains français du camp où il réside du jour au lendemain, il en vient à découvrir que certains djihadistes français, ceux qui forment l’élite d’Al-Qaïda, après avoir passé un processus de sélection rigoureux sont envoyés en Somalie.

    Ni une ni deux, l’auteur s’envole pour la suite de son enquête à Mogadiscio puis dans les repaires de shebabs. Il découvre alors le point clé de ces réseaux: ceux ayant été identifiés comme les meilleurs français djihadistes sont exfiltrés dans ces camps islamistes afin de préparer leur retour en France où ils seront des agents dormants d’Al-Qaïda, prêt à frapper lorsque l’ordre leur sera transmis. Après des semaines de jeu de piste, il finira par rencontrer en France “l’émir” d’Al-Qaïda en charge de ce groupe terroriste.

    Décrivant dans le détail le fonctionnement de cette structure, ces méthodes, à grand renfort d’interviews exclusives et de témoignages passionnants, l’auteur fait des révélations fracassantes sur ces réseaux de l’ombre présents à l’heure actuelle en France. Glaçant.

    http://fr.novopress.info/173369/al-qaida-en-france-le-livre-choc-de-samuel-laurent/