CANNES (NOVOPress) – Cannes, ce n’est pas seulement le recto festival de cinéma, stars et glamour, c’est également et surtout le verso insécurité et braquage des commerçants.
C’est contre cette violente réalité que plusieurs commerçants de Cannes ont lancé pour la seconde fois un Festival des braquages (qui dispose de son site Internet), lors d’une conférence de presse qui s’est tenue lundi. Conférence de presse reprise le lendemain dans la presse, notamment Nice-Matin.
Ce festival établit un palmarès des différents braquages dont été victimes les commerçants cannois. Car « ce festival est celui des Cannois anonymes, de la majorité silencieuse qu’on n’entend jamais. Aujourd’hui la violence, et particulièrement l’inquiétante recrudescence des braquages, font que les Cannois et notamment les commerçants vivent au quotidien dans l’insécurité. » Et ce festival « vise à exiger des responsables politiques qu’ils tournent leurs projecteurs vers ce fléau délibérément occulté, et par suite qu’ils mettent en œuvre une action d’envergure pour y mettre fin. »
Lors de l’édition 2012 du Festival des braquages, les Identitaires (à l’origine de ce festival, désormais repris par des commerçants) avaient décerné la Palme d’Or 2012 des Braquages au maire de Cannes, Bernard Brochand.
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insécurité - Page 983
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A Cannes, nouvelle édition du Festival des braquages
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“La France orange mécanique” de Laurent Obertone et “Sale Blanc !” de Gérald Pichon
PARIS (via Polémia) – De passage à Marseille où des règlements de compte en série avaient fait une douzaine de morts dans les « cités », Manuel Valls déclarait solennellement « la guerre de l’Etat de droit contre la barbarie ». Mais n’est-il pas trop tard pour ce faire ? Et, surtout, comment espérer la réussite de cette entreprise titanesque si l’on ne désigne pas clairement les « barbares » ? C. L.
Preuve que l’immigration et ses inéluctables conséquences – hausse du chômage, de la criminalité, des dépenses sociales et pénitentiaires, baisse généralisée du niveau scolaire, etc. – inquiètent de plus en plus nos compatriotes, le nombre de livres qui leur sont consacrés ne cesse d’augmenter, avec un succès croissant.
Barbarie et racisme anti-Blancs, deux marques de fabrique
Après Fractures françaises de Christophe Guilluy ou Le Sanspapiérisme/ Où sont les papiers des sans-papiers ? de Luc Gaffié, commentés ici même, paraissent ainsi simultanément La France orange mécanique, de Laurent Obertone, et Sale Blanc ! – Chronique d’une haine qui n’existe pas, de Gérald Pichon : deux ouvrages très différents, mais qui se complètent parfaitement.
Le premier, dû à un journaliste, démontre avec rigueur et nombre de références, mais sur un ton très enlevé, l’ « ensauvagement » galopant des zones dites sensibles. Le second, plus militant mais également référencé, insiste sur l’aspect volontairement occulté, bien que tout aussi effrayant, du phénomène : à savoir le racisme anti-Blancs exacerbé des sauvages importés. La douzaine de voyous, tous « bien connus de la justice pour des délits d’outrage, de violence ou de recel » qui, le 27 juin 2010 sur l’autoroute A 10, à la suite d’un banal accrochage, ont lynché à mort le jeune automobiliste Mohamed Laidouni devant son épouse et sa mère, ne reprochaient-ils pas au malheureux, qui voulait procéder à un constat, de « faire le Français » ?
Voici prévenus les immigrés tentés par l’intégration : ils seront traités par leurs congénères en apostats raciaux.
La « tyrannie médiatique » complice des sauvages
Si la barbarie s’installe et prospère, estime Laurent Obertone, c’est dû en partie à la « tyrannie médiatique », comme dirait Jean-Yves Le Gallou, les journalistes en quasi-totalité de gauche taisant ou minimisant les exploits des Jeunes, récemment requalifiés Individus, alors que « nul – et surtout pas la presse ! – n’est censé ignorer la réalité ». De fait, évoquant le parcours particulièrement sordide d’un violeur en série, Le Parisien dissimulait début avril son origine et son identité, se contentant d’écrire qu’il n’avait « jamais encore été condamné dans notre pays ». Manière élégante de dire qu’il est étranger.
Le coût de la criminalité : 115 milliards d’euros !
L’auteur ne s’est pas contenté d’accumuler des milliers de coupures de presse, il a aussi dépiauté quantité de rapports officiels et d’études spécialisées. Citons celle, en 2010, de l’économiste Jacques Bichot : « Chaque année, la délinquance et la criminalité coûtent aux victimes et à l’Etat un total de 115 milliards d’euros… Le coût total de la délinquance et de la criminalité représente 5,6% du PIB », soit « l’équivalent de deux fois le total de l’impôt sur le revenu ». Commentaire de L. Obertone : « Le déficit de la France en serait-il un si l’on ramenait l’insécurité à son taux de l’après-guerre ? La réponse est claire : notre pays ne serait tout simplement pas endetté. »
Une chance pour la France ?
Or, le poids de l’immigration dans cet insupportable fardeau est gigantesque. Quelques chiffres ?
« Au tribunal de grande instance de Toulouse, sur 543 affaires réparties en 102 audiences, le chercheur au CNRS Daniel Welzez-Lang a noté que 65% des prévenus étaient “d’apparence maghrébine ou d’apparence noire” (Carré d’info, 27/03/2012). »
« Les renseignements généraux ont établi le profil type des caïds, meneurs des fameuses “bandes”, à partir de l’étude de 436 d’entre eux répartis dans 24 quartiers sensibles”. 87% ont la nationalité française ; 67% sont d’origine maghrébine et 17% sont d’origine africaine. Les Français autochtones représentent 9% des meneurs (Le Monde, 25/02/06). »
« Le fichier Canonge (un peu plus de 100.000 malfaiteurs) définit, entre autres, les individus par leur “type”… Il comprend 37% d’individus de type “européen”, 29% d’individus de type “nord-africain” et 19% d’individus de type “africain subsaharien” », les 5% restants étant sans doute rroms ou asiatiques. Etc.
Une catastrophe pour la balance commerciale
Si l’on considère avec le médiocrate Jean-Jacques Bourdin que les immigrés ne représentent aujourd’hui que « 5,6% de la population française » ou, avec l’ «expert » Philippe Manière (auquel cela a valu le 19 mars dernier un Bobard d’Or), que « nos flux migratoires en France sont extrêmement ténus » et que ce « tout petit flux d’immigration (…) n’est pas tellement susceptible d’avoir un impact ni économique ni démographique », on admettra que ce flux « insignifiant » a une incidence, au contraire, très signifiante sur la criminalité et donc sur un climat d’insécurité si prégnant qu’il commence notamment à beaucoup inquiéter nos offices du tourisme.
« Paris fait la une en Chine pour son insécurité. Pékin demande à la France de mieux protéger les touristes chinois suite à la multiplication des agressions et des vols qu’ils subissent», pouvait-on lire
le 28 mars sur le site des Echos, quotidien du milliardaire du luxe Bernard Arnault qui redoute, à bon droit, la désertion des voyageurs du Céleste Empire, les plus dépensiers du monde. Et, quelques jours plus tard, le 9 avril, les gardiens du Louvre se mettaient en grève à l’appel des syndicats FO, CGT et SUD, excédés de devoir, parfois à leurs risques et périls, protéger les visiteurs de vols systématiques et d’agressions parfois violentes alors que leur métier est de veiller sur les seuls tableaux. Qui sont ces terreurs qui ont transformé le Louvre en coupe-gorge ? Des « mineurs d’Europe de l’Est [qui ont toute facilité d’entrer dans le musée, gratuit pour les moins de 26 ans], à vingt ou trente » et qui, bien que parfois arrêtés par la police, « recommencent à sévir quelques jours plus tard ».
Les étrangers ainsi détroussés ayant raconté leurs mésaventures sur Internet, la bonne réputation de la capitale en a pris un sacré coup alors qu’elle était déjà exécrable, ayant déjà été classée au 22e rang pour la sécurité dans un sondage réalisé l’an dernier auprès de plus de 60.000 internautes par le site de voyages TripAdvisor. Or, le tourisme était l’un des seuls postes positifs de notre balance commerciale. Cela risque de changer très rapidement grâce aux « sauvages ».
Qui stoppera la « machine à entretenir la criminalité » ?
Comment en est-on arrivé là ? Pour Laurent Obertone, qui dit avoir « voulu rendre la parole aux victimes », tout le monde est responsable : les gouvernements successifs, d’abord, les politiques suivies par la droite et la gauche face à la « machine à entretenir la criminalité » étant si semblables « qu’on se demande parfois qui est au pouvoir depuis Mitterrand » ; mais aussi « les élites, les chercheurs, les journalistes, les enseignants », qui « n’ont jamais été aussi conformistes » (alors même que la violence importée n’est pas peu étrangère à l’absentéisme croissant de la dernière catégorie) : « Sur vingt ans de faits divers, on parlera davantage d’une bavure policière que des milliers d’assassinats commis par des Jeunes ». En effet, le souvenir de Malik Oussekine, diabétique décédé lors d’une charge de police en 1986, est rituellement invoqué mais tout le monde a oublié le tueur en série Sid Ahmed Rezala, ce « Marseillais » au « visage d’ange » qui, à l’automne 1999, assassina une Britannique et deux Françaises après avoir tenté de les violer. Condamné dès son plus jeune âge pour de multiples délits, dont le viol d’un enfant, le drogué Rezala était l’incarnation même du « sauvage ».
Même le citoyen lambda, pourtant victime du racisme anti-Blancs dénoncé par Gérald Pichon avec force et conviction, ne saurait s’exonérer de toute responsabilité : ayant parfaitement intégré la vulgate, plébiscitant le comédien sénégalais Omar Sy comme leur « personnalité préférée » (sondage national du Parisien Magazine en décembre 2012), certains autochtones sont les premiers à s’élever contre « tout amalgame » quand ils sont violentés par ceux qui « sont chez eux chez nous ».
Début avril avait lieu devant les assises de la Marne le procès des assassins d’un Polonais dont le cadavre avait été retrouvé calciné et démembré. Les meurtriers ont été condamnés à 12 et 6 ans de réclusion. Leur complice, qui avait démembré le corps, s’en est tiré avec un an de prison. Avec sursis. La barbarie a de beaux jours devant elle.
Aussi Laurent Obertone conclut-il avec pessimisme qu’il est impossible de « revenir en arrière ». A moins qu’une réaction ne s’amorce. Signe encourageant : grâce au bouche à oreille, son livre s’est hissé en mars dans le « Top 20 » des ventes de la FNAC, alors que celle-ci, soi-disant « agitateur d’idées », refuse de le mettre en rayons. Espérons que cette hirondelle fera le printemps, fût-il tardif.
Claude Lorne
Laurent Obertone, La France orange mécanique, préface de Xavier Raufer, Editions Ring, janvier 2013, 349 pages.
Gérald Pichon, Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas, Editions Idées, 2013, 105 pages.
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Bastonner et bidonner, ça rime… Tiens, y’a plus d’agressions contre les homos ?
Voici au moins un bénéfice que l’on pourra porter au crédit de la loi Taubira : elle semble avoir mis fin, d’un coup d’un seul, aux agressions contre les homosexuels ! Bizarrement, alors que la colère des opposants au « mariage pour tous » (pointés du doigt pour ces agressions) devrait avoir redoublé après que la loi a été votée dans des conditions très tendues, la “vague de violences homophobes” semble être retombée…
Ouf, on a eu peur. En avril, alors que l’on n’était pas sûr qu’il se trouve une majorité au Sénat pour adopter le « mariage pour tous » et que les opposants à ce texte, expliquait la gauche, se « radicalisaient », la France a connu une “inquiétante” flambée d’agressions contre des homosexuels du seul fait qu’ils étaient homosexuels ! La preuve, nous expliqua-t-on, que ce débat attisait les haines et qu’il devait être clos au plus vite sous peine de voir proliférer les bastonnades contre les homos.
Sur les écrans de télévision en effet, les visages tuméfiés se succédaient, accompagnés de témoignages bouleversants ne laissant “aucun doute” sur le caractère homophobe de l’acte et particulièrement bien instrumentalisés par les associations LGBT (lesbiennes, gays, bi, trans) dans leur volonté effrénée de criminaliser la Manif Pour Tous et ses excroissances. « La Libre Belgique » osa même ce titre: « Le printemps homophobe français »! « Six mois de débat sur le sujet ont libéré les paroles et actes homophobes dans le pays », affirmait, sans douter un instant, le correspondant à Paris de cet important quotidien belge qui énumérait agressions physiques et attaques de bars gays.
Or à la triste exception de l’expédition menée contre un bar gay de Lille par un groupe d’individus éméchés, aucune des enquêtes menées à la suite de ces actes très médiatisés n’a permis, pour le moment d’en établir le caractère homophobe. Et l’ampleur prise par l’affaire lilloise, qui avait donné lieu à une déclaration du ministre de l’Intérieur en personne, doit elle-même être ramenée à ses justes proportions: les trois jeunes gens interpellés et placés en détention préventive ont, depuis, été remis en liberté. On saura lors du procès, le 13 mai, si la violence des accusés fut aussi féroce qu’on l’a dit.
L’Assemblée nationale : « un quartier dangereux pour les homos » !
L’« agression matrice », celle qui a « traumatisé la communauté gay », comme l’écrit « La Libre Belgique », fut celle de Wilfred, le 7 avril à Paris. Il marchait tranquillement avec son copain, Olivier, « bras dessus bras dessous », en rentrant « d’un dîner arrosé », et puis il s’est « réveillé dans une ambulance couvert de sang ». Le visage rendu méconnaissable par les coups. C’est d’ailleurs sous ce titre: « Voici le visage de l’homophobie », que Wilfred a posté sur Facebook la photo de son visage tuméfié et fracturé qui a fait la une des journaux télévisés. Il ne se souvient de rien mais Olivier, si. Celui-ci dit avoir en tendu, juste avant que les coups ne pleuvent sur lui et, surtout, sur son compagnon: « Ah des homosexuels! »
On n’a aucune raison de douter, bien sûr, de la parole d’Olivier. On n’en a pas plus de le croire sur parole. Wilfred et Olivier sont des militants.
Le premier a collaboré au centre LGBT et le second avait créé un groupe de lutte contre l’homophobie dans son école de commerce.
L’émotion prenant le pas sur la raison, comme d’habitude, des manifestations ont été organisées dans toute la France pour dire « non à l’homophobie ». Certes… mais qu’en est-il des agresseurs ?
Comme dans de très nombreuses affaires, ceux-ci n’ont toujours pas été arrêtés. Le seront-ils un jour ? Espérons- le. Mais dans un arrondissement, le XIXe, concentrant à lui seul 50 % des logements sociaux de la Ville de Paris, où près de la moitié de la population serait d’origine étrangère et où les affrontements entre bandes et communautés sont très fréquents et très violents, ne peut-on pas envisager que les deux homosexuels n’aient pas été victimes de jeunes catholiques assoiffés de sang?
Wilfred, désormais, ne veut plus s’exprimer. Il « se reconstruit ». Il a voulu reprendre le travail de vendeur dans une galerie d’art après « plusieurs jours » d’arrêt. « Son patron l’en a dissuadé », raconte « La Libre Belgique » qui explique: « Car ladite galerie est située non loin de l’Assemblée nationale (où les anti-” mariage gay” manifestent chaque soir). » Ce qui en fait, selon son patron, « un quartier dangereux pour les homos en ce moment ». C’est sûr que le quartier de l’Assemblée, où on ne peut pas faire un pas sans marcher sur le pied d’un flic, est super dangereux! Au fou!
« Français ou Tchétchènes » ? Gaffe à la réponse !
Deux jours avant l’adoption du texte de loi, c’est à Nice que les réseaux LGBT vont instrumentaliser l’agression de deux jeunes homosexuels, Raphaël et Florian, à la sortie d’une boîte de nuit gay peu avant 6 heures du matin. Le témoignage des victimes était pourtant clair et public: Raphaël a livré tous les détails sur Facebook.
Certes, au début de l’affaire, il y a une apostrophe: « Eh les gays! » Mais ils sortaient juste d’une boîte gay. S’ils s’étaient trouvés devant la salle d’un concert de rock, on les aurait interpellés d’un « Eh les rockeurs! ». Car la sexualité de Raphaël et Florian n’intéressait pas du tout les trois individus qui allaient les agresser. Ce qu’ils voulaient, c’est… une cigarette! « Il me demande une cigarette, relate Raphaël, je dis que je n’en ai pas, il demande à Florian “Français ou Tchétchènes “, [Florian] répond “Français“ et [celui qui avait demandé un clope] l’a “étranglé“ avec son bras et l’a mis par terre. » Puis Raphaël est frappé à la tête. Il perdra connaissance et retrouvera ses esprits le visage tuméfié, ayant été frappé à de nombreuses reprises au visage alors qu’il était à terre.
Difficile d’établir avec plus de certitude qu’il s’agit d’un acte de racisme antifrançais. Pas pour la plupart des médias, qui n’y verront que de l’homophobie. Pas pour Raphaël lui-même, dans un premier temps, qui conclura son récit par: « Alors les homophobes, les anti-mariage gay, etc., fuck off! », pas non plus pour le secrétaire du Centre LGBT de Nice, qui persistera à dire: « L’homophobie n’est peut-être pas à l’origine de l’agression, mais elle y a participé. »
Bastonner et bidonner, ça rime… Tiens, y’a plus d’agressions contre les homos ?
Racisme anti-français
Ce que nous avons compris, nous, mais nous sommes peut-être un peu bas de plafond, c’est que si les deux homos avaient été tchétchènes, et pas français, ils n’auraient pas dérouillé! Encore que… Si Nice est certainement l’une des villes les plus « gay friendly » de France – ce dont son maire Christian Estrosi s’enorgueillit – c’est aussi la métropole au plus fort taux d’insécurité avec 40 à 50 agressions par jour!
Quand, une semaine plus tard, le comité Ahura Basta (« Maintenant, ça suffit! »), qui lutte contre l’insécurité à Nice, a organisé un rassemblement de soutien (image ci-contre) aux deux jeunes gens victimes de « racisme anti-français », Raphaël et Florian n’ont pas protesté. Au contraire. Ils sont venus assister à ce rassemblement et ont longuement conversé avec Philippe Vardon, qui, au nom des identitaires niçois de Nissa Rebela, venait de prendre la parole!
On ne sait rien mais suivez mon regard…
Et à Bordeaux? Dans la ville d’Alain Juppé, au lendemain de l’affaire lilloise, c’est le Go West, un bar gay là encore, qui a été attaqué. Et pas à coups de poings mais à l’arme de poing! On admirera la manière qu’a eue « Sud-Ouest » de désigner de quel côté chercher les agresseurs tout en prenant les précautions juridico-stylistiques afin de n’être pas poursuivi: « Le lien n’est pas encore établi. Quelques heures après deux manifestations parallèles des pro et anti-mariage pour tous à Bordeaux, vers 1h50 dans la nuit de mercredi à jeudi, le bar gay le Go West, situé rue Dufour-Dubergier à Bordeaux a été la cible et la scène de violences. » Le lien « n’est pas encore établi » mais il ne devrait pas tarder à l’être, c’est ça?
« Il est difficile de ne pas voir le lien » avec une « attaque homophobe » assurait de son côté Fabien Robert, adjoint MoDem au maire de Bordeaux, nos collègues de « Métro » écrivant eux: « Si le caractère homophobe de cette agression n’a pas encore été prouvé, son déroulé et la tenue des agresseurs le laisse facilement imaginer. » La tenue camouflée ? Ils étaient cagoulés a dit le patron du bar. Et « Metro » d’ajouter: « L’incident a eu lieu quelques heures à peine après les manifestations parallèles des pro et antimariage pour tous. » « A peine » quelques heures après, ça veut dire quoi? Pas quasiment en même temps, on espère, sinon ça veut dire que les coupables ne sont pas à chercher du côté de ceux qui manifestaient et qui ne pouvaient pas être à deux endroits à la fois…
Deux semaines plus tard, le fameux « lien » n’est toujours pas établi. On parie qu’il ne le sera jamais? Le site Infos Bordeaux a recensé plusieurs « zones d’ombre troublantes » dans cette affaire. Par exemple que le gérant du Go West a été agressé à coups de crosse de pistolet. « Pourquoi utiliser la crosse d’une arme de poing, plutôt qu’une matraque, un poing américain ou tout objet fait précisément pour frapper? » Bonne question en effet. Ou encore que, toujours selon ce gérant, les agresseurs, ayant ensuite brisé quelques bouteilles, n’ont pas dit un mot. Pas un seul. Même pas « sales pédés ».
Les cambriolages vont baisser… dans le Marais
« Plus étrange encore, note Infos Bordeaux: moins de deux jours après l’agression, et alors que l’on sait que le ministère a promis une sévérité sans borne à l’égard des auteurs d’actes homophobes, les services enquêteurs admettraient d’ores et déjà leur impuissance. » A Bordeaux, en fait, personne ne croit à un acte homophobe. Mais dans une ville qui tient à sa réputation, personne non plus ne prononce le mot de « racket », qui laisserait penser que cette si paisible cité n’est pas à l’abri des pratiques mafieuses.
« Nombre d’homosexuels disent faire désormais attention, sur la voie publique: tenue vestimentaire sobre, maîtrise des attitudes efféminées, aucun geste de tendresse », racontait encore l’article décidément inénarrable de « La Libre Belgique », mais après tout validé, sur le fond, par Manuel Valls pour qui les faits du mois d’avril ont légitimé la mise en place d’une sécurité renforcée pour les « quartiers gays » de Paris. En voilà qui ont de la chance. Dans un pays qui compte environ 2000 agressions par jour, c’est un privilège dont de nombreux Français, habitant des zones moins sûres que le Marais, aimeraient bien profiter…
Cette semaine, près de Saint- Omer, dans le Pas-de-Calais, le jeune Damien Vandaele, âgé de 24 ans, a été renversé – semble-t-il volontairement – par un véhicule conduit par un certain Hüseyin Topkaya, connu des services de gendarmerie pour violences conjugales. Damien est mort sur le coup. Lui aussi était accompagné d’un garçon, prénommé Romain et âgé de 21 ans, qui, également renversé, est toujours dans un état critique. Mais cette triste histoire ne fera pas de bruit : Damien et Romain sont frères, pas futurs maris.
Renaud Leroy (avec Antoine Vouillazère)
Article de l’hebdomadaire “Minute” du 8 mai 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.
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Caen : une mère tabassée par la police devant ses enfants
La manifestation pour l’accueil du ministre à la réussite éducative Georges Pau-Langevin était bien déclarée à Herouville Saint Clair. Mais les policiers s’en sont pris aux manifestants, une mère de famille avec un mégaphone a été mise par terre devant ses enfants.
Il faisait très beau cet après midi à Caen. Le ministre Mme Georges Pau-Langevin, venait visiter le collège lycée expérimental. Evidemment un comité d’accueil était là composé de 3 mères de famille, trois retraités, 4-5 badauds et une poignée de jeunes de la cité où se trouve cet établissement. Sur place, des barrières de sécurité quelques policiers… Les manifestants faisaient un peu de bruit avec un mégaphone, tout se passait paisiblement, à une bonne centaines de mètres des opérations.
Soudain, le commissaire, sans sommation, a appelé une trentaine de CRS pour pousser les manifestants encore plus loin, des policiers en civils ont aussi débarqués et tels un rouleau compresseur ont chargé ! Le commissaire a insulté une maman en la traitant de veau, les coups de matraque sont tombés au hasard, et 4 policiers en civil sont littéralement tombés sur la maman qui avait le porte voix, ils l’ont roulée et tabassée à terre sous les yeux de ses enfants ! Un petit jeune de 16 ans qui n’en pouvait plus de voir cela les a traités de s… et est parti s’assoir sur un banc plus loin avec ses copains. 1/4h plus tard, des policiers en civil sont venus appréhender ce jeune de 16 ans, lui ont mis des menotes sans aucun ménagement et l’ont emporté au poste.
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François Hollande invité à témoigner dans le cadre de deux affaires
PARIS (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation) - Le président Hollande a reçu la semaine dernière deux invitations à témoigner aux procès des affaires Dalongeville et Teulade.
L’affaire Dalongeville voit l’ex‑député‑maire d’Henin‑Beaumont comparaître pour détournement de fonds publics, faux et usage de faux et favoritisme. Il aurait détourné des fonds pour alimenter le financement occulte de la fédération PS du Pas‑de‑Calais.
L’affaire Teulade voit, elle, se juger en appel la condamnation de juin 2011 à dix‑huit mois de prison avec sursis et 5.000 € d’amendes pour abus de confiance du sénateur‑maire d’Argentat, en Corrèze.
Le président acceptera‑t‑il de témoigner ? Rien n’est moins sûr.
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Vent de fronde anti-Valls dans les commissariats
Dénoncer les flics… c’est pas délétère ça ?
La grogne serait à son comble chez les policiers. C’est plus qu’un mouvement d’humeur après la dernière réforme de Manuel Valls. Pour certains, il est impossible, dans le climat actuel, que cela aille jusqu’au bout. Les policiers baissent déjà les bras dans un contexte politique et judiciaire de suspicion à leur égard. R.F.
On voit bien que le pouvoir, lâché par son électorat, courtise le réduit des banlieues à population largement d’origine immigrée. Mais ce faisant, on prend des risques. Il ne faut pas être manichéen. Des policiers se défoulent parfois au délit de faciès vis-à-vis d’une population jugée par eux solidaire de certains comportements criminels ou hostiles. C’est inacceptable. Mais la réforme Valls de la police des polices est une stupidité. Elle pousse à la délation et au défouloir de haine.
Le ministre de l’Intérieur a confirmé dimanche lors d’une émission de M6 sur les « ripoux » que « chaque citoyen pourra saisir » l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), la « police des polices », en cas de litige. Il a évoqué à cet égard « la déontologie et les valeurs » des policiers dont il attend « un comportement exemplaire ». Comme des politiques bien sûr.
Cette réforme est en chantier depuis novembre 2012. Manuel Valls avait limogé le « patron » de l’Inspection générale des services (IGS) de la préfecture de police de Paris, lui reprochant notamment d’avoir impliqué à tort un haut fonctionnaire classé à gauche sous Nicolas Sarkozy. Le point de départ est nettement politicien. Il avait critiqué des « dysfonctionnements » et promis une « harmonisation des pratiques » de l’IGS afin que celle-ci devienne une « composante à part entière » de l’IGPN. A compter du 1er septembre, il n’y aura qu’une seule « police des polices » , aussi dénommée les « boeuf-carottes » dans le jargon policier pour la réputation de ses enquêteurs à faire mijoter les collègues pris en faute. N’importe quel citoyen pourra la saisir en cas de contestation, de bavure ou de corruption – le cœur du métier des inspections, grâce à une plate-forme nationale de signalement sur internet ouverte à tous, à condition de s’identifier. Heureusement qu’internet n’existait ni pendant l’ occupation ni à la libération.
Les syndicats sont plus que réticents. «Tout est ficelé d’avance», s’indigne Jean-Claude Delage, secrétaire général d’Alliance (seconde organisation de gardiens de la paix) pour qui « la plainte en ligne va nous stigmatiser ». « C’est injustifié et injustifiable », a surenchéri Patrice Ribeiro de Synergie (second syndicat d’officiers). « 75% des plaintes contre les policiers sont des calomnies, cela va multiplier les plaintes », ajoute-t-il, « on ouvre une boîte de Pandore ». Pour le SNOP-SCSI (majoritaire chez les officiers), Jean-Marc Bailleul n’a «pas d’opposition» : « il n’y a pas de raison que cela jette la suspicion », dit-il, mais il « faudra que les petites affaires soient traitées en interne pour ne pas surcharger » l’IGPN qui « va travailler à effectifs constants » soit un peu plus de 200 personnes. Nicolas Comte, porte parole d’Unité police SGP-FO (premier syndicat de gardiens), « n’est pas opposé à la transparence ». Mais, prévient-il, « dans un moment où l’on parle d’améliorer la relation police/population, il ne faudrait pas que nos collègues pensent que tout est de leur faute ». « À quand une réforme de l’inspection des gendarmes ? » interrogent-ils tous.
Deux poids deux mesures. Les syndicats qui « comprennent » la réforme au contraire de leur base pourraient en payer le prix lors des prochaines élections professionnelles. Patrice Ribeiro patron de Synergie-officiers, précise: « Nous nous battrons contre la réforme Valls, car la police est déjà le corps le plus contrôlé, avec des contrôles hiérarchiques, judiciaires, déontologiques, reposant sur un code spécifique, mais aussi un contrôle parlementaire et même un contrôle permanent des médias. » Selon lui, « cette initiative revient à envoyer un message ambigu aux voyous, qui stigmatise les policiers. Elle est d’autant plus incompréhensible qu’elle ne s’applique pas aux gendarmes et laisse supposer que les policiers seraient une sous-catégorie de forces de l’ordre, dont il faudrait se méfier. C’est intolérable! »
Le ministre ira-t-il jusqu’au bout ? Il peut imposer son point de vue par un décret et s’est donné un délai jusqu’au 1er septembre. On prend le pari que cela ne se fera pas…. car pour les policiers trop c’est trop et qui prendrait le risque politique d’une police en rupture dans la France actuelle.
Raoul Fougax
Metamag
4/05/2013 http://www.polemia.com -
[Vidéos] Manif pour tous : Valls lance des chiens contre des femmes et des enfants
Merci au Salon Beige d’avoir révélé cette information qui dépasse l’entendement : Valls lance des chiens contre des femmes et des enfants dont le seul crime est de manifester contre la loi Taubira
Des chiens pour les manifestants
Hier, après être allés sur le périphérique, les manifestants sont allé dans le 16ème. Les gendarmes ont sorti des chiens pour poursuivre les manifestants :
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L’Europe est-elle aussi responsables des ouvriers bangladais ?
La mort de plus de 400 personnes dans une usine textile au Bangladesh révèle une fois de plus les conditions déplorables dans lesquelles les entreprises occidentales font fabriquer les vêtements. L’UE a raison d’exercer des pressions sur les autorités locales, mais elle devrait aussi regarder ce qui se passe dans d’autres pays.
C’est une catastrophe dont l’ampleur augmente chaque jour. Il s’agit de l’effondrement de l’immeuble Rana Plaza, dans la ville de Savar au Bangladesh, qui a coûté la vie à au moins 400 personnes d’après les dernières informations [on en dénombre actuellement 500]. Le compteur s’est mis en marche il y a plus d’une semaine avec 87 morts et 1.000 blessés. Un autre chiffre circule désormais et il ne présage rien de bon, c’est celui des disparus : il serait de 1.000, même si certains sont peut-être comptés deux fois.
Le complexe de huit étages, dont trois auraient été ajoutés illégalement, abritait entre autres une usine textile. Des ouvriers avaient signalé à leur patron des fissures dans les murs, mais ce dernier les a obligés à venir au travail, en les menaçant de retenir une pénalité sur leur maigre salaire.
Les importateurs, en partie responsables
Le propriétaire de l’immeuble a été arrêté. C’est bien, car c’est le premier responsable, mais on est très loin du compte. Il aurait été, par exemple, nettement préférable que les autorités prennent des mesures préventives, compte tenu de l’état périlleux dans lequel l’immeuble se trouvait. Et aussi ailleurs dans le pays, car l’effondrement de ce bâtiment n’est pas un incident isolé. Les conditions de travail abominables au Bangladesh font bien trop fréquemment des victimes.Le drame explique le prix du textile dans certains magasins occidentaux. Comme ces t-shirts ou bikinis qui ne coûtent que quelques euros. Cela pourrait faire réfléchir le consommateur, mais il ne faut pas rejeter la responsabilité sur lui. Celle-ci incombe plutôt aux importateurs [comme Mango et Benetton], qui doivent s’assurer, mieux qu’actuellement, des conditions dans lesquelles leurs vêtements sont fabriqués.
L’Union européenne est le principal partenaire commercial du Bangladesh.
La menace exprimée cette semaine, dans une déclaration, par le Haut représentant de l’UE pour les affaires étrangères, Catherine Ashton, et le commissaire européen au commerce, Karel De Gucht, aura peut-être un effet positif. Ils avertissent le Bangladesh que le pays pourrait perdre les avantages dont il profite du fait de son statut de pays en développement, comme l’exonération des droits d’importation dans l’UE.
Une possible perte de revenus pour le pays
Le problème de ce type de mesure, et d’un boycott, c’est que le Bangladesh pourrait perdre sa principale source de revenus, et que ces activités seraient alors poursuivies dans un autre pays pauvre, dans des conditions tout aussi lamentables, voire pires.
L’UE demande à juste titre au Bangladesh de respecter les normes reconnues au niveau international de la RSE, la responsabilité sociale des entreprises. Mais il faut aussi qu’elle l’exige de la part d’autres pays. Les ouvriers exaspérés, qui sont descendus dans les rues du Bangladesh, exigent la même chose, en termes moins diplomatiques. C’est aux autorités bangladaises de mettre fin à ces scandales.
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Vous avez dit violence ?
Quand Frédéric Taddéi, sur France 2, vendredi 19 avril, lance un débat sur la violence, en référence aux manifestations qui ont parsemé la semaine contre le mariage pour tous (c’est-à-dire les homosexuels), on cherche en vain à se remémorer une manifestation vraiment violente, de celle dont étaient capables, par exemple, les nervis staliniens de la CGT hier. La seule chose dont on se souvienne, c’est le million de gens qui ont défilé le 24 mars dernier et les provocations policières qui ont eu lieu dans le haut de l’avenue de la Grande Armée ! On a assisté ensuite à des manifestations plus restreintes devant l’Assemblée nationale, un peu agitées tout au plus. Pas de quoi faire bander un CRS.
Mais, que voulez-vous, dans cette République bananière quand les manifs sont organisées par la gauche, c’est toujours au nom de la liberté et de la démocratie, quand c’est la droite, c’est au nom du fascisme. C’est ce que racontent les raclures de bidet des Loges qui pourrissent ce pays depuis 1870 et que l’on retrouve, comme par hasard, dans tous les grands scandales qui émaillent la vie, soi-disant démocratique, de ce pays. Derniers clients en date : Cahuzac, Guérini et Kucheida, tous socialistes, tous francs-macs !
Fort du soutien de toute la classe médiatico-politique, sans compter tous les intellectuels des cavernes qui passent régulièrement à la caisse, les socialistes cherche à masquer une incompétence rarement atteinte dans l’exercice du pouvoir. Hollande est bel et bien dépassé par les événements, le Premier ministre, Jean-Marc Zérault colmate comme il peut les béances ouvertes par des ministres incompétents et le pays est en train de sombrer dans le chaos.
Au lieu de calmer le jeu, Hollande et ses sbires s’accrochent à un mariage homo qui ne concerne même pas 1% de la population (et dont tout le monde se fout) et fracture une société française largement conservatrice et secouée par la crise. Dans le même temps, nos tristes sires socialistes augmentent les impôts à tour de bras appauvrissant une classe moyenne par ailleurs déjà bien éreintée. Je ne parle pas de la classe ouvrière, elle a disparu. Ce qui existe en revanche, c’est un lumpenprolétariat immigré que la gauche laisse grossir, ne voyant là que de futurs électeurs.
En revanche, cette La Manif pour tous est en train de cristalliser la conscience politique d’une France réelle et profonde dont le créneau n’est plus le ridicule mariage homo, mais le refus d’un monde libéral dont chacun a bien conscience qu’il est sans issue.
C’est d’ailleurs en cela que la dénommée Frigide Barjot est totalement dépassée par les événements. Cette égérie du chiraquisme, des soirées branchées et des plateaux de télé va encore faire trois petits tours avant de disparaître des écrans.
Celle qui, en revanche, a pris l’exacte mesure de l’événement, c’est bien Béatrice Bourges. Nul ne peut dire encore sur quoi cette grogne à ciel ouvert va déboucher mais une chose est certaine, c’est le ras-le-bol de cette France, hier encore silencieuse, de se faire cocufier par cette gauche et cette droite abonnées à l’américano-libéralisme qui entraîne l’Europe à sa perte.
Restons cependant lucides : tant qu’il y aura un poulet aux hormones dans le frigidaire, la révolution appelée de tous nos vœux, n’aura pas lieu. Qu’est-ce qui fait bouger les peuples ? Mystère.
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Israël agresse la Syrie
Au mépris du droit international et sans se soucier de la moindre formalité, l’Etat sioniste attaque la Syrie :
« de fortes explosions ont frappé la banlieue de la capitale syrienne tôt ce dimanche, annonce la télévision d’Etat. Ces roquettes israéliennes ont ciblé un centre de recherche militaire. Les explosions ont été entendues près du mont Qasioun à Damas. La zone abrite le centre militaire de recherche de Jamraya. »
Une agression qui aurait du soulever l’indignation de la « communauté internationale », mais il n’en sera évidemment rien : Israël est au dessus des lois et sous le prétexte d’assurer sa défense, peut tout faire. En l’occurrence violer le territoire d’un pays souverain, tuer près de 300 soldats syriens sans compter les blessés.Le plus notable (mais pas étonnant) dans cette affaire, c’est la coalition entre Israël et les terroristes islamistes qui sévissent en Syrie, soutenus par l’Occident.
Par ailleurs, le site syrien Dampress rend public les noms de deux pilotes de l’appareil israélien qui a participé au raid contre la banlieue de Damas.
Les sources sionistes ont reconnu avoir perdu contact avec Shamoel Azar et Esson Gary alors qu’ils survolaient la Syrie.Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, géopolitique, insécurité, international, lobby 0 commentaire