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L'armée russe a libéré 29 localités dans la région de Koursk au cours de la semaine
C'est ce qu'a annoncé le ministère russe de la Défense dans son rapport hebdomadaire sur l'opération militaire spéciale en Ukraine actualisé ce 14 mars. -
Guerre et spoliation : la prise de controle des terres agricoles ukrainiennes
Champ, UkrainePhoto prise le 25 avril 2018 par Vian (CC BY-SA 4.0)Depuis l’invasion russe en février 2022, la guerre en Ukraine est au centre des questions de politique étrangère et des médias.
Cependant, peu d’attention a été accordée à une question majeure qui est au cœur du conflit : qui contrôle les terres agricoles dans le pays connu comme le « grenier de l’Europe » ?
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Le groupe Meta envisage l'arrêt des programmes de fact-checking dans le monde entier
Meta prévoit de déployer à l’échelle mondiale un système de notes de contexte rédigées par les utilisateurs, inspiré du modèle de X (ex-Twitter). Testé aux États-Unis depuis l’arrêt du fact-checking en janvier, ce dispositif vise à remplacer les programmes de vérification des faits, jugés trop politisés par Mark Zuckerberg.
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Le projet de financement du réarmement de l’armée UE déjà mis en échec
À peine l’idée lancée, le plan de réarmement de l’UE, devant être financé à hauteur de 800 milliards d’euros, se heurte à la réalité politique et économique. D’abord, l’UE n’a pas encore cette somme et un premier pays de l’UE et de l’OTAN refuse ce projet.
Le Parlement néerlandais vient de voter contre le plan de réarmement de l'Europe. Alors que TF1 relance la question de toucher à l'épargne des Français pour pour financer ce réarmement, le chemin sur l’économie de guerre prévoit la réalisation de grosses économies sur le dos des salariés, des travailleurs, des retraités et des chômeurs et sur les structures de santé. Bruxelles envisage un sacrifice des populations.
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Les unités d'élite ukrainiennes "ont fui tant que c'était encore possible" de la région de Koursk
C'est ce que révèle à Sputnik Afrique Christelle Néant, journaliste française dans le Donbass.Cette fuite a été opérée "sous couvert d'unités, entre autres, de la défense territoriale", précise-t-elle. -
La Russie : vers la fin de «l’Occident collectif»
par Igor Delanöé
À l’occasion du troisième anniversaire du déclenchement de «l’opération spéciale», deux projets de résolution ont été soumis au vote à l’Assemblée générale des Nations unies (AGNU) le 24 février dernier. L’un, préparé par l’Ukraine et soutenu par les pays européens, condamnait la Russie et l’appelait à retirer ses troupes du pays. L’autre, proposé par les États-Unis, était d’une tonalité bien plus conciliatrice à l’égard de la Russie. Les deux textes ont été adoptés, les Américains s’abstenant lors du vote de leur propre résolution après avoir consenti à des amendements demandés par les Européens. Le texte original de la résolution américaine a cependant été adopté quelques heures plus tard par le Conseil de sécurité des Nations unies, avec 10 votes pour et 5 abstentions (Danemark, France, Grèce, Slovénie, Royaume-Uni). Pour la première fois depuis le début du conflit, la Russie a voté une résolution portant sur l’Ukraine de concert avec la Chine et, plus surprenant, avec les États-Unis. Cette séquence du 24 février 2025 a mis en évidence la fragmentation de «l’Occident collectif» et celle de la «majorité mondiale», deux récits structurants dans la politique extérieure russe.
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Proposition de cessez-le-feu : «tu m’as trompé une fois fois, honte sur toi. Tu m’as trompé deux fois honte sur moi»
par Régis de Castelnau
«Camarade Sergueï Viktorovitch Lavrov, nous avons un appel du secrétaire d’État américain Marco Rubio.
• Je vais le prendre, passez-le-moi.
• Bonjour Monsieur le ministre, je vous appelle après la négociation que nous avons menée à Djeddah avec la délégation ukrainienne. Nous nous sommes mis d’accord avec eux pour faire à la Russie la proposition suivante : vous acceptez un cessez-le-feu, une trêve quoi, sur l’ensemble de la ligne de front pour un mois. Nous reprenons toutes les livraisons militaires à l’Ukraine et rétablissons leur accès aux systèmes électroniques satellitaires, d’ISR et de ciblage de leurs frappes. Et dans un mois, on commence les vraies négociations sur un traité de paix.
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L’aveuglement des élites européistes a mis l’Union européenne hors du jeu mondial
Dans son livre « l’État profond américain », Peter Dale Scott cite (p 41) la définition que donne l’analyste républicain Mike Lofgren de ce système : « Il existe le gouvernement visible situé autour du [National] Mall à Washington, et puis il existe un autre gouvernement plus obscur, plus indéfinissable, qui n’est pas expliqué dans les cours d’instruction civique, ni observable par les touristes à la Maison Blanche ou ou au Capitole. Le premier représente la politique partisane traditionnelle à Washington : le sommet de l’iceberg que les spectateurs de C-SPAN peuvent voir quotidiennement, et qui est théoriquement contrôlable par le biais des élections. La partie immergée de cet iceberg est ce que j’appellerais « l’État profond » qui suit son propre cap indépendamment de qui est formellement au pouvoir ».
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La forêt amazonienne détruite pour les besoins de la COP30
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Moscou et Washington ont déjà décidé qui paiera pour l’aventure ukrainienne
Avant de rentrer dans une «partie» chacun devrait savoir à quoi il joue lui et ses partenaires. Il y a des moments où on est saisi de désespoir devant le jeu de dupe imposé au peuple français, d’autres où l’on est pris par le spectacle… Dans notre livre, où trois chapitres sont consacrés à la relation Chine-URSS-Russie, essentiellement à travers l’Asie centrale avec des partenaires comme la Turquie, l’Iran, l’Afghanistan dès 1917, nous accordons une grande importance à l’analyse du très grand diplomate soviétique et post-soviétique qu’a été Primakov. Il considère que les USA qui veulent prendre le relais de la Grande-Bretagne n’ont pas assez de subtilité pour mener ce jeu. Visiblement Trump avec sa brutalité en a assez pour imposer le paiement de sa mise à ce qu’il reste de l’Ukraine, s’il en reste comme il l’a dit et surtout à l’UE. C’est bien parti enfin pas pour la France ou ce qu’il en reste de politique autonome. Ce genre d’analyse ne peut que conduire à l’impasse et donne le sentiment d’être très intelligent alors que l’on n’avance pas d’un pouce. Danielle Bleitrach