Sous couvert de défendre la paix, Macron attise les braises de la guerre et distille la peur. On se demande parfois s’il a toute sa tête, quand il sort des âneries comme ci-dessus.
Qu’il est loin ce jour de 2017 quand Macron, à peine élu, invitait le Tsar à Versailles. Puis, en accueillant Trump au 14 juillet suivant, Macron engrangeait les bons points en politique étrangère. Mais tout cela ne fut qu’un mirage vite dissipé.