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Coup de tonnerre : le meilleur ami de Macron est complètement foutu !
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Vladimir Poutine propose des négociations avec l’Ukraine sans conditions préalables le 15 mai à Istanbul
Déclaration du président de la Russie aux médias. À l’issue des célébrations du 80ème anniversaire de la victoire de la Grande Guerre patriotique, Vladimir Poutine a fait une déclaration aux médias résumant les résultats des événements du 7 au 10 mai.
11 mai 2025, 02h00, Moscou, Kremlin
Vladimir Poutine : Bonsoir ou, plutôt, bonne nuit. Je voudrais souhaiter la bienvenue à tout le monde. Mesdames et Messieurs ! Chers collègues !
Je tiens à vous féliciter une fois de plus pour la fête de la Grande Victoire ! Je voudrais remercier nos amis, nos partenaires étrangers, qui étaient avec nous à Moscou ces jours-ci lors des célébrations de l’anniversaire pour s’incliner devant la génération des vainqueurs.
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Ukraine : que faut-il faire alors ?
Ne pas cautionner Macron sur l’Ukraine, c’est être un agent de l’étranger ou un complotiste : facile. Mais que faut il faire alors ? Se souvenir de ce qui se passait avant la guerre. La Russie vitupérait à la fois contre l’installation d’activités américaines, dont certaines liées à la défense, à ses portes et également contre les misères faites aux populations russophones du Donbass. Il y avait donc deux problèmes, l’un avec les Américains et l’autre avec le prédécesseur de Zélensky et Zélensky lui-même. Et la France ?
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Ukraine : la diplomatie des sourds-dingues…
Les télévisions occidentales nous ont expliqué que l’Ukraine et l’Occident allaient gagner la guerre, ils l’ont perdue. Les politiciens occidentaux nous ont expliqué qu’ils allaient mettre la Russie à genoux, c’est nous qui sommes à genoux. Et aujourd’hui, benoîtement, l’Occident dicte ses conditions comme s’il avait gagné et promet de nouvelles sanctions si la Russie qui a gagné la guerre, n’accepte pas de se comporter en perdant et de se plier aux injonctions d’un Macron qui promet encore des sanctions massives.
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Colonel Douglas Macgregor : Jour de victoire – La Russie a déjà gagné la guerre
Le colonel Douglas Macgregor s’exprime sur le Jour de la Victoire et les conséquences de la défaite de l’OTAN dans la guerre par procuration en Ukraine.
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États-Unis : Trump commence à accueillir des réfugiés afrikaners, dénonçant le racisme anti-blanc en Afrique du Sud
Une décision fracassante de Donald Trump pourrait marquer un tournant géopolitique dans les relations entre l’Occident et l’Afrique du Sud post-apartheid. À partir du lundi 12 mai, les États-Unis commenceront à accueillir les premiers réfugiés afrikaners – des Sud-Africains blancs, principalement d’ascendance néerlandaise – dans le cadre d’un programme humanitaire accéléré mis en place par l’administration Trump.
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« Trump a décidé de se débarrasser de Macron ! » Pierre-Yves Rougeyron et Florian Philippot
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Bloomberg : L’abandon du dollar prend de l’ampleur
«Les banques et les courtiers en Asie constatent une demande accrue de produits dérivés de devises qui contournent le dollar, alors que les tensions commerciales ajoutent de l’urgence à l’éloignement du billet vert qui dure depuis des années», selon Bloomberg.
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Ces cent jours qui ont frappé le monde
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Investi 47e président des États-Unis d’Amérique le 20 janvier 2025, Donald Trump a atteint le centième jour de son mandat le 30 avril dernier. En dix décades, le locataire de la Maison Blanche a déjà bouleversé son pays, l’économie mondiale et les relations internationales. Dès le premier jour de sa présidence, il a signé vingt-six executive orders qui correspondraient en France à des ordonnances gouvernementales. Par comparaison, en 2021, Joe Biden en signa dès la fin de son investiture le 20 janvier 2021… neuf ! Cent jours plus tard, ce sont finalement cent quarante-trois décrets présidentiels qui ont été pris. Lors de son premier mandat en 2017, surpris par sa victoire face à Hillary Clinton et peu soutenu par les caciques proto-démocrates d’un parti républicain soumis aux injonctions de la gauche culturelle, Donald Trump n’avait signé que vingt-quatre décrets présidentiels en une centaine de jours.
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Pour les 80 ans de la défaite du Troisième Reich, Macron célèbre l’axe Paris-Berlin militaire
Les résistants français, qui ont combattu le nazisme durant la Seconde Guerre mondiale, et qui dans leur grande majorité sont aujourd’hui – hélas – morts, laissent un vide qui permet aux élites actuelles de l’Europe (UE) de faire croire aux nouvelles générations que l’UE est la paix et l’héritage des valeureux combattants de la liberté contre le Troisième Reich, tout en présentant l’ennemi d’hier (l’Allemagne) comme l’ami d’aujourd’hui.