Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

international - Page 286

  • Le gel des avoirs russes par la Commission européenne et l’arroseur arrosé

    par Karine Bechet-Golovko.

    Karine Bechet-Golovko revient sur les possibles conséquences de l’annonce par la Commission européenne de son intention d’utiliser les avoir russes «confisqués». Une pratique qui s’apparente en réalité à… du vol, note l’analyste.

    Ce 30 novembre, la Commission européenne a annoncé son plan d’utilisation des avoirs russes «confisqués». Nous apprenons ainsi qu’une «task force», c’est le terme employé officiellement par les instances européennes, dénommée «Gel et confiscation» a été mise en place pour assurer la coordination du gel des avoirs russes.

    Lire la suite

  • L'état du conflit en Ukraine

    ukraine-tank-lg.jpg

    par Andrea Zhok

    Source : Andrea Zhok & https://www.ariannaeditrice.it/articoli/lo-stato-dell-arte-del-conflitto-in-ucraina

    En février de cette année, dans les semaines précédant l'entrée des troupes russes dans le Donbass, des discussions ont eu lieu dans les journaux et les talk-shows sur les perspectives possibles.

    À ceux qui ont appelé à ce que de l'Ukraine renonce à toute adhésion à l'OTAN, accepte un statut de neutralité et octroie d'un certain degré d'autonomie administrative aux provinces russophones (conformément aux accords de Minsk II) - toujours dans le cadre de l'État ukrainien - comme étant là des mesures raisonnables, et même pratiques, les experts du régime ont rétorqué avec colère qu'il s'agissait d'une perspective inacceptable, que la souveraineté ukrainienne était en jeu et qu'un État devait avoir le droit de choisir ses alliances militaires (NB : L'autonomie administrative du Tyrol du Sud est motivée par la présence d'une population germanophone à 69% ; dans les régions de Donetsk et de Lugansk, la population russophone d'avant-guerre dépassait les 90%).

    Lire la suite

  • Etats-Unis : la sénatrice d'Arizona Kyrsten Sinema claque la porte du Parti Démocrate pour devenir indépendante

    thumb_21635_article_sliderBig.jpg

    Vu sur TVL

    La sénatrice de l'Arizona Kyrsten Sinema a déclaré qu'elle quittait le parti démocrate et s'inscrivait en tant qu'indépendante, a-t-elle déclaré à CNN dans une interview exclusive jeudi, affirmant que "cela a beaucoup de sens."

    Lire la suite

  • Union Européenne : Le Qatar soupçonné de corruption, quatre interpellations et seize perquisitions

    thumb_21632_article_sliderBig.jpg

    Vu sur TVL

    Les perquisitions ont été effectuées dans plusieurs communes bruxelloises et en périphérie, notamment à Ixelles, Schaerbeek, Crainhem, Forest et Bruxelles-Ville. Elles ont été réalisées dans le cadre d'une vaste enquête pour des faits présumés d'organisation criminelle, de corruption et de blanchiment d'argent, a indiqué le parquet fédéral. 

    Lire la suite

  • Comment les militaires ukrainiens ont été formés en Angleterre et pourquoi ils ont été capturés en Ukraine si rapidement

    Le contexte de ce texte ironique mais qui malheureusement sonne vrai, le vote par la chambre introuvable du parlement français de la résolution 390, une allégeance totale à L’OTAN et aux visées de l’empire derrière la marionnette Zelensky. le contexte également, la décision d’aujourd’hui des USA : « les responsables de l’administration Biden envisagent une nouvelle proposition qui élargirait considérablement le rôle des États-Unis dans la formation des forces armées ukrainiennes, ce qui pourrait mettre le pays sur le chemin de la guerre » et nous avec grâce au vote de nos députés et de l’engagement de la Grande Bretagne et de la France de former des soldats pour notre tête de pont dans la guerre impérialiste.

    Lire la suite

  • PAYS : ALLEMAGNE / PAYS : RUSSIE « L’accord de Minsk de 2014 était une tentative de donner du temps à l’Ukraine»

    « L’accord de Minsk de 2014 était une tentative de donner du temps à l’Ukraine»

    Angela Merkel avoue que les accords de Minsk n’étaient pas faits pour être appliqués :

    « L’accord de Minsk de 2014 était une tentative de donner du temps à l’Ukraine. Elle a également utilisé ce temps pour se renforcer, comme on peut le constater aujourd’hui. L’Ukraine de 2014-2015 n’était pas l’Ukraine d’aujourd’hui. Comme vous l’avez vu lors de la bataille de Debaltsevo début 2015, Poutine aurait facilement pu les dépasser à l’époque. il était clair pour tout le monde que le problème n’était pas résolu, mais c’est ce qui a donné à l’Ukraine un temps précieux. Et je doute fort que les pays de l’OTAN auraient pu faire autant à l’époque qu’ils le font maintenant pour aider l’Ukraine. »

    Lire la suite

  • Les Américains cessent de soutenir l’Ukraine, par Olesya Otrokova

    Lire la suite

  • Caroline Galacteros : « L’Occident a volontairement franchi les lignes rouges posées par Poutine »

    Interview de Caroline Galacteros, géopolitologue et fondatrice du think tank Geo-Pragma, sur la situation en Ukraine.

    Lire la suite

  • « Vent de révolte en Allemagne contre les Etats-Unis ». L’édito de Charles SANNAT

    otan-ldv.jpg

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    Pour Oskar Lafontaine : « L’Europe paie le prix de la lâcheté de ses propres dirigeants ».

    Oskar Lafontaine n’est pas n’importe qui.

    Il né en 1943 en pleine Seconde Guerre mondiale. Il est le fils d’un boulanger mort au front, « il est élevé par les jésuites avant de suivre des études de physique. Depuis son adhésion au parti social-démocrate allemand (SPD), en 1966, il poursuit une ascension politique régulière dans la Sarre, devenant maire (1974-1976) puis super-maire de Sarrebruck (1976-1985), avant d’être ministre-président de la Sarre de 1985 à 1998 (à nouveau depuis 2009). Ses critiques à l’encontre du plan en dix points d’Helmut Kohl concernant la réunification allemande (et notamment son opposition à la participation de l’Allemagne unie à l’OTAN) lui valent de passer pour un opposant à l’unité allemande. Grièvement blessé d’un coup de couteau au cours d’un meeting en 1990, il se retire de la scène politique nationale. De retour en 1995, il est élu président fédéral du SPD. face à Rudolph Scharping, mais il doit s’effacer devant Gerhard Schröder comme candidat à la chancellerie en 1998. Nommé ministre des Finances dans le cabinet de ce dernier, il démissionne de toutes ses fonctions politiques, y compris de la tête du SPD, six mois plus tard, en 1999, pour protester contre les options qu’il juge trop libérales du chancelier : en effet, revendiquant l’héritage spirituel de Willy Brandt, O. Lafontaine prône la justice sociale, la lutte contre les privilèges des grandes sociétés et de leurs dirigeants mais aussi le refus de la participation allemande aux interventions au Kosovo ou en Afghanistan ».

    Lire la suite