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international - Page 301

  • Jeux de la Francophonie 2023 : censure des médias français

    Jeux de la Francophonie 2023 : censure des médias français

    De Ilyes Zouari, Président du CERMF (Centre d’étude et de réflexion sur le Monde francophone) :

    Contrairement aux Jeux du Commonwealth, très largement relayés par les médias britanniques, et comme pour leur dernière édition de 2019, les Jeux de la Francophonie 2023 font l’objet d’une censure totale des grands médias hexagonaux destinés à la population française, qui se démarquent ainsi de ceux des autres pays francophones du monde, y compris outre-Atlantique. Au-delà des habituels beaux discours officiels, l’hostilité des milieux politiques et médiatiques français à l’égard de la vaste francophonie ne fait désormais plus aucun doute, et va même en s’aggravant parallèlement à une fuite en avant européiste et atlantiste.

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  • [Tribune] Niger, la France paie cash son aveuglement

    Pour avoir été en poste au Niger entre 1993 et 1996, et témoin direct d’un coup d’État, je peux affirmer que s’il est un titre dont peut se prévaloir le Niger, c’est bien d’être l’un des champions africains du coup d’État militaire. Le dernier en date, celui du 26 juillet 2023, n’est en réalité que la suite de tentatives et de putschs qui sévissent dans ce pays depuis de très nombreuses années. En tenir la comptabilité deviendrait vite fastidieux, mais force est de constater que le trait commun à tous ces agissements s’appelle « la garde présidentielle ».

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  • Après avoir bloqué Sputnik et Russia Today, la France condamne…le blocage de France 24 et de RFI au Niger

    L’arroseur arrosé, mais qui n’accepte pas de l’être. 

    Après avoir bloqué Sputnik et Russia Today, la France s’est permise dans un communiqué de condamner…le blocage de France 24 et de RFI au Niger. 

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  • Le désespoir s’installe

    par James Howard Kunstler

    «Il n’y a qu’une seule façon d’expliquer cette pagaille : Chacune de ces crises remonte à l’obsession du parti démocrate de prendre et de conserver le pouvoir plus ou moins indéfiniment pour satisfaire son hubristique «récit» de la fin de l’histoire du triomphe libéral vertueux». (Patrick Lawrence)

    Ce silence que vous entendez en ces jours de chien d’un empire flétri est le calme avant la tempête et tout le monde le sait. L’ultime stratagème désespéré de «Joe Biden» contre la menace de Donald Trump semble à peu près à la hauteur de l’offensive du printemps ukrainien, à peine digne d’un «hé, bien essayé».

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  • Derrière Papy Biden, l’État profond américain à la manœuvre

    Derrière Papy Biden, l’État profond américain à la manœuvre
     
    Polémia prend ses quartiers d’été, tout en gardant un œil attentif sur l’actualité. En attendant la rentrée, en plus des articles inédits que nous continuons à publier, retour sur les articles les plus consultés depuis l’été dernier sur Polémia. Voici aujourd’hui un texte de Michel Geoffroy, publié le 5 octobre dernier.

    Par Michel Geoffroy, auteur de Immigration de masse. L’assimilation impossibleLa Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ On ironise facilement sur la fatigue, pour ne pas dire plus, du président américain Biden. Le président qui tombe de vélo ou dans les escaliers, qui lit bêtement tout ce qui est écrit sur son prompteur et qui a beaucoup de mal à s’empêcher de baver quand il parle devant les caméras. Mais il ne faut pas s’illusionner pour autant. Derrière Papy Biden, c’est l’État Profond américain qui est à la manœuvre. Papy Biden n’est pas un grand-papa gâteau ou un vieux gâteux. C’est une marionnette qui couvre de son autorité chancelante ceux qui ont déclaré la guerre au monde entier, dans l’espoir fou de continuer à le dominer.

    L’Ukraine, clef de la stratégie américaine en Europe

    L’Ukraine est de nos jours le premier enjeu de cette offensive mondiale.
    Car les États-Unis et l’OTAN, soufflent sur les braises au lieu d’essayer d’imposer la paix. En livrant à l’Ukraine, crédits revolving, armes, conseillers militaires et mercenaires sans limites, les Occidentaux ne font que prolonger une guerre entre Européens. Et pousser la Russie dans ses retranchements.

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  • Kolossale

    par Patrick Reymond

    Différence de pertes, VVP nous dit, entre Ukraine et Russie. En gros, 350 000 morts d’un côté, 35 000 de l’autre, et rien d’étonnant.

    On connait le ratio de 1914/1918 (1919 si on compte la signature de la paix à Versailles), jusqu’à 90% des pertes sont causées par l’artillerie. Celui qui tire dix fois plus, tue donc, dix fois plus.

    Cerise sur le Gâteau, beaucoup de tués russes sont des wagnériens. Étrangers ou ex-taulards que personne ne pleure. Un peu comme nos abrutis qui passaient de la prison à la Syrie. Le seul regret, là, étant les 10% qui peuvent revenir.

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  • La catastrophe qui menace l’Ukraine

    par Larry Johnson

    Voici l’article que j’avais l’intention d’écrire, mais Michael Vlahos m’a devancé. Pourquoi essayer de réinventer la roue quand Michael en fait une parfaite ? Michael Vlahos a écrit : «L’armée ukrainienne s’effondre». En voici les grandes lignes (je vous encourage à lire l’intégralité de son article).

    Une armée vaincue et une armée brisée sont deux choses différentes. Une armée simplement vaincue au combat peut souvent se replier avec succès, se reformer et reconstituer sa force, comme Rome l’a fait après son humiliation à Cannae, détruisant finalement sa grande rivale, Carthage. Mais lorsque des armées entières s’effondrent, lorsqu’elles perdent leur volonté de se battre, le pays tout entier peut également s’effondrer. C’est ce qui est arrivé aux grands empires lors de la Première Guerre mondiale. C’est aussi le sort qui attend l’armée ukrainienne. […]

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