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Selon la Défense russe, outre un soutien sans précédent accordé au régime de Kiev par l’Occident, près de 360 000 militaires, 8000 blindés, 6000 systèmes d’artillerie et de mortier, 650 avions et hélicoptères sont installés à proximité des frontières russes et biélorusses, incitant Moscou à réagir de manière rapide et adéquate.
Les menaces à la sécurité militaire de la Russie provenant de l’Occident ont augmenté de façon exponentielle, a déclaré le ministre russe de la Défense.
Suite au renversement, le 26 juillet dernier, du président de la République du Niger, Mohamed Bazoum, la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a adressé, quatre jours plus tard, un ultimatum aux putschistes militaires.
On pourrait croire que cette fermeté affichée, soutenue par le ministre des Affaires étrangères de la France, fera de ce putsch singulier le dernier d’une longue et ancienne série de renversements politiques au Niger. On peut en douter.
Nous apprenons par la presse autrichienne que le Prof. Dr. Karin Kneissl, ministre des Affaires étrangères de l’Autriche entre 2017 et 2019, a été obligée de déménager en Russie, concrètement dans un village à 300 km de Moscou, Petroushovo où elle a trouvé de la place pour sa petite ménagerie. Sur des vidéos rendus publiques, on la voit participer à des fêtes des villageois.1
Selon des interviews donnés à Russia Today, bloqués en France et que nous n’avons donc pas pu écouter, le professeur aurait été harcelée en Autriche suite à ses prises de position prétendument «pro-russes» et à la visite surprise de Vladimir Poutine à son mariage en août 2018 – harcelée à tel point qu’elle décida de se réfugier en France en septembre 2020.
Selon la diplomatie russe, Washington tente de mener au Niger la même politique qu’en Ukraine, avec le coup d’État de 2014, mais sans succès. Une référence faite par la porte-parole de la diplomatie russe alors que la visite de la sous-secrétaire d’État américaine à Niamey n’a visiblement pas apporté les résultats escomptés.
Mon père a combattu les nazis. En 1942, il a perdu ses deux meilleurs amis à cause d’un de leurs obus. Pour une raison mystérieuse, l’obus les a tués, mais ne l’a que blessé, même s’il a dû passer six semaines à l’hôpital. Soixante ans plus tard, alors qu’il se mourait de vieillesse, il se souvenait, les larmes aux yeux, de ses amis disparus, des hommes qui n’avaient pas vécu, tués alors qu’ils n’avaient qu’une vingtaine d’années.
Malheureusement, après 1945, les Américains, soi-disant antinazis, ont placé certains des «anciens» officiers nazis qui avaient tiré ces obus à des postes de commandement au sein de l’OTAN et ont formé l’establishment ouest-allemand. Il est étrange de constater que les mots «OTAN» (NATO) et «nazi» se ressemblent. Aujourd’hui, nos anciens alliés soutiennent, entraînent et arment ouvertement des nazis. Pas au nom de mon père. Et pas en mon nom.
7 août 2023 - Selon le porte-parole du Kremlin, Marija Zakharova, l'Ukraine est devenue l'un des leaders mondiaux de la transplantation au marché noir.
Dans son article pour Rossiyskaya Gazeta publié sur le site Web du ministère des Affaires étrangères, Marija Zakharova a cité des informations parues dans les médias selon lesquelles des organes tels que le cœur, les reins et le foie de soldats ukrainiens tués sont apparus sur certains des plus grands marchés du darknet, avec des prix commençant à à 5 000 euros. Un revendeur aurait affirmé qu'il faudrait 48 à 60 heures pour recevoir n'importe quel organe souhaité dans une boîte médicale, les livraisons étant limitées aux pays de l'UE.
The show must go on. Pour les démocrates, la nouvelle inculpation dont Donald Trump vient de faire l’objet concernant des accusations de tentatives de manipulation électorale va enfin permettre au feuilleton judiciaire de l’ancien président de reprendre au plus vite la première place au box-office et de faire ainsi oublier les récents déboires de Hunter Biden. Des déboires qu’il s’agit de reléguer définitivement au rang de mauvaise série B dans laquelle son président de père ne doit surtout pas jouer le moindre rôle.
Une information révélée en juin 2022 et qui mérite toujours d’être portée à la connaissance du grand public.
Lecourrier-du-soir.com vous explique tout
Excellente lecture
Interrogés par la revue scientifique Nature, des experts de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) reconnaissent officiellement s’être trompés dans leurs chiffres liés à la mortalité Covid
L’OMS reconnaît s’être plantée dans ses chiffres sur la mortalité liée au Covid. En effet, en mai dernier, l’Organisation Mondiale de la Santé avait publié de nouveaux chiffres estimant que près de 15 millions de personnes avaient été tuées par le virus lors de la pandémie à Coronavirus.
L’expert en économie, l’inénarrable ministre français Bruno Le Maire, auteur à ses temps perdus, bien nombreux au regard de son expertise insondable, de romans X, l’avait annoncé : l’économie russe allait être mise à genoux par les sanctions de l’Union Européenne. Une annonce boomerang…
Des sanctions antirusses à l’effet boomerang sur l’économie européenne
Les sanctions contre la Russie fonctionnent si bien que les pertes pour les entreprises de l‘Union Européenne se montent à plus de 100 milliards d’euros. Les pertes directes des entreprises européennes sur le marché russe s’élèvent à au moins 100 milliards d’euros depuis le début de la guerre en Ukraine, selon les informations du Financial Times. « Une enquête sur les rapports annuels et les états financiers de 2023 de 600 groupes européens montre que 176 entreprises ont subi des dépréciations d’actifs, des charges liées au change et d’autres dépenses ponctuelles à la suite de la vente, de la fermeture ou de la réduction des opérations russes, », indique le journal économique et financier britannique.
Sous l’effet de la propagande, les fantasmes sans fin sur la faiblesse de la Russie rendent plus difficile la fin du conflit ukrainien.
Le discours occidental selon lequel la Russie est constamment au bord d’un effondrement imminent découle de la perception persistante que l’État est vulnérable à une combustion interne en raison de sa fragilité perçue, de son vaste territoire et de ses déséquilibres critiques.