L’éminence noire
Fer de lance de la lutte anti-apartheid au côté de Nelson Mandela, Mgr Desmond Tutu a contribué à faire de l’Afrique du Sud cette « nation arc-en-ciel » où il ne fait pas bon être un fermier blanc.
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L’éminence noire
Fer de lance de la lutte anti-apartheid au côté de Nelson Mandela, Mgr Desmond Tutu a contribué à faire de l’Afrique du Sud cette « nation arc-en-ciel » où il ne fait pas bon être un fermier blanc.
Le Bureau du recensement des États-Unis estime que la Californie a perdu 1% de sa population en 2021, soit environ 367,299 résidents. Elle est suivie par l’État de New-York qui a vu 319,000 de ses habitants partir. Ce sont les États conservateurs du sud qui récoltent cette immigration qualifiée fuyant principalement le covidisme et la fiscalité affolante de ces États d’extrême gauche.
La Californie était une magnifique région avec palmiers, plages, surfeurs, vignobles, liberté, vrai cinéma et hommes politiques intègres à la Ronald Reagan. Depuis qu’elle est devenue démocrate, c’est devenu un enfer numérique d’où sortent les pires horreurs que l’humanité n’ait jamais produite. Kamala Harris la première.
Décidément, depuis les illusoires « Printemps arabes » de 2010, la disparition brutale du colonel Mouhammar Kadhafi et la stupide intervention militaire de la France et de quelques acolytes occidentaux (à l’instigation de Nicolas Sarkozy…) en 2011, la situation n’a jamais cessé de se détériorer en Libye. De la même façon que ce que nous décrivons régulièrement chez son voisin de l’ouest, la Tunisie ! (https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2021/12/18/la-tunisie-senfonce-dans-la-crise-economique-et-donc-le-malheur-mais-elle-ny-va-pas-seule/)
Après une mauvaise note attribuée au livre du président chinois Xi Jinping, La Gouvernance de la Chine, paru en 2014, le parti communiste chinois a imposé à Amazon de supprimer son système de notation et de commentaires pour les livres émanant de la propagande officielle. Cette décision va à l’encontre des principes du géant américain, dont le système de vente est basé en partie sur ce système de notation. Pour sa défense, l’entreprise a déclaré qu’elle « se conformait à toutes les lois et réglementations applicables » dans les pays où elle opérait, y compris en Chine.
Donald Trump a choisi le 6 janvier, date anniversaire de l’assaut du Capitole, lorsque des milliers de partisans de l’ancien président avaient marché sur le siège du Congrès américain afin d’empêcher les élus de proclamer la victoire très contestée de Joe Biden.
« Les demandeurs d’asile cherchant à entrer aux États-Unis par la frontière sud seront à nouveau renvoyés au Mexique le temps que leurs demandes soient constatées », nous apprend le Guardian (2 décembre 2021[1]). Si Biden avait promis une politique migratoire totalement différente, « en août, la Cour suprême a infligé un revers à l’administration démocrate et jugé que le programme devait être maintenu », rappelle La Presse le même jour[2].
Les occidentaux s’inquiètent. Malgré les démentis réguliers de Moscou, Paris et Washington redoutent une invasion de l’Ukraine par la Russie et mettent en place une stratégie de dissuasion : rencontre virtuelle entre Biden et Poutine, réunion du G7, appel téléphonique de Macron à Poutine etc.
Il y a aussi les menaces verbales, comme celles du chef de la diplomatie française qui a évoqué “des conséquences stratégiques massives.” Le renforcement des troupes russes aux frontières semble évident, mais il est à constater également que celui des troupes de l’Otan ne l’est pas moins.
L’entreprise Trump Media & Technology Group, fondée par Donald Trump, qui doit donner naissance au futur réseau social et la société avec laquelle elle doit fusionner pour entrer en Bourse, ont affirmé qu’un groupe d’investisseurs institutionnels s’étaient engagés à apporter 1 milliard de dollars.
Dix mois après son élection très contestée car entachée d’irrégularités, rien ne va plus pour Joe Biden ! Le président démocrate de 79 ans n’est pas jugé à la hauteur de sa tâche et de ses engagements.
Il avait fait campagne sur le retour de la “compétence” à la Maison Blanche, laissant entendre que son prédécesseur en était dépourvu. Un an plus tard, les américains le jugent sévèrement sur ses qualités manquantes de gestionnaire, autant que sur son incapacité à sortir de l’épidémie de Covid-19. Entre la crise du covid, l’inflation, l’immigration, la politique étrangère ou les réformes intérieures, Biden a tout faux.