international - Page 478
-
En attendant le 3 Novembre #11 - les missiles sont lancés !
-
Daniel Estulin et le virus des Bilderbergs
Ce qui nous arrive est prévu et monté depuis longtemps. Une grande partie fut révélée par l’écrivain d’origine soviétique Daniel Estulin en 2005.
Voici une interview de Daniel Estulin (auteur de nombreux ouvrages sur le globalisme, sur le Club Bilderberg, l’institut Tavistock etc) par Goyo G. Maestro pour le site espagnol larazon.es
*
S’il y a un sujet favorable pour les complots, c’est bien le coronavirus, et s’il y a quelqu’un de compétent en la matière, c’est Daniel Estulin, auteur de plusieurs livres sur le club Bilderberg et analyste du renseignement russe. Estulin ne sait pas quelle est l’origine de la « pandémie » , mais il n’exclut pas la version suggérée par les responsables chinois selon laquelle l’armée américaine aurait introduit le virus en Chine . Ce qui est clair, c’est que cette crise sanitaire – « qui est secondaire » – va accélérer la fin du cycle que, ajoute-t-il, nous vivons, avec l’effondrement des marchés et la fin de l’ère entamée avec les accords de Bretton Woods en 1944. « L’Espagne ne peut pas sortir vivante de cette crise », prédit-il dans cet entretien avec LA RAZÓN.
———————–
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, entretiens et videos, géopolitique, international, lobby 0 commentaire -
Soros, Gates, Covid-19 : la répression commence ! Entretien avec Pierre-Antoine Plaquevent
Lien permanent Catégories : actualité, entretiens et videos, géopolitique, international, lobby 0 commentaire -
Donald Trump peut-il encore gagner ?
D’Antoine de Lacoste sur Boulevard Voltaire :
Le compte à rebours a commencé, aux États-Unis, et le président sortant est donné largement battu par tous les instituts de sondages : environ dix points, parfois plus, rappelle Le Parisien. L’affaire semble entendue.
La conjoncture récente semble, en effet, calamiteuse pour Donald Trump. De l’affaire George Floyd (cet homme noir tué par un policier blanc) à la crise sanitaire, ayant elle-même engendré une crise économique qui promet d’être majeure, tout concourt à une fin de mandat ressemblant à une défaite programmée. Cerise sur le gâteau : le président a attrapé le virus après l’avoir dédaigné des mois durant.
Son concurrent, le pâle Joe Biden, n’a rien à faire : la victoire lui est promise.
-
États-Unis : la député musulmane démocrate Ilhan Omar au centre de ce qui pourrait être le plus important système de fraude électorale du pays (Màj)
17/10/2020
Facebook présente le reportage comme contenant de fausses informations en se basant sur un article de USA Today qui parle lui d’absence de preuve. James O’Keefe leur répond.
07/10/2020
Le responsable de l’enquête sur Ilhan Omar répond point par point à un reportage à charge l’accusant de désinformation. Sous-titres en anglais disponibles pour aider à la compréhension.
Le reportage de Fox 9 :
-
Le collectif de médecins World Doctors Alliance s'exprime sur la crise du COVID
-
Trump, faute de mieux
L’élection présidentielle américaine se rapproche à grands pas. À titre personnel, souhaitez-vous la réélection de Donald Trump ? Un second mandat de ce président vous réjouirait-il, ne serait-ce que pour voir la tête de ses opposants, américains comme européens ?
Alain de Benoit : Je souhaite sa réélection, mais à défaut ou faute de mieux. Comme vous le savez, le personnage n’a pas grand-chose pour me plaire. Ce n’est pas tant ce qu’on lui reproche habituellement (son style, sa brutalité, sa vulgarité) qui me choque, car je pense que c’est au contraire ce qui lui vaut d’être apprécié de bon nombre d’Américains, ce qu’on s’entête à ne pas comprendre de ce côté-ci de l’Atlantique. C’est plutôt que son projet me paraît nébuleux, que sa politique étrangère est à mon avis exécrable, et que l’homme ne convient pas pour diriger ce qui demeure quand même (provisoirement au moins) la première puissance mondiale. Il n’y a, au fond, que trois véritables chefs d’État dans le monde d’aujourd’hui : Vladimir Poutine, héritier de l’ancien Empire russe, Xi Jinping, héritier de l’ancien Empire chinois, et Recep Tayyip Erdoğan, qui cherche à recréer l’ancien Empire ottoman. Donald Trump a sans doute des qualités, mais il n’a pas la dimension d’un homme d’État.
-
Incertitudes sanitaires et certitudes d’un effondrement à venir
Marc Rousset
L’activité économique en Europe va être frappée par les restrictions sanitaires, suite aux 100.000 nouvelles contaminations par jour. La reprise s’essouffle et de nouvelles dépenses publiques sont nécessaires. « L’ascension de la reprise sera probablement longue, inégale et incertaine », selon l’économiste en chef du FMI Gita Gopinath. Les banques centrales veulent un peu d’inflation pour abaisser le poids de l’endettement et relancer l’activité économique, mais elles sont incapables de la générer. Elles incitent donc les gouvernements à dépenser.
Le FMI subit des pressions pour vendre une partie de son or afin d’aider les pays les plus pauvres, mais un porte-parole a indiqué « que le FMI n’a aucune intention de vendre de l’or, afin d’offrir une solidité fondamentale à son bilan, ce qui lui permettra de prêter à des taux attractifs ». L’or restera une composante clé de son portefeuille.
-
Myret Zaki La fin du dollar est programmée 2 ème partie
Les États-Unis seraient donc plus endettés que les pays européens ?
Si vous prenez la dette fédérale des États-Unis (16 000 milliards de dollars), vous arrivez à un ratio dette/PIB d'un peu plus de 100%, qui est à peu près du même niveau dans la zone euro. La différence, c'est la dette non provisionnée, c'est-à-dire tous les engagements futurs du gouvernement américains vis-à-vis des bénéficiaires des rentes de pension, santé et sécurité sociale (Medicare et Medicaid). Ces trois éléments additionnés font de la dette américaine un gouffre sans fond. On passe de 16 000 milliards à une dette - en réalité un déficit fiscal - extrêmement élevée de… 200 000 milliards de dollars. Ce sont les engagements futurs que le gouvernement fédéral doit à tous ses retraités. Même s'il s'agit d'un chiffre théorique, on voit bien que l'Amérique est déjà techniquement en faillite.
-
Sophie Pétronin, “la France faite cocue” – Le regard libre d’Élisabeth Lévy
Tout, dans la libération de “la dernière otage française”, Sophie Pétronin, laisse à penser que la France s’est fait avoir dans l’histoire. Comment expliquer aux soldats morts pour combattre le djihadisme que cette dernière a désormais adopté l’idéologie de ses bourreaux ? Comment croire un instant que la France n’a rien payé dans l’affaire ?
Revenons sur la libération de Sophie Pétronin.
On se réjouit qu’une citoyenne française et trois autres otages aient retrouvé leur famille. Les médias se sont régalés avec la séquence émotion du fiston quinquagénaire poussant des cris d’enfant en retrouvant « Maman ! ».