
Vigilance halal cliquez ici
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vigilance halal cliquez ici

« Mettez-un voile, vous serez plus belle. » La phrase a jailli, sans complexe, de la bouche de Brulux, rappeur franco-tunisien. Vous ne le connaissiez pas ? Étonnant. Il s’autoproclame pourtant star internationale sur les réseaux sociaux ou encore sur le plateau de « Touche pas à mon poste », où il était invité, mardi soir, pour débattre de mixité dans les banlieues : « T’sais chui qui ? Je suis une star internationale ! » Un avis qu’il partage sûrement au moins avec sa maman, ce qui, me direz-vous, est déjà un début.

Des professeurs témoignent d'une contestation croissante du génocide arménien. Photo d'illustration. (AFP)
Encouragées par des associations franco-turques, les contestations des élèves et de leurs parents du génocide arménien sont de plus en plus fréquentes, pendant les cours et en dehors. Des enseignants témoignent de leurs difficultés et de leur malaise.
« C’est une blague en salle des profs en début d’année : ‘Tu tiens bien ta classe? Eh bien, dans quelques jours c’est fini' », raconte Alexandre Mimouni, en poste dans un collège strasbourgeois. Peu après la rentrée, la Première Guerre mondiale est traitée en cours d’histoire en classe de troisième. L’extermination planifiée des Arméniens, commise par l’Empire ottoman en 1915, fait partie du programme et est fréquemment niée par des élèves d’origine turque et leurs parents. Plus d’un siècle après les faits, Ankara refuse toujours de reconnaître ce génocide. Cette remise en question en milieu scolaire s’inscrit dans un discours nationaliste turc qui inquiète les professeurs.

Frédéric Sirgant
Commençons par le dernier, stupéfiant ! Un tweet idéal pour jouer – si l’heure n’était pas tragique – au jeu des huit erreurs, des huit oublis, des huit non-dits. À tout seigneur tout honneur : Jean-Luc Mélenchon.
« Révoltant meurtre à #Rambouillet. Condoléances à la famille et aux proches de la victime. Devoir de sang-froid, exigence de justice. »
Alors que la municipalité de Strasbourg s'est prononcé pour le vote d'une subvention de 2.5 millions d'euros au profit de l'association turque gérant le chantier de la mosquée de la Meinau, on s'interroge sur l'origine de l'association.

Un homme a égorgé une fonctionnaire de police au commissariat de Rambouillet (Yvelines), avant tué par balles par d’autres agents. La fonctionnaire revenait de sa pause. L’assassin s’est faufilé dans le sas en même temps. Voyant la scène, des policiers se sont approchés, et à ce moment-là, le tueur a poignardé la victime.
Les faits se sont produits vers 14h20. Le meurtrier , de nationalité tunisienne, était arrivé en France en 2009.
Jean Castex, le premier ministre, et Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur, se sont rendus tous les deux ce vendredi après-midi au commissariat de Rambouillet. Ils n’ont dénoncé ni l’islam, ni l’immigration.
Le clandestin terroriste islamiste de Rambouillet s’appelle Djamel G. Il est né en 1984 à Sousse en Tunisie. Il a crié Allah Akbar avant de commettre son crime. Il était arrivé illégalement en France avant d’être régularisé.
https://www.lesalonbeige.fr/vendredi-de-ramadan-encore-un-assassinat-commis-par-un-immigre/

Le 15 avril, les autorités de l'Hexagone tiraient la sonnette d'alarme. "En raison des menaces sérieuses qui pèsent sur les intérêts français au Pakistan, a fait savoir en effet l’ambassade de France, il est recommandé aux ressortissants français et aux entreprises françaises de quitter provisoirement le pays".

Marlène Schiappa a lancé, mardi, à Paris, sa «grande consultation publique sur laïcité». BERTRAND GUAY/AFP
Annoncés dimanche par Marlène Schiappa, ils se sont ouverts mardi par une conférence d’intellectuels aux avis divergents.
« Il est 13 heures lorsque Marlène Schiappa appuie sur un «buzzer» orange, sous les yeux du philosophe Raphaël Enthoven et de l’essayiste Caroline Fourest pour lancer sa «grande consultation publique sur laïcité», qui vise notamment les jeunes. Nous ne sommes pas sur un plateau télévisé, mais au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam), ce temple des sciences et technologies fondé après la Révolution. Un lieu idéal pour lancer, devant une assistance faite essentiellement de journalistes, ses «états généraux de la laïcité».
Mon village à l’heure du ramadan. Mon pays, mon département, mon université à l’heure du ramadan. Mon eau à l’heure du ramadan.
On pourrait, on pourra multiplier à l’infini ces titres de romans du futur. Rien que cette semaine, la première du mois sacré, ce fut un véritable festival « ramadanesque ».

La petite phrase a fait grand bruit dans « Catholand ». Au point que le diocèse de Tours a dû se fendre d’une mise au point. Dans un article de la Nouvelle République intitulé « La mosquée de Tours attend son toit, son dôme et des dons », le président de la communauté d’Indre-et-Loire, Salah Merabti, profite du début du ramadan pour « [faire] le point sur les travaux de la Mosquée » et remercier tous ceux qui, « à l’extérieur, ont montré leur solidarité ». Et de citer « le patron de Coca-Cola Algérie qui [leur] a offert 150.000 € pour la toiture », « des dons d’élus de la Métropole », mais aussi « de la communauté juive de Tours, et du diocèse pour la partie cultuelle de la mosquée », ce qu’il juge « réconfortant ». Ce n’est pas l’avis de nombre de fidèles catholiques qui s’étonnent et s’indignent qu’un tel usage ait été fait de leur denier du culte : « Si j’avais voulu financer la construction dune mosquée, je l’aurais fait directement ! », grince Dominique, paroissien tourangeau.