La mort par décapitation du professeur français d’histoire-géographie Samuel Paty, près du collège où il enseignait, oblige dramatiquement la France à regarder les choses en face : l’islam gangrène l’école. Le fait que les musulmans bénéficient d’un statut particulier au sein de l’école est un secret de polichinelle. Champ de bataille et de conquête des musulmans, l’école a été le lieu de tous les reculs devant l’islam depuis 40 ans. Les exemples d’activisme musulman sont légion et anciens : cela n’a jamais cessé depuis l’affaire du voile des collégiennes de Creil en 1989. La situation n’a fait que s’aggraver ; que l’on se souvienne du comportement de nombre d’élèves après les attentats contre Charlie Hebdo, refusant de respecter la minute de silence, comportements répétés par certains élèves du collège de Samuel Paty, considérant que le professeur avait « insulté le prophète » ou jouant à se montrer des photos de sa tête décapitée. Une aggravation due au prosélytisme mais aussi à la complicité des pouvoirs publics.
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L’islam à l’école : pas vraiment une surprise
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Macron : l’indécent pompier pyromane – JT du jeudi 22 octobre 2020
Au sommaire de ce journal : l’hommage d’Emmanuel Macron au professeur décapité tourne à la récupération sur fond de mauvais goût.Nous évoquerons ensuite l’origine du terroriste et les raisons qui ont pu le pousser à venir en France.Enfin, les mesures pour lutter contre le Covid-19 passent un nouveau cap. Une semaine après la mise en place d’un couvre-feu dans plusieurs métropoles dont Paris, le premier ministre, Jean Castex, a annoncé son application à plusieurs départements et le gouvernement prépare déjà 2021. -
Islamisme. Robert Ménard : « J’accuse tous ces éditorialistes qui depuis plus de 40 ans se mentent et nous mentent » [Vidéo].
Tandis que les hommages à Samuel Paty se succèdent en France depuis quelques jours, le maire de Béziers Robert Ménard s’est lancé dans un « J’accuse » à la Émile Zola lors de sa prise de parole lundi dernier.
Robert Ménard appelle à ne pas accepter la « barbarie »
L’actualité française est occupée ces derniers jours par les différents hommages et manifestations suite à la décapitation du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine vendredi 16 octobre par un tchétchène âgé de 18 ans.
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Dans le temple des lâchetés
Ce 21 octobre était prévu dans la soirée, une cérémonie d'hommage à la 267e victime du terrorisme islamique en France. On allait rassembler 400 invités, triés sur le volet, dans la cour de la Sorbonne, haut lieu, réel ou supposé, de la culture française, de l'université française, et même nous dit-on, le mot revient en boucle dans tous les discours : de la république.
Tout semblait se présenter sous les auspices de la plus nécessaire et de la plus salutaire fermeté. On allait assister à la riposte, dans la dignité, d'une nation agressée sur son territoire, choquée dans sa conception de la liberté.
La journée au départ avait d'ailleurs bien commencé.
À 7 heures, le magazine Marianne mettait en ligne une enquête, dévastatrice pour tous les capitulards, les dhimmis, complices objectifs de la conquête mahométane. Ça s'intitule "Renseignement, rectorats, politique… Conflans : ces petites lâchetés qui ont mené au grand désastre" sous la signature d'Anthony Cortes, Étienne Girard, Paul Conge, Bruno Rieth et Laurent Valdiguié.
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ASSASSINAT D'UN ENSEIGNANT LE 16 OCTOBRE : MACRON SE TROMPE DE GUERRE
Un communiqué du MNR :
Après la décapitation d'un enseignant qui avait montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, notre président a déclaré : « ils ne passeront pas » !
Cette formule, datant de la bataille de Verdun en 1916, s'appliquait à un ennemi organisé en armée sur un front connu. Mais actuellement, « ils » sont déjà passés partout, avec la complicité de nos autorités qui n'en finissent pas d'introduire chez nous des immigrés dangereux, et de favoriser le développement de l'islam, « religion de paix et d'amour » (!).
Pourquoi accueillons-nous des « réfugiés » venant d'un pays (la Tchétchénie) qui n'a aucun lien avec la France ? Serait-ce parce que ce sont des opposants au président russe ?
D'autre part, en dépit des déclarations du Conseil Français du Culte Musulman (« les musulmans de France sont horrifiés par ce crime abject »), réaffirmons que l'islamisme a sa racine dans l'islam.
Quand nos hommes politiques comprendront-ils qu'en favorisant l'islam, ils facilitent le développement de l'islamisme, et donc du terrorisme ?
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Chez Mediapart, on déplore… que le terroriste ait été abattu
L’islamo-gauchisme n’a pas abdiqué, malgré l’horreur de la décapitation sauvage de Samuel Paty. Un billet de blog (c’est-à-dire n’émanant pas de la rédaction stricto sensu) paru, lundi soir, sur le site de Mediapart est tout simplement révoltant. Intitulé « Exécution sommaire du suspect : nouvelle norme en matière de terrorisme ? », il parle d’une violence policière inadmissible et de l’exécution sommaire d’un gamin n’ayant avec lui qu’un canif et un jouet (un pistolet à billes). La France aurait donc, selon ce texte, une nouvelle norme en matière de terrorisme : l’assassinat systématique des coupables ; deux barbaries se heurteraient : celle des policiers et celle du terroriste.
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L'arme de la dissolution
Ce 20 octobre, à l'Assemblée nationale, le Premier ministre Castex s'est étrangement irrité face aux questions légitimes que lui posait le président du groupe parlementaire de droite Damien Abad. Cette confrontation, à elle seule, illustre malheureusement les doutes que l'on peut formuler quant à la détermination du pouvoir à combattre l'islamo-terrorisme.
Le député lui rappelait la liste des 37 propositions, la plupart de bon sens, avancées par son parti. Il soulignait qu'elles avaient, toutes, été refusées dans leur intégralité, par la majorité parlementaire. Celle-ci s'est constamment montrée soucieuse depuis 2017 de ménager ce qu'elle considère, au mépris du droit français, comme "la communauté musulmane". Or, le collaborateur de M. Macron, supposé représentant de la "droite" (?) au sein du gouvernement, n'aime pas être contredit et n'a su lui répondre qu'un pitoyable "Vous êtes dans l'incantation, nous sommes dans l'action…"
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“Il faudra les buter jusque dans les chiottes”
De Pierre-Marie Sève, Délégué général de l’Institut pour la Justice :
Chers amis,
« Nous poursuivrons les terroristes partout, même dans les toilettes s’il le faut. On les butera dans les chiottes, la question est close. »
Cette déclaration est celle d’un Président qui faisait face au terrorisme. De fait, un an plus tard, il avait vaincu son ennemi, et la vague terrible d’attentats qui avait frappé son pays s’était arrêtée. Savez-vous de quel président il s’agit ? Est-ce le Président français, Emmanuel Macron ? Non, c’est Vladimir Poutine, président de la Russie.
Une autre citation :
« Si en ce moment certains responsables de ces activités terroristes m’écoutent, nous allons mettre tout en oeuvre pour les retrouver et pour les châtier. Nous emploierons tous les moyens que la loi nous donne. Avis aux amateurs. »
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Il va falloir écouter ceux qui font des vagues !
Nous en avons assez de ne pas faire de vagues. Au rassemblement en hommage à Samuel Paty, le 18 octobre, place de la République, il y avait cette protestation, cette prise de conscience collective. Même tardive, elle laisse espérer plus qu’un éphémère sursaut.
J’ai toujours éprouvé de la sympathie pour les lanceurs de vagues, bien plus que pour les lanceurs d’alerte qui, à tort ou à raison, m’apparaissaient le plus souvent pour des dénonciateurs occultes au grand pied, certains de s’attirer, dévoilés, les félicitations des médias de gauche puisque leurs révélations sont, en général, ciblées politiquement et économiquement. Ils ont leurs bons et leurs méchants.
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CCIF – BarakaCity : l’état découvre la lune
Après plus d’une douzaine de polémiques, il aura fallu attendre la décapitation de Samuel Paty pour que Gérald Darmanin s’attaque enfin au CCIF et à l’association Baraka City. Simples déclarations ou volonté réelle ?
Après l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé vouloir cibler 51 associations communautaires. Au micro d’Europe 1, le ministre des cultes a annoncé lundi matin vouloir « dissoudre plusieurs d’entre elles en Conseil des ministres ». Parmi elles, le Conseil contre l’islamophobie en France (CCIF) et Baraka City.
Le ministre de l’Intérieur vise particulièrement le CCIF qui bénéficie « des subventions d’Etat et des déductions fiscales » et qui serait « manifestement impliqué » dans la polémique lancée contre le professeur égorgé quelques jours plus tard, puisque « le père qui a lancé la fatwa se référence clairement à cette association », a indiqué Gérald Darmanin.
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