Le ministre de l’Education national, M. Gabriel Attal, vient de tirer la sonnette d’alarme en des termes prudents lors d’une interview au journal le Parisien : « Les résultats ne sont pas satisfaisants et sont même… plutôt inquiétants ». Selon le ministre, « un peu plus de la moitié des élèves [en quatrième] ne lisent pas convenablement et en mathématiques, plus de la moitié ne maîtrisent pas la résolution de problèmes et la géométrie. » Le constat n’a certes rien de nouveau. Un an auparavant, celui de son prédécesseur M. Pap N’Diaye était exactement le même, en des termes plus musclés : « Disons le clairement, le niveau d’ensemble baisse » (22 décembre 2022).
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L’effondrement scolaire favorise l’extrémisme, le fanatisme, la violence (pour Figaro Vox)
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« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. » (Bossuet)
À la demande de nombreux lecteurs, voici le PDF du visuel sur la manif de dimanche dernier. À imprimer et à diffuser cliquez ici
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Stanislas Rigault sur France Info : L'antisémitisme vient aujourd'hui des islamistes
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Vers l'affrontement ? Pierre Yves Rougeyron
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Sur l’islam, l’obscénité de la Macronie n’a pas de limite
C’était à n’en pas croire nos yeux. Nous avons croisé ce tweet obscène du 12 novembre 2023 :
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Si on avait écouté Jean-Marie Le Pen, il y aurait beaucoup moins d’antisémitisme aujourd’hui
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Islamo-gauchisme et climato-gauchisme : une même idéologie
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Islam : Quinze siècles d'histoire expliquent ce qui se passe aujourd'hui (2015)
Parmi les arguments le plus souvent invoqués contre les Chrétiens figure le reproche d’avoir gravement, à au moins deux reprises, agressé les Musulmans : lors des croisades, puis, huit siècles plus tard, lors de la colonisation.
Ces « péchés », régulièrement invoqués par ceux qui ne semblent pas les avoir « digérés », feraient passer pour un juste retour des choses leur afflux massif en terre chrétienne et leur revendication du droit d’y affirmer leur foi.
Un tel argument est très largement repris chez nous : « avec tout ce qu’on leur a fait, on ne l’a pas volé ».
Ces reproches doivent toutefois être replacés dans une perspective historique plus large que celle du dernier siècle, ou même du dernier millénaire. (Lire l'article : Le point de vue des Européens sur l'Islam au 16e siècle)
Sans entrer dans les détails, il importe de rappeler quelques faits.
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A quand une « grande marche civique » contre l’islamisme ?
Le monde politique assoupi a-t-il enfin mesuré le danger représenté par l’islam conquérant ? Un manque de courage empêche encore de désigner clairement l’ennemi. Certes, il faut saluer l’initiative de la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et du président du Sénat, Gérard Larcher, d’une « grande marche civique », dimanche, « contre l’antisémitisme ». Les deux représentants du parlement expliquent leur démarche ce mercredi dans Le Figaro : ils évoquent « la République en danger » depuis « l’attaque terroriste » du Hamas contre Israël le 7 octobre, qui a suscité en France une multiplication d’actes anti-juifs (plus d’un millier en un mois, soit deux fois plus que durant l’année 2022).
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Al-Andalus : Une terrible régression culturelle
Al-Andalus est généralement présenté comme un paradis perdu, une société multiculturelle idéale, empreinte de raffinement et de tolérance dont l’éclat contrastait avec les supposés « âges sombres européens », marqués par la barbarie et l’obscurantisme médiéval. Cette vision toute manichéenne, érigée en dogme par « l’Histoire officielle », est peu à peu remise en cause par des historiens courageux.