
Le lanceur d'alerte Damien Rieu a annoncé, ce mercredi av,oir gagné son procès contre Mamadou Daffé, imam de la mosquée du Mirail, à Toulouse.
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Le lanceur d'alerte Damien Rieu a annoncé, ce mercredi av,oir gagné son procès contre Mamadou Daffé, imam de la mosquée du Mirail, à Toulouse.
Qui sont ces Turcs qui, à partir de la fin du XIe siècle, se sont attaqués d'abord aux provinces byzantines d'Asie Mineure puis, à la fin du XIIIe siècle, à la partie européenne de l'Empire byzantin avant d'entreprendre la conquête des Balkans, non sans avoir auparavant encerclé le réduit byzantin dont le point fort était la capitale de l'empire, Constantinople qui tomba finalement entre leurs mains en 1453 ? Constantinople n'était pour eux qu'une étape car, au lendemain de sa conquête, ces mêmes Turcs lancent attaques sur attaques en direction de l'Europe centro-danubienne, mettant par deux fois le siège devant Vienne, une première fois en 1529, une seconde — la dernière — en 1683. Qui sont donc vraiment ces Turcs ?
Al-Andalus est généralement présenté comme un paradis perdu, une société multiculturelle idéale, empreinte de raffinement et de tolérance dont l’éclat contrastait avec les supposés « âges sombres européens », marqués par la barbarie et l’obscurantisme médiéval. Cette vision toute manichéenne, érigée en dogme par « l’Histoire officielle », est peu à peu remise en cause par des historiens courageux.
Après le livre de Sérafin Fanjul Al-Andalus, l’invention d’un mythe (Editions du Toucan), la récente publication du livre de Dario Fernandez-Morero, professeur au département d’espagnol et de portugais de l’Université Nortwestern (Illinois), Chrétiens, juifs et musulmans dans al-Andalus, mythes et réalités (éditions Jean-Cyrille Godefroy) remet lui aussi l’histoire à l’endroit en dénonçant la falsification d’al-Andalus. Clair et passionnant, largement accessible aux non-spécialistes, cet ouvrage a l’immense mérite de replacer l’occupation musulmane de l’Espagne dans le long conflit civilisationnel opposant l’islam à l’Europe.
Publié le : lundi 14 novembre 2016
L’info émane du Canard enchaîné – un journal tout sauf complotiste – et elle fait mal.
Le Préfet de Paris a empêché une colonne de gendarmes, qui sécurisait le quartier (le Premier ministre Manuel Valls se trouve non loin du Bataclan, ainsi que les locaux de Radio J et du journal Libération) d’intervenir dès 22 heures au Bataclan, alors qu’ils étaient armés et prêts à en découdre. Ce sont les policiers de la BRI qui entreront dans la salle ensanglantée, mais seulement 48 minutes plus tard.
Elles disent avoir agi par solidarité familiale ou par humanité : deux mères de jihadistes qui ont envoyé de l’argent à leurs enfants en Syrie et deux journalistes ont vigoureusement nié mardi devant le tribunal correctionnel de Paris avoir participé au financement du terrorisme. Les fonds transférés étaient destinés “non pas à l’Etat islamique, mais à ma fille”, a ainsi soutenu Valerie B., 60 ans, au deuxième jour de ce procés de six personnes. La justice lui reproche d’avoir envoyé plus de 6.000 euros sur les terres du “califat” autoproclamé. Sa fille Cléa, convertie à l’islam et radicalisée, n’avait pas encore 17 ans lorsqu’elle est partie en Syrie, fin 2013. Elle y est morte dans un bombardement en 2019, avec ses enfants nés sur place.
Un détenu de 20 ans comparaissait ce vendredi 12 janvier devant le tribunal de Bonneville pour apologie du terrorisme, menaces et recel de résine de cannabis. Relaxé du fait d’apologie du terrorisme, il a été condamné à 15 mois de prison avec mandat de dépôt et a interdiction de paraître dans le département.
Au cœur de la vallée de Chevreuse, dans les Yvelines, la commune de Magny-les-Hameaux est secouée par une sombre affaire. Le 8 décembre, un jeune père a fui son domicile avec femme et enfants pour avoir simplement, assure-t-il, «posé des questions» sur la construction d’une mosquée dans un quartier résidentiel. Sur fond d’opacité de la communication du maire divers gauche et d’accusations de «racisme« et d’«islamophobie», les vives réactions sur les réseaux sociaux sont allées jusqu’aux menaces de mort. «Notre tract posait uniquement des questions, parce que le sujet était opaque. Le maire faisait ça dans le dos de tous les habitants», affirme Pierre-Louis Brière qui, trois semaines après son départ et face à un climat délétère, n’a toujours pas réintégré la commune.