
Des femmes voilées – certaines dissimulant leur visage derrière un masque sanitaire -, une poignée de militants de l’organisation d’extrême gauche Révolution permanente et quelques badauds… Ce samedi 30 septembre, un mois après la rentrée scolaire, 70 personnes (au grand maximum) s’étaient réunies à l’appel du collectif Touche pas à ma abaya (sic) pour dénoncer à nouveau l’interdiction des abayas au sein des établissements scolaires. Acmé des théories intersectionnelles, cette petite manifestation informelle rassemblait les tenants d’un discours racialiste et les porte-parole de l’islam radical.