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magouille et compagnie - Page 1213

  • «Le président a fait le choix de ne pas annoncer le Grand Soir»

  • Alain Finkielkraut persona non grata à Sciences Po : jusqu’à quand laissera-t-on sévir l’ultra-gauche ?

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    « La venue d’Alain Finkielkraut à Sciences Po provoque des remous parmi les étudiants », titre 20 Minutes« Une conférence d’Alain Finkielkraut à Sciences Po fait polémique », annonce actu.orange.fr. Traduisons-les : une petite minorité de militants activistes d’ultra-gauche faisant la pluie et le beau temps à Sciences Po, comme à peu près dans toutes les universités de France d’ailleurs, a voulu par la force empêcher la tenue d’une conférence d’Alain Finkielkraut.

    S’en est suivi un jeu du chat et de la souris – Marianne parle de « chasse à l’homme » – dans les rues de Paris, conclu par une entrée sous escorte policière, indigne et humiliante pour le philosophe académicien de bientôt 70 ans.

    Les arguments de ces activistes autoproclamés « antiracistes » se résument à quelques invectives fourre-tout éculées : sexiste, raciste, xénophobe. Comme démonstration du talent rhétorique de Sciences Po, cela se pose là. Le moins que l’on puisse dire est que l’institution ne se couvre pas de gloire.

    La vérité est que cet accueil détestable n’est pas réservé à Alain Finkielkraut. L’ultra-gauche, à la faveur des réseaux sociaux, se déplace en meute à chaque fois que la conférence d’un intervenant étiqueté d’extrême droite, réac ou bien simplement conservateur est annoncée. Faute de pêche au gros, le menu fretin fera l’affaire. Si le public ne connaît pas le conférencier, un tract insultant, avec toujours les mêmes mots clés – sexiste, raciste, xénophobe, on l’a dit, et puis parfois homophobe et islamophobe en fonction des circonstances -, se charge de le mettre au parfum.

    Volée de moineaux agressifs comme dans le film d’Hitchcock, se rassemblant, sur injonction des réseaux sociaux, de ville en ville, ils investissent les lieux et éructent leur haine, accueillant par une haie de propos orduriers et de crachats un public qui n’en peut mais et avance en vitesse, dos courbé, sous les quolibets, jetant un regard apeuré sur le car de police (qui n’a sans doute pas que cela à faire…) garé un peu plus loin, espérant qu’en cas de pépin, celui-ci interviendra. Un homme des RG est là, les mains dans les poches, qui rassure les organisateurs et promet que cela ne devrait pas dégénérer. Le conférencier arrive enfin par une porte dérobée, encadré de flics, avec en bruit de fond les vociférations, comme s’il était un assassin, un bandit de grand chemin. A-t-il mérité ça ?

    Éric Zemmour, bien sûr, en a fait les frais, Robert Ménard aussi, qui a même été jeté à terre à Saint-André-de-Cubzac – dans ce cas, c’est toujours la légèreté des organisateurs qui n’ont pas su anticiper qui est implicitement mise en cause, et pas celle des autorités ni des fauteurs de troubles – mais aussi, hors de la sphère politique, de pacifiques membres d’Alliance VITA, de LMPT, etc., invités par de gentilles associations catholiques. J’en ai, moi-même, fait les frais au Mans et à Orléans. C’est ainsi que de braves paroissiens nonagénaires en escarpins et lodens verts, des chefs scouts et des institutrices proprettes se font injurier, traiter de putes, de salopes, de connards, etc., par des antifas en capuche noire, ressemblant à s’y méprendre à ceux qui cassent sur les Champs-Élysées, et taguant (comme c’est bizarre) les mêmes slogans sur les murs avoisinants…

    Il arrive souvent que la presse locale se fasse l’écho de cet événement, avec une partialité qui laisse imaginer de troublantes connivences idéologiques. La conférence elle-même ne l’intéresse pas, elle ne dira pas un mot du contenu ni des centaines de braves gens à l’intérieur, elle ne parlera que des vingt excités devant la porte, évoquant un « trouble à l’ordre public » suscité – mais bien sûr – par le conférencier lui-même.

    Qui osera taper du poing sur la table ? Qui démêlera enfin les mille fils qui tissent ces insupportables réseaux violents dont les ramifications se trouvent aussi bien dans des officines universitaires ayant pignon sur rue que dans les rangs des Black Blocs ravageant Paris tous les samedis ?

    Gabrielle Cluzel

    https://www.bvoltaire.fr/alain-finkielkraut-persona-non-grata-a-sciences-po-jusqua-quand-laissera-t-on-sevir-lultra-gauche/

  • CASTANER, UNE VRAIE FLÈCHE

    « Notre-Dame-de-Paris n’est pas une ‘cathédrale’, c’est notre commun, c’est notre rassemblement, c’est notre force, c’est notre histoire. »

    Ainsi la cathédrale presque millénaire de la capitale de la fille aînée de l’Église se trouva-t-elle, par la magie du verbe ministériel, transformée en « commun », en lieu de « rassemblement », en « monument historique ». Comme une salle des fêtes, un stade, un alignement mégalithique ou un kiosque à journaux.

    Et les statues de saints qui n’avaient pas été détruites par l’incendie se voilèrent la face, tandis que les gargouilles pleuraient silencieusement.

    Car cette parole officielle, bien qu’issue d’un cerveau chétif, n’était pas une erreur, un lapsus, une formulation malencontreuse. Elle était au contraire l’exacte expression du fond de la pensée – si l’on peut appeler ainsi une si pauvre chose – du chef de toutes le polices, qui est aussi censé être le ministre des cultes et qui, entre tous, est l’homme de confiance de notre président.

    « pas une cathédrale »

    Ce même homme n’avait-il pas déclaré, il y a quelques semaines, à propos de ces musulmans partis combattre la France sous le drapeau de l’État islamique, et pour justifier leur rapatriement : « D’abord ce sont des Français avant d’être des djihadistes » ?

    Bien que se rapportant à des sujets radicalement différents, le « pas une cathédrale » et le « d’abord des Français » signifient au fond exactement la même chose.

    Il signifie que le ministre de l’Intérieur – et, par nécessité, celui qui l’a nommé à ce poste – voudraient que la France soit un lieu vide, un pur contenant capable de contenir n’importe quoi. Que les individus qui se trouvent sur ce bout de terre y vivent et agissent ensemble sans rien partager d’autre que la pure volonté de vivre et d’agir ensemble.

    Surtout, surtout, que la France n’ait aucune qualité propre, aucun trait distinctif. Surtout, surtout, SURTOUT que nous ne soyons pas « avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » Car sinon, comment, nous ouvririons nous à « l’autre » sans réserve ? Comment accueillerons-nous avec reconnaissance et ferveur toute la diversité du monde, la merveilleuse diversité des êtres humains qui sont tous les mêmes par-delà leurs différences ?

    Par conséquent, Notre-Dame n’est pas une cathédrale, pas un lieu de culte catholique, elle est un bâtiment dans lequel des gens peuvent se rassembler. N’importe quels gens, pour faire n’importe quoi. Elle un espace commun pour des gens qui n’ont rien en commun si ce n’est d’être dans ce lieu. Elle est de vieux murs qui attirent beaucoup de touristes.

    Par conséquent est Français celui qui possède une carte d’identité française, ni plus, ni moins. Est Français celui dont l’administration décrète qu’il est Français. Ce qu’il fait, ce qu’il pense, ce qu’il ressent au plus profond de lui-même ne saurait rentrer en ligne de compte. Qu’il haïsse la France, qu’il prenne les armes contre elle, qu’il essaye de la détruire, tout cela est sans importance. Tout cela ne compte pas. La France n’exige rien de ceux qu’elle accueille, et surtout pas leur loyauté inconditionnelle.

    « Amour ? Création ? Désir ? Étoile ? Qu’est cela ? » — Ainsi demande le dernier homme et il cligne de l’œil. » (Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra).

    Qu’est-ce qu’une cathédrale ? Qu’est-ce qu’un Français ? – Ainsi demandent Christophe Castaner et Emmanuel Macron et ils clignent de l’œil.  

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    Aristide Renou

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La bande d'inconséquents qui sert encore de gouvernement à ce qu'il reste de la France vient de prononcer la dissolution du Bastion social...

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    La réaction de Thomas Joly,

    Secrétaire général du Parti de la France 

    Le ministère de l’Intérieur a annoncé avoir réglé cette question lors du Conseil des ministres de ce mercredi 24 avril.

    Le 20 février dernier, lors du dîner du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) et au lendemain de la profanation de 96 tombes dans un cimetière juif alsacien, le chef de l’État s’était engagé à dissoudre trois associations d’extrême droite pour assouvir les pulsions de ses hôtes.

    Pendant ce temps, les groupes ultraviolents d'extrême-gauche et les organisations islamistes radicales ne sont pas inquiétées...

    2017 12 01 PUB SITE 2.jpghttp://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Ce n’est pas l’ENA qu’il faut supprimer, c’est le copinage !

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    Emmanuel Macron confirmera-t-il, jeudi, la suppression de l’ENA ? Voilà qui ferait plaisir à tous ceux qui critiquent les « concours à la française ». Sans doute faut-il revoir le recrutement et la formation pour éviter de promouvoir le politiquement correct plutôt que les vrais talents. Mais nos prétendues « élites » dirigeantes sont moins le produit de cette école que celui du copinage. Ajoutez-y un peu de militantisme politique et une proximité avec la franc-maçonnerie : tous les ingrédients pour réussir une belle carrière sont réunis, eût-on peu de talents.

    Loin de nous l’idée de critiquer les jeunes qui prennent des responsabilités politiques ou associatives dans leur jeunesse. S’ils ne le font pas seulement par ambition, il leur en reste toujours quelque chose. Nathalie Loiseau a tort de présenter sa candidature, en 1984, aux élections étudiantes de Science Po Paris, sous l’étiquette de l’Union des étudiants de droite, issue du Groupe union défense (GUD), comme « une erreur d’il y a 35 ans », qui était sortie de sa mémoire. Elle aurait pu tirer gloire d’avoir eu une activité militante qui ne s’inscrive pas dans la bien-pensance de l’époque. D’autres l’ont fait avant elle, sans être marqués du sceau de l’infamie.

    Il est vrai que ce type d’engagement n’est pas le plus fréquent dans le monde socialo-macronien, puisqu’il faut bien l’appeler par son nom, même si une partie de la droite traditionnelle s’est ralliée à la politique économique de notre Président. Il n’y a pas si longtemps, pour faire une carrière à gauche, le chemin le plus sûr était d’avoir une responsabilité dans une organisation étudiante de gauche, avec une préférence pour l’UNEF ou SOS Racisme. Cette voie n’est pas abandonnée. Tenez ! Sibeth Ndiaye, qui est entrée récemment au gouvernement : elle a fait ses armes à l’UNEF et à la Mutuelle des étudiants, puis a adhéré au Parti socialiste, s’est occupée du service de presse de Claude Bartolone, d’Arnaud Montebourg, de son successeur Emmanuel Macron. Elle devient donc tout naturellement responsable presse et communication du candidat d’En Marche !, qu’elle suit à l’Élysée avant de devenir porte-parole du gouvernement.

    Mais cette voie, tout comme l’ENA, n’est plus obligatoire. Les Benjamin Griveaux, Ismaël Emelien, Stanislas Guerini, Adrien Taquet et bien d’autres encore, cette génération de loups aux dents longues, n’ont pas eu besoin de ce concours ni de l’UNEF pour réussir. À côté du syndicalisme ou de l’activité associative plus ou moins bénévole, le copinage est devenu un facteur important. Chacun jugera si ce mode de sélection est une garantie de compétence. L’ENA, telle qu’elle fonctionne actuellement, est peut-être une usine de clonage, mais le copinage est loin d’apporter les mêmes garanties de sérieux et de compétence. Ce mode de promotion n’est pas réservé à la gauche, mais la gauche s’y trouve comme un poisson dans l’eau.

    Ce n’est pas l’ENA qu’il faut supprimer, c’est le copinage. L’ENA peut être améliorée pour retrouver sa vocation première : former de grands serviteurs de l’État. Le copinage est le pire des systèmes : il puise dans un vivier uniforme, préférant souvent les plus serviles et les plus complaisants aux plus compétents.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/ce-nest-pas-lena-quil-faut-supprimer-cest-le-copinage/

  • JUAN BRANCO: "Macron a été élu par une mafia !"

    Condensé de son dernier passage chez Thinkerview illustré

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/23/juan-branco-macron-a-ete-elu-par-une-mafia-6145942.html

  • Le vrai complot de Notre-Dame

    6a00d8341c715453ef0240a4a4bc26200b-320wi.pngDès le 16 avril, au lendemain du drame, Louis Nuñez, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur, le rappelait pourtant : il ne faut écarter aucune piste. Et il était claironné que l'élite de notre police judiciaire, à laquelle a été confiée l'enquête, travaille dans cet esprit[1].

    Le royaume de saint Louis ayant donné naissance au pays de Descartes, on doit certes admettre que l'incendie de la grande cathédrale de France a pu résulter d'une cause ou bien criminelle, ou bien accidentelle, ou bien providentielle.

    Certains n'ont pas manqué d'explorer l'hypothèse des suspects habituels.

    Comme on ne prête qu'aux riches, on ne peut pas gommer le fait qu'en 2016 et en 2017, après tout, des projets terroristes visant Notre Dame ont été déjoués ; et surtout que des actes antichrétiens à Pâques sont commis dans le monde entier au nom du Djihad.

    Les mots d'ordre politiquement corrects n'ont pas pu empêcher, d'ailleurs, les plus vomitifs des crétins – parmi les rogatons de l'UNEF et les adeptes du salafisme ‑ d'exprimer leur joie et de manifester la convergence de l'islamisme et du bolchevisme. Celle-ci n'a-t-elle pas été scellée à Bakou, dans la haine de l'occident, depuis 1920 [2]?

    Il se trouve cependant que les premières informations données sur cet affreux événement semblent démentir cette hypothèse commode.

    Trop confortable, peut-être, la théorie de l'acte terroriste exonère une fois de plus les responsabilités franco-françaises : celles d'une municipalité de Paris sous la gouvernance de la mégère Hidalgo ; celles d'un ministère de la Culture incapable de sauvegarder le patrimoine public ; celles d'un État central, envahissant là où il ne sait intervenir que pour échouer, et déserteur face aux tâches régaliennes qui lui incombent.

    Dans notre tradition, il est admis qu'outre nos actions mauvaises, outre nos pensées perverses, on pèche aussi par inadvertance[3]. Y conspire dès lors une franc-maçonnerie que l'on oublie trop, et à laquelle il n'est pas besoin de prêter serment : celle des médiocres, des incompétents, des négligents.

    Car, des failles sécuritaires à peine croyables ont été soulignées dès le 16 avril sur LCIpar Benjamin Mouton, ancien architecte en chef de la cathédrale de 2000 à 2013. Ces fautes, fort nombreuses, d'ores et déjà repérées par l'enquête de la Brigade criminelle, ont été révélées, ce 25 avril, par le Canard enchaîné :

    - un seul homme était présent, et seulement de 8 h à 23 h les 2 surveillants payés par l’État, que devait compter 24h/24 le PC sécurité ;

    - les pompiers n'ont été appelés qu'après 35 minutes, et non 20, retard dû, d’après le palmipède, à une série d’erreurs humaines ;

    - des ouvriers ont avoué avoir fumé sur les échafaudages, ce qui est interdit ;

    - des fils électriques couraient dans les combles, à la merci des courts-circuits ;

    - dès 18 h 20 une première alarme avait été donnée, mais il a fallu une seconde alerte à 18 h 43 ;

    - les colonnes sèches, raccordées à une source d’eau, ne pouvaient pas acheminer plus de 400 ou 500 litres d’eau par minute, soit, d'après le vilain petit Canard"le débit pour éteindre un départ d’incendie mais pas un brasier de grande ampleur".

    Même si, à l'arrivée, l'enquête de police devait conclure à une intention criminelle dirigée contre l'identité française dans sa dimension chrétienne, les informations entourant l'affaire ont rendu évidente la négligence, non moins criminelle, peut-être plus criminelle encore, des pouvoirs publics.

    Dès 1913, Maurice Barrès publiait un livre dénonçant "La Grande Pitié des églises de France". L'absence d'un minimum d'entretien n'a fait qu'empirer depuis. Les chiffres de cette insuffisance commencent à être connus du public.

    Être frappé lâchement par un adversaire aussi ignoble que Daech fait partie de l'ordre des choses.

    Être abandonnés par ceux qui nous dirigent fait hélas partie de ce à quoi les politiciens de la Cinquième, comme leurs devanciers de la Quatrième et de la Troisième république, nous ont hélas habitués.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Ce passage de son intervention a été coupé, hélas, de la a href="https://www.rtl.fr/actu/justice-faits-divers/incendie-de-notre-dame-l-edifice-sauve-mais-il-faut-rester-prudent-dit-nunez-sur-rtl-7797437000">page de l'émission.
    [2] cf. mon petit livre "La Faucille et le Croissant" – islamisme et bolchevisme au congrès de Bakou.
    [3] cf. les prières liturgiques attribuées à st Jean Chrysostome. Les témoignages les plus anciens semblent établir, je crois, que la structure de l'office chrétien n'a guère changé depuis st Justin le Philosophe, et que les textes de la liturgie byzantine eux-mêmes ont été l'œuvre de st Basile de Césarée.

    https://www.insolent.fr/

  • Le Conseil des ministres prononce la dissolution du Bastion Social

    C’était une promesse d’Emmanuel Macron au CRIF. La dissolution du mouvement Bastion social a été prononcée mercredi en Conseil des ministres, a annoncé le ministère de l’Intérieur.

    Le prétexte de cette décision est de « mettre fin aux exactions répétées commises » en marge de rassemblements de voie publique, a précisé le ministère dans un communiqué. « Engagement tenu », s’est félicité sur Twitter le ministre Castaner.

    Inspiré du mouvement italien CasaPound, le Bastion Social dénonçait le « grand remplacement » et s’opposait au « capitalisme ultralibéral ». Il participait également aux mobilisations des « gilets jaunes ».

    Le gouvernement étudie par ailleurs les moyens de dissoudre le mouvement Génération Identitaire.

    https://www.medias-presse.info/le-conseil-des-ministres-prononce-la-dissolution-du-bastion-social/107656/

  • Nathalie Loiseau serait amnésique. C'est plutôt inquiétant pour son avenir...

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    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Mais non Nathalie, il n'y a aucune honte à avoir été candidate de l'Union des étudiants de droite lorsque tu sévissais à Science-Po*. En revanche, ce qui est honteux c'est de vouloir faire croire que tu ignorais la nature de ton engagement d'alors.

    Pourtant, "Union des étudiants des droites", c'était difficile d'être plus claire... De l'UNI au GUD, en passant par quelques militants de l'œuvre française, tout ce que la vénérable école comptait d'anti-communistes et de nationalistes se retrouvait dans ce syndicat. Alors, toi qui était en quatrième année, tu ne savais donc pas de ce dont il s'agissait ? Laisse-nous rire aux éclats.

    Il est vrai qu'à cette époque, pour contrer l'omniprésence des gauchistes de toutes obédiences dans l'Université, les nationalistes n'hésitèrent pas, parfois, à ruser. Il y eu ainsi une Fédération des étudiants de Picardie, une Union des étudiants d'Alsace, un Renouveau étudiant à Bordeaux... des appellations imaginatives qui pouvaient, admettons-le, amener l'étudiant moyen à s'interroger sur le positionnement politique de ces syndicats locaux. Mais, avec l'"Union des étudiants des droites"... il ne pouvait pas y avoir de tromperie sur la marchandise.

    Ton attitude face aux "révélations" de Mediapart est vraiment déplorable. De deux choses l'une, soit tu es idiote et inculte, ce que nous n'osons pas imaginer ; soit le milieu que tu fréquentes maintenant, LREM en l'occurence, est tellement sectaire et fanatique que tu ne trouves rien de mieux que d'invoquer ta crédulité de jeune fille effarouchée pour te défendre. Ce n'est pas très courageux...

    Et le plus grave, c'est que maintenant tu voudrais t'imposer comme le rempart face à "l'extreme droite". Décidément, tu n'arrêtes pas de nous faire rigoler, Nathalie. Une chose est sûre, c'est que si tu as fréquenté les nationalistes dans ta jeunesse, tu n'as rien retenu de l'éthique qui anime leur idéal. Le reniement est l'apanage des poltrons démocrates, pas celui des "fachos".

    Depuis le début de la Ve République, nombre d'élus, voire de ministres, firent leurs premières classes dans la mouvance nationaliste. Face à l'adversité, reconnaissons-le, peu renièrent leurs engagements d'antan (après tout, on a le droit de changer d'idées) et, parmi eux, certains firent même de brillantes carrières. Néanmoins, quelques uns se crurent obligés, lorsqu'ils se virent débusqués par les petits flics de la pensée dominante, de cracher sur leur passé. Ces méprisables personnages sont vite tombés dans les oubliettes de l'Histoire... et c'est sans doute mieux ainsi.

    Nathalie, avec ta liste LREM, tu as la prétention de défendre les intérêts de la France dans l'Union européennes. Permet-nous de te dire que, vue ton attitude aujourd'hui, on a de bonnes raisons d'être inquiets pour demain... Mais, rassure-toi, que tu ai été membre de l'UED ou non, cela n'a pas vraiment d'importance car nous n'avions aucunement l'intention de voter pour toi...

    * Si je te tutoie dans cet article, c'est parce que dans la mouvance nationaliste, hier comme aujourd'hui, tout le monde se tutoie. Ainsi, tu vois bien que nous ne sommes pas rancuniers.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Sébastien Chenu: «Emmanuel Macron doit des excuses aux Français»

    lead_960.jpgLe porte-parole du Rassemblement national était l’invité du «Talk-Le Figaro».
    «J’aimerais que le président de la République arrête de faire de la communication et revienne à des choses sérieuses et structurées», déclare Sébastien Chenu, alors qu’Emmanuel Macron doit faire, jeudi, ses annonces pour la sortie du grand débat.
    Le porte-parole du Rassemblement national était l’invité du «Talk-Le Figaro», ce mardi. L’occasion, pour lui, de revenir sur la politique menée par le gouvernement ces derniers mois, durant la crise des «gilets jaunes». «La première chose que devrait faire Emmanuel Macron, c’est présenter des excuses aux Français, estime-t-il. Des excuses pour avoir mis le pays dans cet état-là. Il est responsable du chaos dans lequel notre pays est plongé.»

     
    [...]
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