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magouille et compagnie - Page 2092

  • Nicolas Sarkozy soutient la loi Taubira

    Olivier Ciappa, militant LGBT notoire et dessinateur contesté du Timbre Femen vient de publier sur son compte Facebook, à l'occasion de l'anniversaire du vote de la Loi Taubira, le soutien que lui aurait apporté Nicolas Sarkozy en signant, ainsi que son épouse, "sa bannière de la réconciliation" (sic) :

    C

    "Aujourd'hui, ça fait un an pile que le mariage pour tous a été voté. Une loi sociale qui aurait du rassembler la droite et la gauche au lieu de diviser tous les Français. Pour le 1er anniversaire, voilà ma bannière "réconciliation" signée par Nicolas Sarkozy, Carla Bruni, Gérard Depardieu et Anouk Aimée. Il est tant qu'on soit enfin tous heureux, quelle que soit notre orientation politique."

    Michel Janva

  • Référendum irlandais (2008)

    Du viol de la démocratie en toute bonne conscience ou ce qu’est la démocratie pour les moralistes bêlants. 

    Que ceux qui doutent encore que l’Union européenne fonde sa toute-puissance sur le viol de la démocratie lisent attentivement ces lignes. 

         La scène se déroula le 20 février 2008 au parlement de Strasbourg. En souvenir de l’annulation des votes des peuples français et hollandais en 2005, quelques députés européens, nous devrions dire les derniers fidèles aux principes fondamentaux de la démocratie, proposèrent un amendement : que le vote du peuple irlandais, qui allait avoir lieu quelques mois plus tard, soit respecté. 

         Il fallait vraiment que le désespoir de ces derniers Mohicans de la démocratie soit grand pour qu’ils finissent par demander à ce que l’on respecte un vote démocratique. Ne va-t-il pas de soi que soit respecté le résultat d’une échéance électorale ? Il semblerait que non pour la technostructure européenne. Cet amendement qui ne demandait qu’une chose, qu’un principe de base de la démocratie soit appliqué, fut rejeté par 499 voix contre 129. Vous avez bien lu. Le non-respect de la démocratie fut voté ! Attitude qui en dit long sur la teneur de l’attachement à la démocratie des européistes. 

         Le vote des Irlandais sera ignoré par les instances européennes. C’est en toute bonne conscience que les partisans de l’UE bafouèrent un acquis historique. Aveuglés par leur rêve évanescent « d’Europe », les euro-béats ne se rendirent probablement pas compte de la portée de leur acte. Eux qui prétendent encore défendre la démocratie en sont venus à balayer son expression la plus élémentaire en toute bonne conscience. Pourquoi ? Parce que pour eux, la démocratie n’est pas la démocratie au sens institutionnel et historique du terme, mais la vulgate du politiquement correct. Dans leur esprit, le politiquement correct est le bien, c’est ce bien qui devient la démocratie. L’opposition contre la technocratie néolibérale qu’est l’Union européenne est en revanche le mal, et, dans leur esprit, devient le fascisme. Démocratie et fascisme sont vidés de leur sens historique. C’est au nom de la « démocratie » que les députés européens écrasèrent la démocratie. 

         Les médias ne parlèrent pas de ce triste événement. Nul ne s’en étonnera : ces derniers s’empressent toujours de montrer leur bêtise et leur servilité vis-à-vis de l’UE par une propagande maladroite en sa faveur. 

         Le 20 février 2008 restera comme un jour noir pour la démocratie. Mais qui s’en soucie ?

    Adrien Abauzit, Né en 1984

    http://www.oragesdacier.info/2014/04/referendum-irlandais.html

  • RMC censure un sondage en ligne sur l'avortement

    Cette page a disparu. On la trouve encore sur cette page en cache. La question était :

    "L'avortement est-il "un homicide volontaire"?"

    Les résultats dérangeaient-ils ?

    A

    Michel Janva

  • Livre sur Manuel Valls : surtout ne pas en parler

    L'entourage de Manuel Valls utilise la stratégie de l'édredon pour ne pas évoquer le dernier livre d'Emmanuel Ratier sur Le Vrai visage de Manuel Valls. S'ils prétendent que le livre contient des"mensonges" et des "calomnies", ils ne parlent même pas de diffamation.

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    Michel Janva

     
  • La direction de l'enseignement catholique de Paris défend le droit d'Alliance Vita à intervenir dans les lycées

    La direction diocésaine de l'enseignement catholique de Paris a tenté d'apaiser les esprits au lycée catholique Gerson en organisant une réunion interne longue de près de 4 heures à l'adresse du personnel et de la direction.

    Dans l'entourage de la direction de l'établissement, on affirme que «tout s'est bien passé», que «chacun a pu s'exprimer» et que le «dialogue était franc».

    Mais les «opposants» évoquent une «mascarade de dialogue» et «l'impossibilité de prendre la parole sans être coupé».

    Frédéric Gautier, le représentant de la direction diocésaine de l'enseignement catholique qui est venu présenter les résultats d'un audit réalisé à sa demande en janvier et février, estime avoir rencontré une communauté éducative «désireuse d'apaisement»:

    «Les conditions du dialogue étaient réunies».

    Une partie des enseignants rencontrés par la tutelle diocésaine lors de l'audit lui ont fait part de 4 craintes principales : sélection sur le niveau des élèves, sur l'origine sociale et l'appartenance catholique, sélection dans le recrutement des enseignants. Enfin, le style de la catéchèse tendrait vers une forme d'«uniformité». Sic.

    Frédéric Gautier répond que ces craintes

    «restent à vérifier. Il faut laisser le temps au chef d'établissement d'y répondre. Gerson ne se contente pas de recevoir les catholiques pratiquants du 16ème arrondissement, loin de là. Et ce n'est évidemment pas un établissement que l'on peut soupçonner d' intégrisme comme certains médias ont pu l'avancer».

    Concernant l'intervention d'Alliance Vita, l'autorité de tutelle a rappelé qu'il s'agissait d'une association

    «non suspecte en elle-même, ni intégriste, ni sectaire qui intervient sans aucune difficulté dans d'autres établissements catholiques».

    Le chef d'établissement a fait part de sa «colère» et de sa «tristesse» d'avoir été «traîné dans la boue» dans la presse, le plus souvent de façon anonyme mais a affirmé qu'il «renouerait le dialogue». Certains parents étaient venus soutenir le directeur, estimant que le lycée était victime d'une cabale menée par des «laïcards gauchistes». Des banderoles de soutien à la direction ont même été affichées hier sur les murs.

    «Il n'y a aucun problème ici. Nos enfants y sont très heureux. Si l'esprit catho qui règne ici ne convient pas à certains, il sont libres de partir. Nous ne sommes pas dans un établissement public!».

    Michel Janva

  • Minute s’est procuré le rapport censuré qui accable Valls

    Manuel Valls est devenu premier ministre après avoir échoué au ministère de l’Intérieur. A Marseille notamment, ville test, sa politique a fait pschitt. Un rapport en atteste. Un rapport que la préfecture de police a voulu censurer, mais que « Minute » vous dévoile en exclusivité.

    Nommé ministre de l’Intérieur en mai 2012, Manuel Valls avait une mission prioritaire : rétablir l’ordre républicain à Marseille. Dès septembre suivant, pour relever ce défi, il y nommait un nouveau préfet de police, Jean-Paul Bonnetain (réputé proche de la gauche), chargé de tester, dans des zones de sécurité prioritaires, une nouvelle recette contre la délinquance baptisée « approche globale ».

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  • Un rapport recommande la suppression du quotient conjugal

    Le député socialiste Catherine Coutelle recommande dans un rapport publié jeudi 24 avril la suppression "à terme" du quotient conjugalqui permet aux couples mariés et pacsés de faire leur déclaration d'impôt en commun.

    Présidente de la Délégation aux droits des femmes de l'Assemblée nationale, elle s'est saisie de la question de la fiscalité et des femmes dans le cadre des Assises pour la fiscalité des ménages, lancées en janvier. Elle explique dans ce rapport que la suppression à terme du quotient conjugal permettrait "de promouvoir l'égalité femmes-hommes" et "une plus grande progressivité de l'impôt", tout en rapportant quelque 5,5 milliards d'euros à l'Etat.

    Elle cite à ce titre un rapport de l'OCDE en 2012 appelant la France à "encourager l'activité féminine en optant pour l'imposition individuelle des revenus". 

    Cette individualisation de l'impôt constitue une nouvelle marche vers l'atomisation de la société, la dislocation des liens sociaux et la destruction de la famille. Le député ne se demande pas pourquoi la pauvreté touche les personnes seules, souvent avec enfant, en l'occurrence les femmes. En facilitant, encourageant et maintenant en obligeant la destruction (fiscale) des liens conjugaux, l'Etat appauvrit la société. Les quelques 5 milliards d'économie ne sont que du court-terme. 

    Michel Janva

  • Attention scrutin en vue

    À moins d'un mois du scrutin européen du 25 mai, la France se prépare à l'adoption de son fameux pacte dit de responsabilité. Sans entrer ici dans l'examen des dispositions concrètes proposées par le Premier ministre à l'Assemblée nationale ce 29 avril, on doit souligner que l'ensemble du dispositif vise à un rattrapage de la situation budgétaire d'un pays saigné à blanc par le fiscalisme, et par là même économiquement de plus en plus distancé par ses partenaires européens.

    Sans préjuger par conséquent de l'efficacité, dont on doit douter, des mesures gouvernementales, il faut comprendre, c'est-à-dire ou bien refuser, ou bien accepter le principe d'une meilleure cohésion continentale, ceci dans l'intérêt même du peuple français.

    Dans quelques jours vont ainsi se dérouler les élections désignant le parlement de l'Union européenne. Pour la 8e fois depuis 1979 elles se déroulent au suffrage universel. Mais pour la première fois depuis la signature du traité de Rome en 1956, cette assemblée aux compétences évolutives va disposer du pouvoir de contrôler l'exécutif au sein des institutions. Elle va se trouver en mesure notamment d'imposer son choix pour le président de la Commission de Bruxelles. Jusqu'ici en effet cette nomination était laissée à la discrétion des chefs de gouvernements des États-Membres composant le Conseil européen.

    Cette novation elle-même ne fait pas l'unanimité au sein des forces politiques du continent. Elle les sépare en deux groupes. Les uns y voient le comblement heureux du déficit démocratique évident dont pâtissent depuis un demi-siècle les institutions communautaires jugées technocratiques. Les autres rejettent au contraire, mais avec plus ou moins de véhémence, ce qu'ils dénoncent comme une atteinte à la souveraineté des États, donc des nations, donc des peuples.

    Observons à cet égard qu'un étiquetage trop commode des positions respectives, les qualifie de "souverainistes" et de "fédéralistes". Ce recours à des termes mal définis obscurcit un débat qui pourtant pourrait rester clair et pratique. Je me souviens ainsi d'un interlocuteur anglais, se définissant lui-même comme "eurosceptique" et qui ne comprenait pas ce que les Français entendaient par "souverainisme" qui me semble cependant assez proche en fait des positions qu'il exprimait lui-même.

    Pour séparer les deux camps on retiendra par exemple que 5 groupes de partis continentaux ont d'ores et déjà désigné leurs candidats pour la présidence de la Commission. En dehors des marxistes qui mettent en avant l'improbable Tsipras, pratiquement le seul Grec à ne parler aucune langue étrangère, les conservateurs du PPE ont désigné Jean-Claude Juncker, les sociaux-démocrates Martin Schulz, les Verts un tandem composé de Franziska Keller et de José Bové, le petit groupe centriste Guy Verhofstadt

    Notons que le débat continental prévu le 15 mai entre ces cinq chefs de file risque fort, à l'heure où nous écrivons, de ne même pas être rediffusé par France Télévisions, les médias parisiens semblant surtout concentrés sur les sondages hexagonaux.  (1)⇓

    Les autres, allant des conservateurs britanniques aux nationalistes de France et de Navarre, ceci incluant les eurosceptiques anglais proprement dits, le parti Ukip, se sont dispensés, mais aussi les partis protestataires tels que Beppe Grillo en Italie, ont refusé ou ne sont pas parvenus à s'entendre pour jouer ce jeu.

    Il est évidemment trop tôt pour accorder trop de créance aux sondages effectués dans chaque pays et aux projections d'ensemble qui en résultent. Mais il faut remarquer que le rapport de force prévisionnel semble se situer grossièrement au moment présent sur 751 sièges à pourvoir, 550 élus pour l'ensemble des quatre partis européens, 50 autres sièges allant aux marxistes, front de gauche et communistes avoués, 40 aux conservateurs de type britannique, 36 aux eurosceptiques – les divers groupes protestataires, anti-fédéralistes, souverainistes, etc. se partageant entre 90 et 100 élus, dont environ 20 pour le FN français sur 74 représentants de l'Hexagone.

    Les équivalents allemands de nos souverainistes, "Alternativ für Deutschland", crédités de 6 % des voix, écartés du Bundestag en 2013, pourraient entrer au parlement : leur campagne actuelle cherche d'ailleurs à tirer parti des inquiétudes qu'inspire l'absence de rigueur économique de ce côté-ci du Rhin. (2)⇓

    De telles fortes poussées de fièvre interpelleraient sans doute la classe politique. Elles attisent les commentaires médiatiques. Mais, plus de 425 sièges semblant promis à l'addition des deux groupes principaux, socialistes et conservateurs, leur majorité ne semble guère promise à un ébranlement. Au contraire, l'évolution de la situation risque fort de sceller leur coalition, comme cela s'observe déjà dans plusieurs pays.

    Les partenaires occidentaux de l'Europe se disent désireux de l'inclure dans une vaste zone de libre échange, jugée mutuellement profitable. Ils se montrent actuellement soucieux de l'éventuelle division de leurs interlocuteurs. De l'autre côté, à l'est comme au sud, les puissances archaïques hostiles n'hésitent manifestement plus à encourager ou à subventionner, très classiquement, très "géopolitiquement", les forces centrifuges, en agitant les cauchemars dont se nourrissent les protectionnismes.

    Aux citoyens européens, par conséquent, de cesser d'être dupes et de prendre conscience des vrais dangers.

    JG Malliarakis
     http://www.insolent.fr/2014/04/attention-scrutin-en-vue.html

    Apostilles

    1. Une protestation a été publiée par le Huffington Post le 28 avril: "France Télévisions ne doit pas censurer le débat européen"
    2.  Réalisés début avril, les plus récents sondages donnent les résultats suivants: 51 extrême gauche 208 socialistes 41 verts 63 libéraux centre gauche 217 conservateurs PPE 41 conservateurs 36 EFD dont UKIP britannique et 94 souverainistes dont FN français (lui-même crédité de 20 sièges sur 74 attribués à la France). L'assemblée sortante comptait les groupes suivants : 275 Parti Populaire Européen (PPE), 194 Alliance progressiste des socialistes et des démocrates (S&D), 85 Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe (ADLE), 58 Conservateurs et réformateurs européens (CRE), 56 "Verts/Alliance libre européenne" (Verts/ALE) 35 "Gauche unitaire européenne/Gauche verte nordique" (GUE/NGL), 32 "Europe de la Liberté et de la Démocratie" (ELD), 31 Non-inscrits (NI)
  • Encore une église profanée ! Mais Robert Namias continue de ne pas savoir que les profanations sont majoritairement antichrétiennes…

    Nice – L’Eglise de la place Saint-Roch a été profanée dans la nuit de samedi à dimanche. Le vol n’était pas la motivation de ceux qui se sont introduits dans cette église. Les vitres de la sacristie ont volé en éclats, un mur de la salle de catéchisme a été éventré à coups de masse. Trois tabernacles ont été fracturés. Celui qui contenait les hosties consacrées a résisté. “C’est assez miraculeux”, fait remarquer l’économe paroissial aux journalistes qui l’interrogent.

    Une fois de plus, c’est un lieu de culte catholique qui est ainsi profané. Mais pour des journalistes de la trempe de Robert Namias - qui prétend mensongèrement que les profanations concernent majoritairement les synagogues et les cimetières juifs –, l’antichristianisme n’existe pas.

    http://medias-presse.info/encore-une-eglise-profanee-mais-robert-namias-continue-de-ne-pas-savoir-que-les-profanations-sont-majoritairement-antichretiennes/9275