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magouille et compagnie - Page 2092

  • Dictature Socialiste – La tribune de Nicolas Sarkozy dans le Figaro n’en finit pas de faire parler.

    dictatureLa tribune de l’ancien président de la République publiée dans le Figaro vendredi 21 mars,  n’en finit pas de faire couler de l’encre. Dans cette épître qu’il a voulu adresser aux français au sujet des fuites sur les écoutes dont il est secrètement l’objet depuis huit mois, l’ancien chef de l’Etat a voulu attirer l’attention de ses compatriotes sur les mensonges effrontés et les comportements douteux des membres de l’actuel gouvernement dans de cette affaire d’Etat.

    Comme il le dit lui-même dans sa tribune intitulée « Ce que je veux dire aux français », Nicolas Sarkozy ne cherche visiblement pas à s’apitoyer sur son sort et sur la véritable persécution judiciaire dont il est l’objet. Au contraire, il cherche manifestement à provoquer une prise de conscience et un sursaut national chez les citoyens de bon sens en prenant l’exemple de sa propre situation pour illustrer la dérive totalitaire du gouvernement socialiste.

    Précisant dès le début de son intervention écrite qu’il est bien conscient des soucis quotidiens de ses concitoyens, le président Sarkozy insiste sur le fait que s’il a décidé de s’exprimer c’est qu’il jugeait de son devoir de rompre son silence devant la gravité de la situation où d’après lui: « certains principes sacrés de notre République sont foulés aux pieds avec une violence inédite et une absence de scrupule sans précédent«   .

    Il continue ensuite en s’interrogeant sur : « la proportionnalité de la réponse pénale, au regard de la qualité des faits supposés, violée ? La présomption d’innocence désacralisée ? La calomnie érigée en méthode de gouvernement ? La justice de la République instrumentalisée par des fuites opportunément manipulées ? »

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  • La France, championne du monde des donneuses de leçons

    Peut-être qu’après tout Fabius, Ayrault et Hollande croient encore qu’il leur suffit de faire cocorico pour que le soleil se lève.
    Mon passeport arrivant bientôt à expiration je suis allé sur le site de mon consulat pour m’enquérir des démarches à suivre, lorsque je suis tombé sur ça : « La France a fait de l’abolition universelle de la peine de mort une des priorités de sa politique étrangère en matière de droits de l’Homme. » La suite, poncifs niaiseries et autres billevesées, je vous en fais grâce.
    Plus intéressant, cet encart renvoyait au site du quai d’Orsay sur lequel je trouvai un autre lien du même tonneau : « La France, candidate au Conseil des droits de l’Homme pour le mandat 2014-2016 » Suivait une profession de foi qui vaut vraiment son pesant de cacahuètes. Extraits : « Les droits de l’Homme font partie des valeurs fondatrices de la République française. Leur respect est au cœur de l’exercice de la démocratie en France et de notre engagement au sein de l’Union européenne. »
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  • Le pire péché des médias : la désinformation

    Durant l’audience de ce samedi matin accordée aux radios et télévisions d’inspiration catholique du réseau Corallo, le pape a déclaré :

    « Je considère que les péchés les plus graves que commettent les médias sont ceux qui concernent les contre-vérités et les mensonges, et ils sont trois : la désinformation, la calomnie et la diffamation ». « La calomnie et la diffamation sont graves, mais le plus grave c’est la désinformation ». « La calomnie c’est un péché mortel, mais l’on peut toujours arriver à clarifier les choses, et à faire valoir finalement que c’est une calomnie ». « La diffamation c’est un péché mortel, mais on peut réussir à dire que c’est une injustice». « Mais la désinformation, c’est ne dire que la moitié des choses, celles qui me conviennent, et ne pas dire l’autre moitié : de sorte que celui qui regarde la télévision ou écoute la radio ne peut bien juger les choses parce qu’ils n’a pas tous les éléments, car ils ne lui ont pas été livrés ». « Evitez ces trois péchés : la désinformation, la calomnie et la diffamation ».

    Le Pape a ensuite abordé un autre sujet, celui de la présence des laïcs dans l’Eglise. L’Eglise a besoin de la contribution des laïcs, et ceux-ci ne doivent pas être « cléricalisés ». Le Pontife a critiqué la tendance de certains prélats qui, pouvant compter sur les qualités d’organisation de très nombreux laïcs dans leurs paroisses et diocèses, font tout pour les cléricaliser.

    « La proposition est de tout de suite cléricaliser ». « C’est une erreur, un bon laïc doit le rester, continuer ainsi et grandir ainsi ». « Pour ma part, je considère que le cléricalisme empêche la croissance des laïcs. Mais c’est une tentation aussi des laïcs, car certains d’entre eux veulent être cléricalisés ».

    Michel Janva

  • Référence à la Stasi : Sarkozy a tapé là où ça faisait mal

    Lu dans Présent :

     

    "Qu’aurait été la tribune libre de Nicolas Sarkozy dans Le Figaro s’il n’avait fait une fine allusion à la Stasi, cette police politique de sinistre mémoire qui avait pignon sur terreur dans l’ancienne République démocratique allemande ?

    En France, l’habitude n’est guère de stigmatiser un régime communiste, plutôt de rappeler éternellement les crimes du régime national-socialiste, figure de bouc émissaire obligé de toute référence historique criminelle.

    En faisant explicitement – et uniquement – référence aux pratiques totalitaires de cette « autre » Allemagne que celle du IIIe Reich, l’ancien président a tapé là où ça pouvait faire le plus mal aux habituels donneurs de leçons d’une gauche moralisatrice, héritière d’une Union des socialistes, des radicaux et des communistes qui porta François Mitterrand à l’Elysée… et reste toujours d’actualité, au gré des échéances électorales.

    Les oripeaux de la Gestapo faisant sans doute de moins en moins recette, ceux de la Stasi vont-ils empoisonner durablement le débat politique désormais ? Vu la réaction de la gauche, elle a compris le danger. Trop tard ?"

    Michel Janva

  • Ecoutes visant Nicolas Sarkozy : un journaliste du “Monde” menacé de mort

    21/03/2014 – PARIS (NOVOpress) -  Quelle que soit la majorité au pouvoir, il ne fait pas bon révéler des scandales d’Etat. Le journaliste d’investigation du Monde, Gérard Davet, l’apprend aujourd’hui à ses dépends. En effet, lui qui, avec son confrère Fabrice Lhomme, a révélé l’affaire des écoutes téléphoniques visant Nicolas Sarkozy, est depuis lors l’objet de menaces particulièrement violentes allant jusqu’aux menaces de mort. Le journaliste a d’ailleurs annoncé qu’il avait porté plainte.

    Cet épisode survient dans un contexte particulièrement tendu et malsain, où, à l’approche des échéances électorales, les révélations se multiplient concernant la droite comme la gauche et où les journalistes sont régulièrement accusés de « rouler » pour les uns ou pour les autres.

    «Les gens qui donnent des infos aux journalistes ont toujours des comptes à régler. Mais pour nous, cela n’a aucune espèce d’importance, l’important est si l’info est bonne où mauvaise, nous n’enquêtons pas à charge » a pour sa part tenu à préciser le journaliste.

    http://fr.novopress.info/page/2/

  • Ceux qui aimeraient faire de l’arabe une langue locale… par Fabrice Robert

    Tribune de Fabrice Robert, président du Bloc identitaire, parue sur Boulevard Voltaire le 20 mars 2014 - Ce ne sont pas les populations d’origine immigrée qui doivent s’adapter mais plutôt les Français de souche européenne qui doivent toujours plus s’orientaliser…

    Dans le village provençal de Valbonne, les parents d’élèves de l’école élémentaire Sartoux viennent de recevoir une proposition assez particulière. Leurs enfants pourraient – s’ils le souhaitent – suivre des cours d’arabe gratuits ! Dans une circulaire diffusée par la direction générale de l’enseignement scolaire, on apprend que l’enseignement de l’arabe dans les écoles françaises fait partie d’un programme national du ministère de l’Éducation nationale.

    Les volontaires peuvent alors suivre des cours dispensés par des enseignants algériens, tunisiens ou marocains. Aucune information sur le contenu de ces cours, si ce n’est qu’ils sont proposés gratuitement alors que c’est loin d’être le cas quand il s’agit d’enseigner les langues traditionnelles de nos régions à nos enfants. Des langues parlées par nos ancêtres – comme l’occitan, le breton ou le provençal – seraient-elle donc moins importantes que l’arabe aujourd’hui en France ?

    Au fond, tout ceci n’est pas étonnant lorsqu’on sait que Vincent Peillon a annoncé, en février dernier, des moyens supplémentaires pour le développement de l’enseignement de la langue et de la culture arabes, « pour répondre aux attentes de la jeunesse de l’autre côté de la Méditerranée ». Si l’on assiste déjà, depuis quelques années, à l’explosion du marché de la danse orientale, Vincent Peillon nous propose donc aujourd’hui de développer des sections spécifiques dites « langues et cultures méditerranéennes » et « orientales » dans les collèges et les lycées français. C’est là toute l’absurdité du discours républicain sur l’intégration qui, finalement, aboutit à une désintégration de l’identité française. Ce ne sont pas les populations d’origine immigrée qui doivent s’adapter mais plutôt les Français de souche européenne qui doivent toujours plus s’orientaliser.

    Certains ne perdent pas de temps et ont fait le choix de distribuer des tracts en arabe dans le cadre des élections municipales. C’est le cas, notamment, d’une liste de « gauche rassemblée et citoyenne » à Pierre-Bénite. Pour Daniel Deleaz, l’adjoint au maire de cette commune de la banlieue lyonnaise, le choix est clairement assumé : « Si la République a fait le choix du français comme langue nationale, elle a aussi pour objectif de traiter à égalité tous les citoyens. La traduction de textes en langues étrangères est donc le moyen de lever la barrière des langues, de contribuer à l’égalité des citoyens, d’aider au rassemblement de tous. »

    Précisant qu’il s’agit d’un tract bilingue, l’élu parle – en toute simplicité – d’une « pratique très courante dans certaines de nos régions, comme l’Alsace par exemple, où le français est très souvent traduit en langue locale ». Daniel Deleaz met donc sur le même plan un tract bilingue français-alsacien et un tract bilingue français-arabe. Et semble, par là même, admettre l’idée que l’arabe serait devenu la langue locale de Pierre-Bénite…

    Fabrice Robert
    twitter.com/_fabricerobert

    http://fr.novopress.info/160153/ceux-aimeraient-faire-larabe-langue-locale-fabrice-robert/#more-160153

  • Vincent Peillon a été accueilli à Toulon

    L’arrivée du ministre de l’Education nationale, candidat aux élections européennes dans le Sud-Est, a été perturbée par un groupe d’opposants à la loi Taubira, qui l’ont accueilli sous les sifflets, en scandant « Peillon, démission ! ». A l’abri dans le local de campagne, les militants socialistes ont dû jouer des coudes pour entendre l’allocution de Vincent Peillon.


    Visite express de Vincent Peillon à Toulon pour... par Var-matin

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Quand le cabinet du Premier ministre présente son programme LGBT…

    Comme Civitas s’y était engagé, l’association catholique présente une deuxième vidéo pédagogique destinée à mettre à disposition du public les documents qui démontrent les connivences entre le Gouvernement et le lobby homosexuel.

    « Il est question ici d’un document officiel publié par le cabinet du Premier ministre. Inversion des normes et théorie du genre sont notamment au menu. », explique Civitas, dont le président, Alain Escada, compte bien poursuivre le décryptage de la révolution sexuelle en cours.

    Des faits, des citations précises, des références incontestables, voilà un travail qui constitue un précieux outil pour tous ceux qui défendent la famille. A voir et à diffuser !

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    La première vidéo de cette série était consacrée aux engagements pris par François Hollande devant le lobby « Homosexualité et Socialisme« . A voir ici.

  • L'infantilisme en politique

    « L’idéologie de l’émotion est une forme d’infantilisme aigu au service d’un ultralibéralisme mondialiste qui se frotte les mains devant autant d’inconscience ».
    Quand on constate le délabrement et la déliquescence de l’idéologie au pouvoir dans notre pays, on ne peut qu’être atterré par l’ampleur des dégâts. Comment en est-on arrivé là ?
    L’amateurisme désormais légendaire du gouvernement en est pour quelque chose, notamment en reprenant jusqu’à l’intempérance les théories fumeuses et foireuses de l’idéologie des babas cool qui sont à l’œuvre dans tous les rouages importants de notre société depuis mai 68. Ceci, il faut le dire, a rendu ce gouvernement définitivement inapte à prendre en charge les aspirations des Français, car si cette idéologie est peut-être adaptée à la petite minorité des bobos des grandes villes – ils avaient déjà des prédispositions à cette façon libertaire de vivre leur vie – elle ne peut être prescrite à la majorité du peuple qui, plein de bon sens et de mesure, a d’autres soucis autrement vitaux et d’autres préoccupations plus terre-à-terre. L’hédonisme pour chacun, pourquoi pas ? Mais l’imposer de force, par des lois et des décrets et en faire une référence inéluctable, c’est faire preuve d’irresponsabilité et d’infantilisme.
    L’Europe, ou plutôt pour être précis l’Union européenne, n’est pas en reste dans la dévastation de notre civilisation. Elle en rajoute une couche, non seulement en reprenant cette idéologie perverse, mais en voulant également imposer aux peuples un ultralibéralisme débridé. La connivence devient de plus en plus évidente entre la gauche libertaire et le système économique que celle-ci prétend combattre. Quelle fumisterie ! Ces gauchos libertaires, consciemment ou inconsciemment, ne sont que les idiots utiles du libéralisme, et même son avant-garde pour détruire les dernières résistances. Les instances européennes au service de la finance internationale l’ont compris depuis longtemps et s’en servent pour rendre les peuples européens décérébrés, sans identités et complètement perméables à une doctrine qui n’a besoin que de consommateurs bien cramponnés à leurs désirs insatiables de biens de plus en plus superflus ou inutiles. Ces instances ne veulent surtout pas de ces petites horreurs absolues que sont les citoyens patriotes, désignés au mieux comme des antirépublicains, au pire comme de dangereux fascistes. Des mots magiques, simples à retenir, qui déconsidèrent irrémédiablement tous les opposants à un système mondialiste qui veut se mettre en place définitivement.
    Européistes ultralibéraux et gauchos libertaires
    Cette alliance objective des européistes ultralibéraux et des gauchos libertaires est mortifère pour nos peuples. D’un côté, il y a la perte totale de notre souveraineté et de l’autre une volonté d’édifier une civilisation de l’indéfini où chacun pourra avoir l’impression de se réaliser individuellement, mais qui n’est qu’une pure fiction. Ceci ne compensera jamais cela. Un peuple qui perd sa souveraineté n’a plus le choix de son destin et individuellement ne peut plus être indépendant et libre de penser par soi-même. La soviétisation de plus en plus flagrante de la zone euro s’acte tous les jours et pèse lourdement dans notre vie quotidienne. Pour faire passer la pilule, nos gauchos européistes libertaires ont inventé une nouvelle façon de pratiquer la politique : l’émotion, érigée en doctrine indispensable. Une émotion de petits enfants incapables d’avoir le recul suffisant dans un quelconque jugement de valeur à cause de leurs inexpériences. L’infantilisation de la politique est en marche. Et nous allons la subir encore tant que nous n’aurons pas mis fin à cette absurdité de l’émotion.
    Ce sentiment – l’émotion – est normal chez chaque être humain, et même chez les politiques, mais ne peut pas être construit en système de gouvernance. Cette émotion ne doit pas régir nos lois, nos mœurs, nos coutumes. La bonne gouvernance d’un pays se fait sur une réflexion hautement maîtrisée, pensée et concertée par de vrais spécialistes et non par des esprits pervertis de théoriciens minoritaires ; que ceux-ci discutent entre eux, mais tant qu’ils n’apportent pas une preuve scientifique ou une preuve d’utilité publique à leurs théories foireuses, qu’ils nous laissent en paix. Qu’ils veuillent, par exemple, que papa porte une robe, c’est leur affaire, mais qu’ils n’enseignent pas cela comme une normalité possible à des gosses de six ans. Les théories expérimentales se discutent ou s’essayent entre adultes éclairés, mais pas sur des enfants et on ne cherche pas à les imposer à toute une société.
    L’idéologie de l’émotion est une forme d’infantilisme aigu au service d’un ultralibéralisme mondialiste qui se frotte les mains devant autant d’inconscience. Si ce n’est pas de l’inconscience, c’est une forfaiture – de la part de la gauche cela ne serait pas impossible…
    Que les élites bien-pensantes qui nous gouvernent cessent d’agir en irresponsables et qu’elles pensent enfin la politique comme des adultes. Qu’elles cessent de nous prendre pour des cobayes. Qu’elles se servent l’une de l’autre, entre elles, de cobayes si ça leur chante. Peut-être que cela leur remettra la tête à l’endroit, mais qu’elles laissent le peuple décider de ce qui est bon pour lui. C’est les Français qui doivent prendre en main le destin de la France, pas une minorité de fanatiques immatures et pervers.
     Claude Picard, 13/03/2014
    L’intertitre est de la rédaction.
    http://www.polemia.com/linfantilisme-en-politique/

  • Municipales : campagne contre le gender dans les quartiers musulmans

    Lu sur ce blog du Monde :

    "Au marché de Bondy, à deux jours des élections municipales, le candidat UMP Stephen Hervé et son équipe distribuent aux commerçants, clients, et simples passants le programme du parti. Dans celui-ci, aucune trace des ABCD de l’égalité, un programme expérimenté à l’école primaire qui vise à lutter contre les stéréotypes filles-garçons mais que ses détracteurs accusent d’être un « enseignement de la théorie du genre ».

    Le chapitre réservé à l’éducation, qui tient en une page, n’évoque que la réforme des rythmes scolaires «à remettre à plat», les frais élevés de cantine, «à diminuer» et l’état «déplorable» des maternelles et collèges, «à rénover». «Ce sont nos propositions officielles», explique le colistier Karim Allouache, cadre supérieur dans la finance, «le reste, c’est du off». Ces «off», ce sont des tracts enfouis dans un large sac en plastique.

    Il y est écrit que «le gouvernement socialiste veut enseigner la théorie du genre à l’école», alors qu’elle devrait «d’abord apprendre à nos enfants à bien lire, bien écrire et bien compter et non pas parler de sexualité à des enfants de cinq ou six ans ! ». «C’est pourquoi, conclut la brochure, nous nous engageons, si vous nous accordez votre confiance les 23 et 30 mars prochain, à tout faire pour ne pas exposer nos enfants à cette théorie et à des livres tels que “Tous à Poils” et “Mehdi met du rouge à lèvres” ». [...]

    Comme 85 % des musulmans, cette animatrice a voté François Hollande à l’élection présidentielle de 2012. «C’est la dernière fois», promet-elle, «je n’étais déjà pas satisfaite de la politique gouvernementale, mais alors là… ». Pour elle, l’introduction des ABCD de l’égalité à l’école, c’est la «goutte d’eau qui fait déborder le vase». La goutte d’eau qui l’a fait basculer à droite.

    [...] Certains, comme Bruno Beschizza, candidat UMP à Aulnay-sous-Bois, se rendent même sur les marchés avec l’ouvrage pour enfants Mehdi met du rouge à lèvres, agité comme un chiffon rouge. «Avec ce livre où le personnage principal porte un nom musulman, la communauté s’est sentie directement et injustement visée. Elle a eu le sentiment qu’on cherchait à l’initier à l’homosexualité, qu’on ne lui laissait pas le choix», ajoute-t-il. [...]"

    Michel Janva