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magouille et compagnie - Page 2090

  • Manuel Valls en pleine lumière

    Saluons le remarquable travail d’Emmanuel Ratier, qui montre que Manuel Valls, véritable Janus, ne sert qu’une seule politique : le mondialisme.   

    Alors que 64 % des Français estiment que Manuel Valls est un bon Premier ministre, selon un sondage BVA publié hier, la lecture du livre d’Emmanuel Ratier (Le vrai visage de Manuel Valls), est véritablement un bain de jouvence. Journaliste et rédacteur d’une lettre bimensuelle traitant de la politique nationale et internationale, Emmanuel Ratier a su révéler la véritable personnalité de Manuel Valls. Si l’on se réfère aux médias officiels, l’actuel Premier ministre est présenté comme un descendant d’une famille anti-franquiste absolue, un immigré catalan aux origines modestes devenu français à 20 ans, ainsi qu’un farouche défenseur d’Israël et de la cause sioniste. Grâce à un véritable travail d’investigation, son auteur a pu révéler le pot aux roses à partir d’une documentation étayée et implacable.

    La famille paternelle de Manuel Valls est issue de la grande bourgeoisie catholique catalane.

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  • Homosexuels : un amendement déposé pour l'adoption des enfants nés par PMA

    Le député écologiste Sergio Coronado propose d'instaurer une «présomption de parenté», c'est à dire une version élargie aux homosexuels de l'actuelle «présomption de paternité». Aujourd'hui, selon l'article 312 du Code civil, le mari est automatiquement considéré comme le père quand un enfant naît dans un couple marié. Transposé aux "mariés" de personnes de même sexe, cet article consacrerait l'intention des deux personnes d'être parents ensemble, sans se reposer sur la biologie. 

    Lundi, le parlementaire a déposé un amendement dans la proposition de loi dite «APIE» sur «l'autorité parentale et l'intérêt de l'enfant».

    Il reste à voir comment le gouvernement réagira : opposition à cet amendement ou non. La suite lors de l'examen de cet amendement en commission des lois le 6 et 7 mai.

    Michel Janva

  • Aymeric Caron ou l’arroseur arrosé…

    Aymeric Caron, l’inquisiteur médiatique du samedi soir, se retrouve à son tour sur le banc des accusés.   

    C’est l’histoire de l’arroseur arrosé. D’ordinaire habitué à sermonner, parfois violemment, ceux dont les opinions ne sont pas conformes aux siennes, Aymeric Caron, l’inquisiteur médiatique du samedi soir, se retrouve à son tour sur le banc des accusés.

    En cause, son échange houleux avec le cinéaste Alexandre Arcady dans « On n’est pas couché » à propos du film 24 jours, qui relate l’assassinat d’Ilan Halimi. Dans une séquence coupée au montage par France Télévisions, mais rapportée par le site Causeur, Aymeric Caron déplore que le film ne fasse pas état de la progression de l’islamophobie – plus rapide selon lui que celle de l’antisémitisme -, puis brandit les chiffres d’une ONG concernant les enfants palestiniens tués par l’armée israélienne.

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  • PMA : les écologistes ne renoncent pas

    Alors que José Bové s'est déclaré hostile à la PMA, qui n'est pas très écologique, c'est le moins que l'on puisse dire, la sénatrice EELV Esther Benbassa ne renonce pas à la fabrication d'enfants pour satisfaire le plaisir égoïste des personnes homosexuells :

    "Et pourtant, aussi bien Manuel Valls que la ministre de la Santé, Marisol Touraine, dans un passé récent, déclaraient qu'ils ne s'opposaient pas à la PMA, depuis longtemps réclamée par les associations LGBT. La précédente ministre de la Famille, Dominique Bertinotti, avait promis, lors des débats au Parlement sur le mariage pour tous, que le projet de loi sur la famille en préparation inclurait la PMA. Cela dit, dès avant la reculade de sa successeure, le gouvernement avait fait savoir que le texte sur la famille ne se pencherait pas sur la PMA. Désormais, c'est gravé dans le marbre : la Manif Pour Tous a gagné, et la PMA pour les couples de lesbiennes et pour les femmes seules est officiellement sacrifiée sur l'autel de la réconciliation avec cette partie de la France qui s'est opposée au mariage pour tous."

    Elle conteste d'ailleurs José Bové :

    "Je ne dirai certes pas que nous, écologistes, soyons épargnés par les débats internes. [...] Or ne voilà-t-il pas que notre vétéran altermondialiste, adversaire résolu et courageux des OGM, député européen depuis 2009, menant aujourd'hui la liste EELV pour les européennes dans la circonscription du Sud-Ouest, José Bové, déclare, contre toute attente, le 30 avril, dans l'émission "Face aux chrétiens" sur KTO, qu'il est opposé à toute manipulation sur le vivant, et donc opposé à la PMA : "Que ce soit pour les couples homosexuels ou hétérosexuels, que ce soit sur le végétal, l'animal et a fortiori sur l'humain, je suis contre toute manipulation sur le vivant". [...]

    José Bové est-il imbu du mythe du "bon sauvage", a-t-il trop lu Rousseau ou Paul et Virginie ? Le XVIIIe siècle a certes exalté l'idéal de cet homme bon qui était bon parce qu'il vivait au contact de la nature. Mais là encore il faut être prudent. Derrière cette idéalisation de la nature, il y a aussi, il y a d'abord, une critique sociale. Là-dessus, je suis sûre que José Bové et les écologistes que ses déclarations maladroites ont pour le moins surpris, peuvent se retrouver. [...]

    Tournons donc cette page quelque peu malheureuse, regrettable faux pas politique en cette veille d'élections européennes. Et pour la tourner clairement, le 7 mai, comme cela est annoncé depuis un moment, nous, écologistes, n'hésiterons pas à marquer notre différence et à déposer une proposition de loi sur l'extension de la PMA aux couples de lesbiennes et aux femmes seules. Sergio Coronado le fera à l'Assemblée, et moi, au Sénat, au nom du groupe écologiste, conformément à la ligne de notre mouvement sur la question. [...]"

    Michel Janva

  • Groupe Bilderberg

    Georges Mac Ghee, ancien ambassadeur américain de l’Allemagne de l’Ouest et membre du Bilderberg, déclara au Daily Mirror le 4 avril 1977 au sujet des réunions de ce groupe : « C’est au cours de ses rencontres que fut conçu le traité de Rome qui donna naissance au Marché commun. » 

    Détail que Jean Monnet oublia de préciser dans ses Mémoires... 

    Adrien Abauzit, Né en 1984

    http://www.oragesdacier.info/2014/05/groupe-bilderberg.html

  • Les européistes bien dégonflés

    Les Français, dans leur écrasante majorité,  ne croient plus aux  promesses de François Hollande et de son gouvernement. Dans le  Journal du dimanche, le chef de l’Etat a  encore tenté  une prophétie  en prédisant l’imminence d’«un bouleversement » bénéfique,  assuré que «le retournement économique (tant attendu)  arrive». Divine surprise d’une reprise économique qui aborderait enfin nos rivages dont les  pontes socialistes eux-mêmes ne sont guère persuadés. Quant aux électeurs,   selon l’enquête  réalisée  par l’institut CSA, réalisée du 22 au 24 avril pour le groupe Nice-Matin, il s’en  trouverait même un  sur trois (35%)  ayant  voté pour François Hollande  à la présidentielle de 2012  pour affirmer  qu’il ne referait plus le même choix.  Il est aussi dans l’ordre des choses  qu’un autre candidat du parti bruxellois  comme Nicolas Sarkozy ne profite pas de cet affaiblissement du chef  de l’Etat, puisque 58% des personnes interrogées  estiment qu’il  n’aurait pas fait mieuxs’il avait été réélu en 2012.

     Les raisons de ce fossé qui ne cesse de se creuser entre les élites  euromondialistes autistes et le peuple,  ne sont d’ailleurs pas uniquement  d’ordre économique. Elles sont aussi à chercher  sur le terrain de  notre identité nationale, de  nos  valeurs helléno-chrétiennes bafouées par les « progressistes »,  de l’antinomie existant entre la véritable civilisation européenne  et sa contrefaçon  bruxelloise qui en est souvent la radicale  antithèse.

     Manuel Valls qui  intervenait  samedi soir lors d’un meeting des jeunes socialistes à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne), a pris la mesure du danger,  de la vague nationale et populiste qui peut  prendre l’allure d’une déferlante. Il a solennellement appelé à ne pas « laisser le terrain à ceux qui en veulent à l’Europe et qui l’accusent de tout pour (…) ébranler ses fondements ». « C’est à nous de porter le rêve européen »,  « l’Europe est notre destin commun ».  « Il faut battre les extrêmes dans les urnes en envoyant dans trois semaines une majorité progressiste » a-t-il encore affirmé, fustigeant les  patriotes, les souverainistes du FN, «qui n’aiment ni leur patrie ni l’Europe, car ils n’aiment pas l’avenir». « Argument dérisoire » a relevé Bruno Gollnisch.

     Alors oui, en effet, les nationaux espèrent un  autre avenir que le projet porté à bout de bras par l’UMPS.  Depuis vingt-cinq ans, élections après élections,   européistes  socialo-libéraux  ou libéraux-progressistes  promettent du  rêve , « une autre Europe »,   qui celle-là  fonctionnerait  enfin !  

     Oui, répétons-le, le  cauchemar européiste,  cette France rabougrie, ravalée au rang de petite colonie de l’Empire, encore visitée par les touristes mais dépouillée de sa grandeur,  que veulent nous imposer Valls et les cénacles planétariens n’est  pas une fatalité. Une autre voie est possible  que l’inféodation à  cette Europe mondialiste,  envahie, sous domination atlantiste,  mue par les idéologues d’un  constructivisme bruxellois désincarné, sans âme, contraire aux intérêts de la France.

     Selon le sondage Viavoice  paru aujourd’hui  dans Libération, il est clair  que cette Europedéfendue par l’UMP et le PS n’est plus considérée,  comme un modèle viable et performant  par un nombre croissant de  nos compatriotes. Si 59% des sondés estiment encore qu’il ne faut pas  sortir de l’euro 60%  que la France doit rester dans  l’Union européenne,  64%souhaitent que l’UE  se recentre sur certains pays   (les pays fondateurs).

     Signe de  la confusion existant encore dans l’esprit de nos compatriotes, résultat dedécennies de propagande intensive  sur le thème « Hors Bruxelles point de salut », les réponses aux autres questions posées par cet  institut peuvent   apparaître contradictoires avec les  précédentes.  Ainsi, pour  49% des personnes interrogées, l’Union européenne évoque « quelque chose de négatif »  (45% qui jugent le contraire). De même  52% considèrent  que  l’Europe de Bruxelles  est « une contrainte politique, pénalisante pour la France »,   moins  d’un Français sur trois  (32%)  y voit un « atout ».

     Dans ce contexte délicat,  pontes de l’UMP  et du PS se relaient pour tirer à boulets rouges sur l’opposition nationale, n’hésitant pas,  à défaut de bilan présentable,  à mentir effrontément.  A ce petit jeu là, le  fédéraliste européen  Alain Lamassoure, tête de liste de l’UMP  en Ile-de-France,   se montre très zélé. Il a ainsi accusé la semaine dernière les députés européens FN de faire n’importe quoi, en voulant pour preuve le fait que  les députés FN  Jean-Marie Le Pen,  Marine Le Pen et Bruno Gollnisch se soient abstenus de voter  sur la révision de la directive sur les travailleurs détachés.

     France info en a rajouté une louche en écrivant sur sont site au sujet de cette abstention que  « Pour le coup, la présidente du Front National se comporte finalement comme beaucoup d’hommes politiques. Leurs votes ne sont pas toujours le reflet exact de leurs prises de positions ». En réalité,  comme l’a expliqué Bruno Gollnisch sur France Inter le 2 mai, les élus FN se sont «  abstenus sur ce texte parce qu’il avait le mérite d’organiser un minimum de contrôles. Donc nous ne voulions pas voter contre. En revanche, nous ne voulions pas voter pour parce que nous sommes contre le fait que l’on incite un certain nombre de travailleurs des pays de l’Est à venir travailler sur notre territoire à des conditions qui sont celles du droit social de leurs pays, c’est-à-dire à 50, 60 % de charges en moins que celles qui sont imposées aux ouvriers, aux artisans, aux commerçants français, que l’on ruine méthodiquement. »

     Bruno a proposé à M. Lamassoure un débat pour faire justice des mensonges de cet acabit,  colportés par lui ou d’autres…lequel a pris grand soin de ne pas relever le gant…

    http://gollnisch.com/2014/05/05/les-europeistes-bien-degonfles/

  • Enfin l’égalité : les femmes vont pouvoir pisser debout !

    Nous y sommes, enfin ! L’égalité hommes-femmes est à nos portes, et particulièrement à la porte des toilettes.   

    Dans ma lointaine enfance campagnarde, autour de mes 4 ans, j’étais fascinée par la voisine. Une femme d’une forte corpulence, rude gaillarde née sous la IIIe République à moins que ce ne soit sous Louis-Philippe. Elle avait laissé la ferme à sa fille pour monter à la ville – en l’occurrence les faubourgs de Romorantin, à 6 ou 7 kilomètres du lieu-dit « Les Étrangle-Chiens ». Un exil, en somme. Solange – elle s’appelait Solange – avait deux spécialités. L’une qui me terrorisait : une grue cendrée empaillée trônant au milieu de sa salle à manger. L’autre qui m’intriguait grandement : venant darder son regard curieux sur la vie des voisins, elle se postait au bout de l’allée, poings sur les hanches, et je voyais s’écouler d’entre ses pieds, dessous sa robe grise, une mystérieuse petite rigole qui s’en allait en serpentant jusqu’au fossé.

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  • 40 millions d’euros de frais de bureau pour les parlementaires européens

    Chaque année, un parlementaire européen dépense environ 4300 euros de frais de bureau. Certains parlementaires néerlandais se plaignent du manque de contrôle dans ces dépenses qui sont comptabilisées en plus des indemnités et des frais de déplacement. Cela coûterait ainsi environ 40 millions d’euros, une somme qui paraît énorme au regard des restrictions budgétaires que ne cesse d’imposer la commission européenne.

    http://medias-presse.info/40-millions-deuros-de-frais-de-bureau-pour-les-parlementaires-europeens/9495

  • La vente d'Alstom est le constat de faillite de la vision fausse qui gouverne la France

    Christian Saint-Etienne, professeur titulaire de la Chaire d'économie industrielle au Conservatoire National des Arts et Métiers, écrit un article très intéressant dans le Figarovox :

    "[...] Mais c'est une claque pour la classe dirigeante française car elle fait apparaître son incompétence collective depuis 18 ans. Voici les preuves.

    En transférant la prise de décision aux États-Unis, Alstom Energie ne pourra pas décider d'investissements ou de diversifications futures sans l'accord des actionnaires américains. Or ce transfert résulte de choix stratégiques imbéciles de Serge Tchuruk qui jette à la poubelle boursière GEC-Alsthom en 1998 avant de «théoriser» en 2001 son ambition de faire d'Alcatel une «entreprise sans usines». Alstom est vendu et Alcatel est un mort-vivant alors que les entreprises industrielles intégrées comme General Electric et Siemens survivent. Tchuruk et ceux qui l'ont conseillé devraient être jugés pour haute trahison. Au passage, c'est la Gauche qui gouverne la France à l'époque.

    Une Gauche qui au même moment met en place les 35 heures en 1998-2002. Il faut revenir sur l'origine de cette mesure. Elle n'est pas «prise sur un coin de table» en 1997 comme le veut la légende ni appliquée aveuglément à tout le secteur productif à cause de la seule rigidité de Martine Aubry. En fait, tout le monde était d'accord, Gauche et Droite, décideurs économiques et politiques, car s'était installée dans les années 1990 l'idée que nous étions entrés dans un monde post-industriel et post-travail. La rigidité de la Gauche n'a fait qu'aggraver les conséquences d'une vision insensée selon laquelle il fallait laisser mourir l'appareil industriel en France pour produire en Asie et partager le travail car il allait manquerEt beaucoup de prophètes tarés continuent de véhiculer ces idées fausses. Or et c'est la clé de compréhension des malheurs de la France,l'erreur commise par nos élites dirigeantes entre 1996 et 2002 a été de confondre le passage de la deuxième à la troisième révolution industrielle avec l'entrée dans un monde post-industriel !

    Car nous sommes passés, en effet, de la deuxième à la troisième révolution industrielle dans les années 1980 avec une accélération foudroyante dans les années 1990. [...] C'est exactement au moment de l'accélération de la troisième révolution industrielle que nos pseudo-élites écrasent les entreprises de charges sociales, d'impôts et de réglementation pour partager les emplois de la deuxième révolution industrielle tout en tuant la naissance des entreprises de la troisième révolution industrielle. Ces dernières émergent quand même, mais chétives et sous alimentées en profits et fonds propres.

    Or la suite est la conséquence de l'intuition clé de cet article :c'est parce que la Droite partage cette idée fausse et vicieuse, ou qu'elle n'a pas la capacité intellectuelle d'en démontrer la fausseté, qu'elle ne prendra jamais réellement les mesures, entre 2002 et 2012 pour définitivement tuer les 35 heures (on les rogne à la marge), éliminer l'ISF sur les actions et fortement réduire les charges et réglementations sur les entreprises.

    Puis, dans les deux premières années de la présidence actuelle, et en dépit du CICE, le gouvernement finit le travail en achevant le malade par un retour de l'âge de départ à la retraite à 60 ans, la suppression de la TVA sociale et l'alourdissement criminel de la fiscalité sur le capital qui accélère la fuite des investisseurs.

    La vente d'Alstom est donc le constat de faillite de la vision fausse qui gouverne la France depuis 1996 (loi Robien du 11 juin 1996 non obligatoire mais qui s'inscrit déjà dans cette vision). De juin 1996 à juin 2014 (début de mise en œuvre du plan Valls), les élites françaises ont partagé deux idées: celle évoquée précédemment de la fin de l'industrie et son corollaire, seule la dépense publique peut encore créer des richesses et des emploisRien n'arrête plus la dépense publique qui atteindra son sommet en 2013 (en pourcentage du PIB). La France se réveille groggy de la plus colossale erreur stratégique de son histoire depuis la Libération qui aura gouverné la France pendant 18 ans!!! [...]"

    A noter que la présidente de General Electric France et vice-présidente de GE International n'est autre que Clara Gaymard, fille du professeur Lejeune, énarque, mariée à Hervé Gaymard, l'ancien ministre de Jacques Chirac, et mère de neuf enfants. 

    Michel Janva

  • UE : les européistes se moquent de nos votes

    Le président non-élu du Conseil européen Herman Van Rompuy déclare que si « les Etats-Unis d’Europe » ne sont pas un scénario réaliste,

    « l’ensemble du territoire européen en dehors de la Russie sera à long terme, d’une façon ou d’une autre impliqué dans l’UE ». « Qu’il y ait un soutien pour cela chez les gens, je ne sais pas, mais de toute façon nous le ferons. »

    Michel Janva