On sait désormais ce que sont ces « valeurs républicaines » que la quasi-totalité de la classe politique ne cesse de jeter à la face du Front national…
Ça y est, on sait désormais ce que sont ces omniprésentes « valeurs républicaines » que la quasi-totalité de la classe politique ne cesse de jeter à la face du Front national… On en arrivait à se demander si elles existaient vraiment…
Tout d’abord, grâce à Olivier Py, directeur du festival d’Avignon, indigné par le succès du candidat frontiste Philippe Lottiaux (il a devancé d’une courte tête la candidate socialiste dimanche soir, lors du premier tour des élections municipales) : « 30 % au FN, je ne reconnais pas ma ville. »
« Sa » ville, allons bon ! Comme étaient sans doute « ses » villes précédentes : Orléans, dont il était en 1997 le directeur du Centre dramatique national… ou encore Paris où il dirigeait le Théâtre national de l’Odéon en 2007 ! « Sa » ville, donc ! Comme « sa » conception du suffrage universel… et « ses valeurs républicaines » : « Je ne me vois pas travaillant avec une mairie Front national. Cela me semble tout à fait inimaginable […] Je n’envisage que deux solutions possibles : soit je démissionne et on nomme un nouveau directeur ; soit on délocalise le festival dans une autre ville. »
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magouille et compagnie - Page 2090
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Chantage et vengeance : les voilà, leurs fameuses « valeurs républicaines » !
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Edwy Plenel agent de l'étranger ? C'est ce que François Mitterrand a confié à Roland Dumas
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C’est beau la démocratie.
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Une nouvelle preuve dans le dossier à charge Sarkozy: une carte de visite !
La chasse continue contre Sarkozy avec son lot de nouvelles quotidiens. C’est aujourd’hui l’Express qui nous livrerait des infos exclusives. Une carte de visite de l’ancien président de la République aurait été saisie lors de la perquisition effectuée le 4 mars au domicile parisien de Gilbert Azibert, haut magistrat de la Cour de cassation. Le numéro de portable de Nicolas Sarkozy figurerait sur cette carte. Du coup les juges en charge de l’enquête cherchent à savoir comment les deux hommes auraient pu être mis en relation. Si en soi elle pourrait se révéler être une preuve de plus dans le dossier, elle n’apporte rien de plus car quoi de plus banal qu’une carte de visite ! On attend du plus sérieux et du plus concret. Dans toute cette hystérisation, on ne sait même plus si on doit prendre cette affaire au sérieux !
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Gender – Le lobby LGBT forme les enseignants avec l’aval de l’Inspection de l’éducation nationale
Civitas a transmis à notre rédaction un courrier daté du 7 février 2014, adressé aux chefs d’établissement scolaire par Alain Brélivet, « référent de la mission égalité filles-garçons » pour l’académie de Créteil.
Ce courrier est à en-tête officiel. Alain Brélivet agit en tant qu’Inspecteur de l’éducation nationale. Dans le cadre de « la mission égalité filles-garçons » du plan académique de formation, Alain Brélivet présentait le programme d’une journée de conférences organisée le 11 mars au Centre départemental de documentation pédagogique du Val-de-Marne et remerciait les chefs d’établissement scolaire de procéder à l’inscription des personnels intéressés.
Le programme de la journée ?
Le matin était consacré au thème « Masculin / féminin : l’approche de la psychanalyse. Le sujet était confié à Fanny Dargent (psychanalyste, maîtresse de conférences), ainsi qu’à Laurie Laufer que l’inspection de l’éducation nationale nous présente sobrement comme « psychanalyste, professeure (université Paris 7 Denis Diderot) ». C’est faire l’impasse sur un « détail » qui a toute son importance : Laurie Laufer est aussi présidente du « Comité scientifique » de l’Institut Emilie du Châtelet qui agit « pour le développement et la diffusion des recherches sur les femmes, le sexe et le genre ». Le « Centre de Recherches Psychanalyse, Médecine et Société » de l’Université Paris Diderot confirme d’ailleurs que le principal thème de recherches de Laurie Lauffer est : « genre, sexualité, psychanalyse ». Bref, on touche ici un nid d’idéologues de la théorie du genre.
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Le conflit ouvert par la gauche sur le mariage a laissé une trace durable
Jean-Marie Guénois réagit au sondage publié hier par La Croix :
"La question du mariage homosexuel a probablement pesé dans le choix électoral municipal de «catholiques pratiquants» selon un sondage Harris-Interactive publié mardi par La Croix. Prudence toutefois dans l'analyse car il s'agit d'un scrutin local et d'un sondage «sortie des urnes» mais une tendance semble se dessiner nettement: alors que la question du mariage homosexuel a été jugée «très importante» ou «importante» pour 37 % des Français, les prises de positions des candidats sur ce thème l'ont été de la même façon pour 42 % des catholiques pratiquants réguliers dans ce scrutin.
[...] Cette question pourrait a fortiori ne concerner que moins de 10 % de la population, voire 5 %... C'est-à-dire les plus convaincus, les pratiquants de tous les dimanches car les sondeurs retiennent «pratiquant régulier» celui qui va à la messe une fois par mois. Or, même avec toutes les marges d'erreur, ces chiffres - 37 % des Français et 42 % des catholiques pratiquants réguliers - prouvent que la question du mariage homosexuel est désormais jugée suffisamment sérieuse pour s'inviter, parmi d'autres et pour longtemps, dans la liste des critères de choix d'un nombre très significatif d'électeurs."
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Sciences-Po : tremplin pour la propagande LGBT
PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation)
Hier s’est ouverte à Sciences-Po pour la cinquième année consécutive la Queer Week. Se définissent comme Queer des personnes qui refusent d’être déterminées par leur sexe (homme ou femme) ou leurs pratiques sexuelles. L’école qui forme ceux qui se considèrent comme l’élite de la nation, se met donc concrètement aux couleurs du lobby LGBTIQ, Lesbien-Gay-Bisexuel-Transsexuel-Intersexué-Queer pendant une semaine.Au programme : militantisme homosexuel et transsexuel, diffusions de films à thèmes, pornographie, et même pour les plus aventureux, des ateliers en groupe. Les participants pourront assister à des conférences sur des thèmes divers, comme « les plaisirs de l’éco-sex » ou encore « l’histoire des objets de plaisir ». Les ateliers ne manquent pas non plus d’imagination, en témoigne leur thème : écrire son scénario sexuel, se réapproprier son corps trans par les trans eux‑mêmes, massage et jeux de corde. Une performance est également programmée dans les jardins de Sciences-Po, consacrée au rituel d’activation de fétiches. Tout un programme…
L’idéologie du genre a donc de beaux jours devant elle, à n’en pas douter.
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Quelle évolution pour la théorie du genre
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Avignon : Olivier Py fait des menaces en l'air
Si le Front national l’emporte au deuxième tour des municipales à Avignon, le festival n’aura «aucune autre solution» que de «partir», a affirmé son directeur, Olivier Py :
« Je ne me vois pas travaillant avec une mairie Front national. Cela me semble tout à fait inimaginable. Donc je pense qu’il faudrait partir. Il n’y aurait aucune autre solution. »
« Je ne vois pas comment, d’ailleurs, le festival pourrait vivre, défendre ses idées qui sont des idées d’ouverture, d’accueil de l’autre. Je ne vois pas comment le festival pourrait vivre à Avignon avec une mairie Front national, ça me semble inimaginable ».
Réaction de notre correspondant local, Elie Sab, qui avait rendu compte du prochain Festival d'Avignon :
"Mais, Olivier, depuis quand les fonctionnaires de l'Etat -et qui plus est fonctionnaires de la culture- démissionnent-ils parce que le chef change...? Mais bon, tout le monde sait que toutes tes phrases ce n'est que du vent ! Sans doute ces élections seront-elles le prétexte pour toi en mal d'idoles à abattre, de t'auto-programmer un 5e spectacle "Révolte des narcissiques en mal de liberté absolue" en digne héritier de la génération 68 qui a évincé Villar lui-même du festival le traitant de Salazar !
Olivier, qui n'est en fait qu'un petit fonctionnaire sait très bien que le festival ne partira pas, et aussi que pour rien au monde il ne laissera sa place ! Quand on est fonctionnaire -et à cette place sans avoir vraiment fait ses preuves sinon par une certaines quantités de commandes de gros oligarques d'une certaine idée de la culture- on ne laisse pas sa place.
Mais Olivier ne dit pas une chose, c'est que le Festival In -financé par l'Etat- risque d'être remis en cause cette année par les intermittents du spectacle ! Nos chers 'fonctionnaires officiels de la culture' sont plus virulents que les grévistes de chez Renault ou de Florange. Car eux bossent moins, et pour rien au monde ils ne se remettront à bosser. Parce que d'abord ils n'en sont plus capables... contrairement au off ne vit sans aucune aide de l'Etat. Décidément, ce n'est n'est pas celui qu'on nous avait annoncé, mais le changement c'est bien maintenant !"
Finalement, interrogé par le Figaro, Olivier Py assure que la manifestation aura lieu de toute manière cet été. Et si le FN est élu, il annonce «sa démission ultérieure». Le voilà crédible...
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Les menaces du PS
Le patron des députés socialistes, Bruno Le Roux, s'est fait menaçant :
"Nous appelons à ce qu'il n'y ait aucun maire Front national demain, de maire supplémentaire, parce que ce sera des larmes pour les habitants de ces communes, parce que l'expérience l'a déjà prouvé".
L'expérience a prouvé en effet que les socialistes se muent en parti totalitaire et utilisent les structures étatiques (communauté de communes, cantons, conseils général et régional...) pour mettre des batons dans les roues des municipalités qui ne leur plaisent pas.
Le ministre de la Culture Aurélie Filippetti a lancé lundi un "appel à la vigilance contre la censure" dans les bibliothèques des villes où le Front national l'emporterait.
"Du point de vue de la culture, c'est extrêmement inquiétant car nous avons pu voir dans un passé récent, dans les villes gérées par le FN, des atteintes à la liberté vis-à-vis des institutions culturelles, dont les bibliothèques".
Sic. Comme nous l'avons montré récemment à propos des ouvrages de propagande en faveur de l'idéologie du genre, l'intelligentsia de gauche utilise les bibliothèques municipales pour diffuser son idéologie et pervertir les intelligences. Allez chercher les ouvrages d'Eric Zemmour et ceux de Caroline Fourest dans vos bibliothèques, et vous découvrirez qui fait régner la censure.
Le parti extrémiste n'est pas celui qui est désigné ainsi.