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Les vidéos info - Pollution : Hidalgo accuse les écologistes parisiens d’avoir voté l’achat de bus diesel
La candidate PS à la mairie de Paris a accusé ce dimanche Pierre Serne, vice-président EELV du Syndicat des transports d'Ile-de-France, d’avoir voté une commande de bus diesel. Il a démenti ces accusations et m... Lire la suite » -
Bordeaux : Alain Juppé à la remorque des lobbys
Alain Juppé, maire sortant de Bordeaux, a placé sur sa liste, juste après l'un des fondateurs du centre LGBT de Bordeaux, l'un des ex membres de LMPT 33. Tout en affirmant que lui même rejette l'idéologie du genre, il fait la promotion dans son journal municipal de cette pseudo-égalité homme femme (N°412 - Mars 2014) dans lequel on apprend :
Que le combat doit continuer pour "l'égalité homme/femme"
- Que des associations formidables ayant tout le soutien de la mairie "multiplient les ateliers ou les actions de sensibilisation pour l'égalité des genres" (Page 25)
- Que les impôts vont servir à entretenir un programme de manifestations intitulées "Bordeaux pour l'égalité" avec les dites associations;
- Que ces associations sont, entre autres, le planning familial et ni putes, ni soumises
- Qu'il est question qu'elles interviennent dans les bibliothèques et les écoles
- Que la ville de Bordeaux, à défaut d'avoir ratifiée la charte de la manif pour tous, à ratifié "la charte européenne pour l'égalité homme/femme dans la vie locale".
Dans son éditorial, Alain Juppé considère l'avortement comme un jalon fondamental dans le combat pour "l'égalité" à mettre au même rang que le droit de vote !
Les lecteurs pourront ensuite participer à la visite du "Bordeaux Gay" comme les y incite, le même journal en page 53. -
À quelques jours du scrutin municipal
On pourrait presque admirer la manière dont Hollande, qui, n'en doutons pas, surveille tout, parvient encore à déjouer le mépris et le discrédit qu'il mérite. Les sondages d'opinion le soulignent : le rejet du personnage présidentiel dépasse aujourd'hui plus de 80 % des Français consultés.
Et cependant, si j'observe la carte prévisionnelle des villes de France que publie à l'avance "Le Monde", les taches rouges l'emportent largement sur les points bleus. Heureuse la droite, si elle conserve Marseille, et si elle parvient à l'emporter dans quelques sous-préfectures.
À Paris, au point de bassesse et de sectarisme où est tombée sa propre campagne, Mme Kosciusko-Morizet se verra bien en peine de gagner dans le 14e arrondissement sur lequel elle a jeté son dévolu. On éprouve d'ailleurs les plus grandes difficultés à comprendre ce qui la distingue de l'équipe sortante. Votre chroniqueur préféré ne cherchera certes pas à démêler leur querelle de chiffonnières : il votera, selon ce que lui dicte sa conscience : contre Hollande, sans phrases.
Tout, dans ce pays, remonte en effet aux réseaux commandés depuis l'Élysée. On connaît la plus grande ruse du diable : elle consiste à nous convaincre qu'il n'existe pas. La tactique présidentielle repose sur cette logique. Ce ne sont même pas les ministres les plus hollandais qui montent le plus au créneau. Quand ils lâchent une bonne grosse bourde, comme le Sapin sur Europe n°1 le 14 mars qui déclare : "On va continuer à s'occuper des enquêtes de Nicolas Sarkozy."… le même personnage peut rectifier le tir en toute impunité : "Enfin, ... les juges vont continuer à s'occuper des enquêtes de Nicolas Sarkozy". N'entend-on pas ici la voix de son maître qui aurait déclaré "surveiller" l'ancien président, ce que dément "Le Monde", mais ce que confirment les faits. Avoir confiance dans l'indépendance de "la justice", – un nom bien pompeux et bien abstrait pour désigner la magistrature syndiquée – relève dans ce pauvre pays de la naïveté des républicains.
Fidèle du chef de l'État depuis sa jeunesse le ministre du Travail partage avec lui la même fumisterie, sous son apparence de sérieux, quant aux tâches qui lui incombent en théorie : si le chômage progresse et si l'emploi recule on développe un rideau de fumée pour en dissimuler l'évidence, pourtant criarde. Or, en additionnant les différentes catégories de chômeurs recensés on découvre que les nombre de Français désireux de travailler et qui ne trouvent pas d'embauche atteint environ 5,6 millions. Chaque instant passé à surveiller l'opposition ne pollue pas seulement la vie civique, il insulte à ceux qui cherchent vainement un emploi.
Beaucoup de choses devaient changer en 2012. Tombé entre les mains des sournois intrigants que nous voyons à la manœuvre, le nouveau pouvoir s'est contenté de détricoter les œuvres positives de ses prédécesseurs.
On entend en effet beaucoup de sornettes à propos des "réformes". Certes la France officielle souffre dramatiquement de refuser de voir et d'oser les évolutions nécessaires. La république s'est affublée d'une classe politique et technocratique incapable d'imaginer d'autre recours que celle d'impudents mensonges supposés dissimuler les problèmes que, pourtant, les citoyens n'ignorent pas. Nos maîtres craignent tant l'impopularité qu'ils en suscitent ainsi l'aggravation.
Ceci vaut, certes, pour toutes les composantes de l'édifice.
On doit cependant accorder la palme de la nullité à l'homme de l'Élysée. Tenant du titre, il exerce son seul vrai talent : celui de se dissimuler sous sa fausse insignifiance rigolarde. "Plus bas que l'herbe, plus silencieux que l'eau" dit le proverbe russe.
En deux années de sa présidence, deux années du cabinet de son majordome, deux années de la majorité parlementaire de ses chevau-légers, appelez cela comme vous voulez, importez au besoin des contresens américains comme administration, des concepts mondialistes comme gouvernance ou d'autres hyperboles creuses, rien de sérieux n'a été accompli par les autorités de Paris.
Les partenaires de la France s'en inquiètent, la Cour n'en a cure.
Ne nous méprenons pas non plus sur le mot "réforme." Si l'on appelle "réforme" n'importe quelle loi nouvelle, on doit malheureusement convenir que, depuis 2012, beaucoup de novations catastrophiques ont été impulsées par le nouveau pouvoir.
Par exemple le parlement a adopté des textes relatifs au logement, à l'urbanisme, etc. Le 20 février, en dernière lecture le Sénat a adopté un texte "Alur" se réclamant pompeusement de l’accès au logement et un urbanisme rénové. Les fiscalistes et les publicitaires l'appellent pompeusement déjà loi Duflot. À défaut de donner son nom patronymique à une rose sans épines, la patronne des verts a fait voter ainsi un texte de plus de 300 pages. Mais de progrès réel dans le domaine qu'elle est supposée gérer, point : 332 000 logements neufs ont été mis en chantier en 2013, contre 346 000 en 2012 ce qui représente un recul de 4,2 %. Et les prévisions pour 2014 sont encore en recul : cette promesse-là sera tenue.
Idem dans le ferroviaire. En même temps que le projet Duflot, prétendant mobiliser les terrains semi-publics pour relancer la construction, – ce qui l'a ralentie – on annonçait à l'automne 2012, une soi-disant "réunification de la famille ferroviaire" pensée par le camarade Cuvillier. Cette grosse baudruche est demeurée au point mort. En fait de réforme française dont la CGT ne voulait pas, les défenseurs du monopole sont juste parvenus à différer au niveau européen l'ouverture du rail à la concurrence, le temps pour les autres de s'y préparer, le temps pour les Français de patauger un peu plus dans leurs archaïsmes.
Certes donc il existe des similitudes entre le régime actuel et ceux qui l'ont précédé dans l'effondrement : les derniers gouvernements de la Troisième république, la Régence de 1715 ou le Second empire finissant.
Mais c'est franchement faire trop de courbettes à M. Hollande que de le comparer à Louis XVI. L'imagine-t-on, un seul instant, sur l'échafaud, faisant preuve du courage, de la grandeur d'âme et de la dignité de ce malheureux roi ?
JG Malliarakis
http://www.insolent.fr/2014/03/a-quelques-jours-du-scrutin-municipal.html
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Face à Michel Onfray, les idéologues du gender sont perdus
La chronique de Michel Onfray sur le genre a été suivi d'un silence assourdissant des médias : 15 jours et aucun article dans les médias qui "comptent".
Coup sur coup les Inrocks et Libé ont fini par publier un article pour riposter au pavé dans la mare du philosophe athée. Le niveau des arguments est révélateur. France Culture a invité un idéologue du sujet et une transexuelle. Le débat, ce n'est pas pour maintenant.
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L’enseignement catholique contre la théorie du genre
L’Editorial de Pascal Balmand
« Dans la conversion et le calme [est] votre salut, dans la sérénité et la confiance [est] votre force » (Isaïe, 30,15)
"La collaboration confiante entre école et famille au sein de la communauté éducative doit protéger les élèves de toute instrumentalisation.
Depuis 2011, la question de l’éventuelle introduction dans les programmes scolaires de ce que d’aucuns appellent désormais la « théorie du genre » fait l’objet d’une mobilisation qui s’est accrue ces derniers mois. Pour notre part, nous considérons que les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants. C’est pourquoi nous nous efforçons de promouvoir une collaboration confiante entre les familles et l’école. Pour cette même raison, nous sommes opposés à toute instrumentalisation des enfants et des jeunes, aussi bien par l’institution scolaire que par qui que ce soit.
La défense de l’égale dignité de toute personne humaine et le respect de l’altérité conduisent à refuser tout recours idéologique à une « théorie » du genre.
Nous sommes habités par une vision chrétienne de la personne humaine, fondée sur l’égale dignité de tous, hommes et femmes. À ce titre, nous nous engageons dans une éducation au respect, à la fraternité et à l’amour, comme dans la lutte contre toute forme de discrimination, dès lors qu’elle s’inscrit dans une prise en compte de l’altérité. C’est pourquoi nous n’adhérons pas aux approches qui, en occultant toute forme de différenciation sexuée, transforment les études sur le genre en une idéologie. Du point de vue de la raison, ces approches doivent être soumises à la démarche scientifique comme à l’interrogation anthropologique et éthique. Elles n’ont donc pas à trouver place à l’école en tant que pré- supposé incontestable, et encore moins en tant que « norme » à diffuser ou à imposer.
Notre projet éducatif est mis en œuvre, dans les établissements, par des équipes responsables. [...]
La suite ici
http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-enseignement-catholique-contre
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[Communiqué] Manifestation pour les libertés mardi 18 mars à 19h30 place du Trocadéro !
Le CARP (Collectif des Avocats contre la Répression Policière) et Solidarité pour Tous organisent une manifestation de défense des libertés publiques mardi 18 mars à 19h30 place du Trocadero à Paris, en soutien à :
Maxime, opposant à la loi Taubira condamné le 11 mars 2014 à 18 mois de prison de 6 mois fermes à la suite de sa participation à une manifestation à Lyon en 2013,
Anna, étudiante persécutée par la police pour l’obliger à espionner la manif pour tous contre sa volonté,
Hervil, poursuivi pour avoir brandi une banderole « Hollande démission », Guillaume, directeur de la rédaction du Salon Beige, mis en examen pour avoir publié un photomontage critiquant la répression policière en 2013,
et 3 manifestants arrêtés le 26 mai 2013, qui viennent de se voir mis en examen près d’un an après leur participation à la manifestation du 26 mai 2013 aux Invalides. Rejoignez l’évènement Facebook ici : https://www.facebook.com/events/533...
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Ce que révèle l'affaire Copé (rediff)
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Patrick Buisson n’est ni « intellectuel », ni « maurrassien »
L’expression est évidemment plus plaisante qu’« ancien responsable de Minute ». Mais elle ne reflète pas la pensée du conseiller de Nicolas Sarkozy et cache le fait qu’il n’a fait que conduire la droite au suicide électoral.
« Intellectuel maurrassien » : cette formule a été massivement utilisée pour définir Patrick Buisson, l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy aujourd’hui pris dans l’affaire de ses écoutes. Elle n’est pourtant guère exacte, ni guère intelligible tant la personne de Charles Maurras demeure méconnue du grand public.
Cela n’était d’ailleurs pas pour desservir Patrick Buisson : la préciosité de l’adjectif « maurrassien » lui donne un vernis de philosophie politique bien plus porteur en termes d’ostentation de capital culturel que celle d’« ancien responsable de Minute », nettement plus délicate pour les dîners en ville. La transgression dandy consistant à afficher une étiquette, certes sulfureuse, mais complexe et méconnue, produisait une insertion sociale dans les droites en recomposition.
Reprenons : qui fut Charles Maurras ?
Né en 1868, il est le penseur du « nationalisme intégral ». Il est le maître à penser du journal et de la ligue d’Action française. Son influence dépasse le cadre de l’extrême droite hexagonale, Maurras étant bien connu de nationalistes espagnols, belges, sud-américains, etc. Selon lui, la République aurait instauré un « pays légal » (la représentation nationale) totalement déconnecté du « pays réel ».
Charles Maurras et le nationalisme intégral
Pour que le pays légal corresponde au réel, Maurras prône le retour à la monarchie héréditaire et aux traditions. Sa démarche n’est pas sentimentale comme chez les royalistes qui le précèdent : c’est un positiviste agnostique qui se réclame de l’« empirisme organisateur ». [...]
La suite sur Slate.fr
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Ecoutes : François Hollande n'a pas encore fui, mais il aurait fuité
Le JDD laisse entendre que le chef de l'Etat pourrait, ni plus, ni moins, être à l'origine des fuites dans la presse concernant les conversations échangées entre Nicolas Sarkozy et son avocat :
"François Hollande a-t-il joué un rôle dans les fuites de l’affaire Sarkozy ? Depuis le 7 mars et la divulgation par Le Monde de l’affaire des écoutes, plusieurs proches de l’ancien président accusent clairement son successeur "d’être à la manœuvre". Officiellement, le chef de l’Etat n’a joué aucun rôle dans l’affaire. L’Elysée assure depuis une semaine que le président n’a été "mis au courant des grandes lignes que le 4 mars, le jour des perquisitions chez Thierry Herzog. Et a appris seulement à la lecture du Monde le détail des écoutes".
Pourtant, selon l’emploi du temps dressé par le secrétariat particulier du président de la République, un agenda confidentiel dont le JDD a eu connaissance à la journée du 7 mars, François Hollande, à 19 heures ce jour-là, reçoit en audience privée les deux journalistes du Monde auteurs de l’article mettant en cause Sarkozy et son avocat. Interrogé samedi par le JDD, le Président confirme l’existence de cette rencontre et affirme "rencontrer ces deux journalistes dans le cadre d’un livre"…
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À 10 jours du scrutin, 1 Français sur 3 les croit tous pourris !
Abstention massive ou explosion du vote blanc ? Si rien de tout cela ne devait se réaliser, il y aurait tout de même de quoi être perplexe…
Les gouvernements successifs ne cessent d’expliquer aux Français qu’ils ont la plus belle des démocraties que le monde entier est censé nous envier et ils sont 69 %, dans un sondage BVA commandé par i>Télé-CQFD et Le Parisien-Aujourd’hui, à estimer que « les personnalités politiques sont le plus souvent corrompues. »
Selon l’AFP : « Pour 69 % des personnes interrogées, le type d’affaires judiciaires impliquant des personnalités politiques relayées dans les médias durant ces dernières semaines , est bien le signe que les personnalités politiques sont le plus souvent corrompues , 29 % considérant qu’elles ne représentent que des cas isolés, la majorité des personnalités politiques étant intègres, et 2 % ne se prononçant pas. »