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Emmanuel Macron et son gouvernement ont, dans leur genre, une forme de génie. Dans la tracasserie administrative et les privations de libertés, les derniers Présidents avaient repoussé loin les limites. Mais on change désormais de catégorie, comme le montre Georges Michel avec cette nouvelle très macronienne : « Après le permis de louer, bientôt un contrôle technique du logement ».« Un député Renaissance a déposé, le 10 mai dernier, une proposition de loi visant à instituer un contrôle technique obligatoire des biens immobiliers », explique-t-il.
Aux quatre coins du monde, le très populaire président ukrainien Zelensky collecte inlassablement des armes, et de l'argent par milliards.
De-puis son passé de "clown corrompu" et de "pianiste du zizi", l'acteur Zelensky connaît une ascension sans précédent sur les grandes scènes du monde.
Un coup d'œil dans les coulisses permet de révéler un président fantoche !
M. Charles de Courson est de toute évidence l’homme de l’heure, l’homme de la situation présente. Il est l’un de ceux qui ont dénoncé avec le plus de fermeté l’imposture des « 64 ans ». Le choix de la vérité et l’absence d’esbroufe et d’obséquiosité, le refus de la courtisanerie qui le caractérisent apportent une bouffée d’oxygène dans l’étouffoir politique actuel. Entré en dissidence contre les magouilles destinées à bâillonner la représentation parlementaire (article 47, 40, 49-3, de nouveau article 40), il parle de l’urgence de contrer une « dérive autoritaire« . Mais est-ce vraiment la meilleure formule? L’autorité, d’où dérive le mot autoritaire, peut être une valeur positive. En effet elle suppose une adhésion, en accord dans les profondeur du pays. L’autorité n’est jamais jupitérienne, verticale ou à sens unique. Elle n’existe pas sans la confiance. Autorité et confiance sont comme les deux faces d’une pièce de monnaie. [Je te suis et non je t’obéis, parce que je te fais confiance]. La société actuelle a besoin d’autorité – impliquant la confiance – et non d’autocratie. Or ce qui se passe aujourd’hui ne relève pas de l’autorité, mais d’autre chose: autoritarisme, autocratie sont des mots mieux adaptés. Une caste de petits marquis hors sol, ivres d’eux-mêmes, qui s’estiment (à tort) plus intelligents et plus éclairés que les autres, détenteurs du savoir et de la lumière, prétend soumettre une Nation, un peuple en lui imposant et en trichant des normes qu’il refuse à 80 ou 90%. Il ne les refuse pas par paresse ou par refus de l’effort, comme le prétendent les petits marquis – dont beaucoup n’ont jamais travaillé -, mais parce qu’il les juge inefficaces, inutiles et injustes – avec raison. La logique de ce processus est tout le contraire de l’autorité – supposant la confiance. Elle relève de l’autoritarisme absurde ou de l’autocratie débile qui conduit à la désintégration et au désastre.
Cette semaine, Marc Baudriller reçoit "Dans votre salon" Charles Prats. Vice-président chargé des fonctions de juge des libertés et de la détention au tribunal judiciaire de Paris de 2017 à 2023 puis au tribunal d'Orléans à compter d'avril 2023, il a été, de 2008 à 2012, membre de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude. Il intervient régulièrement dans le débat public sur la question de la fraude sociale. Sur Boulevard Voltaire, il réagit aux annonces de Gabriel Attal sur la lutte contre la fraude fiscale. Pour lui, ce sont des "mesurettes" et il enfonce le clou : « Le principal problème, c’est 75.300.000 d’assurés sociaux pris en charge pour 67 millions d’habitants. »
Le tribunal administratif de Lille a condamné l'État à à une amende de 3000 euros pour avoir créé un fichier contenant les informations personnelles des manifestants placés en garde à vue lors des protestations contre la réforme des retraites. Le tribunal a également ordonné au Garde des Sceaux et au parquet de Lille d'effacer immédiatement toutes les données personnelles contenues dans ce fichier.
L'ancien ministre de la Culture de Nicolas Sarkozy, Frédéric Mitterrand, était l'invité de Sonia Mabrouk, ce 18 mai, sur Europe 1. C'est toujours intéressant, d'entendre d'anciens ministres vous dire les choses avec bien plus de sincérité que lorsqu'ils étaient en fonction. On est content d'entendre un peu l'envers du décor, et on a "en même temps" l'impression rétrospective d'avoir été pris pour un imbécile. Rien de tel, disons-le tout net, dans les propos de Frédéric Mitterrand, qui n'a pas le cynisme de certains de ses anciens collègues.
Agustín Laje est diplômé en sciences politiques de l’université catholique de Córdoba (Argentine). Fondateur et directeur de la Fundación Centro de Estudios LIBRE, il est chroniqueur dans différents médias et auteur des livres “Los mitos setentistas” (2011), “Cuando el relato es una Farsa” (2013), “El libro negro de la Nueva Izquierda” (2016), coécrit avec Nicolás Márquez, et “La batalla cultural. Reflexiones para una Nueva Derecha” (2022).
Notre confrère Álvaro Peñas (deliberatio.eu, The European conservative) s’est entretenu avec lui au sujet de son dernier livre, “Generación idiota: Una crítica al adolescentcentrismo”.
Generación Idiota souligne le chemin parcouru par de nombreuses sociétés occidentales, malades du wokisme, vers la “société adolescente”. En plus d’être idiote, peut-on parler d’une génération perdue ?
Dans la perspective des prochaines joutes dans le feuilleton des retraites, le parti présidentiel agite un argument nouveau. Il sera invoqué en Commission des finances le 31 mai, en Séance Plénière le 8 juin. Il menace d'enrayer la démarche de Charles de Courson et du groupe "LIOT" tendant à abroger la prétendue "réforme".
Une partie de l'opinion, on le mesure chaque jour, y compris au gré de manifestations incroyablement haineuses n'accepte pas, en effet, la promulgation de la loi de financement de la sécurité sociale signée par Emmanuel Macron le 14 avril.
Versements indus et prestations “non versées à tort”: la branche famille de la Sécu a passé près de six milliards d’euros par pertes et profits en 2022, selon la Cour des comptes, qui a refusé mardi de certifier le dernier exercice.