Ce qui est particulièrement frappant est le cas du spectacle de l’entente cordiale entre les jadis puissances coloniales britannique et française qu’un perspicace commentateur appelle «la douleur fantôme des empires perdus»… oui mais jusqu’où tout cela nous mène ? Cela dit tout ce qui reste du système en train de mourir est à l’œuvre y compris dans le nouveau, ce qui cherche la voie du socialisme, tout dépend désormais de cela y compris en Russie.
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Chéri fais-moi peur !
Le billet de Patrick Parment
Alors que les finances publiques sont dans le rouge – c’est le moins qu’on puisse dire - et que le camarade Bayrou cherche à faire, au bas mot, 40 milliards d’euros, d’économie, le sieur Macron, dans son discours aux armées, annonce tout de go que le budget des armées devraient être porté à 60 milliards d’euros d’ici la fin de son quinquennat. Pour la bonne raison que jamais, au grand jamais, depuis la Seconde Guerre mondiale le risque de guerre n’a été aussi grand. Et de cibler en tout premier lieu la Russie de ce fort vilain monsieur Poutine. Il semble oublier que les Américains ont bombardé la Serbie en 1999, via l’Otan et sans aucun mandat onusien. Et qu’ils fournissent toujours du matériel à l’Ukraine dans sa lutte contre les troupes russes. Autre motif d’inquiétude, les événements du Moyen-Orient qui ne sont pas sans conséquences sur les populations immigrés de confession musulmane.
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Les 150 000 demandeurs d’asile ont encore droit à leur Carte bleue
Bien sûr « Terre d’asile » joue sur les mots, pourtant « Infos migrants » confirme ! (*)
Une chose est certaine, à propos de ce gouvernement d’ignares, c’est qu’en dehors du mensonge qu’ils manient à merveille pour nous manipuler, ils sont également très fortiches pour cumuler les scandales, y compris en pleine pandémie, persuadés qu’il suffira de sortir la loi « auto-amnistiante » qu’ils sont en train de mitonner, pour se laver de toutes responsabilités !
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Allocution présidentielle aux armées : il faut sauver le soldat Macron
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France. Une République contre son peuple
La France est un curieux pays. Les visiteurs nord-américains le remarquent très vite, souvent sans oser le dire : ici, les maisons n’affichent pas le drapeau national. Pas plus que les voitures, ni les commerces, ni les stades. Ce silence des façades frappe ceux qui viennent de pays où l’attachement à la bannière est naturel, quotidien, presque familial. En France, le tricolore est rare, réservé aux bâtiments officiels, aux enterrements militaires ou aux soirs de Coupe du monde, quand la République permet encore qu’on célèbre ce qu’elle détruit par ailleurs.
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Paris XIVe : un homme agressé au couteau dans un bus de nuit parce qu’il n’avait pas de briquet sur lui
Dans la nuit de samedi à dimanche, vers 4 h 30, un jeune homme voit enfin arriver son bus de nuit. Alors qu’il s’apprête à monter, un autre homme l’aborde et lui aurait demandé un briquet. Le premier passager aurait répondu qu’il n’en avait pas, avant de tenter d’aller s’asseoir. Mais l’autre passager, qui « voulait du feu », s’emporte.
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Alex Krainer : Poutine lâche la bombe sur la stratégie de Trump !
Comment peut-on comprendre ce qui se passe aux États-Unis en ce moment ?
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Vers la spoliation des mètres carrés habitables…
Une récente enquête de l’INSEE vient de dévoiler que 90% des propriétaires jouissaient d’un espace largement supérieur à leurs besoins. L’idée même que l’on puisse s’intéresser à cette sphère de notre vie privée est déjà une curiosité, comme si d’autres sujets plus « prioritaires » n’étaient pas en manque de statistiques. Mais il faut bien occuper les agents de cet institut. Sur quelle base ont-ils construit leur étude ? Quel a bien pu être l’étalon pour déterminer le nombre de mètres carrés au-delà desquels on est en richesse de superficie ? Qui cela gêne-t-il vraiment, sachant que les commanditaires sont ceux qui voyagent en jet privé, qui ont des manoirs ou des propriétés vides de leur présence les trois quarts de l’année ? Oui vous l’aurez compris, la restriction de l’espace de vie c’est comme les efforts budgétaires, cela s’adresse invariablement à la même catégorie d’individus. Ceux qu’on appelle depuis peu et avec raison : les gueux. Y aurait-il un code de l’occupation de l’espace habitable en préparation et quels en seraient les fondements ? Pourquoi montrer du doigt quelque chose qui parait évident et qui n’est que la continuation de ce qui a toujours existé, à savoir qu’une habitation est conçue pour une famille avec deux, trois enfants ou plus et lorsqu’ils ont quitté le nid, les parents se retrouvent dans une maison grande et uniquement remplie de souvenirs.