RT – Pour lutter contre les variants du Covid-19, Bill Gates évoque la nécessité d’une troisième injection de dose de vaccin. Il estime en outre que des injections supplémentaires devront être faites dans le futur «tant que le virus sera là».
magouille et compagnie - Page 765
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Covid-19: Bill Gates pense qu’une troisième injection de vaccin pourrait être nécessaire face aux variants du virus
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Loi sur le séparatisme : Darmanin oublie qu’au-dessus de la République, il y a la France…
Ça y est enfin. Ce 16 février, le monticule a accouché du souriceau attendu, avec le vote de la loi sur le « séparatisme », adoptée à l’Assemblée nationale. Il s’agit, à l’évidence, d’une motion « Nègre-Blanc », tel qu’on disait aux grandes heures d’une très laïque Troisième République, pas particulièrement tendre vis-à-vis de la nécessaire assimilation « républicaine » des immigrés, fussent-ils de vieille souche européenne. D’ailleurs, les Françaises de l’époque n’avaient même pas le droit de vote. C’est dire si cette République aimait plus ses fils que ses filles, ses voisins que ses voisines, pour paraphraser un autre « républicain » : Jean-Marie Le Pen.
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Quand Zemmour accuse l’État d’«anarcho-tyrannie»
Quand l’État dissout Génération identitaire sans toucher à d’autres associations qui représentent une plus grande menace pour l’ordre public, Eric Zemmour, pour décrire la situation, a recours à un concept de la droite américaine. Analyse.
Quand j’ai dialogué, pour mon livre, Suprémacistes. L’enquête mondiale chez les gourous de la droite identitaire (Plon, 2020), avec des intellectuels de l’internationale blanche, surtout de « alt right », j’avais été frappé par leur capacité à inventer des mots qui font mouche. De fait si on regarde le langage politique actuel il est divisé en trois. D’abord, la langue médiatico-étatique, replète de « proximité », « dialogue » et « partenariat », la bouillie verbale servie par les DRH devenus politiciens.
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Darmanin, tartuffe de la lutte contre l’islamisme
Par Jacob Maxime, diplômé de science politique, Gilet jaune et coauteur avec Fiorina Lignier du livre Tir à vue
« L’islamisme que nous combattons n’a [pas de] religion » : cette phrase, prononcée par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, le 4 février 2021 sur Europe 1, suffit à comprendre qu’il n’a pas la volonté de s’attaquer à l’islamisme. Pour aller plus loin, l’Observatoire de l’islamisation a publié un article long et détaillé, intitulé « Lutte contre l’islamisme : les 7 péchés de Gérald Darmanin », qui démontre point par point que Darmanin ne souhaite pas nous débarrasser de la menace islamiste. Polémia vous produit ici un résumé de ce papier, mais n’hésitez pas, pour en savoir plus, à visiter le site de l’Observatoire de l’islamisation.
1) Pour commencer, Darmanin est dans la demi-mesure concernant les 4 100 étrangers fichés pour terrorisme présents en France, il ne souhaite pas tous les expulser. Il focalise son action uniquement sur une partie d’entre eux : les clandestins qui sont au nombre de 850, alors qu’il pourrait faire expulser cinq fois plus de personnes s’il visait tous les étrangers signalés.
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2022 : Vers un coup d’Etat électoral de Macron ? – JT du jeudi 18 février 2021
A la une de ce journal, le coup d’Etat électoral du gouvernement. En introduisant un amendement en faveur du vote anticipé et électronique, La République En Marche semble s’ouvrir la voie pour 2022.
Nous resterons ensuite dans le domaine de la sécurité informatique avec les “rançongiciel”, un phénomène de cybercriminalité qui explose et qui inquiète jusqu’au sommet de l’Etat.
Et puis nous partirons en Europe de l’Est. En Pologne, les citoyens redoublent d’ingéniosité pour échapper aux mesures liberticides de la crise sanitaire.
https://www.tvlibertes.com/2022-vers-un-coup-detat-electoral-de-macron-jt-du-jeudi-18-fevrier-2021
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Bigard sur Macron et son utilisation du protocole Raoult refusé aux Français
Sur base de ses entretiens téléphoniques avec Emmanuel Macron, Jean-Marie Bigard revient sur le moment où Emmanuel Macron a été affecté par le coronavirus et placé en quarantaine. Pour Bigard, cela ne fait aucun doute : Macron s’est soigné avec le protocole du Professeur Didier Raoult (hydroxychloroquine et azithromycine) qui a pourtant été rapidement inaccessible à la majorité des Français.
Et Bigard d’insister sur la responsabilité d’Agnès Buzyn “qui a du sang sur les mains“…
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Chasse internationale aux « complotistes »
Ils ne partagent pas l’avis général sur les processus thérapeutiques à mettre en œuvre contre le Covid. Leurs recherches médicales les met donc hors la loi : ce sont des complotistes ou des obscurantistes à bannir au sens propre du terme.
Il faut d’abord faire un constat : la censure que l'on rencontre de manière à peu près constante dans de très nombreux pays a les mêmes priorités, mais elle n'est pas un bloc. Elle vise le plus souvent la contestation des mesures anti-Covid, la dénonciation des dangers des vaccins développés à la hâte, la mise en cause des tests de contamination ou du calcul des morts liés au virus SARS-CoV2, la mise en avant de traitements prophylactiques ou thérapeutiques efficaces. Et sur un autre plan, la critique de l'utilisation politique de la pandémie à des fins idéologiques, telle la « grande réinitialisation » (Great Reset) pourtant clairement annoncée par des institutions internationales publiques et privées.
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Emmanuel Macron contre inconditionnels du confinement : 1 à 0
Dans les coulisses de l’Élysée envahies par les catastrophistes de tous poils, un homme résiste : Emmanuel Macron. À contre-courant des recommandations de l’armada de scientifiques et professeurs de son sérail personnel, il décidait, il y a trois semaines, de ne pas reconfiner le pays. D’un coup de poing rageur sur son bureau, il entrait en résistance. « Ici l’Élysée… Les carottes ne sont pas cuites. On les aura… » Sur des TSF, les complotistes recevaient le message 5 sur 5. Il était des leurs.
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Une dissolution stupide et scandaleuse
Dès le 26 janvier le Darmanin avait fait savoir, par le canal désormais habituel de son compte Twitter, qu'il avait demandé à ses services, de réunir les éléments qui permettraient de proposer la dissolution du mouvement Génération Identitaire.
Le 12 février, on apprenait que 4 [quatre] fonctionnaires du Ministère de l'Intérieur s'étaient rendus au domicile du président de GI. Ils ont officiellement notifié l’intention du gouvernement d’engager la dissolution de son association.
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Jean-Yves Camus: «La dangerosité de Génération identitaire n’est évidemment pas comparable à celle des islamistes radicaux», par Victor Rouart.
Des membres de génération identitaire en 2018 dans les alpes. ROMAIN LAFABREGUE/AFP
Le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin a engagé la procédure pour dissoudre génération identitaire. Pour Jean-Yves Camus, l’organisation ne peut être assimilée à une milice et sa dissolution ne peut avoir qu’un effet relatif qui ne mettra pas forcément fin à son action.
FIGAROVOX.-Gérald Darmanin a lancé une procédure de dissolution à l’encontre de génération identitaire. Cette procédure peut-t-elle aboutir d’un point de vue juridique?
Jean-Yves CAMUS.-Si la volonté politique est là, elle aboutira. L’intention de dissoudre ayant été notifiée, le ministre semble décidé. Ensuite, le décret en conseil des ministres qui avalisera la dissolution pourra être contesté au contentieux, devant le Conseil d’État.