Il y a quelques mois, Renaud Girard et Jean-Loup Bonnamy publiaient Quand la psychose fait dérailler le monde, un essai roboratif dont nous avions rendu compte dans ces colonnes. Ils expliquaient qu’une mise en perspective de la réalité de l’épidémie et un traitement rationnel de celle-ci comme problème de santé publique avaient été écartés par la volonté de masquer les carences de notre système de santé : à partir de là, c’est la peur qui domine, et la psychose, abondamment relayée par les médias, a fait dérailler le politique. Dénonçant cette mondialisation de la psychose, ils expliquaient fort justement que, basculant dans l’irrationnel dont la sacralisation du principe de précaution n’est qu’un variant, le politique avait viré à l’arbitraire et à l’absurde. Une sorte de fuite en avant qui avait fait de ce virus « un terroriste, c’est-à-dire un agent dont l’impact psychologique et sociétal dépasse de loin son impact physique ».
magouille et compagnie - Page 766
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Délations, explosion de haine entre Français : la psychose du Covid aggrave les fractures
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Graffitis près d'une mosquée à Rennes...
La réaction de Thomas Joly (Parti de la France) :
Quelques misérables tags sur la mosquée de Rennes et tout ce que la classe politique compte de lèche-babouches se précipite pour exprimer son émoi. Les mêmes qui ne pipent mot alors que chaque jour des églises sont vandalisées partout en France. Une sacrée bande d'hypocrites...
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L'Ena sur la sellette
Pour la plupart des observateurs, il semble assez clair, qu'en réitérant ce 8 avril son intention, déjà annoncée en 2019, de supprimer l'École nationale d'administration, dont il est issu, le président de la république se moque du monde.
Parmi tous les commentaires négatifs signalons ceux de Nicolas Beytout. Le directeur de l'Opinion a immédiatement consacré deux chroniques virulentes au même sujet : le 8 avril au soir, il écrit : "Supprimer l’Ena, une idée d’énarque" ; et le 9 avril il souligne, sur Europe N° 1, que "le problème ce n'est pas l'Ena, c'est l'État !"
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[vidéo] Florian Philippot – Covid-19 : Dernière étape avant Grand Reset ?
Après “L’Oligarchie démasquée“, Florian Philippot publie un nouvel ouvrage “Covid-19 : La grande Bascule” (disponible ici : https://les-patriotes.fr/livres/). Le président des Patriotes revient rapidement sur les décisions toutes plus liberticides les unes que les autres d’un gouvernement français incohérent qui glisse vers l’autoritarisme.
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Vaccins : une campagne à rebours de la science ? – JT du lundi 12 avril 2021
Au programme de cette édition, le gouvernement poursuit sa campagne vaccinale au mépris de plusieurs recommandations sanitaires. Des décisions qui inquiètent de plus en plus.
Il sera ensuite toujours question de campagne mais électorale, avec les scrutins départementaux et régionaux de juin. L’exécutif a fait mine de consulter les élus locaux vendredi soir à 19h… et défend à présent un report des élections !
Et puis, nous reviendrons sur l’affaire des repas clandestins. Une semaine après le reportage de M6, de nouveaux noms commencent à sortir et l’ancien ministre Brice Hortefeux est le premier à faire les frais de cette chasse aux sorcières.
https://www.tvlibertes.com/vaccins-une-campagne-a-rebours-de-la-science-jt-du-lundi-12-avril-2021
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Juste une mise au point Vaccins, réa, relance : un an après, tout ce qu’on ne vous a pas encore dit sur le Covid-19, par Natacha Polony.
Juste avant les dernières annonces d’Emmanuel Macron, une polémique naissait entre les médecins qui dénonçaient le scandale des réanimations saturées.
© Getty Images/Science Photo LibraEntre annonces hebdomadaires, tribunes contestataires, affirmations un jour contredites dès le lendemain, il y aura eu de quoi s'arracher les cheveux et se crêper le chignon entre amis. Aujourd'hui, Marianne remet les pendules à l'heure.
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Les questions que posent le départ de Brune Poirson et sa double nationalité à notre démocratie
Ainsi donc, Brune Poirson claque la porte de l’Assemblée nationale. Madame s’ennuie, sans doute. Mais elle continuera à naviguer dans les eaux macroniennes en demeurant responsable des relations internationales de LREM et, en tant qu’administratrice de la Fondation de la Mer, elle restera dans son élément favori : celui de la biodiversité marine, et donc de la transition écologique dont elle a été chargée, durant trois ans, comme secrétaire d’État.
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Tariq Ramadan, chanteur présumé, par Francis Bergeron
Il nous aura tout fait, ce grand esprit qu’adorait Edgar Morin, qu’adorait une certaine gauche française, jusqu’à ce qu’on apprenne… Nous avons eu droit à ses prêches islamistes, qui l’ont imposé flatteusement dans le paysage médiatique français. Nous avons eu ensuite les révélations sur ses agressions sexuelles multiples. Nous allons maintenant avoir droit au poète et au chanteur. Un degré de plus dans l’horreur !
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Gérald Darmanin se déplace pour des tags mais pas pour un Français égorgé
C’est le deux poids deux mesures habituel du petit télégraphiste du “en même temps macronien“. Gérald Darmanin veut se faire passer pour un nouveau Pasqua alors qu’il n’est qu’une pale copie de Nicolas Sarkozy, qui, selon les mots de Zemmour, “avait promis le karcher et on avait eu Kouchner” :
A Rennes, des inscriptions islamophobes ont été découvertes ce dimanche sur les murs du centre culturel islamique de la ville, qui sert notamment de salle de prière à des fidèles. Gérald Darmanin a annoncé sur Twitter qu’il se rendra sur place en fin de journée (…) -
Vers toujours plus de diversité
Franck Delétraz
Cette fois, c'est bien fini : après moult revirements et déclarations contradictoires, Macron a donc officiellement annoncé jeudi aux hauts cadres de la fonction publique réunis lors d'une « convention des manageurs de l'Etat » la suppression de la très prestigieuse Ecole nationale de l'administration créée en 1945 par le général De Gaulle, et son remplacement dès 2022 par un « Institut du Service public ». Une décision censée évidemment répondre aux nombreux contempteurs de cette école qui, non sans raison, lui reprochent sa déconnexion du peuple français, mais dont on aurait tort de croire qu'elle est seulement démagogique. Car, derrière la volonté affichée de produire des élites davantage au fait de la réalité quotidienne de nos compatriotes, l'objectif est d'abord et surtout de promouvoir la « diversité »dans les plus hautes sphères de l'administration et de !'Etat.