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Que l’État ait un sérieux problème avec l’existence d’un islamisme qui menace la paix publique et provoque la dissidence communautariste, qui pourrait le contester ? Le président de la République avait prononcé, en octobre dernier, un discours aux Mureaux, qui avait suscité un accord assez général, au moins sur les principes et les grandes lignes d’un programme pour lutter contre ce fléau.
De la création de « zones sans contrôles d’identité » proposée par Claire Hédon, le Défenseur des droits, à l’invitation par Emmanuel Macron d’Omar Sy au « Beauvau de la sécurité », il est permis de se demander où va s’arrêter cette campagne de provocations tous azimuts à l’égard des forces de l’ordre.
Il est vrai que c’est le chef de l’État lui-même qui a ouvert le bal, avec ses propos diffamatoires à l’égard des policiers et des gendarmes – une première sous la Ve République -, dénonçant, sur le média en ligne Brut, début décembre 2020, le supposé racisme régnant au sein de ces deux institutions.
Voilà un an que le monde vit sous les menaces du Covid-19. Entre les masques, les confinements, le couvre-feu, les vaccins et les variants, le tout sous le régime d’un état d’urgence sanitaire, les Français vivent au rythme des décisions politiques qui s’enchaînent, sans faire la preuve de leur efficacité, loin s’en faut. Mais l’heure de la transparence n’est pas pour tout de suite. En témoigne l’évaporation soudaine de la commission d’enquête parlementaire sur la gestion de la crise sanitaire.
A l’heure où le gouvernement français semble tout miser sur une stratégie vaccinale mal gérée, les pistes de traitements ont longtemps été mises de côté, à l’instar des potentielles séquelles chez les malades du Covid-19.
Député non inscrit, élu en 2017 avec l’étiquette de la majorité, Joachim Son-Forget est également médecin radiologue spécialiste de l’imagerie cérébrale. Il revient sur la gestion de la crise par l’exécutif et Emmanuel Macron. Sans langue de bois, ni manichéisme, il évoque l’opacité qui règne dans certaines instances de décisions et soulève de nombreuses questions sur la maladie elle-même. Une émission à regarder sans réflexes pavloviens, ni aprioris.
C’est une véritable dérive autoritaire dans laquelle vient de se lancer Gérald Darmanin en initiant une procédure de dissolution de génération identitaire. Il joue très gros dans cette opération contre la liberté d’expression et contre la démocratie. Veut-il faire oublier qu’il a qualifiée Marine Le Pen de « molle » par rapport à lui et à sa petite loi contre l’islamisme?
Où sont les journalistes et politiciens si prompts à dénoncer Poutine ? Génération identitaire a été relaxé des deux principales poursuites en justice qu’ils avaient subies (mosquée de Poitiers et Defend Europ). La procédure de dissolution, comme le procès de Marine Le Pen et de Gilbert Collard, sera une formidable tribune pour la défense de la liberté d’expression mais aussi pour dénoncer la dérive totalitaire du pouvoir macronien. Honneur à Gilles-William Goldanel qui a accepté de les défendre :
En cette sombre période pour les Français, assignés à domicile par la République tels des malfrats et où de nombreux Français se meurent des décisions du gouvernement, d’autres continuent de s’engraisser. En effet, depuis le mois de janvier dernier, les députés ont vu leur plafond de dotation matérielle passer de 18 950 à 21 700€ par an, soit une augmentation de 230€ par mois. Le gouvernement justifie cette mesure en avançant des arguments grotesques comme le prix des taxis et autres VTC, ou encore des frais de téléphonie. En octobre 2019, les indemnités logement des députés étaient déjà passées de 900 à 1200€ par mois tandis que notre pays subissait de plein fouet la crise sociale.
Mercredi après-midi, Marine Le Pen et Gilbert Collard étaient convoqués devant le tribunal correctionnel de Nanterre pour y répondre du chef d’accusation de « diffusion d’un message à caractère violent ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine », puni de trois ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. Une accusation totalement ubuesque quand on se souvient que les deux élus RN avaient précisément posté ces photos pour dénoncer les crimes de l’EI et en réponse à une comparaison ignoble faite par Jean-Jacques Bourdin entre le RN et Daesh. Mais, au-delà de son caractère absurde, cette affaire nous montre surtout comment le pouvoir en place, de façon ignominieuse, se permet d’utiliser une loi conçue pour lutter contre le prosélytisme islamiste pour tenter de réduire au silence son seul véritable adversaire politique.
Comme l’atteste un certain nombre de chroniqueurs sous les quolibets et cris de haine de la mouvance islamo-gauchiste, l’augmentation continue du nombre de migrants, dans des quartiers, des cités ou même des villes, est déterminant pour produire une rupture culturelle avec le pays d’accueil.
OJIM – Le quotidien Le Monde et ses Décodeurs (financés par Google) prétendent vérifier régulièrement les « intox », s’érigeant ainsi en tribunal de la vérité. Concrètement, les vérifications des Décodeurs servent souvent d’outil politique contre qui ne pense pas comme Le Monde. Illustration.
Le mardi 9 février 2021, Le Monde publie un article au sujet de Marine Le Pen dans sa rubrique « Les Décodeurs », officiellement outil de « vérification » des informations circulant dans le débat public. Il s’agirait de traquer les « intox ». La réalité est plus simple : les médias de grand chemin mènent la guerre libérale libertaire contre les dissidents. Il peut d’ailleurs arriver que « Les Décodeurs » deviennent l’arroseur arrosé.