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magouille et compagnie - Page 906

  • Le « progrès » sociétal, c’est le nihilisme en marche !

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    Dans le brouillard médiatique entretenu par la « terreur » du covid, la scène internationale braque ses projecteurs une fois de plus sur le proche-Orient si compliqué, au point que le président  a du mal à se faire entendre au Liban. Mais, pour compenser, selon son habitude, il écrase de son mépris les « Amish » et leurs lampes à huile face au progrès de la 5G. C’est cette notion de progrès qui est au coeur des contradictions suicidaires de notre pays. Il y a les partisans du « progrès » irréversible et généralisé, scientifique, technique, moral et sociétal. M. Macron en fait partie, avec une mince couche d’écologie électoraliste et démagogique, le tout enveloppé dans l’idée que les mesures opposées au réchauffement climatique, à l’épuisement des ressources naturelles et à l’appauvrissement de la biodiversité contribueront à l’innovation et à un retour de la croissance.

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  • Dette publique: comment les États sont devenus prisonniers des banques 3/4

    L'opinion publique en est consciente. D'ores et déjà, « les indices de confiance des ménages sont inférieurs à la moyenne historique dans tous les grands pays occidentaux sans exception » (4). Un sondage Ifop rendu public en juin 2011 par des économistes réunis sous la bannière du « Manifeste pour un débat sur le libre-échange » a révélé qu'une vaste majorité de Français sont désormais favorables au protectionnisme et parfaitement conscient des « méfaits de la mondialisation ». Plus de 70 % d'entre eux estiment que l'ouverture des frontières n'a eu que des conséquences négatives sur l'emploi (84 %), le niveau des salaires (78 %) et les déficits publics (73 %), 65 % se déclarent ouvertement favorables à une hausse des taxes douanières et ce, quelle que soit leur couleur politique (69 % à gauche, 72 % à droite, 69 % au Front national, 75 % à l'UMP !). L'affaire grecque est évidemment exemplaire de ce qui attend les Européens.

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  • “Plutôt Charlie ou Kouachi ?” : Plenel, Mélenchon et Ramadan épinglés en une de Charlie Hebdo

    La Une du prochain numéro de Charlie Hebdo moque avec malice l’ambiguïté de Jean-Luc Mélenchon, d’Edwy Plenel et de Tariq Ramadan vis-à-vis de l’islamisme radical.

    Ce mercredi 16 septembre sort le nouveau numéro du magazine Charlie Hebdo. L’occasion pour le journal satirique d’annoncer la couleur dès aujourd’hui en révélant mardi 15 septembre sa nouvelle une. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les dessinateurs ne déméritent pas contre l’islamisme radical et les figures médiatiques qui encouragent sa propagation, à l’instar du leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon, du co-fondateur de Mediapart Edwy Plenel et de la star déchue des plateaux télés prosélytes, Tariq Ramadan. On découvre leurs caricatures alignées, toujours en lien avec l’actualité.

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  • Sur Valeurs Actuelles, une écolo démonte “les idées à la con” des khmers verts.

    Chroniqueuse dans les Grandes Gueules et ancienne candidate écolo sur les listes de Cédric Villani, Isabelle Saporta a littéralement démonté “les idées à la con” des nouveaux maires écologistes, après plusieurs déclarations polémiques sur le Tour de France et les arbres de Noël.


    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/09/17/sur-valeurs-actuelles-une-ecolo-demonte-les-idees-a-la-con-d-6263960.html

  • Discours de l'Union fantôme

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    L'avis de Jean-François Touzé
    La plus grande ruse du diable, on le sait, est de faire croire qu'il n'existe pas. Le pire mensonge de l'Union européenne est de vouloir donner l'illusion de la réalité de ses pouvoirs qui ne sont, de fait, que l'extension continentale des directives étoilées du nouvel ordre mondial.
    En singeant le rite américain du Discours de l'Union comme l'avaient fait avant elle ses immédiats prédécesseurs, la Présidente de la Commission de Bruxelles, Ursula von der Leyen, espère donner consistance à la supercherie communautaire sans pour autant rendre possible la prise à bras le corps des grandes questions géopolitiques, diplomatiques, militaires, sécuritaires, identitaires, économiques, migratoires et éthiques dont la résolution serait pourtant vitale pour notre civilisation. Les récentes décisions en matière économique visant à établir un plan de relance sous forme de prêts et de subsides accordés par l'UE aux Etats membres et financés en monnaie de guenon participent de ces artifices.

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  • Dette publique: comment les États sont devenus prisonniers des banques 1/4

    La crise des dettes souveraines trouve son origine en 2008, quand les Etats ont dû intervenir massivement pour sauver les banques privées, suite à l'éclatement de la bulle spéculative des subprimes. L'heure de la grande explication a sonné II n'est plus temps de s'indigner mais d'agir.

    À l'automne 2008, se déclenchait une crise financière mondiale dont l'épicentre se trouvait aux États-Unis. Un an plus tard, de bons esprits déclaraient que le pire était passé et que la crise était virtuellement finie. Elle ne l'était pas. Elle se poursuit encore et n'est pas près de se terminer.

    Le plus dur n'est pas derrière nous, mais devant nous; les conséquences seront pires qu'en 1929. La première phase était née d'un excès de surendement des ménages américains. L'économie réelle fut mise en faillite sous l'effet de l'explosion de la dette privée, les entreprises étant frappées de plein fouet par l'effondrement de la demande, ce qui a entraîné une vaste récession planétaire. Aujourd'hui, ce sont les Etats qui sont surendettés. Au problème de la dette privée a succédé le problème de la dette publique, qui affecte aujourd'hui tous les pays occidentaux. Comment en est-on arrivé là ?

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  • Le traitement de la campagne présidentielle aux États-Unis par la presse française

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    Il y a vraiment de quoi se faire souci pour notre présidentielle de 2022

    À voir comment BFM TV, première chaîne info de France, s’immisce et traite de la campagne présidentielle aux États Unis, il y a vraiment de quoi se faire du souci pour notre présidentielle de BFM a diffusé, lundi soir, un reportage d’une heure sur la présidence Trump, un véritable brûlot contre le locataire actuel de la Maison-Blanche, en fait.

    Sur tout le temps qu’a duré ce reportage, pas la moindre action positive n’a été mise au crédit de Trump. Rien. Même pas les spectaculaires résultats économiques qu’il a engrangés avant la pandémie, jamais évoqués. Comme, d’ailleurs, ses succès entrepreneuriaux. Toute sa vie n’aurait été qu’une succession de mensonges (15.437 depuis qu’il est à la Maison-Blanche, paraît-il), de coups médiatiques, de vulgarités, de bravades, d’approximations. Trump serait stupide, vulgaire, inculte, despotique, mufle, jouisseur, inconvenant et même brutal avec les femmes. Et pour cause : toute l’émission repose sur des ragots, des on-dit et surtout une série de témoignages de gens qui lui sont hostiles, ou avec qui il a eu maille à partir – de nombreux conseillers qu’il a licenciés, entre autres ; on comprend qu’ils lui en veuillent et le critiquent vertement. Un témoin l’a même traité de « connard », sans plus d’explication, juste une diatribe sur sa façon de déstabiliser les gens qui l’entourent.

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  • Covid-19 : les préfets s’affolent… les Français aussi

    Les informations se succèdent à un rythme qui s’accélère, et elles semblent toutes aller dans le sens d’une seconde vague de Covid-19. Israël reconfine pour trois semaines. L’Espagne est confrontée à un raz-de-marée, la Grande-Bretagne s’inquiète, l’OMS prédit une augmentation du nombre de morts en octobre-novembre. En France, Marseille, Bordeaux et la Guadeloupe sont d’ores et déjà dans le rouge.

    Les préfets sont en première ligne, ils s’agitent tels des rats dans un labyrinthe dont ils ne trouveraient pas l’issue. C’est qu’ils n’en savent guère plus que le Français moyen – (et l’on serait même tenté d’ajouter qu’ils n’en savent pas plus et pas moins que les médecins, que les politiques, que les membres du Conseil scientifique) – et ils ignorent en conséquence sur quels leviers agir efficacement pour enrayer le mal, même s’ils connaissent au moins l’étendue de leur pouvoir de contrainte.

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  • Impôts : la France toujours championne

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    Arnaud Raffard de Brienne

    1007939051.jpgS’il y a un titre auquel la France ne semble pas prête à renoncer, c’est bien celui de championne du monde de la fiscalité, tous impôts et taxes confondus. Le dernier rapport de, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), s’appuyant sur les données 2018, les dernières disponibles sur le sujet, épingle en effet la France qui, avec un taux de recettes fiscales de 46,1% de la richesse produite cette année-là, conserve le peu glorieux titre de pays le plus spoliateur des 37 nations de l’OCDE. Même si elle se trouve talonnée par les Belgique et le Danemark, autres enfers fiscaux dépouillant à égalité leur population à hauteur de 44,9% de leur PIB respectif, c’est-à-dire un peu plus de dix points au-dessus d’une moyenne évaluée à 34,3%, moyenne elle-même évidemment plombée par ces trois ténors du fiscalisme.

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  • US : Chaos politique - Hillary et les Démocrates obtiendront-ils la guerre civile qu’ils essaient de provoquer ?

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    Source Unz Review via The Saker

    Si vous ne l’avez pas déjà vue, regardez cette vidéo d’Hillary Clinton déclarant : « Joe Biden ne doit en aucun cas concéder » 

    «Aucun» signifie «aucun». Cela inclurait le cas, certes hypothétique, de Trump gagnant clairement, et haut la main. Encore une fois, «aucun» signifie «aucun».

    L’implication directe de cela est que les Démocrates devraient reprendre la Maison Blanche par tous les moyens et en toutes circonstances.

    C’est aussi un appel direct à saboter la démocratie américaine qui, aussi imparfaite soit-elle, est la seule option fondée sur l’état de droit actuellement disponible pour le peuple américain.

    Cela entraînera-t-il une guerre civile ?

    C’est plutôt improbable, car pour une guerre civile, il faut au moins deux parties crédibles, capables de coordonner les opérations, offensives et défensives, au moins à l’échelle régionale. Je ne vois pas cela aux États-Unis.

    Mais je ne vois pas comment la violence locale régionale – parfois sévère – et le chaos politique peuvent être évités.

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