Avec Le début de la fin et autres causeries crépusculaires, paru aux éditions Xénia, Éric Werner poursuit la publication de ses féroces et ironiques essais polyphoniques, dans lesquels dialoguent plusieurs personnages à présent bien connus des lecteurs d'Éléments l'Ethnologue, bien sûr, mais aussi l'Avocate, l'Auteur, le Cuisinier, l'Étudiante, l'Auditrice, etc. En toile de fond? La crise de la gouvernance néolibérale.
« Le Moderne veut se libérer des conditions de sa liberté. Il guerroie contre ce qui le rend libre concrètement, au nom d'une liberté abstraite qu'il n'exerce jamais, mais qui s'exerce sur lui par un enchaînement de servitudes. »
Luc-Olivier d'Algange, Propos réfractaires(1)