Mercredi après-midi, Benjamin Stora, historien bien connu pour son engagement politique très à gauche et son anticolonialisme viscéral, mais néanmoins choisi en juillet dernier par Emmanuel Macron pour diriger la fameuse « mission sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », a enfin rendu son rapport au président de la République.
France et politique française - Page 1360
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Le scandaleux rapport Stora, jugé (bien sûr) « insuffisant » par les Algériens
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Le scandaleux rapport Stora, jugé (bien sûr) « insuffisant » par les Algériens
Mercredi après-midi, Benjamin Stora, historien bien connu pour son engagement politique très à gauche et son anticolonialisme viscéral, mais néanmoins choisi en juillet dernier par Emmanuel Macron pour diriger la fameuse « mission sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », a enfin rendu son rapport au président de la République.
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Paris : 200 migrants occupent une école
Dimanche 24 janvier, dans l’après-midi, environ 200 migrants ont pénétré dans une ancienne école maternelle du XVIe arrondissement de Paris pour réclamer leur mise à l’abri « du froid et de l’épidémie », relate France Info.
Une action soutenue par « le collectif réquisition »
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Présidentielle 2022 : Le Pen en tête devant Emmanuel Macron, Hidalgo larguée, selon un sondage
Selon un sondage dévoilé par L’Opinion et le cabinet CommStrat, dimanche 24 janvier, le président Emmanuel Macron est crédité de 23 à 24 % des intentions de vote pour l’élection présidentielle de 2022, un score équivalent au premier tour de 2017. Le chef de l’Etat est toutefois devancé par la présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen.
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Chronique d'un Manant: Partie 3 Société à actions simplifiée.
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Du souvenir de Louis XVI à la proposition monarchique.
Lorsque j’étais élève au lycée Chateaubriand de Rennes à la fin des années 1970, il y avait un professeur d’histoire que nombre de lycéens soupçonnaient d’être royaliste et la rumeur courrait que, tous les 21 janvier, il portait une cravate noire en souvenir de la mort brutale et républicaine du roi Louis XVI. Aussi étrange que cela puisse paraître, je n’ai jamais cherché à en avoir confirmation, même si j’étais ravi qu’un des maîtres du lycée puisse avoir les mêmes sentiments politiques que moi, devenu royaliste à l’orée de mes classes de Terminale. Et, en 1981, lors de mon « premier » 21 janvier, si je n’arborais pas de crêpe noir ni de cravate de la même couleur de deuil, je me rendais à la messe pour le repos de l’âme du souverain déchu et décapité, messe qui se tenait dans la chapelle de l’Hôtel-Dieu, et j’étais accompagné de l’ami Olivier, celui-là même qui m’avait invité à ce qui fut ma première réunion royaliste en 1978 (avant même que je sois convaincu de la nécessité monarchique) au lycée Jean-Macé, organisée par le « Cercle Charles Maurras » (1). A la cérémonie de ce 21 janvier 1981, l’assistance pieuse était fort réduite (une quinzaine de personnes), groupée principalement autour de Yolande de Prunelé, figure bretonne de la Nouvelle Action Royaliste, et quelques uns des militants « nafistes » présents portaient un badge avec la fleur de lys stylisée, de couleur rouge, qui était celle, alors, de la revue Lys Rouge.
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Et le retour dans leur pays ?
Ils viennent en France malgré l’épidémie et les hivers plus rigoureux qu’en Afrique… et réclament leur mise à l’abri «du froid et de l’épidémie»… Il existe pourtant une solution durable et économique : le retour dans leur pays.
Environ 300 immigrés clandestins occupaient dimanche après-midi une ancienne école maternelle du XVIe arrondissement de Paris pour réclamer leur mise à l’abri «du froid et de l’épidémie». Avec l’aide des associations pro-immigration Utopia56, Droit au logement (DAL) et coordination des sans-papiers (CSP) 75.
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Emmanuelle Ménard, la seule à avoir compris la menace séparatiste
Le nouveau projet de loi contre le séparatisme, ou pour les principes républicains (c’est un peu comme on veut, il paraît), n’en finit pas de diviser. Ce samedi 23 janvier, c’est la députée Emmanuelle Ménard qui a, selon plusieurs sources bien informées et selon la formule consacrée, provoqué un tollé. Qu’a-t-elle proposé, pour cela ? Rien de moins que de modifier l’article premier de la loi de 1905 en le remplaçant par les mots suivants : « L’État français, fort de son héritage chrétien, assure la liberté de culte et la liberté de conscience. »
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La France court-elle vers la faillite ?
Agnès Verdier-Molinié est la directrice de la fondation iFRAP et une fiscaliste renommée.
Elle vient de sortir un essai, La France peut-elle tenir encore longtemps ?, dont elle a exposé les thèses dans Le Figaro.
Nous empruntons 1 milliard par jour, 700.000 euros par minute, 334 milliards en 2021. La dette officielle va bondir, en 2022, à 2.800 milliards d’euros, 120 % du PIB, mais en réalité, en rajoutant les retraites des fonctionnaires, les emprunts garantis par l’État qui risquent de n’être jamais remboursés, la dette cachée atteint la somme faramineuse de 7.000 milliards, soit 300 % du PIB . Si nous consacrions la totalité du budget à rembourser notre dette, nous n’en serions débarrassés qu’au bout de 21 ans ! Effarant.
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Le chanteur Francis Lalanne veut juger Emmanuel Macron pour « haute trahison » et appelle l’armée à le renverser
Engagé auprès des “gilets jaunes”, Francis Lalanne a publié une tribune appelant à “mettre fin à l’exercice du mandat” d’Emmanuel Macron.
On le savait déjà révolté contre le gouvernement. Mais cette fois, Francis Lalanne veut bel et bien montrer qu’il est opposé au président. Vendredi 22 janvier, le site FranceSoir a publié une tribune de Francis Lalanne. Le chanteur y appelle à renverser le chef de l’Etat qui serait « en train de commettre insidieusement un coup d’État au nom de la COVID », est-il écrit dans la tribune comme le relaye le Huffington Post samedi 23 janvier.