Nada Hafez, Yaylagul Ramazanova ont en commun, en plus d’être des athlètes olympiques largement reconnues dans leur discipline (respectivement sabreuse et archère), d’avoir disputé leurs épreuves pendant ces JO enceintes de six et de plus de sept mois.
L’une dit avoir reçu un coup de pied (d’encouragement ?) de la part de son bébé avant son tir à l’arc décisif : « J’ai senti que je ne me battais pas seule, mais que je me battais avec mon bébé. »