Marion Maréchal
A la suite de la profanation de la tombe de Jean-Marie Le Pen et de sa famille à La Trinité-sur-Mer, Marion Maréchal, sa petite fille, a pris la plume pour répondre à cette ignominie dans le Journal du Dimanche.
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Marion Maréchal
A la suite de la profanation de la tombe de Jean-Marie Le Pen et de sa famille à La Trinité-sur-Mer, Marion Maréchal, sa petite fille, a pris la plume pour répondre à cette ignominie dans le Journal du Dimanche.
Selon le JDC, plusieurs incendies et actes de vandalisme ont été commis dans le quartier de la Rotonde à Nevers dans la nuit du 1er au 2 février. Vers 22h30, un groupe d’individus a entrepris de détruire et dégrader plusieurs biens publics et privés. Les secours étaient toujours à l’œuvre à 0h15 pour maîtriser les feux qui se multipliaient.
Après avoir été un des animateurs du combat à Callac en Bretagne avec mes amis – notamment Pierre Cassen, Catherine Blein, Danielle Le Men – contre la venue de 537 Africains dans un bourg de 2200 habitants, j’ai écrit un livre (« Callac, la mère des batailles » – Synthèse Nationale) afin que les leçons du combat que nous avions mené ne soient pas perdues. Dans ce livre, il y avait un chapitre intitulé « Le business de l’immigration ». Il avait pour objet de dénoncer ce que nous avions commencé à voir, à savoir que des gens officiellement avec le cœur sur la main et voulant « accueillir des gens en grande précarité » (les migrants) étaient en fait des personnes qui agissaient pour des raisons bassement matérielles.
Ça suppute dur autour de l’armée et dans un récent discours, notre toujours hors-sol de président ne s’embarrasse pas de la moindre diplomatie avec les militaires, comme à son habitude. Il pose ouvertement la question « Notre armée est-elle au bout ? », sous entendu de ses possibilités. Le simple fait de poser la question signifie déjà qu’elle est justement au bout, la faute à qui, on se le demande. Entre serrages budgétaires, retards de développement, notamment dans le spatial, fin de l’approvisionnement national en munitions, faiblesse des stocks, porte avion unique, don de matériel à l’Ukraine, fin de la projection de nos forces avec les Antonov russes… notre armée n’est effectivement plus que l’ombre d’elle même et pour finir l’histoire, il faut ajouter la maintenance aléatoire de ce qui reste et cloue dans les hangars, une bonne partie des avions, hélicoptères, chars et navires… et une forme de défiance permanente entre Macron et l’institution.
Bonne nouvelle : la crise d’encéphalite, dont souffre le monde intellectuel français depuis des décennies, a trouvé son vaccin. Les penseurs embrumés, qui voient de la niaiserie à appeler un chat un chat, se montrent réceptifs à l’épreuve du nez dans le réel. Cette approche rudimentaire, expérimentée aux Etats-Unis, a déjà éteint quelques feux dans les cerveaux. Le remède contre la contagion utopiste s’annonce prometteur. Donald Trump en est le promoteur avec sa « révolution du réel ». Le nouveau président des Etats-Unis, qui a prêté serment le 20 janvier, n’est certes pas du sérail des clercs : les beaux esprits persistent majoritairement à ne voir en lui qu’un lourdaud. Néanmoins, sa force d’attraction révèle une excellence dans le passage à l’acte. Cette dextérité est moins sophistiquée que celle des vendeurs de nuages, mais elle est plus convaincante. Ce savoir-faire tient à un pragmatisme et à une indifférence aux morsures de la meute. L’affolement de cette intelligentsia, rétive à la piqure du terrain, laisse voir la fragilité de sa gonflette cérébrale.
Bande de lopettes, de sans-couilles ! Ils ont osé s’attaquer à la sépulture de Jean-Marie Le Pen ! Ces pourris ne respectent absolument rien ! « L ’infamie que vous m’enseignez, je la mettrai à exécution et je me fais fort de surpasser mes maîtres. » William Shakespeare. Voilà ce que m’inspire cet acte scandaleux ! Cela me donne l’envie de les combattre encore et toujours de plus en plus fort. Je puis admettre que certains n’aiment pas les idées développées par notre Menhir, bien que ce qui se passe actuellement prouve, s’il en était besoin, qu’il avait 30 ans d’avance. Il voyait juste. Ses paroles, lorsqu’il m’a quitté, alors qu’il m’avait fait l’honneur de venir manger chez moi, JAMAIS je ne les oublierai. « Président, lui dis-je, si vous aviez 20 ans de moins, vous seriez élu ». Ce à quoi il m’a répondu : « Patrick, en politique je n’ai eu qu’un seul tort, celui d’avoir raison trop tôt ».
Dans un monde où les vents politiques des États-Unis finissent toujours par souffler sur l’Europe, l’élection américaine de 2024 s’impose comme une leçon magistrale – ou un avertissement cuisant. Tandis que Donald Trump signe son grand retour, Louis Sarkozy, icône d’un centrisme mondialisé et inconsistant, se rêve en guide éclairé d’une France qui n’en demandait pas tant. Mais à force de singer les postures américaines sans en comprendre les fondamentaux, la droite française court le risque de répéter les erreurs du passé. Entre populisme triomphant et caricatures médiatiques, l’heure est à la lucidité – ou à la débâcle.
La victime d’un vol à la tire à Nantes (Loire-Atlantique) a vu apparaître, jeudi, sur sa tablette des images prises à l’aide de son appareil disparu, toujours connecté à son «cloud». La police nantaise a ainsi pu intervenir dans le bar tabac identifié par les photographies et interpeller un Algérien déjà connu des services de police. L’auteur des faits a affirmé aux fonctionnaires n’avoir que 17 ans. «Il est en revanche reconnu majeur par France Terre d’Asile », ajoute la source policière.