
21/12/2024
La victime a été retrouvée en pleine rue, en culotte et ligotée, jeudi 19 décembre matin au Perreux-sur-Marne.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
21/12/2024
La victime a été retrouvée en pleine rue, en culotte et ligotée, jeudi 19 décembre matin au Perreux-sur-Marne.
Tout le monde ne connait pas encore assez Manon Aubry, cette eurodéputé de La France Insoumise, qui déteste les Français et ne perd jamais une occasion de cracher sa haine, que ce soit contre les patriotes, les Français ou Israël.
Elle a démontré à plusieurs reprises qu’elle ne supporte pas le contradiction, qu’elle ne supporte pas le pluralisme, qu’elle ne supporte pas le débat et éructe ses insultes dès qu’elle n’est pas d’accord avec un des ses opposants (ennemis à abattre ?).
Les policiers ont procédé à des arrestations après avoir mis la main sur un chauffard qui, dans sa fuite, a répandu ce lundi son butin. Ces individus de 23 à 43 ans sont soupçonnés d’appartenir à un réseau d’importation de drogue.
La dernière fois qu'une telle situation s'est produite, c'était lors de la crise des subprimes en 2007-2008.
Voir le géant Manitou impacté aujourd'hui est un signal avant-coureur particulièrement inquiétant. À Ancenis et dans les villes alentour, l'économie locale dépend presque entièrement de cette entreprise, véritable pilier qui fait vivre une ville entière et soutient un réseau impressionnant de sous-traitants. Avec l'un des taux de chômage les plus bas de France, cette région pourrait être gravement touchée si Manitou venait à flancher. Si Manitou tombe, c’est tout un écosystème qui vacille.
Marine Le Pen, dans une interview au Parisien, affirme se préparer à l’éventualité d’une présidentielle anticipée. Selon elle, Emmanuel Macron serait en position de faiblesse tant sur le plan institutionnel qu’international.
Rejeté et ignoré, incapable de nommer le Premier ministre de son choix, Macron doit partir.
52 % des Français veulent désormais son départ et le jugent entièrement responsable du chaos institutionnel actuel qui s’éternise depuis des mois.
La capitulation de Macron face à un Bayrou déterminé qui s’est imposé à Matignon en dit long sur l’impuissance du chef de l’Etat, devenu une véritable potiche sans aucun pouvoir depuis la dissolution kamikaze de l’Assemblée.
Bayrou consulte les chefs de partis pour constituer son gouvernement, sauf LFI et RN. Le centriste dispose de 36 députés et compte sur sa position pour dégager une majorité, en comptant rallier donc la droite et une partie de la gauche. Le pari est risqué, pour ne pas dire suicidaire. On voit mal les communistes, 17députés, ne pas se liguer avec les LFI, 70 députés. Les 140 RN, avec Ciotti, n’auront que peu de mansuétude à l’égard du maire de Pau qui les ostracise une fois de plus. Que dire des écolos, 38 députés, qui ne devraient pas accorder une grande confiance à ce nouveau gouvernement, surtout si les noms qui circulent pour y entrer sont confirmés. Bertrand, Darmanin, Borne… on voit mal comment les 66 socialistes, pourraient défendre ces faux nouveaux venus et leur programme qui ne devrait pas être bien différents, en matière budgétaire au moins, du précédent… ce que nous écrivions précédemment au RPF. Le projet de budget Barnier risque bien d’être ressorti à la virgule près.
L’affaire Gisèle Pélicot, tragique et sordide, a permis une fois de plus à certaines figures du féminisme de gauche de déployer leur discours obsessionnel : tous les hommes seraient des prédateurs, potentiels Dominique Pélicot en puissance. Leur diatribe est connue, leur cible tout autant : la masculinité en tant que concept et réalité. Mais au-delà des slogans et des condamnations à sens unique, c’est l’hypocrisie crasse de ces militantes qui saute aux yeux.