
Michel Barnier vient d'annoncer à l'Assemblée nationale qu'il activait l'article 49.3 de la Constitution pour faire passer le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2025.
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Tristesse et désespoir chez les rats !
Communiqué de l’Association Sainte-Geneviève
C’est avec plaisir que les nationalistes et les catholiques ont appris il y a quelques jours qu’ Anne Hidalgo avait décidé de ne pas se représenter à la Mairie de Paris.
David Lisnard a raison.
Le niveau de la classe politique actuelle est affligeant.
C’en est même révoltant de petitesse.
Coluche je crois disait “dites moi de quoi vous avez besoin, je vous dirais comment vous en passer”.
C’est exactement cela le mantra de nos dirigeants.
De la Marche pour la vie :
Il y a 50 ans, la loi dépénalisant le recours à l’avortement était publiée. Elle a ouvert la voie aux nombreuses atteintes à la vie humaine qui surviendront au cours des décennies suivantes. Elle a inauguré le triste bilan que nous connaissons aujourd’hui : plus de 220 000 avortements annuel, une dérégulation toujours plus permissive, un projet de loi sur la fin de vie en cours d’examen à l’Assemblée Nationale, …
Nos ministres morts-vivants ne représentent qu’eux-mêmes et parlent au nom d’entités embaumées, avec un chef momifié qui radote son mantra : « Je suis le sauveur de la France. Sans moi, le pays irait droit au chaos ». Alors qu’il y est déjà.
Il se cramponne à son fauteuil, le grand escogriffe de Matignon. Marine le sait et en profite pour lui mettre la pression. Si son gouvernement était censuré, Barnier perdrait les attributs du pouvoir dont il a toujours rêvé : bagnole officielle, garde d’honneur, palais de la ripoublique, préfets dociles, fonctionnaires obséquieux, journaleux rampants.
À Lille, obligé de quitter le territoire français depuis janvier 2023, un homme se dit Tunisien mais est forcé de faire ses démarches au consulat d’Algérie. Il a refusé trois fois.
Du côté du Sénat, c’est la foire aux taxes qui continue à battre son plein. Il y a eu le rétablissement d’une forme d’ISF avec un élargissement total de l’IFI mais sans la suppression de ce dernier, puis aujourd’hui cette taxe avec une TVA à 20 % sur les bouteilles d’eau.