Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 3235

  • Le Front National vote contre la Théorie du Genre au conseil régional de Bretagne

    Intervention de Philippe Miailhes (FN) au Conseil Régional de Bretagne:"La Théorie du Genre est la remise en cause de l'altérité Homme/Femme... Vous vous attaquez aux rôles du Père et de la Mère"!

    Michel Janva

  • Le quai d'Orsay aurait étouffé une affaire de pédophilie

    Cela se passe peu de temps après l'affaire DSK, au siège de l'ONU à New-York. Un jeune fonctionnaire du quai d'Orsay (énarque ?) est mis en cause dans une affaire de pédophilie. Le gouvernement le rapatrie pour éviter que l'enquête du FBI n'aboutisse et recase le jeune homme dans une grande banque... 

    Qui était ministre des affaires étrangères à l'époque ? Alain Juppé ou Laurent Fabius ?

    Philippe Carhon

  • Eric Ciotti balance à Christian Estrosi son milliard d’euros de dettes

    Ça va de plus en plus mal entre Christian Estrosi, président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca), et Eric Ciotti, président du conseil départemental des Alpes-Maritimes, pourtant tous deux membre du même parti, Les Républicains.

    Au cours de la séance d’aujourd’hui au conseil régional de Paca, Philippe Vardon, conseiller régional FN, a accusé Christian Estrosi, qui fut le prédécesseur de Ciotti à la tête du département des Alpes-Maritimes jusqu’à fin 2008, d’avoir fait passer « la dette du département de 90 millions d’euros à 747 millions, soit une augmentation de près de 730 % sur 5 ans pour atteindre 942 millions au 31 décembre 2009 par l’effet des engagements contractés sous votre règne ». Près d’un milliard d’euros de dette pour son seul département !

    Philippe Vardon, élu sur la liste de Marion Maréchal-Le Pen, a ajouté, narquois :« Ces chiffres ne viennent pas de l’imagination de vos opposants Monsieur le président mais de votre successeur et ami, Eric Ciotti. Informations contenues dans un savoureux échange de courriers, où il est question de l’aide que vous sollicitez pour votre tramway, daté de février 2016 que je tiens à la disposition de la presse et qui éclaire votre attitude. »

    Et en effet ! Ces courriers, que nous avons récupérés, confirment les chiffres avancés par l’élu FN et montrent une très nette dégradation des relations, déjà tendues, entre Christian Estrosi et Eric Ciotti.

    Les échanges de courriers entre les deux hommes, qui s’échelonnent du 8 au 16 février dernier, portent au départ sur des questions techniques : Ciotti, au nom du département, refuse de s’engager à financer le tramway de Nice, dont Estrosi est maire, en représailles à l’absence de définition du périmètre de compétences entre les différentes collectivités, ce dont il tient le roi du cumul Estrosi, en qualité cette fois de président de la Métropole Nice Côte d’Azur, pour responsable.

    Le ton monte très vite et, dès sa réponse à son « cher Eric », Estrosi parle de « chantage » et accuse son successeur à la tête du département d’avoir pris des décisions qui « posent de graves difficultés » à la ville de Nice, qu’il énumère tout au long d’une missive fastidieuse mais fielleuses, et qui se clôt par cette phrase : « Si les blessures personnelles s’estompent avec le temps, mon souci de bonne gestion m’impose de dire la vérité sur ces questions dans l’intérêt des Niçoises et des Niçois. »

    La réponse de Ciotti, dont nous publions ci-dessous le début, est cinglante, et, plus terrible peut-être pour Estrosi, solidement argumentée. C’est dans celle-ci que l’on découvre que le montant de l’endettement du département des Alpes-Maritimes a grimpé quasiment jusqu’au milliard d’euros à cause de la gestion irresponsable de Christian Estrosi…

    Voir ici 

    http://fr.novopress.info/

     
  • La France, le nouveau royaume des trafiquants ?

    L' Assemblée nationale et le Sénat ont voté l'autoliquidation de la TVA à l'importation dans les ports pour renforcer la compétitivité des infrastructures portuaires face à la concurrence internationale. Le gouvernement a tenté de s'y opposer, sans succès en dépit des avertissements de Bercy sur le risque d'explosion de la fraude à la TVA qui a déjà coûté 17 milliards d'euros à l'Etat en 2015.
    Et si l'économie bleue devenait le tombeau de nos espérances en matière d'équilibre budgétaire ? En février à l'Assemblée nationale, puis au Sénat le 10 mars, les parlementaires se sont prononcés en faveur de l'autoliquidation de la TVA à l'importation pour tous, une mesure intégrée à la proposition de loi, en procédure accélérée, pour l'économie bleue.
    Concrètement, cette mesure offre la liberté aux importateurs de déclarer de façon autonome - et responsable - la TVA des produits qu'ils vont imposer sur les produits qu'ils font venir de l'étranger.
    Cette réforme ne tombe pas du ciel. C'était une promesse du candidat Hollande lors de la campagne présidentielle de 2012.

    Fabien Piliu - Lire la suite

     

  • Le coup de force

    Article paru sur a-rebours.fr et dans L’AF2000

    L’originalité de l’Action française ne se voit nulle part aussi nettement que dans sa doctrine du « coup de force ». N’ayant jamais cru que la question du régime puisse être tranchée par le jeu ordinaire des élections, elle n’est pas un parti royaliste. N’ayant pas la naïveté de penser que le pouvoir puisse être pris par une conspiration de « cagoulards » isolés et sans relais dans les corps constitués, elle n’est pas non plus un groupuscule tenté par la clandestinité.

    Sa vocation est de conspirer « à ciel ouvert », de créer un « état d’esprit royaliste » en répétant sans cesse ses raisons contre la République et pour la monarchie, mais aussi un état d’esprit favorable au coup qui renversera un régime que sa faiblesse condamne nécessairement et régulièrement à des crises susceptibles de le tuer.

    De la lecture des textes de stratégie écrits par Maurras (qu’il s’agisse du subtil Mademoiselle Monk ou du vigoureux Si le coup de force est possible) se dégagent deux concepts clés : l’occasion et la direction. L’occasion, c’est la crise, que le peuple soit dans la rue contre le pouvoir ou que la nullité des institutions ait provoqué un désastre militaire ; la direction, c’est notre capacité à influencer le restaurateur de l’ordre, dont la survenue est aussi inéluctablement écrite dans les lois de la physique sociale que les conditions qui auront produit la crise, d’une part à tenter le coup, d’autre part à donner à ce coup une issue royale. [.....]

    La suite sur A Rebours

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-coup-de-force

  • Ségolène Royal doit s'expliquer sur ses finances

    Un audit de la nouvelle région Aquitaine/Limousin/Poitou-Charentes (ALPC)révèle la "situation financière alarmante" de l'ex-Poitou-Charentes. Sans la fusion (des trois régions), "nous serions vraisemblablement en train de constater la faillite et la banqueroute de la région" Poitou-Charentes, a affirmé le président de la commission des Finances d'ALPC, Olivier Chartier (Les Républicains).

    Retards de paiements s'élevant à 132 millions d'euros, épargne "quasi-nulle" avec un taux net de 0,05%, une sous-budgétisation, des dépenses qui ne sont pas inscrites au budget... Bref : une gestion socialiste avec l'argent des autres.

    Michel Janva

  • Réforme des présidentielles : la dérive oligarchique de l’RPS s’accentue !

  • Colloque Iliade – Jean-François Gautier : « L’histoire n’a pas de sens préalable »

    Docteur en philosophie, Jean-François Gautier est l’auteur de nombreux ouvrages sur la science et la musique dont Le Sens de l’Histoire (éditions Ellipses). Il interviendra demain, samedi 9 avril, au colloque de l’Institut Iliade à Paris (Maison de la Chimie, 10h-18h30). Propos recueillis par Aloysia Biessy pour Le Rouge et le Noir.

    Le Rouge et le Noir : Votre intervention lors du colloque annuel de l’institut Iliade portera sur la pérennité de l’âme européenne. Comment définir, à l’heure où des vagues migratoires successives engendrent le « renouvellement » des populations autochtones, l’âme européenne ?

    Jean-François Gautier : L’âme, la psuchè intellective telle que l’entendaient Aristote et une part essentielle du néoplatonisme (que l’on qualifierait mieux de néo-artistotélisme), est une manière de mise en forme de la réalité, et surtout de la réalité spatiale, c’est-à-dire politique. Les Européens ont toujours distingué ce qui est de chez eux et ce qui est du dehors. Dans les cités helléniques, cela correspondait aux domaines d’Hestia et d’Hermès. L’imperium romain distinguait quant à lui les citoyens et les autres. Et la Déclaration de 1789 rappelle que la souveraineté « réside essentiellement dans la Nation ». L’âme européenne est ce qui donne forme et mouvement à une certaine manière de vivre, de dire le droit des gens et d’affronter le devenir sur un territoire donné. Elle est actuellement ‘en dormition’, comme disait notre ami Venner, mais cela ne signifie pas qu’elle ait disparu.

    Le Rouge et le Noir : Le terme de pérennité laisse sous-entendre une continuité dans le temps. Quel rôle joue le christianisme, présent en Europe depuis plus de 1500 ans, dans la continuité de l’âme européenne ?

    Jean-François Gautier : Il me semble nécessaire de distinguer deux réalités sociales et culturelles. D’un côté le christianisme proprement dit, qui relève d’une théologie monothéiste propre aux clercs et aux savants. Il a entretenu des relations souvent conflictuelles avec les institutions politiques, mais ces mêmes institutions se sont souvent servi de lui, et de son personnel, pour arbitrer des conflits purement politiques. Ce fut le cas en Angleterre lorsque l’Acte de suprématie de 1534 fit de Henry VIII le seul chef d’une Église devenue ‘anglicane’ sans changer quoi que ce soit à la théologie. Et il ne faut pas oublier, en France même, la première convocation des États généraux qui permit à Philippe IV, en janvier 1302, d’affirmer l’autonomie du pouvoir royal sur ses terres. Geste repris par Louis XIV avec la Déclaration de 1682 rédigée par Bossuet et consacrant une Église ‘gallicane’. Ce sont bien des problèmes de territorialisation des pouvoirs qui sont ici évoqués, tout comme ils le furent dans le très long conflit opposant la papauté et l’Empire germanique. Le christianisme en fut un révélateur efficace.

    Lire la suite