Un communiqué de la Coordination Partout Callac :
Le jeune Nahel est mort à Nanterre le mardi 27 juin lors d’un refus d’obtempérer, au volant d’une voiture de grosse cylindrée, alors qu’il n’avait ni permis de conduire ni assurance et après avoir été repéré par la police pour de multiples infractions au code de la route.
Nahel n’était pas un inconnu des services de police : 17 mentions au casier judiciaire et 5 refus d’obtempérer au compteur, avant celui de mardi dernier.
Pourtant c’est lui qui fut présenté comme la victime et le policier comme l’horrible personnage de l’histoire.
Toute la gauche et les bien-pensants ont récupéré l’affaire et relancé l’inacceptable : « la police tue ».
Même le président de la république déclara que cette mort était « inexcusable », condamnant ouvertement le policier en cause avant même que l’enquête n’établisse s’il avait commis ou pas une faute et au mépris de la présomption d’innocence.