France et politique française - Page 643
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Le système de santé est pire ailleurs qu'en France ? En quoi est-ce une excuse ? | Stéphane Ravier
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Depuis le 1er janvier, tout détenu condamné à moins de 2 ans de prison sera automatiquement relâché 3 mois avant la fin de sa peine, dans le but de “vider les prisons” ; les magistrats s’inquiètent de ces libérations anticipées
DÉCRYPTAGE – Depuis le 1er janvier, tout condamné à moins de 2 ans de détention sort trois mois avant sa fin de peine.
Pour la Chancellerie, c’est le tour de prestidigitation qui va permettre de résoudre sans effort la surpopulation carcérale. Pour les magistrats, c’est le risque de voir récidiver les délinquants, sans éclabousser le monde politique. Depuis le 1er janvier 2023, il est prévu que les détenus bénéficient, de plein droit, de la libération sous contrainte. Ils peuvent donc sortir automatiquement de prison, trois mois avant la fin de leur peine, dès lors qu’ils ont été condamnés à moins de deux ans d’incarcération et qu’ils possèdent un hébergement.
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Nice : Philippe Vardon fait condamner la mairie de Christian Estrosi pour « subvention destinée à un culte »
Après plusieurs années de combat judiciaire, le conseiller municipal niçois Philippe Vardon (Reconquête) a obtenu gain de cause, le 19 décembre dernier, contre la mairie de Nice. La cour administrative d'appel de Marseille a en effet annulé un arrêté municipal de la ville de Nice qui mettait à disposition gratuitement, en 2018, le théâtre Lino-Ventura à une association musulmane à l'occasion de l’aïd el-fitr.
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Liberté d’expression ? une plaisanterie !
Robert Spieler
Tout le monde dans le milieu nationaliste connaît le très sympathique et dynamique Jean-Christophe Gruau, qui fut plusieurs années durant l’employé très efficace et fort agréable de la Librairie française dans le quinzième arrondissement de Paris. Figurez-vous que Gruau, ancien conseiller municipal de Laval, vient d’être condamné à six mois de prison avec sursis, à deux publications judiciaires dans les journaux et à plusieurs milliers de dommages et intérêts, dont 1 000 euros pour Bruno Bertier, le premier adjoint au maire de Laval.
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M. Macron veut couper les retraites par les deux bouts!
De Roland Hureaux, essayiste, pour le Salon beige:
Il est hautement significatif que le gouvernement nommé par M. Macron n’ait en cette rentrée que deux projets : la réforme des retraites et la légalisation de l’euthanasie.
Alors que l’économie s’effondre, que l’inflation s’envole, que l’emploi régresse, que la faim et le froid menacent, que les populations désespèrent, il n’a donc pas d’autres sujets de préoccupation !
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Yvan Benedetti - 2023 Actualité des Nationalistes
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Immigration : Edouard Philippe envisage de modifier toutes les lois, la Constitution et les traités, « la crise de l’immigration n’a pas encore commencé »
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Télé-poubelle ou télé-vérité : que reproche-t-on à Cyril Hanouna ?
Les chiens de garde du Système veulent la peau de « TPMP », de C8 et de CNews, dont le ministère de la Culture laisse entendre à mots à peine voilés que l’Arcom, ex-CSA, pourrait ne pas reconduire leur autorisation de diffusion.
Question rituelle dans les dîners en ville et les repas de famille, généralement posée sur le ton déplaisant où l’on vous demanderait si vous êtes pour la lapidation des femmes : « Est-ce que vous iriez chez Cyril Hanouna (sous réserve qu’il vous invite, etc.) ? »
– Oui, bien sûr ! -
Les journalistes complices des amis des passeurs de migrants
Les relations peu claires entre les « organisations humanitaires » et les passeurs de migrants sont bien établies et nous leur avons déjà consacré plusieurs articles (voir infra) à la suite des révélations du Financial Times ou du quotidien suisse Le Temps. Il est intéressant de voir quels journalistes soutiennent ces actions que Frontex qualifie dans l’article du Financial Times de « collusion avec les passeurs de migrants » (collusion with migrant smugglers).
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Enquête : Avec Viltaïs, l’État dépense des millions pour répartir les migrants à la campagne
À Callac, si le projet Horizon a été abandonné, le projet Viltaïs reste, quant à lui, toujours d’actualité. Pilotée par l’État, l’installation de plusieurs familles de réfugiés, un temps retardée, devrait donc avoir lieu dans les mois à venir, assure la préfecture des Côtes-d’Armor. Fidèle à la volonté de l’exécutif de répartir les migrants en zone rurale, Viltaïs, à l’instar de nombreuses autres associations pro-migrants, peut compter sur les généreuses subventions publiques pour mener à bien ses activités.