Dans la pathétique course à l’échalote de la repentance et de la reptation face aux « minorités » forcément souffrantes à laquelle s’adonnent les ethno-masochistes de tous poils, les maires « écolos » des grandes cités françaises tiennent évidemment la corde.
Ainsi la mairie de Bordeaux envisage la création d’une indispensable « maison contre les esclavages et pour l’égalité » afin d’entretenir la sacro-sainte « mémoire » – qui se résume en réalité à une éternelle culpabilisation de l’homme blanc – et d’expier le passé de la capitale girondine qui, à la fin du XVIIe siècle, a prospéré sur la traite d’esclaves et le négoce de denrées coloniales produites par ces derniers. L’urgence d’un tel projet, évidemment financé par le contribuable, n’échappera évidemment à personne.