santé et médecine - Page 110
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Zemmour/C News : allocution Macron, le Roi est nu.
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La bonne blague d’Emmanuel Macron.
Le chef de l’Etat n’en rate décidément jamais une en matière de farces et attrapes… Nous en voulons pour preuve ses affirmations en matière d’augmentation des capacités de réanimation dans les hôpitaux, formulées lors de son allocution de mercredi 31 mars.
Il commença bien sûr par réclamer à tous les Français « un effort supplémentaire » ! Mais, avant de détailler les restrictions imposées aux citoyens, le chef de l’Etat a demandé « un effort des soignants d’abord, pour augmenter nos capacités en réanimation ». Il a fixé un objectif chiffré, qu’il entend atteindre « dans les prochains jours » : « un peu plus de 10 000 lits », contre « 7 000 » à l’heure actuelle, selon lui (7 665 en réalité, dont 7 053 déjà occupés). Comment compte-t-il y arriver ? En vérité, il n’en sait rien ce qui ne l’empêche pas d’avoir quelques pistes à nous proposer.
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Du communisme au Covid-19 : l’Etat du dressage social
Dans un texte publié sur Alliance pour la France, l’auteur montre les analogies troublantes entre le système communiste et ce que nous appelons la postmodernité, en particulier depuis la crise sanitaire du Covid-19, à travers le livre de Michel Heller (né en U.R.S.S en 1922), La Machine et les Rouages :
L’Etat soviétique, nous dit Michel Heller, est une « école du dressage social ». Ce dressage social est apparu de manière patente dans la gestion gouvernementale de la crise du covid-19. Le confinement, le couvre-feu ont fait apparaître une criminalisation de la mobilité qui est aux antipodes de l’idéologie dite libérale du « laisser passer » et de la libre circulation des biens, des services et surtout des hommes. La mise en place de la fameuse « attestation de déplacement », l’évocation itérative d’un « passeport vaccinal », le vote d’un passeport sanitaire (le « certificat vert ») par le Parlement européen, ne sont pas sans rappeler l’instauration du passeport intérieur en U.R.S.S dans les années 30, les autorisations pour passer d’une ville à l’autre étant extrêmement limitées.
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Poison d’avril – La France sous cloche pour la troisième fois
Fermeture des établissements scolaires, extension à l’ensemble de la métropole des mesures liberticides déjà en vigueur dans 19 départements, contrôles et sanctions renforcés… Les responsables de la macronie et les grands médias à la remorque du pouvoir ont beau jouer sur les mots en nous répétant aujourd’hui qu’Emmanuel Macron, « soucieux d’épargner notre économie et de ménager nos compatriotes » excédés, a « choisi une voie intermédiaire entre confinement et simple couvre-feu », les mesures censées lutter contre la propagation du Covid, qu’il a annoncées mercredi soir, n’en reviennent pas moins à une nouvelle mise sous cloche de notre pays pour plusieurs semaines. Avec toutes les conséquences dramatiques que cela va entraîner.
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Le « tri » des patients en réanimation n’est rien d’autre que de l’EUTHANASIE.
C’est le choix du gouvernement d’Emmanuel Macron. Il faudra vous en souvenir.
Il faut appeler un chat, un chat. Et le CER ne se dérobera pas face au scandale que le pouvoir est en train d’organiser dans les hôpitaux.
Une évolution sanitaire pire que ce qu’on attendait. Si les contaminations ne baissent pas (et elles n’en prennent pas le chemin), les hospitalisations et besoins en soins critiques vont rapidement devenir insupportables. Une réunion de crise à l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, tenue samedi 27 mars, fait part de projections à courte échéance, avec des chiffres jamais atteints en Île-de-France.
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Me Fabrice Di Vizio : « J’attends d’Emmanuel Macron qu’il nous explique que ce n’est pas une petite mafia médicale qui vient décider des politiques de santé publique de ce pays ! »
Boulevard Voltaire a donné la parole au médiatique avocat Fabrice Di Vizio.
Il nous livre son analyse sur la situation sanitaire : pressions des médecins, poids des laboratoires pharmaceutiques et marges de manœuvre de l’exécutif.
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Allocution de Macron : la farce de trop ? – JT du jeudi 1er avril 2021
Au sommaire de ce journal, l’allocution d’Emmanuel Macron. Quatre mois après sa dernière apparition solennelle, le chef de l’Etat s’est exprimé mercredi soir pour annoncer une nouvelle salve de restrictions.
Puis nous évoquerons le cas du philosophe Michel Foucault. Cette figure de la gauche et icône du mouvement LGBT est mise en cause dans une affaire de pédocriminalité.
Enfin, nous partirons en Grèce où la crise migratoire ne s’est pas interrompue avec la crise sanitaire.
https://www.tvlibertes.com/allocution-de-macron-la-farce-de-trop-jt-du-jeudi-1er-avril-2021
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Tunisie : l’exode des médecins s’exilant à la fin de leurs études, principalement vers la France fragilise le secteur de la santé
Abdelwaheb, médecin urgentiste sur le front contre le Covid-19 en Tunisie, n’a pas été payé depuis des mois. A 35 ans, il se prépare à partir à l’étranger en quête de meilleures conditions de travail, comme la majorité des médecins tunisiens.
La proportion des jeunes diplômés s’exilant à la fin de leurs études, principalement vers la France, l’Allemagne ou les pays du Golfe, ne cesse d’augmenter.
“En 2019 et 2020, près de 80% de jeunes diplômés sont partis à l’étranger”, avertit le chirurgien Slim Ben Salah, président sortant du Conseil de l’ordre des médecins tirant la sonnette d’alarme sur le vieillissement des médecins dans le service public.
“Ils sont tellement dégoûtés, ces élites du pays qui ont eu leur bac avec plus de 17 de moyenne, et qui se retrouvent marginalisés par les autorités après 10 ans d’études. Mais qu’a fait l’Etat pour qu’ils restent? Moi aussi je n’en peux plus et je vais partir!”, s’emporte le chirurgien.
“En Tunisie je me sens enterré vivant,” lâche Abdelwaheb Mghirbi, 35 ans, urgentiste dans un hôpital public à Tunis.
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Élections, reculer pour mieux museler – Mais comment font nos voisins européens ?
Déjà repoussées à l’automne dernier du mois de mars à celui de juin, les élections départementales et régionales, qui doivent normalement se tenir les 13 et 20 juin prochains, vont-elles être à nouveau reportées pour cause de COVID-19 ? Si le Conseil scientifique, tout en insistant lourdement sur le « très grand risque » qu’il y aurait à maintenir ces scrutins, a officiellement refusé lundi de se prononcer sur le sujet, le chef de l’Etat a quant à lui déclaré attendre que le gouvernement lui remette ce jeudi son rapport puis d’avoir consulté les différentes formations politiques du pays avant de trancher définitivement sur cette question.
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Résistance royaliste : Coronavirus un an après !