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santé et médecine - Page 129

  • Covid-19 ou le miracle totalitaire 3/4

    Pour arriver à leur fin, il leur faut rendre le réel inintelligible et insérer un intermédiaire (digital) entre notre regard et l’objet observé.

    *

    En devenant transhumains, nous deviendrons nous-mêmes des produits ; des produits dont l’obsolescence aura été programmée.

    *

    Les princes de Davos ont peur du réel et de ses aspérités : le monde du réel est celui des bas-fonds de l’humanité avec sa boue, sa faim et sa misère.

    Autrement dit, pour eux, c’est un monde qui pue : la pauvreté, les sans-dents, les déplorables, les gilets jaunes ; le peuple. Tout cela pue la révolte en gestation permanente.

    Les remugles de la révolte populaire ne sont pas, chez eux, en odeur de sainteté.

    Les seigneurs du digital ont la nausée du réel. Ils en vomissent des codes et des algorithmes comme des antidotes à leur dégoût des autres.

    Pour faire disparaître la misère ils feront disparaître les miséreux.

    *

    Qui sont les extrémistes ?

    Ceux qui ne voient ni pandémie insurmontable ni deuxième vague et refusent de se livrer sans révolte à la peur et au conformisme des nouveaux rituels paradoxaux ?

    Ceux qui imputent à raison la mort d’un enfant africain aux confinements des économies occidentales qui ont été décrétés par quelques tyrans bureaucrates aux prétentions scientifiques afin de maintenir disponibles quelques lits d’hôpitaux publics destinés à des grabataires à bout de souffle et d’envie ?

    Les extrémistes d’aujourd’hui portent des cravates et fument le cigare à Davos. Ils ont l’air patelin et satisfait du bourgeois cultivé à la sortie d’un bon dîner mondain. Entre les amuse-bouches et les mignardises, ils offrent à l’humanité leurs conseils médicaux avisés : « bouffez du Doliprane, matin, midi et soir, et mourrez en paix ».

    *

    Les Khmers rouges du Covid sont les princes de Davos au réel aboli.

    *

    Du Kampuchéa démocratique au Covid universel, on retrouve toujours, à la tête de la révolution, le bourgeois cultivé, des théories plein la gueule.

    *

    Il y a foule d’apologues et de philosophes pour chanter les vertus de la Sainte Distanciation, de la Sainte Délation, de la Sainte Soumission. Ceux-là sont les extrémistes. Ceux-là nous conduisent aux fosses communes de la Secte Covid.

    *

    À quoi peut-donc servir une pandémie ? À nous faire peur, répond le prophète.

    Mais quelle utilité cette peur peut-elle avoir ?

    Écoutons les paroles de notre prophète (Jacques Attali) qui, dès 2009, nous menaçait en ces termes :

    « L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur. » (…) « La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes. » (…) « On devra, pour cela, mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. » (L’Express, 8 mai 2009)

    Qu’est-ce que ce Mondialisme dont il nous annonce ainsi l’avènement ?

    Une concentration extrême des pouvoirs aux mains des Princes de Davos. Un Big Brother Digital Sans Frontières qui nous imposera un régime politique unique et universel, soit une manière de penser et de vivre sans alternative possible.

    Les chemins de traverse auront disparu. L’idée même de frontière aura été abolie, puisqu’il n’y aura plus d’au-delà, de dehors, d’horizon, d’avant et d’après, de réel et d’irréel, de différence et de divergence : la Révolution Covid est un trou noir où se perdent tous les repères et les infinies grandeurs du Logos que l’Occident a mis 2 500 ans à bâtir et à consolider.

    *

    En abolissant le réel, ils auront aboli tous les chiffres sauf le 0 et le 1. Les seuls à n’être point pluriels.

    Le monde sera donc réduit au zéro et au fini.

    Le 0 et le 1 formeront les chaînes de code (de bonne conduite) d’une humanité lassée de désobéir. Ils seront le singulier d’un horizon totalitaire.

    *

    La vérité ne sera plus une quête humaine incertaine, mais le résultat algorithmé d’un moteur de recherche sûr de ses réponses, de son autorité et de son droit.

    *

    Qu’est-ce qui nous distingue de ces ombres qui passent devant nous avec un masque à la place du visage ?

    Eux : la peur les rassure.

    Nous : la peur nous effraie.

    La peur leur enlève ce fardeau de l’homme libre qu’est la responsabilité. Parce qu’avec la responsabilité vient la possibilité de l’erreur et la nécessité de choisir entre plusieurs chemins.

    Ils se sont abandonnés au confort de la peur pour ne pas souffrir de la liberté.

    Ils marchent ainsi masqués afin que d’autres décident pour eux. Avec le masque, ils se pensent donc à l’abri de l’erreur et de l’errance. Ils se croient davantage certains de leur destin en n’étant plus maîtres de lui.

    Ils iront donc plus vite et plus sûrement aux chemins creux et gris des fosses communes que le Nouveau Régime leur réserve. Ils se croyaient agneaux et découvriront, mais un peu tard, qu’ils étaient chiens muselés et gibiers de potence.

    Ils voulaient un guide et ce guide est leur bourreau.

    *

    Journal du monde réel (extrait – 28 mai 2039) :

    « Aucun retour en arrière ne semble possible, le monde réel a disparu et ne reviendra pas. Et pourtant, je suis là et j’écris ce journal sur une ancienne machine à écrire. J’ai mis près de 30 ans à rechercher cette machine. Des milliers d’âmes dissidentes sont mortes pour la trouver. Des milliers d’âmes dissidentes ont cru qu’elle existait et avaient raison de croire en sa réalité, d’espérer qu’elle serait trouvée un jour et que de l’encre et du papier se trouveraient, comme par miracle, avec elle au moment où l’âme fortunée mettrait la main dessus. J’écris donc l’histoire qui nous est arrivée depuis l’an 1 de la Grande Réinitialisation. C’est l’histoire de notre disparition, de notre effacement, de notre mise à l’écart du réel. C’est aussi l’histoire de notre réaction, de nos tentatives pour contrer l’inévitable victoire des Âmes Féroces sur les âmes dissidentes. »

    IV

    Arrive le mois de mai. Le virus commence son éclipse. Les cadavres se dissolvent avec le printemps, mais, comme il n’y a pas assez de morts pour entretenir la fournaise de la peur collective, il faut terroriser les peuples avec le nombre de « cas ».

    Et commencer à imposer le masque à tous les citoyens.

    Même à ceux qui n’ont aucun symptôme.

    Surtout s’ils ont l’insolence d’être en pleine forme.

    *

    Moins il y a de morts et plus ils nous terrorisent.

    Moins il y a de virus et plus ils sont virulents.

    Cette absence de rationalité, n’est-elle pas la preuve (logique) d’un crime ?

    Car il faudrait beaucoup d’audace intellectuelle pour croire que les meilleurs élèves de la République (nos dirigeants bardés de diplômes et de rosettes en tous genres) enchaînent ainsi, avec une persévérance diabolique, les incompétences et les inconséquences, sans qu’il n’entre dans leurs intentions d’agir de la sorte.

    À aucun moment ils n’ont émis le moindre remord ou exprimé la moindre repentance. C’est peut-être qu’ils ne sont pas si fâchés que cela de leurs mauvaises actions ou bien de leurs outrances.

    Soyons donc grands princes et prêtons-leur un peu d’esprit.

    Leur attribuer une once d’intelligence c’est déjà reconnaître qu’ils sont un peu malins.

    *

    L’absurde comme marque du diable plutôt que celle de l’idiot.

    La déraison comme indice de l’intention ; l’irrationnel comme soubassement de leurs raisons.

    *

    Une fois bien établi que les enfants n’étaient pas ou peu transmetteurs du virus ni susceptibles d’en subir de graves conséquences, nos dirigeants leur ont imposé le port du masque généralisé dès l’âge de 6 ans, comme une marque visible d’infamie infligée à de jeunes âmes naissantes, coupables, sans doute, de ne pouvoir mourir d’une pandémie si méchante.

    Il s’agit, là aussi, de la preuve logique d’un crime découlant de l’inutilité manifeste (presque revendiquée) de la mesure, lorsqu’il n’y a à l’horizon, ni pandémie ni peste.

    Et pas de n’importe quel crime : car en s’attaquant à nos enfants, à leur visage et à leur sourire, à leur joie et à leurs rires, à ce qu’il reste encore de sacré dans nos sociétés débarrassées de toutes les métaphysiques et de toutes les transcendances porteuses de sens ou d’espoir, ils s’en sont pris à l’humanité de demain, à l’humanité naissante s’élevant, comme un jeune roseau, vers son indépendance et son pouvoir.

    Ce crime-là est imprescriptible. Nous pourrons donc aller dénicher les coupables jusqu’au bord de leur tombe, même s’il faut se précipiter avec eux au fond des gouffres amers et des abîmes profonds.

    *

    Curieusement, le bourgeois cultivé, ce lecteur assidu du Monde, du Guardian ou du New York Times, se refusera toujours à tirer les conséquences logiques de ses propres constatations. Il voit l’enchaînement inlassable des fautes commises sous ses yeux ; il observe la logique implacable du gain qui aboutit à l’appât ; il peut même aller jusqu’à décrire le mécanisme du vice qui déploie toute son ingéniosité maligne ; mais, ces nombreux faits qu’il constate, il ne pourra jamais les revêtir du qualificatif de « crimes ».

    Il lui serait sans doute trop insupportable d’imaginer que son dirigeant, pour lequel il a pu voter avec enthousiasme ou même avec résignation, puisse agir ainsi contre son peuple avec de mauvaises intentions.

    À suivre

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  • Covid-19 ou le miracle totalitaire 2/4

    Le principe de précaution (celui de l’écologie mondialiste et morale) nous dit que la liberté est dangereuse puisque la liberté c’est l’incertitude. Il faut donc éradiquer la liberté devant la nécessité absolue de contrôler le monde pour en réduire les risques.

    Le mondialisme est l’idéologie d’un monde sans risque. Un monde où toutes les incertitudes ont été soumises à l’analyse de modèles et d’algorithmes prédictifs pour être cernées, maîtrisées, détruites, anéanties, exterminées.

    Des risques imaginaires sont ainsi prédits à l’infini pour maintenir le monde sous le joug du principe de précaution. Puisque le pire est toujours possible, ils prédisent donc toujours le pire.

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  • Liberté ou santé ? Quand la pandémie divise les libéraux

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    Eugénie Bastié

    Ah que le monde d’avant la pandémie était simple! Le clivage entre «mondialistes» et «populistes» tournait à plein régime. Les «ouverts» affrontaient les «fermés», les «progressistes» bataillaient contre les «conservateurs». Et puis le Covid est arrivé, rebattant les cartes idéologiques. On a vu un président pro-européen se mettre à parler de souveraineté nationale, le même, adepte du libre-échange, fermer les frontières, des libertariens communier avec les «gilets jaunes», des conservateurs batailler contre l’ordre sanitaire. C’est sans doute dans le camp du libéralisme que la division est la plus forte. En effet, jadis uni contre la tutelle de l’État et pour la réforme de ce dernier, les libéraux sont désormais divisés entre ceux qui dénoncent une atteinte intolérable aux libertés et les partisans de l’expertise qui justifient les mesures exceptionnelles au nom de l’intérêt général.

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  • Covid-19 ou le miracle totalitaire 1/4

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    Par Guillaume de Rouville, auteur de La Démocratie ambiguë  Il y a quelques jours, nous publiions un long texte sur le « complotisme » de Guillaume de Rouville. Aujourd’hui, nous publions un autre texte de sa plume. Publié en septembre dernier, il reprend divers éléments de réflexion très intéressants sur la crise actuelle.
    Polémia

    Pensées éparses sur la Nouvelle Normalité

    I

    Depuis le début de la crise du Covid-19 nous vivons une expérience orwellienne à l’échelle planétaire, une sorte de test mis en scène par nos élites mondialistes, visant à éprouver la résistance de nos corps et de nos âmes au burin compresseur et sadique de la Nouvelle Normalité.

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  • Le Samedi Politique avec Nicolas Dupont-Aignan : Un 3è confinement, c’est la mort du pays !

    Depuis plus d’une semaine, les contradictions s’enchaînent dans la communication de l’exécutif. Biberonnés à la peur, les Français sont suspendus au bon vouloir d’Emmanuel Macron pour connaître la date de leur prochaine assignation à résidence.

    Olivier Véran, le ministre de la Santé, s’appuie désormais sur les chiffres d’hospitalisations et sur le fameux variant britannique pour justifier les nouvelles mesures alors même que le gouvernement a laissé passer des semaines avant de réfléchir à limiter le franchissement des frontières.

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  • Vivre avec le virus, c’est retrouver la liberté, par Natacha Polony.

    "Que proposons-nous à ces jeunes gens qui ont la vie devant eux ?"
    © Hannah Assouline. 

    "La vie, pour un être humain, n’est pas une donnée biologique mais un art très personnel que nul ne doit se laisser voler. Etre véritablement humain, c’est choisir la compassion pour les autres, mais la liberté pour soi-même", rappelle Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne".

    Évidemment, ce ne sont pas les tranchées. Ce ne sont pas non plus les nazis ou la Milice, qui traquent et torturent. On a beau jeu de les traiter de chochottes, ces jeunes qui disent leur désespoir, leur solitude, ces commerçants, patrons de théâtre ou restaurateurs qui, après tout, n’ont pas à se plaindre, puisque, n’est-ce pas, ils sont indemnisés.

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  • La riposte de la médecine de ville

    Violaine Guérin
    Extrait Documentaire hold-up
     Publié le 01/02/2021

    Dans une conférence de presse le 31 janvier 2021 après une longue session de travail des divers ateliers, le Dr Violaine Guérin a présenté les résultats des divers ateliers qui sont au nombre de sept.

    Le premier est la création du comité scientifique indépendant décrivant son rôle et son fonctionnement. Les membres seront annoncés lors de la prochaine conférence.

    Le second est le fait que les médecins de ville ont mis au point un schema directeur protocole pour les soins précoces et le traitement ambulatoire pour les patients PCR positifs.

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  • Confinement : Macron fait durer le “plaisir” – JT du lundi 1er février 2021

    Au programme ce soir, retour sur la décision de l’exécutif. Après des semaines d’agitation des médias et d’une certaine catégorie de scientifiques, le premier ministre Jean Castex a annoncé dans une allocution désordonnée vendredi soir que le confinement pouvait finalement attendre… Combien de temps de répit ? Pourquoi cette décision ?

    Nous reviendrons également sur la mobilisation en France contre la loi de Bioéthique. Notre reporter Géraud du Fayet était au cœur du rassemblement parisien.

    Et puis, retour sur le prétendu phénomène Alexeï Nalvalny. Porté aux nues dans les médias et gouvernements occidentaux, qui est donc celui que l’on présente comme l’opposant en chef au Kremlin ?

    https://www.tvlibertes.com/confinement-macron-fait-durer-le-plaisir-jt-du-lundi-1er-fevrier-2021

  • Sur Valeurs Actuelles, Didier Maïsto : "Le 3e confinement sera la goutte qui va faire déborder le vase".

    La France n'a jamais été aussi proche d'un 3e #confinement. L'impensable se profile pour le monde de la restauration, de la culture. Didier Maïsto journaliste, craint le pire pour ces secteurs et dénonce une déconnection avec l'économie réelle.

  • HALTE AUX RESTRICTIONS ! QU’ILS ARRETENT DE NOUS FAIRE CHIER !

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    Pieter Kerstens

    Un an après le début de l’épidémie de Covid 19, certains pays européens ferment enfin leurs frontières aux voyageurs, afin de limiter la propagation du virus, alors que cette disposition évidente avait été prise dès le début par la plupart des pays asiatiques.

    Pour enrayer cette épidémie, l’Asie a retenu les leçons du passé en imposant des mesures de bon sens, tel le port d’un masque, le dépistage des personnes contagieuses, l’isolement des malades en des lieux fermés (lazarets) et l’accueil des cas graves dans des hôpitaux équipés d’appareils respiratoires en nombre suffisant.

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