En France le mouvement transsexuel est en plein essor. Pourtant, outre-Atlantique, les témoignages d'ex-transsexuels se multiplient. Ils dénoncent une pression médiatique et sociale et appellent à la prudence.
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En France le mouvement transsexuel est en plein essor. Pourtant, outre-Atlantique, les témoignages d'ex-transsexuels se multiplient. Ils dénoncent une pression médiatique et sociale et appellent à la prudence.
Ils ne partagent pas l’avis général sur les processus thérapeutiques à mettre en œuvre contre le Covid. Leurs recherches médicales les met donc hors la loi : ce sont des complotistes ou des obscurantistes à bannir au sens propre du terme.
Il faut d’abord faire un constat : la censure que l'on rencontre de manière à peu près constante dans de très nombreux pays a les mêmes priorités, mais elle n'est pas un bloc. Elle vise le plus souvent la contestation des mesures anti-Covid, la dénonciation des dangers des vaccins développés à la hâte, la mise en cause des tests de contamination ou du calcul des morts liés au virus SARS-CoV2, la mise en avant de traitements prophylactiques ou thérapeutiques efficaces. Et sur un autre plan, la critique de l'utilisation politique de la pandémie à des fins idéologiques, telle la « grande réinitialisation » (Great Reset) pourtant clairement annoncée par des institutions internationales publiques et privées.
Dans les coulisses de l’Élysée envahies par les catastrophistes de tous poils, un homme résiste : Emmanuel Macron. À contre-courant des recommandations de l’armada de scientifiques et professeurs de son sérail personnel, il décidait, il y a trois semaines, de ne pas reconfiner le pays. D’un coup de poing rageur sur son bureau, il entrait en résistance. « Ici l’Élysée… Les carottes ne sont pas cuites. On les aura… » Sur des TSF, les complotistes recevaient le message 5 sur 5. Il était des leurs.
M.Macron a depuis longtemps, avec emphase car il aime à s’auto-conférer une aura de leader mondial, pris un positionnement humaniste pour ce qui concerne les vaccins contre le covid : ils doivent être considérés comme des biens universels, accessibles à tous.
M.Clément Beaune, secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes, nous a néanmoins appris (Cnews, face à Eric Zemmour, le 5 février 2021) que
« l’Union européenne représente 4% de la population mondiale et 25% des commandes de doses de vaccin ».
Humaniste, d’accord, mais quand même, n’exagérons rien…
https://www.lesalonbeige.fr/un-macron-ca-ne-ment-jamais-la-disponibilite-universelle-des-vaccins/
Eric Zemmour décrit la macronie comme un système anarchique et dictatorial à la fois, deux concepts politiques théoriquement antinomiques, et en tout état de cause peu en rapport avec la feuille de route de 2017. Mais, pour ce qui concerne la gestion de la pandémie, le ministre Véran illustre parfaitement ce tropisme des marcheurs en direction de l’anarchie dans la dictature (ou l’inverse).
Alors que l’épidémie est en recul, la France vit toujours sous le régime du couvre-feu. La majorité au pouvoir poursuit son chemin en expliquant fièrement son courage de ne pas reconfiner le pays… Une nouvelle démonstration de mépris.
Nous évoquerons également les nouvelles têtes au sein du Conseil scientifique. Plus d’un an après le début de la crise sanitaire, le gouvernement semble arriver au monde.
Le vote par anticipation va-t-il faire son apparition pour l’élection présidentielle ? C’est la question qui se pose après que le gouvernement a glissé un amendement en toute discrétion.
Et puis, nous reviendrons sur l’adoption en première lecture du projet de loi contre le séparatisme. Un vote qui a pris des airs de répétition à un an de l’élection présidentielle.
Selon les informations recueillies par franceinfo, aucune mesure sanitaire « plus stricte » ne sera annoncée d’ici la fin des vacances scolaires, le gouvernement voulant « laisser de l’air aux Français ». Toutefois, l’exécutif ne souhaite pas se montrer trop optimiste : « On reste dans un entre-deux », indique Matignon à franceinfo. Et si certains imaginent déjà de premières réouvertures dès le mois prochain de musées, un ministre prédit : « C’est un débat qui va monter, on va être forcé d’aller vers un allègement ».